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Michael Douglas reprend ses propos

Hier (3 juin), alors que les commentaires de Michael Douglas sur la cause de son cancer ont beaucoup fait parler, nous apprenons aujourd’hui sur People que l’acteur aurait été mal cité.

En effet, Douglas, en parlant du cancer dont il a été victime, avait suggéré que le virus du papillome humain (VPH) était en cause et qu’il l’aurait contracté en faisant des cunnilingus.

Or, le porte-parole de la star a publié un communiqué afin de remettre les pendules à l’heure : « Michael Douglas n’a pas dit que le cunnilingus était la cause de son cancer. Il a cependant été mentionné pendant la discussion que, comme mentionné par un médecin, le sexe oral était une possible cause de certains cancers oraux, mais il n’a pas dit qu’il s’agissait de la cause de son cancer à lui ».

Plus tard dans la journée d’hier, alors qu’il participait à un évènement de la Société américaine du cancer, il s’est mis à plaisanter sur le sujet en se qualifiant du nouveau visage du sexe oral. Il a de plus expliqué que son but avait été de conscientiser les gens sur le sujet, en parlant de cette infection transmissible sexuellement et des dangers encourus. En effet, si non traité, le VPH peut se développer en cancer.

Il finit en disant qu’heureusement, il existe maintenant un vaccin contre cette ITS qui peut être administré aux jeunes.

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Les femmes pourraient elles-mêmes faire leur dépistage du VPH

Une étude parue dans le Journal of the National Institute of Cancer donne le feu vert à un ensemble de dépistage maison pour le virus du papillome humain (VPH).
 
L’étude chinoise réalisée avec 13 000 femmes révèle que ces ensembles maison, à base d’acide acétique, sont tout aussi efficaces que le frottis traditionnel des médecins pour déceler le virus. Même qu’ils se seraient montrés meilleurs pour dépister les signes avant-coureurs du cancer du col de l’utérus chez les femmes.
 
Une étude allemande avec un ensemble du même genre en était arrivée aux mêmes conclusions précédemment. Aux Pays-Bas, ces ensembles de dépistage maison sont déjà en vente, et au Royaume-Uni, ils sont toujours à l’étude.
 
Aux États-Unis, il existe un ensemble créé par Qiagen de Gaithersburg, dans le Maryland, qui permet aux femmes de faire le prélèvement elles-mêmes et de l’envoyer à un laboratoire. Ceci permet aussi d’éviter d’attendre pour obtenir un rendez-vous chez le médecin et de désengorger les cliniques.
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Les infections de la bouche par le VPH plus fréquente chez les hommes

Selon le Journal of the American Medical Association, les hommes sont trois fois plus nombreux que les femmes à souffrir d’une infection de la cavité buccale du virus du papillome humain (VPH), dont par une souche particulièrement cancérigène.
 
Chez les hommes, la prévalence de ce type d’infection est de 10,1 %, alors que chez les femmes, elle est de 3,6 %, selon les données recueillies auprès de 5579 personnes âgées de 14 à 69 ans en 2009 et 2010.
 
C’est chez les 60-64 ans que la prévalence du VPH est plus élevée, soit 11,4 %, comparativement à 7,3 % chez les 30-34 ans.
 
La maladie touche surtout les gens sexuellement actifs, et le risque d’infection augmente non seulement avec le nombre de partenaires sexuels, mais aussi avec l’âge.
 
Le VPH peut favoriser l’apparition de cancers. « L’infection orale par le VPH est la cause de cancers de la bouche et du pharynx. Au moins 90 % d’entre eux sont provoqués par la souche la plus cancérigène de ce virus. L’incidence de ces cancers a augmenté ces trois dernières décennies dans plusieurs pays, et l’infection par le VPH en a été la cause principale », expliquent les chercheurs.
 
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Un médicament contre le VIH efficace contre le cancer du col de l’utérus

Une équipe de l’Université de Manchester a découvert qu’un médicament couramment utilisé contre le VIH pourrait être très efficace pour prévenir le cancer du col de l’utérus, causé par le virus du papillome humain (VPH).
En effet, l’antiviral lopinavir aurait démontré de bons résultats. On souhaite maintenant passer à des essais cliniques pour confirmer les premières données obtenues en laboratoire, mentionne la revue Antiviral Therapy.
 
« Nous avons découvert que le lopinavir tue les cellules infectées par le VPH, de manière sélective, tout en préservant globalement les cellules saines. C’est une constatation très importante, car ces cellules ne sont pas cancéreuses, mais sont très proches de cellules présentes dans une infection précancéreuse du col de l’utérus. Le lopinavir tue ces cellules infectées par le VPH en réactivant un système antiviral bien connu », explique le Dr Ian Hampson.
 
