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Catastrophe et polémique pour Les Visiteurs 3

Le film Les Visiteurs – La Révolution, qui était drôlement attendu en France, s’est plutôt attiré de très mauvaises critiques depuis sa sortie.

«C’est mauvais. Très très très mauvais», a analysé le chroniqueur cinéma Vincent Malausa, du site Le Plus – l’OBS.

«C’est un film de merde», a pour sa part lancé René Homier-Roy, dans son émission Culture club, à la radio de Radio-Canada.

Ces mauvaises critiques quasi unanimes ont d’ailleurs mené à des chiffres corrects, sans plus, pour les premiers jours d’exploitation : entre mercredi (6 avril) et dimanche (10 avril), moins d’un million de cinéphiles français ont acheté leur billet pour assister au troisième volet de cette saga pourtant appréciée au pays de François Hollande.

Il serait très surprenant de voir le long métrage de Jean-Marie Poiré atteindre les cinq millions d’entrées projetées initialement.

Le premier volet de la série, lancé en 1993, avait attiré 14 millions de spectateurs dans les cinémas de la France, se classant au cinquième rang des films les plus populaires de l’histoire du pays.

En plus de la qualité discutable du film, plusieurs polémiques ont éclaté au cours des derniers jours, notamment au sujet de l’affiche. On y présente l’acteur noir Pascal N’Zonzi, mais son nom n’est pas inscrit au même endroit que les autres acteurs, dans la partie supérieure du montage. On le retrouve plutôt au bas de l’affiche.

Le distributeur, Gaumont, n’a par ailleurs pas présenté le film aux médias avant de le lancer en salles.

Photo : Facebook

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La tour Saint-Jacques à Paris s’ouvre à nouveau aux visiteurs cet été

À la suite du succès rencontré l’an dernier, lors de la toute première ouverture du monument aux touristes, la mairie de Paris a décidé de reconduire l’opération cette année en la prolongeant même d’un mois.

Quelque 5300 visiteurs pourront gravir les 300 marches de la tour (4e arrondissement) du 4 juillet au 28 septembre.

Les visites auront lieu tous les vendredis, samedis et dimanches de 10 h à 18 h (à partir de 8 €), par petits groupes de 17 personnes.

Les personnes intéressées pourront réserver leurs places dès le 30 juin sur le site www.desmotsetdesarts.com.

Dans la limite des places disponibles, des réservations seront également possibles au pied du monument tous les jours de visite à partir de 9 h 30 pour le jour même.

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MuCEM : un an d’existence et 2,6 millions de visiteurs

Musée pluridisciplinaire, mais aussi site exceptionnel et désormais lieu de promenade, le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) aura connu à Marseille en un an d’existence une affluence inespérée de 2,6 millions de visiteurs, selon les chiffres du musée.

« C’est une vraie joie de fêter un anniversaire dans une institution culturelle qui a été aussi rapidement adoptée par le territoire dans lequel elle est implantée, et même au-delà », commente son président Bruno Suzzarelli, un an après l’inauguration du musée national, le 4 juin 2013, par le président François Hollande.

Sur ces 2,6 millions de personnes (la moitié originaire de la région et 15 % d’étrangers), 850 000 ont parcouru les expositions, et 30 000 profité de la programmation artistique et culturelle. « On est bien au-delà de ce à quoi nous nous attendions », affirme M. Suzzarelli, qui tablait sur la moitié. « Notre offre correspondait à un besoin qu’avait Marseille d’accueillir un vaisseau culturel comme celui-ci », a-t-il dit.

Le musée a également accueilli « 446 rencontres, colloques, concerts-performances, spectacles, cinéma, événements et manifestations destinées au jeune public », a-t-il précisé dans un communiqué.

« Musée de société » ouvert à toutes les sciences sociales, le MuCEM veut parler d’histoire comme de l’actualité, et travailler à sa dimension internationale. « Nous ne voulons pas être européocentrés, nous voulons donner la parole aux autres pays », en particulier de tous les côtés de la Méditerranée, explique le président du musée.

