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Le système immunitaire pourrait bien ne pas s’affaiblir avec l’âge

C’est toute une nouvelle que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une étude qui remet en doute l’affaiblissement du système immunitaire lors du vieillissement vient de paraître.

C’est du moins ce que croient les chercheurs canadiens à l’origine de l’étude, qui déclarent que les gens âgés sont encore assez forts pour combattre et terrasser les virus connus.

Encore une fois, ce sont les fameuses cellules T qui sont à l’honneur. Ces cellules de défense permettent de lutter contre les infections virales avec la même vigueur et force chez un jeune que chez une personne plus âgée.

« Depuis fort longtemps, il était normal de croire que les personnes plus âgées étaient plus à risque face aux infections parce qu’ils manquaient de cellules immunitaires. Mais, ce n’est tout simplement pas le cas. Les personnes âgées sont certainement capables de développer une immunité face aux virus », lance candidement Jonathan Bramson de l’Université McMaster d’Hamilton, en Ontario.

Pour en arriver à cette conclusion, Bramson et son équipe ont analysé les réponses du système immunitaire de trois groupes de sujets différents, de différentes tranches d’âge, évidemment.

Tous les groupes ont démontré que les réactions des cellules T étaient les mêmes.

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Percée importante dans la lutte au VIH en France

Santelog.com rapporte de bonnes nouvelles concernant la lutte au VIH, du côté de la France. Une équipe de chercheurs français aurait en effet réussi à « bloquer » le virus par un gel microbicide, ce qui s’avère une découverte remarquable.

Si le procédé n’a été testé que sur des primates pour l’instant, les spécialistes ont bon espoir de pouvoir recréer le modèle sur des humains lors d’éventuels essais cliniques.

Les résultats de ces tests préliminaires ont été publiés dans la plus récente édition du magazine PLoS Pathogens, qui parle d’une « étape prometteuse » dans la lutte au VIH.

Il semble que l’idée d’un gel virucide pour contrer le VIH soit sur la table depuis longtemps, la communauté scientifique mondiale croyant fermement que cette avenue peut s’avérer prometteuse.

C’est le CEA français qui est à l’origine de la percée, mais il faut mentionner que les travaux s’effectuent en collaboration avec plusieurs autres équipes de chercheurs réputées, dont celles de l’Imperial College (Londres), de l’Institute of Tropical Medicine, et de l’Université d’Antwerp (Belgique).

Les essais cliniques chez l’homme devraient commencer sous peu, et un vent d’optimisme se fait sentir dans ce dossier fort important.

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Comment bien traiter une bronchite

L’hiver arrive à vitesse grand V, et les désagréments qu’il apporte peuvent être nombreux pour les millions de personnes qui devront braver le froid quotidiennement.

Il y a bien sûr les classiques rhumes et grippes, mais certains peuvent dégénérer en une bronchite, ce qui est beaucoup moins simple à traiter et à vivre.

La bronchite est une infection virale (ou bactérienne) qui provoque l’inflammation des bronches, rendant la respiration difficile.

www.nlm.nih.gov rapporte des suggestions émises par le National Heart Lung and Blood Institute afin de traiter adéquatement les cas de bronchites.

On conseille d’abord le repos complet, ainsi que l’absorption de beaucoup de liquides, exactement comme dans les cas de grippes « traditionnelles ».

Si la migraine est présente dans les symptômes, l’aspirine est conseillée, sauf pour les enfants, à qui l’on suggère plutôt l’acétaminophène.

Placez-vous dans un endroit chaud et humide ou utilisez un humidificateur afin d’ouvrir les voies respiratoires.

N’utilisez un médicament contre la toux et l’inflammation que sur les conseils de votre médecin afin d’éviter d’aggraver votre cas, et rappelez-vous que les antibiotiques ne sont efficaces que dans les cas de bronchite bactérienne. Ceux-ci n’auraient aucun effet dans les cas de bronchites virales.

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Le chien pourrait contribuer à la création de nouveaux vaccins

C’est une nouvelle étonnante que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs de l’Université de Géorgie, aux États-Unis, affirment que de nouveaux vaccins pourraient être créés à partir d’un virus de chien.

