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Un enfant atteint de la grippe sera moins sujet à développer l’asthme

De plus en plus d’études nous indiquent que nous vivons certainement dans un environnement trop propre pour nous protéger des maladies.

Des scientifiques de l’École de médecine de Harvard abondent en ce sens, selon les résultats d’une récente étude parue dans le Journal of Clinical Investigation.

Ils se sont intéressés aux cellules T, qui font partie du système immunitaire. Se multipliant en réponse à la grippe, elles préviennent l’apparition de symptômes violents comme l’asthme et les allergies.

Les chercheurs ont pu tirer ces conclusions à la suite d’expérimentations sur des souris. Les bébés souris qui avaient contracté la grippe A étaient en effet mieux protégés contre les symptômes de l’asthme à l’âge adulte.

Ils ont donc conclu que des enfants recevant des médicaments créés à partir de cellules T seraient plus aptes à arrêter le développement de l’asthme.

Finalement, les scientifiques ont rappelé que les environnements aseptisés d’aujourd’hui ont des effets néfastes sur notre santé. L’augmentation actuelle des enfants souffrant d’asthme et d’allergies serait en lien direct avec le fait qu’ils sont de moins en moins en contact avec des bactéries et des virus.

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Renforcer le système immunitaire avec des amandes

Un des moyens de combattre un virus comme le rhume serait de manger des amandes, rapporte le Telegraph.
 
Une récente étude, d’une équipe de l’Institute of Food Research de Norwich au Royaume-Uni et de la Policlinique universitaire de Messina en Italie, démontre que la peau des amandes serait extrêmement bénéfique pour renforcer le système immunitaire.
 
Toutefois, les recherches doivent se poursuivre, car on ignore encore quel composant permet à la peau des amandes de combattre les virus qui causent la fièvre, la grippe et le rhume.
 
Les amandes se sont également avérées efficaces contre l’Herpès Simplex Virus 2 qui cause de la fièvre.
 
La peau des amandes augmenterait la capacité des globules blancs à détecter les virus et arrêter leur propagation dans le corps.
 
On souhaite donc découvrir ce qui permet à la peau des amandes de combattre les infections. En attendant, manger des amandes est bon pour la santé.
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Un virus en lien avec l’asthme

Le virus respiratoire syncytial (VRS) est celui qui cause le plus d’hospitalisations chez les nourrissons. La plupart des enfants le contractent, mais cela ne demeure en majorité qu’une simple infection des voies respiratoires.

On dénombre toutefois de 75 000 à 125 000 hospitalisations chaque année, toutes en conséquence du virus.

Une équipe de chercheurs a donc étudié ce phénomène chez les très jeunes enfants et leurs résultats apparaissent dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Le docteur Gabriel J. Escobar et ses collègues ont donc découvert que les enfants ayant vécu l’hospitalisation des suites du virus ont plus de chances de développer l’asthme ou de respirer en râlant durant leurs trois premières années de vie.

De plus, une naissance entre 34 et 36 semaines provoquerait aussi l’apparition du râle chez les enfants. Le risque de complications du VRS est beaucoup plus élevé chez ces enfants.

L’exposition à l’oxygène pour cause d’asphyxie durant la période néonatale est par ailleurs directement reliée au développement du râle récurrent.

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Découverte d’un virus mutant de la H1N1

Des virologues hongkongais ont découvert sur des porcs un virus mutant issu de la grippe A (H1N1).
 
Pour le moment, il n’y a pas d’inquiétude à y avoir, car rien n’indique qu’il y a propagation du virus ou que celui-ci est plus virulent que son prédécesseur il y a un an.
 
Par contre, on ne doit pas baisser la garde et il faut demeurer vigilants quant à la surveillance des élevages.
 
Il arrive souvent que des mutations soient observées sur des virus grippaux. Il est effectivement possible que ces mutations génétiques génèrent des virus plus agressifs. Pour le moment, ce n’est toutefois pas le cas.
 
Selon Le Figaro, les chercheurs affirment que cette découverte montre par contre à quel point la H1N1 peut facilement muter avec d’autres virus porcins.
 
Il y a un an, on assistait à l’éclosion de la grippe A (H1N1). Bien que le virus soit encore actif, l’Organisation mondiale de la santé note qu’il marque un recul dans certaines zones de la planète.
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Nouvelles quotidiennes

Les voyageurs craignent plus les virus que les terroristes

Malgré le côté spectaculaire des attentats du 11 septembre 2001 contre les tours jumelles du World Trade Center, le Pentagone et une 4e cible jamais atteinte, il semblerait que ce ne sont pas les attentats terroristes qui effraient le plus les voyageurs de nos jours, mais plutôt un ennemi invisible qui a prouvé être parfois beaucoup plus sournois.

Dans un sondage mené par Skyscanner auprès de 300 voyageurs internationaux, ceux-ci ont révélé vouloir attendre plus longtemps avant d’aller visiter un pays qui a été victime d’une épidémie que le même pays où des attentats terroristes auraient eu lieu.

Les touristes préfèrent attendre davantage avant de retourner dans un pays qui a été frappé par un virus dans une proportion de 31 %, contre 21 % pour une destination qui a été victime d’un attentat terroriste dans les 3 derniers mois. Dans le cas de violence urbaine, ce sont 20 % des voyageurs qui admettent que c’est la raison principale de leur crainte de se rendre dans un pays donné, alors qu’une catastrophe naturelle rebute 17 % des voyageurs interrogés.

En ce qui concerne le temps qu’un touriste souhaite laisser passer avant de voyager dans un pays touché, la durée d’attente idéale est de 12 mois dans le cas d’une épidémie et de seulement 3 mois dans le cas d’un attentat terroriste.

