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Ce que votre enfant rapportera de l’école cette année

Ne vous découragez pas, d’autres parents partagent votre découragement, et ce, avec beaucoup d’humour. Alors voici, selon SheKnows, ce que votre petit dernier vous rapportera sans doute de l’école :

Nausées, vomissements et diarrhée

Au moins une fois au courant de l’année scolaire et, en prime, vous risquez aussi d’attraper le virus.

Un vocabulaire surprenant

Dont quelques jurons, bien entendu, peut-être aussi accompagnés de gestes offensants et de blagues inappropriées. Ne le punissez pas pour autant. Rétablissez l’ordre, simplement.

Une boîte à lunch, autre que la sienne

Ce sera sans doute la même histoire avec la tuque et les mitaines, ou tout autre article inattendu.

Un gros devoir… dû pour demain

L’apanage de tous les jeunes enfants est l’oubli, surtout lorsqu’il s’agit de travaux à faire à la maison. Respirez et libérez votre soirée.

Une odeur infecte dans le fond du sac à dos

Il se peut que vous ne reconnaissiez même pas la « chose » de laquelle proviendra l’odeur, mais elle y aura passé beaucoup trop de temps.

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La génétique responsable du développement du langage

Les chercheurs du Medical Research Council (MRS) Integrative Epidemiology Unit à Bristol sont catégoriques. Le gène ROBO2 est directement relié au nombre de mots utilisés par les enfants dans les premiers stades du développement du langage.

Medical News Today informe que les enfants commencent à parler entre 10 et 15 mois. Le vocabulaire se développe jusqu’à 50 mots entre 15 et 18 mois, 200 mots entre 18 et 30 mois, puis s’étend jusqu’à 14 000 mots lorsque le jeune atteint 6 ans.

La présente étude, publiée dans la revue Nature Communications, informe que le gène ROBO2 est situé dans la région génétique du chromosome 3, celui responsable du développement du langage et de l’émission de sons. Ce chromosome a précédemment été lié aux troubles de langage tels que la dyslexie.

Le ROBO2 intervient dans la première phase du langage, lorsque les bébés prononcent leurs premiers mots, avant d’effectuer des structures verbales plus complexes. Si l’on détecte un problème à ce stade, il sera possible de prédire des problèmes éventuels.

Pour les chercheurs, il s’agit d’une preuve qui corrobore de précédentes recherches sur le lien entre la génétique et les capacités linguistiques.

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Voici pour quelle raison il est essentiel de communiquer avec nos enfants

Ce sont surtout dans les familles à faible revenu et dans lesquelles les parents sont moins éduqués que les enfants souffrent des retards les plus importants. Lors de leur entrée à l’école, ils ont en moyenne 2 ans de retard en ce qui a trait au langage.

Anne Fernald, psychologue et enseignante à l’Université Stanford, a mené les plus récentes recherches, révélant un écart majeur chez les enfants issus de la pauvreté.

Les différences se situent tant au niveau du langage parlé qu’écrit, et l’écart se mesure à partir de 18 mois. À 24 mois, les enfants de familles à faible revenu démontraient déjà un retard de 6 mois sur ceux à revenu élevé.

Fernald croit avoir décelé la cause principale de ce retard. À l’aide de dispositifs d’enregistrement vocal, elle a pu établir une lacune au niveau du discours entre les parents et l’enfant de familles à faible revenu. Les bébés entendaient bel et bien des paroles, mais elles ne s’adressaient pas nécessairement à eux.

Le discours direct a prouvé un meilleur apprentissage du vocabulaire, et c’est pourquoi la chercheuse et son équipe mettent désormais sur pied des programmes pour aider les mères à faible revenu à mieux communiquer avec leurs bébés.

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Raconter des histoires, un enseignement précieux pour les enfants

Comme l’indique SheKnows, raconter des histoires aide en outre les enfants à améliorer leur vocabulaire et leur langage en général, en plus de les encourager à la lecture et faire foisonner leur imagination.

D’autre part, une recherche suggère que parler devant un public est la seconde plus grande crainte des adultes. En aidant votre enfant à s’exprimer devant les autres, vous lui rendrez un fier service.

Voici quelques indications pour vous aider à développer cet intérêt chez vos enfants :

– Faites-les rencontrer des conteurs professionnels. Les librairies et bibliothèques locales offrent habituellement des ateliers.

– Laissez-les choisir leur histoire. Parmi un vaste choix d’histoires courtes ou simplement d’images, s’ils ont la possibilité de raconter à leur façon quelque chose qui les intéresse vraiment, vous avez plus de chance de leur donner la piqûre.