Les canidés pourraient donc consolider leur statut de « meilleur ami de l’homme » en venant à la rescousse de l’humain, qui n’arrive pas à créer des vaccins pour certaines maladies et certains virus, comme le H5N1 ou le VIH.

Un des virus du chien pourrait détenir des solutions, expliquent les chercheurs dans la plus récente édition de la revue PLoS ONE.

Le Dr Biao Be, professeur d’infectiologie en médecine vétérinaire à l’UGA, explique : « Nous pouvons utiliser ce virus comme vecteur de toutes sortes de pathogènes contre lesquels il est difficile de vacciner. Nous avons mis au point un vaccin contre la grippe H5N1 avec cette technique et nous travaillons également au développement de vaccins contre le VIH, la tuberculose et le paludisme ».

Le virus en question, le PIV5, serait inoffensif pour l’homme, car le système immunitaire de ce dernier serait en mesure de le reconnaître et de le détruire efficacement.

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Une avancée prometteuse concernant le virus de la grippe

Le virus de la grippe, l’influenza, n’est peut-être pas mortel dans la grande majorité des cas, mais il en importunera plus d’un encore cet hiver.

Pour contrer le phénomène, les recherches et études sur le sujet sont nombreuses. Une toute récente étude parle d’ailleurs d’une avancée majeure, selon ce qu’annonce Santelog.com.

C’est que des chercheurs du Scripps Research Institute (IRST) auraient réussi à cerner le processus de réplication de l’influenza. Ils concluent que lorsque le virus se multiplie, il perd également des forces. Il serait donc plus vulnérable chaque fois qu’il se duplique.

Le professeur Ian A. Wilson, de l’IRST, se dit fort excité d’avoir réussi à recréer avec son équipe ce qui serait le modèle le plus réaliste et précis du virus de la grippe jusqu’à maintenant.

Ces travaux permettent de mieux comprendre le fonctionnement de l’influenza ainsi que ses méthodes de duplication. En isolant les points faibles de la structure du virus, les chercheurs croient qu’il sera bientôt possible d’offrir de meilleurs traitements contre l’ennemi hivernal numéro un.

Les résultats de ces recherches ont été publiés récemment dans la revue spécialisée Science.

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Les antibiotiques, pas toujours la meilleure solution?

www.cdc.gov nous fait réfléchir au choix de traitement concernant certains virus et maladies, insistant sur le fait que les antibiotiques ne sont pas toujours la meilleure solution.

D’entrée de jeu, on nous rappelle que les antibiotiques ne combattent pas réellement les infections causées par les virus comme celui de la grippe. Même chose pour les problèmes de gorges irritées et certaines infections de l’oreille.

De plus, le traitement déficient par antibiotiques peut mener à d’autres problèmes, plus graves cette fois. Il est aussi possible de développer une résistance à ce type de médicament et ainsi nuire à un traitement éventuel dont vous auriez réellement besoin.

Le centre de santé américain propose plutôt de se concentrer à réduire et calmer les symptômes que de tenter d’enrayer un virus par des antibiotiques.

Bien sûr, l’arrivée de l’hiver procurera grippes et rhumes en série aux citoyens des États plus nordiques d’Amérique, mais les spécialistes veulent mettre en garde contre la tentation d’aller vers les antibiotiques, une solution expéditive.

L’avertissement vaut pour les médecins et praticiens qui, selon l’organisme, n’hésitent pas à prescrire de tels traitements, parfois à tort.

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Le vaccin contre le VPH pourrait aussi venir en aide aux femmes qui ont le VIH

Le VPH est une maladie qui frappe fort depuis quelques années. Le virus du papillome humain, de son vrai nom, est statistiquement en hausse depuis quelque temps, mais un vaccin pourrait changer la donne dans le futur.

Et ce vaccin pourrait également profiter aux femmes atteintes du VIH, selon ce que rapporte www.nih.gov. Les chercheurs ont découvert que les risques potentiels chez les porteuses du VIH de développer un cancer sont similaires à ceux encourus par celles atteintes du VPH.

« Plusieurs travailleurs de la santé hésitent à prescrire le vaccin contre le VPH immédiatement après le début de la vie sexuelle d’une jeune femme ou d’une adolescente. Toutefois, les résultats des études démontrent que le vaccin peut apporter beaucoup de bénéfices, et même chez les patientes atteintes de VIH, ou qui vont l’être au cours de leur vie », explique l’auteure en chef de cette récente étude, Jessica Khan.

