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Attaquer la fatigue hivernale de plein fouet

Avec les premières neiges qui s’installent arrive souvent la fameuse dépression saisonnière, mais aussi ce qu’il serait convenu d’appeler la « fatigue hivernale », alors que notre corps se met à l’heure d’une nouvelle saison froide et grise, en plus du changement apporté à l’horloge qui provoque l’obscurité plus tôt qu’à l’habitude.

Inutile de sous-estimer le phénomène ou d’attendre que celui-ci se pointe sournoisement, alors que Top Santé fait part de quelques conseils pour attendre cette vague de fatigue de pied ferme et pour la contrer de façon proactive.

Certaines sources font état d’une statistique qui indique qu’une personne sur deux serait frappée de ce mal à l’arrivée de l’hiver, notamment à cause d’une alimentation inadéquate, d’un manque de sommeil, du stress quotidien et du manque de luminosité.

Il est donc convenu de mettre en veilleuse les vieilles habitudes alimentaires néfastes et axées vers la nourriture grasse, au profit d’un festival de fruits et légumes, de vitamines et de repas équilibrés.

La vitamine B, notamment, semble être l’une des clés du bon fonctionnement en hiver, alors que la B1, la B6, la B9 et la B12 permettent une amélioration du système immunitaire et des hausses d’énergie.

On suggère aussi fortement de ralentir le rythme professionnellement, c’est-à-dire de prévoir une charge moins lourde de travail, en plus de congés. Il est important de s’offrir un ou deux mois de réduction de stress, et ce genre de tour de force n’est possible que par la volonté personnelle.

Dans la même veine et en terminant, la première étape pour éviter la fatigue ou le surmenage d’hiver, c’est d’avouer que le phénomène existe et de ne pas jouer au surhomme avec votre corps.

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Multivitamines : Un manque de preuve pour affirmer leurs bienfaits

MedicalNewsToday rapporte les plus récentes publications de la part des Annals of Internal Medicine, dont l’une traite particulièrement des multivitamines et de certains de leurs bienfaits allégués sur la santé.

On s’attarde notamment au mythe qui veut que les multivitamines soient de précieuses alliées de la santé cardiovasculaire, et que leur consommation permette de réduire considérablement les risques de maladies cardiaques, de mortalité et de cancer. 

Pour les chercheurs impliqués dans ces récentes recherches, rien n’est pourtant moins vrai. À tout le moins, les preuves permettant d’en venir à de tels constats seraient trop faibles, voire inexistantes.

Seulement, les hommes ont semblé démontrer des statistiques plus basses en matière de cancer à la suite d’une consommation de multivitamines, sur une période d’au moins dix ans, mais les spécialistes ne sont pas prêts à en faire une généralité et croient qu’il serait naïf de tomber dans des constats faciles. 

Prétendre aux vertus miraculeuses ne vient en aide qu’aux compagnies productrices de ces produits, et les conclusions proposées dans les Annals of Internal Medicine invitent nettement à la prudence et au discernement. 

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Les légumes à la vapeur sont les plus nutritifs

Des chercheurs ont tenté de savoir quelle méthode de cuisson permettait aux légumes de mieux conserver leurs propriétés bienfaitrices pour la santé, rapporte le Daily Mail (UK).

Et la palme revient à la cuisson à la vapeur, selon les conclusions proposées lors de la Conférence annuelle de la recherche américaine sur le cancer. Cette méthode serait bien plus avantageuse pour la santé que de faire bouillir ses légumes ou encore de les passer au four à micro-ondes.

En optant pour la cuisson à la vapeur, les consommateurs conservent plus de nutriments, ainsi que les propriétés anti-cancer que possède une panoplie de légumes, à commencer par le brocoli.

C’est d’ailleurs ce dernier, le brocoli, qui profiterait le plus de ce mode de cuisson, car les autres moyens viendraient détruire une bonne majorité de ses avantages.

Les chercheurs concluent donc l’étude en suggérant la cuisson des légumes à la vapeur, mais rappellent également que leurs recherches démontrent une fois de plus l’impact de nos propres actions sur la nourriture ingérée. Pour eux, la méthode de cuisson et la façon d’utiliser nos aliments sont des facteurs aussi importants que le choix de ceux-ci au supermarché. 

