Catégories
Uncategorized

De la vitamine E pour garder la forme

Une recherche, menée par l’École de médecine de l’Université Yale auprès de 698 personnes âgées, démontre que la vitamine E peut les aider grandement à maintenir une bonne condition physique.

Les chercheurs ont effectué des tests sanguins afin d’analyser la présence de plusieurs micronutriments comme les vitamines E, B6, B12 et D. Les participants ont ensuite subi des tests d’habileté motrice afin d’évaluer l’influence des nutriments sur leur organisme.

Il en résulte que les personnes âgées, particulièrement celles de 81 ans et plus, qui consomment moins d’aliments riches en vitamine E ont moins bien réussi ces tests physiques.

Fait étonnant, les chercheurs ne recommandent pas aux personnes âgées de prendre des capsules de vitamine E, reconnue pour ses vertus antioxydantes. Ils proposent plutôt d’ajouter au menu des amandes, de la sauce tomate et des graines de tournesol afin d’absorber quotidiennement 15 à 30 milligrammes d’alpha tocophérol, un composant de la vitamine E.

Catégories
Uncategorized

Le mystère entoure la prééclampsie

Une nouvelle recherche démontre que les femmes qui risquent de développer une prééclampsie ne seront pas nécessairement protégées si elles ont consommé beaucoup de vitamines E et C pendant leur grossesse.

707 femmes enceintes, chez qui des cas de prééclampsie ont été signalés dans leur famille, ont été observées. Parmi celles-ci, la moitié a consommé quotidiennement 1 000 mg de vitamine C et de la vitamine E. Le taux de prééclampsie est sensiblement demeuré le même, ce qui prouve que la consommation des deux vitamines ne prévient en rien cette complication.

Selon le docteur Joseph A. Spinnato II, professeur en gynécologie à l’Université de Cincinnati, l’efficacité de ce régime chez les femmes enceintes est loin d’être prouvée.

L’an dernier, une étude australienne avait également prouvé l’inefficacité des vitamines C et E chez les femmes susceptibles de développer la prééclampsie.

Celle-ci, qui survient dans 5 % des cas chez les Américaines, se caractérise par de l’oedème, la présence de protéines dans l’urine, l’hypertension artérielle et une circulation sanguine irrégulière.

Si les chercheurs sont en mesure de définir les facteurs prédisposant comme l’historique familial, le surplus de poids ou encore une maladie aux reins, ils ne peuvent toutefois pas prévenir cette complication hypertensive.

Catégories
Uncategorized

La cigarette à l’origine de l’acné

L’étude publiée dans le British Journal of Dermatology relie la cigarette au développement des boutons mais, selon les auteurs, d’autres facteurs pourraient jouer un rôle.

Selon l’équipe de la  San Galliano Dermatological Institute à Rome, les conclusions pourraient mener à la découverte d’une maladie de la peau associée au fait de fumer la cigarette.

Selon les chercheurs, cette observation semblerait toucher plus de femmes que d’hommes.

La raison de ces boutons serait, selon les chercheurs, attribuable à une production de 50 % de moins de vitamine E (nécessaire au bon fonctionnement de la peau) par la peau des individus fumeurs, comparé à ceux qui ne fument pas.