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Justin Bieber sème l’émoi

Être un voisin de Biebs n’est apparemment pas de tout repos. Depuis un certain temps, la police aurait reçu plusieurs appels concernant les comportements irresponsables de la jeune star.

Le week-end dernier, par exemple, Justin Bieber aurait donné des fêtes très bruyantes jusqu’au petit matin. Il a aussi été vu se promenant en Segway avec un ami qui, semble-t-il, fumait de la marijuana.

Selon TMZ, de nombreux voisins se seraient aussi plaints de la vitesse à laquelle le chanteur a l’habitude de conduire sa Ferrari et sa moto. Il serait d’ailleurs passé à grande vitesse dans les paisibles rues de la communauté alors qu’un enfant jouait à proximité.

Le conseil des propriétaires du quartier en serait maintenant à discuter de la marche à suivre pour faire arrêter ce carnage.

Le porte-parole du shérif du comté de Los Angeles, Steve Whitmore, confirme avoir reçu plusieurs plaintes à ce propos et déclare que le dossier sera présenté au procureur de l’arrondissement sous peu.

Il ajoute qu’une décision est d’ailleurs sur le point d’être prise à la suite de la plainte déposée par un voisin pour menace de mort il y a déjà 2 mois. Rappelons que Bieber avec eu une altercation avec l’homme et l’avait menacé, en plus de lui avoir craché au visage.

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Moins de risque de diabète dans les quartiers accessibles à pied

Les gens qui vivent dans des quartiers ou des communautés qui facilitent la marche auraient moins de risque de développer du diabète que ceux qui sont moins accessibles à pied. C’est ce que révèle une large étude canadienne, publiée sur nlm.nih.gov.

Gillian Both, qui dirige l’étude, déclare : « Si vous avez moins d’occasions de pratiquer une activité physique comme la marche au quotidien dans votre quartier, vous risquez de prendre du poids. Les chances de diabète sont également plus élevées ».

La chercheuse de l’hôpital St. Michaels à Toronto estime que des études précédentes ont également révélé des liens entre les gens qui marchent pour se déplacer dans le voisinage et leur santé physique.

Le sujet l’intéresse particulièrement, puisque la concentration des gens dans les grandes villes est en constante progression. Les immigrants provenant de pays moins développés qui s’installent dans une cité nord-américaine sont également visés, puisqu’une soudaine sédentarité s’installe souvent dans leur nouveau mode de vie.

Les chercheurs qui travaillent sur ce dossier affirment, en conclusion, que l’environnement dans lequel on vit affecte grandement notre santé et fera varier les types de maladies contractées ainsi que les manières dont elles se développent.

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Les peurs maternelles du voisinage

Une recherche des universités Rice et Stanford fait état d’une réalité de plusieurs mères, quoiqu’elle soit surprenante. Il semble que le voisinage encourage ou non une mère à laisser ses enfants jouer dehors.

En d’autres mots, la pauvreté environnante pousserait une maman à retenir ses enfants à la maison. Les chercheurs suggèrent cette tendance comme l’une des causes de la baisse de popularité du jeu extérieur des dernières décennies, lit-on dans Family Relations.

De plus, selon leurs observations, le statut économique, l’éducation, l’emploi et la santé physique et mentale influencent les peurs de la mère. La même chose a donc été remarquée quant à la perception que cette dernière a de son voisinage.

Les femmes qui vivent au sein d’un voisinage où sont partagées les mêmes valeurs seraient, à l’inverse, plus enclines à laisser leurs enfants jouer dehors.

On suppose que le lien existant entre cette peur et la pauvreté serait dû aux facteurs qu’on lui associe, par exemple, le manque d’aires de jeux et la criminalité. Les perceptions de la mère joueraient donc un rôle prédominant, et leur peur ne serait pas complètement rationnelle.

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Les amis ne sont pas si influents

Quand notre enfant connaît des difficultés d’ordre comportemental, on se rabat souvent, comme parent, sur les amis qu’il fréquente. Or, selon une récente recherche parue dans Social Psychology Quarterly, le cœur du problème ne se situe pas là.

Des chercheurs ont observé des jeunes provenant d’un milieu à faible revenu. Parmi eux, certains avaient de bons résultats scolaires, d’autres non. Les groupes formés comprenaient des enfants qui connaissaient des problèmes, alors que les autres n’en étaient pas nécessairement touchés.

Alors que l’on aurait cru qu’un mauvais comportement serait perçu comme un facteur d’admiration chez les jeunes, il s’est avéré qu’au contraire, la violence présente dans leur voisinage avait plutôt influencé leur choix d’amis.

Bien entendu, ces observations concernent particulièrement le passage à l’adolescence, quand un enfant accorde beaucoup plus d’intérêt aux relations d’amitié qu’il crée.