Catégories
Uncategorized

Virus du Nil détecté sur des moustiques à Toronto

Des moustiques porteurs du virus du Nil occidental ont été détectés à Toronto pour la première fois cette année.
 
C’est ce qu’a fait savoir la Santé publique de la ville, qui rappelle l’importance de bien se protéger contre les piqûres des moustiques et de bien assécher l’eau stagnante près des maisons, car cela attire les insectes.
 
Toutefois, il n’y a pas eu de mort à Toronto depuis 2005 et un seul cas humain a été diagnostiqué depuis 2010, alors que le virus du Nil peut aussi affecter les animaux domestiques.
 
Les symptômes se manifestent de trois façons. Dans la majorité des cas, cela passe inaperçu. Dans d’autres cas, les symptômes peuvent être similaires à ceux de la grippe, comme des maux de tête, de dos, de la toux, des douleurs musculaires, une brève éruption cutanée, parfois des symptômes intestinaux ou des douleurs abdominales.
 
Habituellement, ces symptômes disparaissent en une dizaine de jours, mais la fatigue peut perdurer pendant deux mois.
 
Finalement, dans les cas plus graves, quoique plus rares, on parle d’encéphalite, avec un peu les mêmes symptômes nommés précédemment, mais également une diminution de la vigilance et même un état comateux dans certains cas.
 
Les personnes malades arrivent généralement à récupérer, mais la maladie peut s’avérer mortelles dans de rares cas, surtout chez les personnes âgées ou celles avec un système immunitaire affaibli.
 
Catégories
Uncategorized

Période propice au virus du Nil

En cette période de l’été, et pour encore un mois, les gens devraient se protéger davantage des maringouins selon le ministère de la Santé et des Services sociaux. Une prévention particulière devrait être de mise chez les gens à risque de complications, soit les plus de 50 ans et ceux dont l’immunité est réduite.

Selon les données des années précédentes, 90 % des cas d’infection au virus du Nil sont signalés à cette période-ci de l’année.

Depuis trois ans, le virus semble moins actif qu’en 2003, où 17 Québécois avaient contracté le virus du Nil occidental.

Selon la Presse Canadienne, les risques d’être infecté par le virus seraient plus élevés dans certaines régions : Montréal, Montérégie, Laval, Lanaudière, Laurentides et Outaouais.