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Un mécanisme de défense naturel pour combattre le SIDA

Les scientifiques étudient et tentent de mieux comprendre pourquoi certains patients semblent être naturellement mieux équipés pour combattre les effets du virus du SIDA, explique nlm.nih.gov.

Certains patients semblent en effet posséder un mécanisme naturel qui combat le VIH, ce qui permettrait aux chercheurs de développer un vaccin efficace.

Pour la plupart des gens, un diagnostic de VIH non traité signifie presque à coup sûr une progression vers le SIDA. Cependant, il appert qu’un patient sur 300, en moyenne, éviterait la progression du VIH naturellement, sans traitement. Ces personnes sont appelées par la communauté scientifique des « contrôleurs élites » (elite controllers).

Ces derniers produiraient une cellule-tueuse qui attaquerait deux ou trois régions du virus. « En se concentrant sur ces régions, le système immunitaire contrôle le virus », déclare le professeur de pathologie David Watkins, de l’University of Miami Miller School of Medicine.

Il poursuit : « Comprendre ce mécanisme pourrait jeter de la lumière sur les manières de développer un vaccin efficace qui enrayerait définitivement la crise mondiale reliée au VIH et SIDA ».

De quoi donner de l’espoir. La prochaine étape consiste à cerner les raisons pour lesquelles ces cellules-tueuses sont si efficaces.

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Encore 400 cas de virus du Nil aux États-Unis

Les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) américains dénombrent 400 nouveaux cas de patients qui auraient contracté le fameux virus du Nil, dans la dernière semaine seulement, apprend-on sur nlm.nih.gov.

Il s’agit de la deuxième pire vague enregistrée par cette maladie de l’histoire, mais les autorités assurent qu’elle semble vouloir s’estomper. En date du 25 septembre, on répertoriait 3545 cas depuis le début de l’année en cours.

Du nombre, 38 % proviennent de l’État du Texas. Les autres États ayant enregistré les pires hausses sont le Mississippi, le Michigan, le Dakota du Sud, la Louisiane, Oklahoma, et la Californie.

Dans sa pire forme, le virus du Nil peut mener à une méningite ou encore à une encéphalite. Dans sa forme plus douce, elle ressemble beaucoup à la grippe dite traditionnelle, avec des symptômes similaires.

La maladie a été détectée pour la première fois à New York en 1999 et proviendrait de l’Afrique, prétendent les experts dans le domaine.

147 personnes sont décédées des suites du virus, et il s’agit des pires résultats depuis l’épidémie de 2003. Les autorités demandent au public d’être prudent, mais affirment qu’il n’y a pas lieu de céder à la panique.

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Nouveau virus apparenté au SRAS découvert par l’OMS

Il semble qu’un nouveau virus, qui s’apparente grandement au SRAS, a été découvert en Angleterre, dans l’organisme d’un homme qui aurait récemment été de passage en Arabie Saoudite. C’est du moins ce qu’a déclaré l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dimanche dernier (23 septembre).

Le corps de la santé des Nations-Unies affirme que des tests sur un patient de 49 ans, originaire du Qatar, confirment l’existence d’un nouveau coronavirus mortel.

Les coronavirus sont une grande famille de virus, dont font partie entre autres la banale grippe et le SRAS.

Bien que l’OMS soit toujours en attente de recevoir plus d’informations concernant cette découverte et ainsi déterminer ses dangers pour la population, il semble qu’il ne faut pas s’alarmer outre mesure.

En effet, selon Peter Openshaw, directeur du Centre des infections respiratoires de l’Imperial College London, le virus ne semble pas pour l’instant être une source d’inquiétude majeure. Il ajoute : « Il est probable que la découverte de ce virus soit due aux techniques modernes sophistiquées. Je serais prudent, mais pas inquiet, au moment où l’on se parle ».

Un autre cas aurait été découvert, selon nlm.nih.gov, chez un homme de 60 ans de la même zone géographique. Openshaw croit donc que ces deux cas suggèrent qu’il s’agit d’un événement rare, probablement non diagnostiqué adéquatement dans le passé.