Dre Khan, de l’University of Cincinnati College of Medicine, rappelle également l’importance de la prévention des maladies transmissibles sexuellement chez les jeunes filles.

D’autres études concernant les liens entre le VIH, le VPH et ces vaccins seront publiées dans un futur rapproché.

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La fièvre inexpliquée chez les tout-petits est majoritairement d’origine virale

76 % des enfants ayant participé à l’étude, qui s’étaient présentés à l’urgence avec de la fièvre sans cause apparente, avaient une infection d’origine virale.

51 % de ces tout-petits, âgés de 2 à 36 mois, ont quand même reçu des antibiotiques, même si ceux-ci n’ont aucun effet sur les virus.

Parmi les virus notés, l’adénovirus, une infection respiratoire, était le plus fréquent, ce qui a surpris les chercheurs, suivi par l’entérovirus, une infection gastro-intestinale.

Un autre résultat inattendu : une proportion significative des enfants avait aussi jusqu’à 4 virus, ce qui a poussé les chercheurs à demander que de nouveaux tests soient créés pour permettre de bien identifier la source de la fièvre chez les jeunes enfants.

« L’incapacité à bien distinguer les patients qui souffrent d’une infection d’origine bactérienne de ceux qui ont un virus peut pousser les médecins à prescrire des antibiotiques quand même », a noté le Dr Joshua Colvin, selon Medscape.

« Nous espérons qu’une plus grande reconnaissance des infections virales pourra réduire de beaucoup la prise des antibiotiques chez ces enfants. »

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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L’importance de se laver les mains

Les Centres américains de contrôle des maladies (CDC) rappellent aux Nord-Américains l’importance de se laver les mains fréquemment. Il s’agit du meilleur moyen pour contrer la prolifération de différentes maladies.

C’est aussi un moyen fort simple et efficace pour enrayer la propagation de virus comme la grippe commune, qui entame son retour en force avec la saison automnale (et hivernale) à nos portes.

Les CDC proposent aussi une petite liste de suggestions sur les moments à privilégier pour un lavage de mains en règle. On inclut d’abord les moments où vous êtes en contact avec de la nourriture, pendant et après la préparation des aliments, et juste avant de manger.

Ensuite, on suggère de se laver les mains avant et après avoir aidé ou été mis en contact avec une personne malade. Avant de soigner une blessure ou une coupure, puis encore à la fin du traitement.

Bien sûr, on rappelle de se laver les mains après être passé à la salle de bains, mais aussi lorsque vous changez des couches ou aidez votre enfant au cabinet.

Un lavage s’impose aussi après les éternuements et autres gestes ou symptômes de maladies virales comme la grippe, et aussi après avoir touché ou caressé un animal. Même chose pour les tâches ingrates comme sortir les ordures.

Se laver les mains est un geste simple qui peut vous éviter bien des problèmes.

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Les scientifiques inquiets par la transmission de virus de l’homme vers l’animal

La saison de la grippe est à nos portes (si vous ne l’avez pas déjà), et les scientifiques s’inquiètent du phénomène de transmission des virus par l’homme vers les animaux, rapporte santelog.com.

C’est ce qu’indiquent des chercheurs de l’Université de l’Oregon, aux États-Unis, à la suite d’une étude qui révèle que les humains peuvent transmettre le virus de la grippe à leurs animaux de compagnie.

On appelle ce phénomène « zoonose inverse » et il soulève beaucoup de questions chez la communauté scientifique, incluant les médecins et vétérinaires.

Ce qui inquiète, c’est la possibilité de voir naître de nouvelles souches des virus déjà connus, comme le H1N1, après passage de ceux-ci de l’humain vers l’animal domestique.

Bien sûr, les vétérinaires veulent quant à eux tenter de réduire les morts d’animaux causées par leurs maîtres.

Le premier cas recensé de mort animale par transmission de virus humain l’a été en 2009, en Oregon. Il s’agit donc d’un concept assez récent. En 2010-2011, on dénombrait 13 chats et 1 chien qui seraient morts du H1N1. Quelques cas de furets ont également été rapportés, indique l’étude.