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Un manque de vitamine C affecte le cerveau des bébés

Des chercheurs de l’Université de Copenhague, au Danemark, ont découvert qu’une carence en vitamine C nuisait au développement du cerveau des nouveau-nés.

Selon l’étude publiée dans l’édition de septembre de l’American Journal of Clinical Nutrition, les nouveau-nés qui manquent de vitamine C se développent moins bien mentalement.

Les chercheurs danois sont arrivés à cette conclusion en étudiant des animaux nouveau-nés. Ils ont constaté que ceux qui avaient une carence de la vitamine présentaient 30 % moins de neurones dans l’hippocampe, la région du cerveau qui gère la mémoire à long terme et la mémoire spatiale, que les autres animaux testés.

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Des vitamines liées à l’asthme

Des chercheurs britanniques de l’Université de Nottingham affirment qu’une carence en vitamines A et C est associée à un risque plus élevé d’asthme.

Ils ont analysé 40 études antérieures sur le sujet et ont découvert que l’incidence d’asthme était plus élevée quand les sujets consommaient quotidiennement moins de 182 microgrammes de vitamine A, ce qui représente le quart des doses recommandées.

Quant à une carence en vitamine C, elle fait augmenter de 12 % le risque de cette maladie respiratoire.

Selon l’un des auteurs, le Dr Jo Leonardi-Bee, cette association pourrait être causée par les antioxydants que l’on retrouve dans les vitamines.

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La vitamine C efficace contre le diabète

Une nouvelle étude réalisée par les chercheurs de l’Institute of Metabolic Science en Angleterre, auprès de 21 831 hommes et femmes en santé, âgés de 40 à 75 ans, tend à démontrer qu’une forte concentration de vitamine C dans le sang abaisserait significativement le risque de contracter le diabète de type 2.

Selon l’étude, les patients ayant une plus grande concentration de vitamine C dans leur sang ont 62 % moins de chance de développer ce type de diabète.

Cette étude s’ajoute à toutes celles qui favorisent la consommation de fruits et légumes. Rappelons que ces aliments sont la principale source de vitamine C dans l’alimentation. 

Le diabète de type 2 se retrouve généralement chez les individus âgés de 40 ans et plus. La très grande majorité, soit 90 %, des personnes diabétiques souffrent de ce type de diabète.

Les causes du diabète de type 2 sont nombreuses. Dans bien des cas, c’est la combinaison de plusieurs facteurs qui déclenche l’apparition de la maladie.

Une prédisposition génétique, un surplus de poids et le manque d’activité physique contribuent à augmenter les risques.

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La vitamine C contre la goutte

Selon le Dr Hyon Choi et ses collègues de l’Université de la Colombie-Britannique à Vancouver, un surplus de vitamine C aiderait à prévenir l’apparition de la goutte chez les hommes.

Une analyse des dossiers médicaux de 47 000 de participants a permis aux chercheurs de découvrir que 500 mg de vitamine C consommés quotidiennement faisaient chuter de 17 % l’incidence de la maladie inflammatoire qui touche 3 millions d’Américains.

Chez les sujets qui consommaient 1 500 mg de la vitamine quotidiennement, le risque de goutte diminuait de 45 %, comparativement aux participants n’en prenant que 250 mg par jour.

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Des vitamines sans effet sur le cerveau

Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Washington, à Seattle, démontre que la consommation de suppléments des vitamines C et E n’immunise pas les personnes âgées contre la démence, les troubles de mémoire et la maladie d’Alzheimer.

2 969 personnes âgées de 65 ans et plus ont été suivies pendant plus de cinq ans par la Dre Shelly L. Gray et son équipe. Parmi les sujets, 33 % consommaient uniquement des suppléments de vitamine E, 38 % seulement de la vitamine C et 25 % prenaient les deux vitamines.

Pendant l’étude, 405 participants ont présenté des symptômes de démence et 289 ont été touchés par la maladie d’Alzheimer, ce qui laisse présager que les vitamines C et E ne préviennent pas ces maladies cognitives.

 

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Le mystère entoure la prééclampsie

Une nouvelle recherche démontre que les femmes qui risquent de développer une prééclampsie ne seront pas nécessairement protégées si elles ont consommé beaucoup de vitamines E et C pendant leur grossesse.

707 femmes enceintes, chez qui des cas de prééclampsie ont été signalés dans leur famille, ont été observées. Parmi celles-ci, la moitié a consommé quotidiennement 1 000 mg de vitamine C et de la vitamine E. Le taux de prééclampsie est sensiblement demeuré le même, ce qui prouve que la consommation des deux vitamines ne prévient en rien cette complication.

Selon le docteur Joseph A. Spinnato II, professeur en gynécologie à l’Université de Cincinnati, l’efficacité de ce régime chez les femmes enceintes est loin d’être prouvée.

L’an dernier, une étude australienne avait également prouvé l’inefficacité des vitamines C et E chez les femmes susceptibles de développer la prééclampsie.

Celle-ci, qui survient dans 5 % des cas chez les Américaines, se caractérise par de l’oedème, la présence de protéines dans l’urine, l’hypertension artérielle et une circulation sanguine irrégulière.

Si les chercheurs sont en mesure de définir les facteurs prédisposant comme l’historique familial, le surplus de poids ou encore une maladie aux reins, ils ne peuvent toutefois pas prévenir cette complication hypertensive.

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La vitamine C contre le cancer

Selon une étude réalisée par la Faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland), la vitamine C, reconnue pour ses vertus antioxydantes, agit sur la protéine dite HIF-1 (facteurs induits par l’hypoxie).

Découverte il y a une dizaine d’années, cette protéine joue un rôle dans les cancers foudroyants, comme celui du foie. En effet, cet enzyme contrebalance la diminution d’oxygène à l’intérieur des cellules qu’occasionne le cancer.

Toutefois, la HIF-1 est efficace uniquement lorsqu’il y a combinaison avec des radicaux libres. Ces derniers sont détruits par la vitamine C, bloquant ainsi l’accroissement des cellules cancéreuses.

Le cancérologue Chi Dang, qui a dirigé l’étude, ajoute : « Les vertus anticancéreuses potentielles des antioxydants ont motivé de nombreux essais cliniques et des études» depuis ces dernières décennies. En découvrant le mécanisme par lequel agissent les antioxydants, nous pouvons maximiser leurs effets thérapeutiques. »