À la rentrée 2014, les lieux accueilleront « Food », ou comment des artistes contemporains voient les problèmes alimentaires, déjà présenté dans une première version à Bruxelles et Sao Paulo. Parallèlement l’exposition « Un moment si doux » de Raymond Depardon sera proposée, avec des photos inédites de Marseille.

Parmi les rendez-vous de 2015, une exposition devrait être consacrée aux « lieux saints partagés » de la Méditerranée.

Ouvert pour coïncider avec l’année qui a consacré Marseille capitale européenne de la culture, le MuCEM, premier musée national décentralisé, est installé sur le front de mer de Marseille à l’entrée du Vieux-Port, dans un sombre cube contemporain conçu par Rudy Ricciotti, couplé au Fort Saint-Jean rénové.

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Plus de 300 000 visiteurs pour Gustave Doré

L’exposition Gustave Doré. L’imaginaire au pouvoir, qui vient de fermer ses portes au musée d’Orsay, a accueilli 304 800 visiteurs en moins de trois mois, a annoncé l’établissement parisien.

L’exposition s’est tenue du 18 février au 11 mai et a attiré 4259 personnes par jour.

Il s’agissait de la première rétrospective consacrée à l’illustrateur Gustave Doré (1832-1883) depuis trente ans à Paris. Elle mettait également en valeur ses talents moins connus de peintre, d’aquarelliste et de sculpteur.

Elle va être présentée au musée des beaux-arts du Canada à Ottawa à partir du 12 juin.

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Le Parc du Petit Prince en Alsace et ses 31 attractions accueilleront les visiteurs dès le 1er juillet

Le site de loisirs dédié au célèbre personnage de Saint-Exupéry permettra aux familles de se plonger dans l’univers du fameux livre, via de nombreux divertissements, notamment aériens.

Les 31 attractions seront réparties autour de trois grands thèmes : voler, voyager de planète en planète et rencontrer les animaux, comme le fait le Petit Prince dans l’oeuvre de l’écrivain.

Pour transmettre l’univers poétique et féérique de l’ouvrage, les animations seront souvent aériennes. C’est en effet la société française Aérophile, fabriquant des ballons captifs pour les sites touristiques, qui est à l’origine du projet qui sera installé sur le site de l’ancien parc de loisirs Bioscope fermé depuis 2012.

Deux grands ballons permettront de prendre de la hauteur et de se croire sur deux planètes visitées par le garçon : la Planète du Roi et la Planète de l’Allumeur de réverbères. À 150 mètres au-dessus du sol, le public admirera de magnifiques paysages, notamment le ballon des Vosges et la Forêt Noire en Allemagne jusqu’aux Alpes.

Les petites soifs seronts apaisées à bord de l’Aérobar. Les pieds dans le vide, quinze personnes à la fois pourront siroter une boisson à 35 mètres de hauteur.

D’autres animations, tout aussi aériennes, seront proposées à l’instar des chaises volantes, de l’aérocarrousel (finis les chevaux et autres animaux, place aux avions et aux ballons) ou encore Vol de Nuit, simulateur reproduisant les conditions de pilotage sans visibilité.

Des salles de cinéma inviteront au voyage avec notamment la projection en 3D du film des Aventures du Petit Prince. Un partenariat avec France 3 Ludo et Method Animation, producteur français, permettront aux enfants de visionner les épisodes du Petit Prince, la série diffusés sur la chaîne.

Toujours sur le thème de l’évasion, l’attraction en 4D Planète sous-marine entraînera dans un safari photo dans les profondeurs de l’océan.

Les animaux et les fleurs seront aussi à l’honneur avec une ferme à papillons, le labyrinthe de la Fontaine qui invitera à se perdre au milieu des fleurs, mais aussi Rencontre avec Renard, animation avec des renardeaux presque apprivoisés.

L’ouverture du parc se déroulera le 1er juillet et son inauguration officielle, en présence d’un parrain célèbre (dont l’identité est encore tenue secrète), aura lieu elle le 8 juillet.

Informations et réservations : www.parcdupetitprince.com
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302 000 visiteurs pour l’exposition Keith Haring à Paris

L’exposition consacrée à l’artiste américain Keith Haring, qui a fermé ses portes dimanche au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, a accueilli 302 000 visiteurs, a annoncé l’institution culturelle.