– L’histoire à la chaîne. Créer une histoire où chacun ajoute tour à tour une nouvelle phrase au conte représente la meilleure pratique pour mettre l’imaginaire et le plaisir en ébullition, en famille ou entre amis.

– Mettez-y du vôtre. Vous devez être expressif! Entrez dans le personnage et encouragez vos enfants à faire de même. Le jeu théâtral sera d’autant plus utile à faire tomber le stress lorsqu’ils feront face à un auditoire inconnu, notamment lors de futurs exposés oraux.

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La fessée reliée à des problèmes d’apprentissage et de comportement

Même si les méthodes disciplinaires ont changé, certains parents prônent encore le châtiment corporel. Cependant, une nouvelle étude révèle que la fessée pourrait être associée à un retard d’apprentissage et à la présence d’agressivité.

Ce sont 1933 parents qui ont été interrogés par l’équipe du Dr Michael J. MacKenzie de la Colombia University School of Social Work. Leurs enfants avaient à l’époque environ 3 ans.

Ils ont été interrogés à nouveau lorsque les enfants avaient 5 ans, afin de déterminer la fréquence des épisodes de fessée.

Lorsque les enfants avaient atteint l’âge de 9 ans, ils étaient directement interrogés et devaient répondre à plus de 50 questions. Celles-ci déterminaient le niveau d’agressivité et la tendance à briser les règles de conduite. Les chercheurs évaluaient également l’étendue de leur vocabulaire.

Comme l’a mentionné MacKenzie, « les effets de la fessée perdurent. Ce n’est pas un problème que l’on peut éliminer du revers de la main ».

Les résultats ont démontré que les enfants qui recevaient la fessée plus de 2 fois par semaine étaient plus en difficulté que les autres, notamment en ce qui a trait au développement cognitif, au vocabulaire et à l’agressivité.

Science World Report révèle que 23 pays ont déjà banni le châtiment corporel par l’établissement d’une loi.

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S’amuser avec les mots pour susciter l’intérêt des jeunes

Psycho Enfants propose de jouer avec les mots pour réconcilier les enfants avec le vocabulaire, la grammaire et la communication. Si vous êtes créatif, vous trouverez encore plus d’idées en vous inspirant de celles-ci.

Combat des mots : Les virées en voiture sont souvent longues et pénibles, sans compter qu’on parle plus ou moins fréquemment. Pourquoi ne pas entamer une bataille de mots? Des noms de fruits, des métiers ou, comme on le suggère, des mots commençant par la même lettre ou se terminant par le même son. Celui qui hésite perd son tour!

De la suite dans les idées : Basez-vous sur une lecture que vous venez de faire et demandez à vos enfants qu’elle est la fin de l’histoire (ou la suite) selon eux, et pourquoi. Échangez avec eux, questionnez-les, félicitez-les. Un exercice simple qui, pourtant, les préparera à des activités similaires à l’école.

Pour vos plus grands : Autour de la table, au souper, demandez aux plus vieux (vous y compris) de faire des phrases contenant le plus d’homonymes possible. Ex : vers, verre, vert, ou serre, sert, cerf. « Rien ne sert de courir, j’ai vu le cerf près de la serre! »

Textos humoristiques : Lancez le bal des textos qui riment. « Ce soir, produits du terroir, n’oublie pas de rentrer tôt, j’ai fait ta crème de poireaux. » Avec un peu d’humour, vos ados y prendront peut-être même goût.

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Le vocabulaire des médecins peut blesser un enfant avec un surplus de poids

En fait, ces derniers trouveraient les termes « large » et « prise de poids excessive » plus appropriés afin d’établir un lien entre les enfants et les parents.

« Les termes qui sont plus neutres, moins critiques et moins stigmatisants devraient être employés. La plupart des familles voudront ce type de langage plus sensible. Et c’est que les cliniciens devraient vouloir, aussi, puisque c’est ce que les familles veulent », explique le chercheur au Département de Pédiatrie de l’Université de l’Alberta, Geoff Ball.

Certains parents, à l’usage de ces termes plus crus, se sentent blâmés pour le poids de leur enfant.

De plus, les parents estiment que c’est le rôle du médecin d’aborder le sujet, tandis que les médecins, de leur côté, trouvent la chose délicate et sont réticents puisqu’ils ne veulent pas offenser la famille et nuire à la relation qu’ils entretiennent avec leur patient.

Il est d’autant plus important que les experts entretiennent une relation de confiance avec leurs patients et leurs parents puisqu’il a récemment été prouvé que les connaissances des parents au sujet du surpoids de leur enfant comportaient d’importantes lacunes.