Il conclut en affirmant que seule une preuve indiquant la transmission du virus par contact humain soutenu l’inquièterait, une situation qui rappellerait 2002 et le SRAS.

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Un virus trouvé dans des cigarettes

Des chercheurs français viennent de découvrir qu’en plus des nombreuses substances toxiques retrouvées dans les cigarettes, on y a noté la présence du virus de la mosaïque du tabac.
 
Il s’agit d’un virus pathogène pour les plantes. Pour le moment, rien n’indique qu’il représente un danger pour l’homme, mais des études précédentes laissent croire que les virus végétaux pourraient aussi infecter les cellules humaines.
 
Selon le Journal of Clinical Virology, les chercheurs ont analysé une cinquantaine de cigarettes de six marques différentes et toutes contenaient le virus. Le virus vivant a même été détecté dans 53 % de l’échantillon.
 
On a également analysé des échantillons de salive de fumeurs et de non-fumeurs. Le virus a été retrouvé chez 43 % des fumeurs, mais aucune trace chez les non-fumeurs.
 
Il serait donc important de mieux cerner les impacts de ce virus sur la santé humaine, s’il y en a.
 
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Le syndrome de fatigue chronique n’est pas causé par un virus

Longtemps, les scientifiques ont cru que le syndrome de fatigue chronique (SFC) pouvait être causé par les virus XMRV et pMLV, mais une récente étude parue dans le Mbio réfute une fois pour toutes que le SFC est lié à un virus.
 
Malheureusement, pour les 17 millions de personnes qui en souffrent dans le monde, ces nouveaux résultats viennent anéantir l’espoir d’avoir identifié une cause traitable à ce syndrome qui entraîne une fatigue persistante, de la faiblesse musculaire, des douleurs et des troubles de mémoire et du sommeil.
 
Les recherches se poursuivent, mais on repart presque à zéro, puisqu’on n’a noté aucun lien entre les deux virus et le syndrome de fatigue chronique auprès de 300 personnes.
 
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La lutte contre le VIH avance d’un autre pas

La revue Nature révèle que le vaccin anti-VIH RV144 serait efficace contre certains virus du VIH qui ont deux empreintes génétiques dans la zone de l’enveloppe externe du VIH, la région ENV-2. Ceci rendrait le virus plus sensible au nouveau vaccin.
 
« C’est la première fois que nous observons sur le virus une pression au niveau génétique liée à un vaccin contre le VIH », explique la Pr Morgane Rolland, auteure principale des travaux.
 
En fait, on constate une réponse immunitaire sur les deux zones en question.
 
« Ces résultats confirment à la fois le résultat de l’essai RV144 et l’étude précédente, publiée dans le New England Medical Journal en avril dernier, montrant que des anticorps dirigés vers la région V1V2 peuvent réduire le risque d’infection. L’ensemble de ces travaux suggère que la région Env-V2 pourrait être une cible essentielle pour de futurs vaccins contre le VIH », ajoute le coauteur de l’étude, Jérôme Kim.
 
Les chercheurs ont examiné les séquences du génome du VIH de 110 personnes pour parvenir à ce résultat.
 
Pour le moment, les virus qui déjouent les vaccins ont une empreinte génétique qui fait en sorte de tromper le système immunitaire.
 
« Cette étude est un signe optimiste pour la recherche vaccinale VIH et représente des progrès substantiels dans la compréhension des contraintes de développement d’un vaccin plus efficace contre le VIH qui finira par mettre fin à cette pandémie », conclut la Pr Rolland.

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Des infections à l’origine de cancers

Une étude du Centre international de recherche sur le cancer de Lyon démontre qu’un cancer sur six serait causé par une infection d’origine bactérienne ou virale.
 
Ces cancers pourraient donc être évités simplement avec des actions de prévention et des traitements simples et efficaces comme des vaccins.
 
L’étude s’est penchée sur 13 millions de nouveaux cas de cancer dans le monde en 2008.
 
Selon The Lancet Oncology, on évalue maintenant que les infections causeraient deux millions de nouveaux cas de cancer chaque année.
 