La fréquentation quotidienne de cette exposition, qui avait démarré le 19 avril, a été de 2 904 visiteurs.

Le musée, qui s’était fixé un objectif de 230 000 visiteurs, relève que c’est un « très bon chiffre ».

Jean-Michel Basquiat avait fait encore mieux : l’exposition autour de l’artiste américain organisée par le même musée avait attiré 352 000 visiteurs d’octobre 2010 à janvier 2011.

 

 

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Agritourisme : quand les agriculteurs partagent leur univers avec le grand public

3 % des agriculteurs s’adonneraient à l’agrotourisme (chiffre de 2010 du ministère de l’Agriculture), c’est-à-dire qu’ils mèneraient une activité touristique complémentaire. Ces formules permettent souvent aux voyageurs de prendre part aux tâches quotidiennes de la ferme. Au menu : traite des vaches, conduite des troupeaux, labours ou même moisson.

En mode ferme bio
La ferme bio de Salins-les-Bains, à 650 mètres d’altitude, ouvre ses portes au public pour des séjours découvertes. Les visiteurs sont conviés par les propriétaires à mettre la main à la patte. Les novices participent à nourrir et soigner les animaux, assistent à la traite des vaches ou aident à donner la tétée des petits veaux. L’hébergement a lieu dans une bâtisse respectueuse de l’environnement : l’eau chaude sanitaire est produite à partir de panneaux solaires quand des panneaux photovoltaïques en toiture fabriquent de l’électricité. Site : www.jura-tourisme.com

À la découverte des escargots
C’est en Haute-Normandie que Sandrine Thierry convie le public à découvrir l’élevage des gastéropodes dans sa ferme aux escargots. La visite d’une heure (4 euros par adulte et 2 euros pour les 4-14 ans) comprend un passage à l’atelier de reproduction, à l’écloserie à la pouponnière et au parc de croissance. L’hébergement s’effectue chez l’agricultrice qui dispose de deux chambres certifiées trois épis aux Gîtes de France. Site : www.fermeauxescargots.com

Sur les traces des alpagistes
Alpage en fête aura lieu le 7 août au lac de l’Arpettaz, dans la vallée d’Aigueblanche, en Savoie. Pour cette nouvelle édition, le public est invité à rencontrer les éleveurs de la région et à découvrir leurs spécialités autour d’animations. Un maître fromager partagera les secrets de fabrication du Beaufort quand les visiteurs pourront également s’initier à la traite des vaches avec les alpagistes, le tout en musique puisqu’un duo d’accordéonistes sera aussi de la partie.
Site : www.valmorel.com

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Naissance royale : Kensington Palace s’attend à accueillir de nombreux visiteurs

Alors que la duchesse de Cambridge est sur le point d’accoucher, l’arrivée d’un nouvel héritier (ou d’une héritière) royal devrait profiter au tourisme anglais.

Kensington Palace devrait attirer une foule de visiteurs cet été dès que la famille royale s’agrandira et qu’elle s’installera définitivement dans ce palais londonien situé à l’ouest de Hyde Park.

Après des travaux de réaménagement s’élevant à 13 millions d’euros (près de 17 millions de dollars) réalisés dans les espaces publics du palais terminés l’année dernière, et depuis que le jeune couple royal a annoncé s’y installer, Kensington Palace a reçu un nombre record de 404 000 visiteurs en près d’un an, soit le double de l’année précédente, selon Express.co.uk.

Kensington a déjà été le foyer de George II, de la reine Victoria, de la princesse Margaret et de Diana, la mère de William.

En plus de la naissance très attendue, les autorités organisent une exposition de robes portées par la reine, les princesses Margaret et Diana, pour attirer encore plus de monde cette année dans ce même palais.

L’exposition Fashion Rules, inaugurée la semaine dernière, reflète les tendances vestimentaires royales allant des années 50 aux années 80.

L’entrée à l’exposition est comprise dans le billet pour Kensington Palace.