Rappelons que pour le moment, aucun vaccin ne protège de toutes les souches du virus du papillome humain. Autrefois administré aux jeunes filles, un vaccin a récemment élargi sa cible jusqu’aux femmes de 45 ans. Les jeunes hommes peuvent également se faire vacciner contre le VPH.
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Le vaccin contre le VPH est bel et bien efficace

Une étude internationale dévoilée par la revue The Lancet affirme que le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH), transmis sexuellement, est aussi efficace qu’on le pensait au départ.
 
« Nos résultats confirment ce qu’on savait déjà, mais avec une force statistique très grande. De plus, d’autres études ont montré que la couverture du vaccin maintient sa force pendant au moins huit ans. On arrive au seuil des dix ans qui feraient du vaccin un bon investissement de santé publique », mentionne l’auteure principale de cette nouvelle recherche, Silvia de Sanjos.
 
De plus, le vaccin vise les souches du virus qui sont l’origine de 75 % des cas de cancer du col de l’utérus les plus courants.
 
Toutefois, il existe des opposants au vaccin qui croient que l’argent investi serait plus efficace dans des campagnes de prévention et de dépistage précoce. En 2008, on estimait que le vaccin avait coûté de 35 000 à 40 000 $ US par année de vies sauvées.
 
Les opposants ajoutent également que le vaccin procure un faux sentiment de sécurité aux jeunes femmes et qu’il déclencherait aussi des souches dormantes du virus.
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Le vaccin contre le VPH-16 est efficace à long terme

Le vaccin à pseudoparticules virales, administré pour contrer le virus du papillome humain (VPH) de type 16, offre une protection efficace moyenne de huit ans et demi, parfois même neuf ans et demi, selon une récente étude.

Ce vaccin est une composante du vaccin Gardasil donné aux jeunes femmes de 9 à 26 ans pour prévenir le cancer du col de l’utérus, de la vulve et du vagin, les lésions précancéreuses associées et les verrues génitales.

Selon une autre étude sur les femmes qui n’avaient jamais été exposées aux 14 types de VPH les plus courants, on a démontré que le vaccin Gardasil avait permis de réduire considérablement le nombre de tests Pap anormaux, de 17 à 45 % selon l’anomalie. En plus, on note une réduction des demandes de colposcopies de 20 %, des biopsies du col de l’utérus de 22 % et des opérations et autres traitements de 42 %.

Au Canada seulement, près de 400 000 tests Pap se révèlent anormaux chaque année. Le VPH-16 est celui qui est le plus susceptible de causer le cancer du col de l’utérus.

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La circoncision contre certaines ITS

Une recherche publiée dans le New England Journal of Medicine nous apprend que la circoncision protège contre l’herpès et le virus du papillome humain (VPH).

Réalisée auprès de 5 000 hommes africains, dont la moitié était circoncis, l’étude démontre que l’incidence d’herpès chute de 28 % lorsque l’homme est circoncis et que celui du VPH diminue de 35 %.

« Nous espérons que ces résultats vont forcer les autorités à modifier leurs recommandations en matière de circoncision chez les jeunes enfants et les adultes afin de diminuer les taux d’infection au VIH, au VPH et à l’herpès », a souligné l’un des auteurs, le Dr Thomas Quinn, professeur et médecin à la Faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins de Baltimore.

À la lumière de ces résultats, la Société canadienne de pédiatrie compte se pencher sur le sujet et songe à modifier ses recommandations en matière de circoncision.

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Nouvelle à propos du condylome

Selon des chercheurs américains, les hommes autant que les femmes devraient être vaccinés contre le virus du papillome humain (VPH), afin d’être protégés contre un type de cancer de la bouche et de la gorge.

En effet, selon l’étude parue dans le Journal Cancer, le VPH transmis par la pratique non protégée du sexe oral ferait augmenter la proportion d’individus qui développent le cancer de la bouche et de la gorge.

Selon le docteur Erich Sturgis, du M.D. Anderson Cancer Center de l’Université du Texas, à Houston, bien que le vaccin soit à la base recommandé aux jeunes femmes, il devrait aussi être offert aux jeunes hommes. Certaines souches du virus du papillome humain sont si fortes qu’elles peuvent entraîner un cancer de la bouche, aux femmes comme aux hommes.

Les données montrent que la relation entre le virus et le cancer a été établie dans 72 % des sujets étudiés et atteints du cancer de la bouche ou de la gorge.