Catégories
Uncategorized

Une explication au virus de la grippe résistant aux antibiotiques

Habituellement, le Tamiflu est le médicament le plus efficace pour contrer le virus de la grippe, et celui-ci ne parvient pas à lui résister efficacement.
 
Seulement, en 2009, les scientifiques ont découvert avec surprise qu’une souche du virus pouvait résister durement au Tamiflu sans aucun problème, mais on ignorait comment cela avait pu se produire.
 
« Les gènes qui devaient muter pour résister au Tamiflu étaient tellement conservés, tellement essentiels au virus, que si cela survenait, on croyait que ce serait au détriment du virus : il ne pourrait pas bien se répliquer, pas bien se transmettre », raconte l’infectiologue Guy Boivin au PLoS – Pathology.
 
Une équipe de l’Université Laval a identifié un gène mutant, le R222Q, qui permet au virus de résister au traitement, car il compense les inconvénients de la mutation, le rendant donc non seulement résistant, mais aussi encore bien vivant.
 
« La bonne nouvelle, c’est que chez le virus pandémique, qui circule toujours depuis 2009, cette mutation compensatrice n’est pas encore apparue. Donc, on a des virus pandémiques qui possèdent la mutation de résistance au Tamiflu, mais ils n’ont pas la mutation permissive. Il y a eu environ 600 cas de virus pandémiques résistants décrits jusqu’à maintenant, mais il n’y a pas eu beaucoup de transmission d’humain à humain. Ce qui confirme notre hypothèse qu’il faut une mutation compensatrice », ajoute le chercheur.
 
Catégories
Uncategorized

Varicelle : le vaccin s’avère nécessaire

À l’heure actuelle, le vaccin contre la varicelle et le zona demeure déconseillé pour les bébés de moins de 12 mois. La seule protection possible des enfants de cet âge reste donc la réduction au possible de l’exposition au virus.

Toutefois, après que l’on ait systématiquement vacciné des bébés de moins de 12 mois, on a remarqué une baisse de la prévalence de la varicelle de 90 %, lit-on dans Pediatrics.

Sur 1000 enfants, on est donc passé de 15,6 cas à 1,6 cas, de 1995 à 2008. La raison de cette baisse, selon les chercheurs, est sans aucun doute la vaccination à grande échelle.

Parallèlement, cette étude a permis de remarquer le développement de complications liées à la contraction de la varicelle chez certains groupes d’âge. Par exemple, les poupons de 0 à 5 mois se retrouvaient plus exposés à une maladie immunosuppressive et à des lésions cutanées.

D’autre part, les bébés de 6 à 11 mois qui avaient contracté le virus étaient deux fois plus susceptibles d’en développer des complications.

Catégories
Uncategorized

Grippe chez les enfants : risque de pneumonie

Une analyse présentée dans Pediatrics nous révèle des risques graves encourus par les enfants atteints de la grippe. On a remarqué de nombreux cas de pneumonie chez des enfants qui avaient contracté la grippe H1N1 en 2009.

De plus, un grand nombre de cas d’insuffisance respiratoire ont été confirmés. Cela revient à un taux de mortalité 8 fois supérieur à la normale, chez des enfants qui avaient contracté en même temps un staphylocoque doré.

La double attaque de ces virus compromet l’immunité virale chez l’enfant, alors que l’infection bactérienne peut détruire les tissus pulmonaires. On recommande donc fortement une autre campagne de vaccination massive, car le staphylocoque est de plus en plus répandu chez les enfants, et le virus de la grippe H1N1 se propage toujours.

Pour tirer ces nouvelles conclusions, des chercheurs du Pediatric Acute Lung Injury and Sepsis Investigator’s Network ont analysé les cas de 838 enfants soignés (probablement) pour la grippe H1N1 en 2009.

L’âge moyen des sujets était de six ans. La majorité de ces enfants (67,3 %) était en insuffisance respiratoire, et près de la moitié (48 %) semblaient souffrir d’un staphylocoque doré.

Catégories
Uncategorized

Pourquoi neuf mois de grossesse?

On lit dans Nature Genetics une découverte scientifique qui changera assurément notre façon de voir la grossesse humaine : elle serait due à un virus.

Des chercheurs de la Yale University auraient en effet expliqué de quelle façon une bactérie aurait atteint nos ancêtres, il y a une centaine de millions d’années, ce qui a fait en sorte que les femmes sont en mesure de porter un bébé durant neuf mois.

Le virus en question aurait en fait été digéré par l’organisme humain, et il en est venu à faire partie de notre ADN. Il se serait incrusté en raison d’une infection. Ce virus aurait fonctionné d’une manière semblable à celle des parasites intestinaux.

Certains aspects de la grossesse pourraient ainsi être expliqués, en abordant cette thèse du virus. Entre autres, les bouleversements hormonaux en proviendraient, comme les chevilles enflées.

Cependant, cette découverte ne peut pas tout expliquer de la grossesse, en ce qui a trait au développement du placenta, par exemple.

Catégories
Uncategorized

40 % des cancers sont causés par des virus

Des chercheurs ont découvert que 40 % des cancers seraient causés par des virus, ce qui ouvre la voie à la possibilité de créer des vaccins anticancers.
 
Ces résultats ont surpris les scientifiques, qui s’attendaient à ce que seulement 10 ou 20 % des cancers soient causés par des virus, mais c’est plutôt le double qui l’est.
 
Si les prochains tests le prouvent, il sera donc possible de créer des vaccins contre plusieurs types de cancers et d’offrir de nouveaux traitements pour en guérir également.
 