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Envolez-vous avec la navette spatiale Atlantis

Après s’être envolée vers l’espace pour trente-trois missions, la navette spatiale Atlantis passe maintenant sa retraite en tant qu’attraction touristique pour les astronautes dans l’âme et les mordus de l’espace au Kennedy Space Center en Floride.

Ceux qui voudraient être astronautes pourront maintenant vivre leur rêve au Kennedy Space Center Visitor Complex, récemment rénové, avec désormais la navette spatiale Atlantis comme son attraction-vedette.

Inclinée pour simuler un voyage dans l’espace, la navette spatiale a encore les marques, les brûlures et la « poussière interstellaire » de sa dernière mission. Les portes de la soute sont grandes ouvertes pour laisser entrevoir l’intérieur de la navette.

Parmi les points forts de l’attraction, les visiteurs pourront vivre une expérience de simulation de lancement pendant laquelle ils seront « attachés » et pourront profiter de la vue, des bruits et des sensations ressenties lors d’un lancement de navette spatiale.

Les futurs astronautes aspirants pourront également pratiquer leurs connaissances de vol en faisant atterrir l’orbiteur, s’accrochant aux stations spatiales internationales et en manipulant le Canadarm sur les simulateurs d’entrainement.

« Avec les répliques haute-fidélité, les simulateurs et activités interactives en lien avec tous les aspects et toutes les réussites de la navette, y compris le télescope spatial Hubble et la station spatiale internationale, les visiteurs ne pourront trouver des conditions de vie et de travail dans l’espace plus fidèles, à moins de postuler dans le corps d’astronautes », explique Bill Moore, directeur du Kennedy Space Center Visitor Complex.

Au total, l’attraction de la navette spatiale Atlantis propose plus de soixante expériences multimédias et interactives, telles que des activités sur écran tactile et des simulateurs high-tech qui permettent aux visiteurs de marcher dans un espace virtuel et ressentir les sensations d’apesanteur.

La toute dernière addition a été construite pour marquer les trente ans du projet de navette spatiale de la NASA et fait partie d’un projet de dix ans concernant le complexe des visiteurs.

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Envolez-vous avec la navette spatiale Atlantis

Après s’être envolée vers l’espace pour trente-trois missions, la navette spatiale Atlantis passe maintenant sa retraite en tant qu’attraction touristique pour les astronautes dans l’âme et les mordus de l’espace au Kennedy Space Center en Floride.

Ceux qui voudraient être astronautes pourront maintenant vivre leur rêve au Kennedy Space Center Visitor Complex, récemment rénové, avec désormais la navette spatiale Atlantis comme son attraction-vedette.

Inclinée pour simuler un voyage dans l’espace, la navette spatiale a encore les marques, les brûlures et la « poussière interstellaire » de sa dernière mission. Les portes de la soute sont grandes ouvertes pour laisser entrevoir l’intérieur de la navette.

Parmi les points forts de l’attraction, les visiteurs pourront vivre une expérience de simulation de lancement pendant laquelle ils seront « attachés » et pourront profiter de la vue, des bruits et des sensations ressenties lors d’un lancement de navette spatiale.

Les futurs astronautes aspirants pourront également pratiquer leurs connaissances de vol en faisant atterrir l’orbiteur, s’accrochant aux stations spatiales internationales et en manipulant le Canadarm sur les simulateurs d’entrainement.

« Avec les répliques haute-fidélité, les simulateurs et activités interactives en lien avec tous les aspects et toutes les réussites de la navette, y compris le télescope spatial Hubble et la station spatiale internationale, les visiteurs ne pourront trouver des conditions de vie et de travail dans l’espace plus fidèles, à moins de postuler dans le corps d’astronautes », explique Bill Moore, directeur du Kennedy Space Center Visitor Complex.

Au total, l’attraction de la navette spatiale Atlantis propose plus de soixante expériences multimédias et interactives, telles que des activités sur écran tactile et des simulateurs high-tech qui permettent aux visiteurs de marcher dans un espace virtuel et ressentir les sensations d’apesanteur.

La toute dernière addition a été construite pour marquer les trente ans du projet de navette spatiale de la NASA et fait partie d’un projet de dix ans concernant le complexe des visiteurs.