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Solidifier son système immunitaire par la vitamine D

Alors que la première petite neige fondante s’est abattue sur plusieurs régions du Québec, signifiant du même coup l’arrivée de la saison de la grippe, plusieurs personnes chercheront à augmenter et solidifier les capacités de leur système immunitaire.

Selon le Nutrition News et son éditeur, Joshua Corn, il n’existe pas beaucoup d’alternatives ou de meilleurs moyens que de compter sur la vitamine D. D’ailleurs, la prochaine édition du magazine papier sera consacrée à la précieuse vitamine, qui a gagné ses galons depuis l’hiver dernier.

En effet, au cours de l’année qui se terminera bientôt, plusieurs études et recherches sont venues consacrer la vitamine D et son importance pour l’organisme, notamment en ce qui concerne les capacités immunitaires.

Rappelant du même coup qu’il n’est pas absolument nécessaire de recourir au fameux vaccin contre la grippe, Corn et son équipe précisent que le manque de vitamine D est maintenant un phénomène presque pandémique. Aucune surprise alors de voir les gens tomber malades facilement lors de l’arrivée de la saison froide.

Mais où retrouve-t-on la fameuse vitamine D? Malheureusement du soleil, qui se fait timide et moins accessible en hiver. On conseille donc de se tourner vers les suppléments, notamment de D3, et de demander les conseils d’un spécialiste de médecine naturelle, plus conscient des méthodes de fabrication des grandes marques.

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La vitamine B en prévention des crises cardiaques

Une nouvelle étude viendrait confirmer les effets préventifs de la vitamine B, notamment en ce qui a trait aux attaques et aux crises cardiaques.

C’est ce qui ressort des éléments rapportés par The National Library of Medicine, alors qu’une équipe de chercheurs chinois se sont penchés sur plusieurs autres recherches précédentes sur le sujet pour en tirer de nouvelles conclusions.

À la suite de ces analyses et des tests exhaustifs sur un vaste groupe de patients, on évalue la diminution des risques à environ 7 %.

Pour Xu Yuming, de l’Université Zhengzhou, il est vrai que la vitamine B semble faire baisser les risques d’attaques et de crises cardiaques, mais il faut aussi prendre en compte certains autres facteurs et ne pas prendre la consommation de suppléments à la légère.

« En se basant sur nos résultats, la capacité de la vitamine B à réduire les risques d’attaque est influencée par d’autres facteurs, comme le niveau d’absorption de l’organisme, la présence d’acide folique dans le sang ainsi que l’historique d’un patient en matière de santé rénale et de haute pression. Avant de commencer à prendre des suppléments, parlez toujours à un médecin », résume Yuming, 

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Des gestes clés pour combattre le froid hivernal

« L’hiver approche » n’est plus qu’une réplique classique de la série Game of Thrones, mais aussi une triste vérité.

Female First (UK) y va de quelques recommandations afin de combattre adéquatement les affres de l’hiver, mais surtout le froid inhérent qui mène bien trop souvent aux rhumes et grippes coutumiers.

On rappelle d’abord qu’il est important d’optimiser son système immunitaire afin de maximiser ses chances de lutter contre le froid, et ce processus commence inévitablement par une saine alimentation.

Une nutrition adéquate requiert des apports suffisants en vitamines diverses (C et D, notamment), une consommation élevée de fruits et de légumes, et moins d’alcool et de tricheries qu’à l’habitude. On conseille aussi de bien s’hydrater, et donc de boire beaucoup d’eau, et non des boissons gazeuses!

On vante aussi les mérites du soleil, même l’hiver, qui demeure nécessaire pour assurer sa santé physique, mais aussi mentale…

C’est également le moment de minimiser le stress, de prendre les choses un peu plus à la légère et de garder le sourire, mentionne également cette même source. Si cela peut sembler banal, le stress est le déclencheur de bien des maladies, bénignes ou graves.

En terminant, on suggère de dormir plus qu’à l’habitude, et de vous reposer le plus possible!

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Des carences en vitamine D beaucoup trop communes

La plupart des patients hospitalisés pour des fractures présentent des carences évidentes en vitamine D, selon les spécialistes, ce qui fait dire à ces derniers que ce problème en est un largement généralisé.

Et peu importe l’âge, peut-on déduire des statistiques publiées par l’Université du Missouri et rapportées par The National Library of Medicine, alors que même des patients âgés de 18 à 25 ans présentent cette carence.