Toutefois, les chercheurs doivent comprendre le processus qui entraîne le développement de la maladie.
 
À l’Institut Karolinska en Suède, une équipe a établi un lien viral avec un médulloblastome, la forme la plus courante de tumeur cérébrale chez les enfants.
 
Parmi les virus les plus connus qui peuvent causer le cancer, il y a les hépatites B et C qui peuvent favoriser le développement du cancer du foie et le virus du papillome humain (VPH) qui est à l’origine du cancer du col de l’utérus.
 
Catégories
Uncategorized

Les requins à la rescousse des humains?

Une recherche faite au Centre médical de l’Université de Georgetown à Washington démontre que la squalamine, produite par le foie des requins, aurait des propriétés antivirales pour combattre certains virus humains.
 
Cette substance inhibe les cellules sanguines du virus de la dengue et des infections du foie, comme l’hépatite B ou C.
 
De plus, chez les rongeurs, on a réussi à enrayer la fièvre jaune, la maladie du sommeil et un type d’herpès avec la squalamine.
 
« Il s’agit d’une substance prometteuse qui, dans son principe actif et sa structure chimique, n’a rien de commun avec d’autres matières à l’étude en ce moment pour traiter les virus », explique celui qui a découvert la molécule, le professeur Michael Zasloff.
 
Pour le moment, le site MaxSciences mentionne que l’on ne connaît pas encore le dosage exact de squalamine qui serait bénéfique pour combattre les infections. D’autres recherches doivent être effectuées.
Catégories
Uncategorized

La grippe aviaire est de retour

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) vient d’émettre des recommandations quant à la renaissance de la grippe aviaire sur le continent asiatique.

Déjà, l’inquiétude grandit, car il s’agit d’une souche mutante. On parle de « risques imprévisibles pour la santé humaine ».

Le virus mortel s’étend peu à peu en Asie, le dernier décès étant survenu au Cambodge il y a quelques semaines. On l’a aussi remarqué en Chine et au Vietnam. La nouvelle expansion de la H1N5 pourrait être due à la migration des oiseaux.

Rappelons-nous qu’une vague importante de ce virus a tué 331 personnes depuis 2003. On avait aussi dû abattre 400 millions de volailles, et on croyait l’avoir éliminé en 2006 dans la plupart des pays infectés, au nombre de 63.

On affirme qu’en ce moment, aucune personne se trouvant en Asie ne peut se croire à l’abri de l’épidémie.

 
Catégories
Uncategorized

Un virus causerait l’hypertension ?

Le Dr Yang Xinchun et son équipe de l’hôpital de Chaoyang à Pékin ont mis en lumière un virus commun, le cytomégalovirus (CMV), qui serait à l’origine d’une certaine hypertension. 

Il s’agit d’un virus commun qui cause souvent des infections n’ayant aucun symptôme et qui est transmis par sécrétion corporelle.
 
Bien qu’il reste énormément de travail et de recherches à effectuer, cette découverte pourrait éventuellement permettre la création un vaccin contre l’hypertension artérielle.
 
« Si nous parvenons à établir avec certitude la relation [entre le virus et l’hypertension artérielle], nous pourrons avoir des vaccins et des remèdes contre l’hypertension », explique le Dr Yang Xinchun dans la revue Circulation.
 
L’hypertension touche une personne sur cinq et est un facteur de risque important pour les maladies cardiovasculaires. Il est donc important d’avoir un suivi médical rigoureux si on en souffre.
 
Catégories
Uncategorized

La plus importante découverte en médication depuis la pénicilline

Des scientifiques viennent de faire une découverte majeure dans le domaine des remèdes médicaux, la plus importante depuis la pénicilline, qui pouvait traiter un grand nombre de problèmes.

Le DRACO serait capable de traiter tout, que ce soit le rhume, la grippe ou encore la rougeole, la rubéole, la rage et même le VIH.

Selon les données publiées dans la revue PLoS ONE, ce médicament se rend dans les cellules infectées et provoque leur autodestruction. Le plus merveilleux est que les cellules saines ne sont pas endommagées durant ce processus.

Cependant, ce traitement a donné des résultats si surprenants, qu’il devra encore passer de nombreux tests avant d’être commercialisé, ce qui pourrait prendre encore une décennie.

Toutefois, cette découverte sème l’espoir de soigner de nombreux maux d’une seule et même façon, dont le VIH, pour lequel les traitements actuels ne permettent aucune guérison.

Catégories
Uncategorized

Moins de morts par la varicelle

Selon Pediatrics, le nombre de cas de mortalité liés au virus de la varicelle a chuté radicalement depuis que l’on vaccine les enfants. Depuis le début du programme de vaccination, en 1995, le nombre de morts aurait baissé de 97 % chez les enfants et les adolescents.

Les données sur le sujet, de 1990 à 2007, ont été analysées afin d’en arriver à ce constat. Par le fait même, on a remarqué que durant la période avant la vaccination, de trois à quatre millions de cas étaient diagnostiqués.

Chaque année, on comptait environ 105 morts dues à la varicelle; la moitié de celles-ci étaient d’enfants. Ces derniers comptaient aussi de 11 000 à 12 000 hospitalisations en raison de complications sévères.

On recommande finalement aux adultes de recevoir aussi le vaccin, car ces derniers courraient 20 fois plus de risques de mourir de la varicelle que les enfants. Pour la même période d’analyse, le nombre de décès chez les adultes de moins de 50 ans a chuté de 96 % à la suite du programme de vaccination.