Rappelons que la majorité des parents ne sont pas conscients de ce qui cause l’embonpoint chez leurs enfants.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les enfants bilingues auraient plus de facilité à changer de tâches

Des chercheurs des National Institutes of Health, entre autres, ont étudié les réflexes des enfants bilingues par rapport à ceux d’enfants monolingues à l’aide d’un jeu à l’ordinateur. Ils ont constaté que lorsque la complexité du jeu augmentait, les enfants bilingues avaient moins de difficulté à continuer de jouer.

Les scientifiques, qui utilisent souvent ce genre de test, parlent de fonctionnement exécutif, qui détermine de la faculté du sujet à porter attention, planifier, organiser et élaborer des stratégies.

« Les enfants bilingues ont deux catégories de langage dans leur esprit, et leur cerveau est apparemment fait pour basculer entre ces deux catégories selon les circonstances », explique Peggy McCardle, la directrice du département du développement et comportement de l’enfant de l’Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health and Human Development.

Toutefois, la même étude démontre aussi que les enfants bilingues apprennent plus lentement leur vocabulaire, puisqu’ils doivent diviser leur temps entre deux langues, ce qui n’est pas le cas des enfants monolingues. Ainsi, les enfants parlant une langue uniquement ont pu ajouter beaucoup plus de mots à leur vocabulaire.

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Problème de langage chez l’enfant : le LDS est un outil efficace

Saviez-vous que les enfants âgés de plus de 2 ans doivent normalement maîtriser de 75 à 225 mots, et qu’un enfant sur quatre connaîtrait un retard de développement en ne disant qu’une cinquantaine de mots?
 
C’est ce qu’a confirmé Leslie Rescorla, chercheuse américaine qui a mis au point dans les années 80 le Language Development Survey (LDS) qui permet aux parents et aux professionnels de la santé de détecter des retards de langage chez l’enfant.
 
Selon Nan Bernstein Ratner, chercheur à l’université du Maryland aux États-Unis, quand un enfant ne maîtrise pas assez de vocabulaire, l’autisme ou un problème de développement mental ou d’audition serait à l’origine la plupart du temps.
 
Plus tôt le problème est découvert, plus tôt il pourra y avoir une intervention, conviennent les spécialistes qui se sont réunis en février dernier à Vancouver pour la conférence scientifique de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS).
 
C’est d’ailleurs lors de cette conférence annuelle que le LDS a été élu à nouveau comme excellent outil de détection des troubles de l’apprentissage du langage.
Le LDS est traduit en plusieurs langues, mais pas encore en français. Il contient 14 catégories (nourriture, personnes, animaux, etc.) qui rassemblent 310 mots (oui, non, bonjour, chat, banane, etc.).
 
Il semblerait qu’en moyenne, les enfants âgés de 24 à 30 mois utilisent 150 des mots présentés. Les parents sont invités à noter les mots spontanément utilisés et à travailler avec leurs enfants ceux qui semblent plus « compliqués ».
 
Le site CogniSciences est également une autre option pour mieux suivre le développement des enfants à différents âges.
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Problème de langage chez l’enfant : le LDS est un outil efficace

Saviez-vous que les enfants âgés de plus de 2 ans doivent normalement maîtriser de 75 à 225 mots, et qu’un enfant sur quatre connaîtrait un retard de développement en ne disant qu’une cinquantaine de mots?
 
C’est ce qu’a confirmé Leslie Rescorla, chercheuse américaine qui a mis au point dans les années 80 le Language Development Survey (LDS) qui permet aux parents et aux professionnels de la santé de détecter des retards de langage chez l’enfant.
 
Selon Nan Bernstein Ratner, chercheur à l’université du Maryland aux États-Unis, quand un enfant ne maîtrise pas assez de vocabulaire, l’autisme ou un problème de développement mental ou d’audition serait à l’origine la plupart du temps.
 
Plus tôt le problème est découvert, plus tôt il pourra y avoir une intervention, conviennent les spécialistes qui se sont réunis en février dernier à Vancouver pour la conférence scientifique de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS).
 
C’est d’ailleurs lors de cette conférence annuelle que le LDS a été élu à nouveau comme excellent outil de détection des troubles de l’apprentissage du langage.
Le LDS est traduit en plusieurs langues, mais pas encore en français. Il contient 14 catégories (nourriture, personnes, animaux, etc.) qui rassemblent 310 mots (oui, non, bonjour, chat, banane, etc.).
 
Il semblerait qu’en moyenne, les enfants âgés de 24 à 30 mois utilisent 150 des mots présentés. Les parents sont invités à noter les mots spontanément utilisés et à travailler avec leurs enfants ceux qui semblent plus « compliqués ».
 
Le site CogniSciences est également une autre option pour mieux suivre le développement des enfants à différents âges.