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Traiter le cancer de la prostate avec un virus

Une équipe de chercheurs canadiens vient de développer une toute nouvelle technique dans le traitement contre le cancer de la prostate.
 
C’est au Centre Tom Baker de Calgary que l’équipe du Dr Don Morris a fait cette découverte et tente de traiter le cancer de la prostate à l’aide d’un virus.
 
En fait, il s’agit d’un réovirus injecté dans le corps qui détruit les cellules cancéreuses et stimule le système immunitaire.
 
Des tests précédents avaient été faits pour les cancers du sein, du pancréas et de l’ovaire, mais c’est la première fois qu’ils sont effectués sur celui de la prostate et il semblerait que les premiers résultats sont forts prometteurs. Six patients ont eu ce type de traitement jusqu’à maintenant.
 
Ce virus se retrouve souvent dans l’environnement et les seuls inconvénients qu’il provoque, dans les cas les plus graves, sont des infections respiratoires légères et de la diarrhée. Il ne comporte pas d’effets secondaires comme ceux obtenus avec les traitements de radiothérapie et de chimiothérapie.
 
De plus, ce virus est neutralisé lorsqu’il se trouve dans les cellules normales, ne causant aucun dommage, alors que sur les cellules cancéreuses, il provoque leur mort. De plus, le sang transporte ensuite des particules vers d’autres tumeurs, freinant ainsi leur progression.
 
Par contre, les médecins affirment qu’il faudra encore quelques années et des essais cliniques à grande échelle avant que ce traitement soit finalement proposé.
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Deux anticorps contre le VIH

Le Dr Wayne Koff, directeur de la recherche et du développement à l’Initiative mondiale pour un vaccin antisida, a fait savoir que le virus du VIH/sida pourrait être neutralisé grâce aux anticorps PG9 et PG16. 

Ces derniers agissent sur une partie du virus qui infecte les cellules humaines. Les chercheurs vont maintenant travailler sur un immunogène qui pourrait stimuler le système immunitaire à créer ses propres anticorps pour lutter contre le virus.

« Cette découverte représente en elle-même une percée prometteuse vers l’objectif de développer un vaccin efficace contre le sida, car nous avons potentiellement une meilleure cible sur laquelle mobiliser nos efforts », a déclaré le Dr Koff.

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Les limites de la circoncision

Une étude à long terme menée en Ouganda, en Afrique, a démontré que les femmes qui ont des relations sexuelles avec des hommes circoncis ne sont pas davantage protégées contre le virus du VIH. Cette conclusion a forcé l’équipe de la Dre Maria Wawer, de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, à interrompre sa recherche.

« Nous sommes déçus que nos travaux ne soient pas arrivés à la conclusion que le taux d’infection chez les femmes baisse en cas de circoncision », a déploré la Dre Wawer.

Les scientifiques avaient recruté 922 volontaires masculins qui avaient contracté le virus du sida. Certains d’entre eux ont ensuite subi une circoncision au cours des deux années qu’a duré l’étude.

Toutefois, les chercheurs n’ont jamais pu prouver hors de tout doute que la circoncision protégeait les femmes ayant eu des rapports sexuels avec les sujets de leur étude. Ils recommandent donc le condom comme moyen de protection.

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Le virus A (H1N1) persistant

Deux recherches menées par des équipes de chercheurs des U.S. Centers for Disease Control et de l’Erasmus Medical Center à Rotterdam, aux Pays-Bas, arrivent à la conclusion que le virus de l’influenza de type A (H1N1) va muter, ce qui facilitera sa transmission.

Selon l’un des auteurs, le Dr Daniel Perez, malgré toutes les mesures entreprises par les autorités de santé publique, le virus va continuer de s’adapter et n’est pas près d’être éradiqué complètement.

Jusqu’à présent, 77 000 cas de grippe H1N1 ont été diagnostiqués à l’échelle mondiale et 322 personnes en sont mortes, selon les dernières statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

La directrice par intérim du Programme sur les épidémies et pandémies de grippe de l’OMS, Sylvie Briand, a expliqué pourquoi la pandémie ralentit : « En effet, les virus grippaux survivent mieux au froid qu’au chaud. L’autre élément important est la densité de contact entre les gens. Les enfants sont en vacances et on n’a plus ces phénomènes d’épidémie en milieu scolaire comme on a eu aux États-Unis au début de l’épidémie. »

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La chimiothérapie pour traiter le sida?

Selon les chercheurs Rafick-Pierre Sékaly, de l’Université de Montréal, et Jean-Pierre Routy, de l’Université McGill, la chimiothérapie combinée à la trithérapie pourrait détruire les cellules infectées par le VIH.

Puisque les traitements de trithérapie ne guérissent pas le sida, les scientifiques croient que les patients atteints du virus conservent une certaine charge virale dans les cellules immunitaires. « On montre que si on veut éliminer le VIH complètement, il ne faut pas s’attaquer au virus, il faut s’attaquer aux cellules qui portent le virus », a souligné le Dr Sékaly.

Ils souhaitent donc utiliser la chimiothérapie, en plus des traitements de trithérapie, afin de détruire ces cellules. « Si on arrivait à avoir des thérapies qui tuent, électivement, soit le sous-type de cellule où le virus se cache pour un certain temps et après ces cellules vont repousser non infectées, on pourrait en enlever beaucoup. Ou, électivement, faire sortir le virus, disons, un mois, de sa cellule, il va repousser, mais dans un contexte où la force immunitaire environnante serait beaucoup plus puissante qu’à l’heure actuelle. À ce moment-là, le virus sort, il montre où il est et les cellules qui l’entourent viennent le manger », a ajouté le Dr Routy.