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Le fardeau du virus respiratoire syncytial chez les prématurés de 32 à 35 semaines

Les résultats de la recherche de la division Medimmune Speciality Care de AstraZeneca sont publiés dans la revue spécialisée Pediatric Infections Disease.

Comme le rapporte Medical News Today, les spécialistes espèrent surtout sensibiliser le corps médical. « Nous espérons que cette étude donnera lieu à une conversation à propos des meilleures méthodes pour identifier les nourrissons à haut risque de développer la maladie VRS.

L’étude a mis en lumière les occurrences 3 fois plus élevées de VRS chez les bébés prématurés entre 32 et 35 semaines que chez les nourrissons à terme. Cette maladie requiert une assistance médicale dans les 6 mois suivant la naissance et 16 % nécessite des soins intensifs, alors que 11 % ont besoin d’une respiration mécaniquement assistée.

Les cas de virus respiratoire syncytial chez ces enfants prématurés représentent 75 % de toutes les admissions à l’urgence concernant cette détresse pulmonaire.

Dr Eric Simões de l’Université du Colorado aimerait que ces informations encouragent les médecins à prendre les mesures préventives nécessaires, c’est-à-dire donner le vaccin aux prématurés.

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La vitamine D préviendrait un virus respiratoire

Une étude parue dans Pediatrics a démontré que la vitamine D protégerait les enfants du virus respiratoire syncytial, le VRS.

Ce virus constitue la cause première des infections respiratoires chez les jeunes enfants. Dans la majeure partie des cas, il affecte des bébés de moins de deux ans et il est très contagieux.
 
L’étude en question a porté sur l’analyse de la concentration de vitamine D dans le sang du cordon ombilical de 156 nouveau-nés des Pays-Bas. On a remarqué qu’une déficience de cette vitamine engendrait de plus grands risques de contraction du VRS.
 
Précisément, les bébés qui venaient au monde avec une déficience en vitamine D étaient six fois plus exposés au virus respiratoire que ceux qui présentaient un taux plus élevé.
 
De plus, les chercheurs ont noté que 54 % des bébés en santé naissaient avec une carence en vitamine D et que 12 % des enfants étaient atteints du VRS durant leurs 12 premiers mois de vie.

On recommande finalement que de prochaines études portent sur les effets des suppléments de vitamine D pendant la grossesse quant aux risques de virus respiratoire syncytial chez les bébés.

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Un virus en lien avec l’asthme

Le virus respiratoire syncytial (VRS) est celui qui cause le plus d’hospitalisations chez les nourrissons. La plupart des enfants le contractent, mais cela ne demeure en majorité qu’une simple infection des voies respiratoires.

On dénombre toutefois de 75 000 à 125 000 hospitalisations chaque année, toutes en conséquence du virus.

Une équipe de chercheurs a donc étudié ce phénomène chez les très jeunes enfants et leurs résultats apparaissent dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Le docteur Gabriel J. Escobar et ses collègues ont donc découvert que les enfants ayant vécu l’hospitalisation des suites du virus ont plus de chances de développer l’asthme ou de respirer en râlant durant leurs trois premières années de vie.

De plus, une naissance entre 34 et 36 semaines provoquerait aussi l’apparition du râle chez les enfants. Le risque de complications du VRS est beaucoup plus élevé chez ces enfants.

L’exposition à l’oxygène pour cause d’asphyxie durant la période néonatale est par ailleurs directement reliée au développement du râle récurrent.