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Une femme sans électricité n’en peut plus de sa voiture électrique

Alors que la tempête de verglas a plongé des centaines de milliers de Québécois dans le noir, les chauffeurs de voiture électrique doivent prendre leur mal en patience quand vient le temps de recharger leur véhicule, rapporte le Journal de Montréal

Plusieurs d’entre eux doivent faire la file avant de pouvoir enfin recharger leur véhicule à une borne fonctionnelle.

« Je suis prête à la vendre. Avoir une voiture électrique, c’est un cauchemar », explique, découragée au sujet de sa voiture, Diana Trujillo, au quotidien montréalais. En quelques mois seulement, la dame a dû se mettre à la recherche d’une borne pour sa Tesla, après avoir connu une panne durant le temps des Fêtes qui a duré quelques jours. 

« Ma conjointe a dû faire quatre stations-service pour réussir à mettre de l’essence », compare de son côté Kyril Maatouk, en entrevue au Journal de Montréal. 

« C’est la première fois que j’attends […] je suis venu aujourd’hui recharger ma voiture parce que je suis en congé », ajoute-t-il.

Éric Coallier a trouvé une astuce pour ne pas subir la panne de courant une deuxième fois en deux ans. Comme lui et sa conjointe possèdent chacun une voiture électrique, ils s’assurent qu’il y en a toujours une des deux complètement chargée.

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Audi se tourne vers l’électricité

C’est ce qu’a déclaré le patron de la marque aux anneaux, Rupert Stadler, dans une entrevue accordée le week-end dernier au journal allemand Welt am Sonntag.

Selon le dirigeant, il y aura de grandes opportunités sur le marché des voitures électriques dans environ une décennie. D’ici là, Stadler s’attend à ce que les technologies diesel et des batteries dominent le secteur de l’automobile.

En se tournant vers une technologie propre, Audi devient le leader de son pays. BMW a annoncé de son côté que la décision de construire ou non un véhicule électrique serait prise plus tard cette année.