Quatre bactéries, virus ou parasites seraient principalement liés à des cancers, comme la bactérie Helicobacter pylori qui causerait le cancer de l’estomac, l’hépatite B et C qui sont liées au cancer du foie, et le papillomavirus qui est associé au cancer du col de l’utérus.
 
De nombreux vaccins et traitements peuvent facilement enrayer ces infections et ainsi éviter bien des problèmes aux patients.
 
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Le cytomégalovirus, une nouvelle menace pour maman et bébé

Sur le site leral.net, la gynécologue Géraldine Dahan met en garde les futures mères contre ce virus de la famille des virus Herpes qui affecte également le bébé.

Elle explique « Le processus de contamination est assez classique, il se fait notamment par la salive, quand quelqu’un tousse par exemple ».
 
Le gros problème, c’est que tout comme d’autres virus, la moitié de la population en serait porteuse. Les gens ne le savent pas, mais bien souvent, ils sont porteurs « sains » et ne développent pas les symptômes.
 
La bonne nouvelle, c’est que si vous contractez le virus avant la grossesse, votre organisme développe des anticorps qui conduisent à l’immunité.
 
Or, si le cytomégalovirus se développe pendant la grossesse, il est impératif de le détecter le plus tôt possible, puisque dans 30 à 40 % des cas, le fœtus est infecté.
 
Une prise de sang, une amniocentèse ainsi que des échographies seront nécessaires à l’identification du virus.
 
Les conséquences sur le fœtus sont importantes. S’il s’agit d’une infection durant le premier trimestre de la grossesse, la future mère risque une fausse-couche. Si l’enfant survit, il peut développer un handicap mental, des problèmes psychomoteurs et d’autres troubles.
 
Comme il n’existe aucun traitement pour soustraire l’enfant à la contamination, il est essentiel que la future mère soit prise en charge rapidement.
 
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Manger cru : plus de vigilance

Avec la popularité grandissante des aliments crus, notamment les sushis, nous pourrions aussi voir une éclosion de bactéries et de virus. Ainsi, la vigilance sera de mise, rapporte Le Figaro.
 
Les aliments crus peuvent contenir plus de bactéries et de virus. L’an dernier, des bactéries qui se sont développées sur des graines germées ont fait 53 morts et des milliers de malades en Europe, alors que des bactéries sur des pommes de terre ont fait 250 malades en Angleterre.
 
Ainsi, de nouveaux bactéries et virus font surface, notamment par le fait que nous mangeons plus d’aliments crus, que ce soit de la viande, des poissons ou des végétaux. On retrouve notamment de plus en plus la bactérie E. coli un peu partout.
 
Pourtant, on ne remet pas en cause la consommation d’aliments crus, qui contiennent de nombreux nutriments; seulement, on fait appel à la prudence.
 
Les autorités devront également mettre en place de meilleures mesures afin d’assurer la qualité et la sécurité des aliments.
 
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Des virus pour Dora l’exploratrice et Hello Kitty

Il semblerait que certains sites pour enfants auraient spécialement été conçus dans le but de véhiculer un virus qui renvoie à des sites malveillants.

Selon une étude des laboratoires Avast Software, plus de 60 sites consacrés à des jeux en ligne pour enfants seraient porteurs de virus informatiques.

Parmi eux, le populaire site Cutearcade, qui propose notamment des jeux et des coloriages Hello Kitty et Dora l’exploratrice, aurait eu plus de 12 600 signalements en seulement quelques jours.

D’autres sites seraient également concernés, comme Hiddenninjagames.com, Territoriogamers.com, 1st-kidsgames.com, Gamesbox.com, Jeux.com et Coolespiele.com.

Devant un ordinateur, les enfants sont inconscients des conséquences et cliquent un peu partout, sans vraiment savoir ce qu’ils font.

Selon le directeur des laboratoires Avast Software, Ondrej Vlcek, les différents jeux adressés aux enfants entraînent un certain nombre de clics et renvoient trop souvent l’ordinateur des parents vers des logiciels malveillants.

Seule une solution antivirus efficace peut prémunir l’ordinateur familial de multiples virus.