« Une découverte intéressante de cette étude est que la déficience en vitamine D est observable chez des patients de tous âges. Plus de recherches sont nécessaires pour démontrer clairement si la vitamine D peut réduire le risque de fracture, mais nous savons qu’elle est nécessaire pour réparer les dommages aux os », résume Brett Crist, un professeur de l’Université du Missouri qui n’hésite pas à suggérer du même souffle la prescription de vitamine D à titre préventif chez la plupart des patients.

Seul bémol : des problèmes de santé sont associés à une trop forte teneur en vitamine D dans l’organisme, par exemple des maladies rénales ou encore le cancer.

On suggère donc fortement d’avoir une discussion ouverte avec son médecin praticien avant de se lancer dans la consommation de suppléments de vitamine D.

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Remède maison pour vergetures

Accouchement veut souvent aussi dire vergetures. Selon Wikipédia, ce serait de 75 à 90 % des femmes enceintes qui développent des vergetures. Se sentant souvent gênées de les exposer, elles explorent parfois les différentes techniques pour retrouver leur peau pré-maternité.

Selon Ihomeremedy.net, certains produits pouvant être trouvés en pharmacie ou en boutiques spécialisées, sans faire de miracles, ont fait leurs preuves. Voici les principaux.

L’acide glycolique est souvent l’ingrédient principal de bien des crèmes et pommades anticellulite. Ses vertus ont été démontrées par une étude sur le sujet, et il aiderait vraiment à réduire l’apparence des vergetures en améliorant la production naturelle de collagène.

Pour sa part, le beurre de cacao serait le plus efficace. Contenant des matières hautement hydratantes, il est considéré comme un correcteur naturel de cicatrices. Il est conseillé de masser les parties atteintes une fois nettoyées et séchées pendant 1 minute, 2 fois par jour. Naturellement, les résultats varieront selon la gravité des marques.

Également pour leurs propriétés hydratantes, les huiles essentielles comme celles de lavande, jasmin, camomille et l’huile d’olive vierge seraient bien appréciées. Même chose pour les huiles de vitamine E et C. Ces dernières seraient d’ailleurs particulièrement efficaces pour les femmes enceintes.

Finalement, le gel d’aloe vera, qui contient des propriétés anti-inflammatoires élevées, serait fort efficace. Certaines études ont souligné son impact positif sur les vergetures.

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Les végétariens à risque d’une carence en vitamine B12

Végétariens, végétaliens et compagnie, attention! Votre style de vie sain peut aussi comporter certains risques, dont celui d’une carence en vitamine.

C’est ce qu’expliquent des chercheurs de l’United Graduate School of Agricultural Sciences of Tottori et du Department of Nutrition of the Junior College of Tokyo, qui publient une nouvelle étude sur le sujet.

L’un des principaux risques associés au végétarisme est une carence éventuelle en vitamine B12, souvent retrouvée dans les viandes et substituts comme le bœuf, le poisson, les œufs et le lait.

Plusieurs plantes peuvent contenir de la B12, mais les chercheurs expliquent aussi que la bactérie qui permet les apports nécessaires de la vitamine provient surtout de l’organisme des animaux.

Les apports provenant des plantes seraient difficilement utilisables concrètement pour le corps humain, rendant les végétariens à risque.

La vitamine B12 est notamment fort utile à la formation des globules rouges, et un apport trop minime de celle-ci peut mener à plusieurs problèmes de santé, comme l’anémie, explique Medical News Today.

L’étude, qui se veut un effort de sensibilisation, a été publiée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.

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C’est ce qu’expliquent des chercheurs de l’United Graduate School of Agricultural Sciences of Tottori et du Department of Nutrition of the Junior College of Tokyo, qui publient une nouvelle étude sur le sujet.

L’un des principaux risques associés au végétarisme est une carence éventuelle en vitamine B12, souvent retrouvée dans les viandes et substituts comme le bœuf, le poisson, les œufs et le lait.

Plusieurs plantes peuvent contenir de la B12, mais les chercheurs expliquent aussi que la bactérie qui permet les apports nécessaires de la vitamine provient surtout de l’organisme des animaux.

Les apports provenant des plantes seraient difficilement utilisables concrètement pour le corps humain, rendant les végétariens à risque.

La vitamine B12 est notamment fort utile à la formation des globules rouges, et un apport trop minime de celle-ci peut mener à plusieurs problèmes de santé, comme l’anémie, explique Medical News Today.

L’étude, qui se veut un effort de sensibilisation, a été publiée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net