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Trucs et Bricolages

Une nouveauté à l’aéroport de Québec qui fera des heureux

Prendre une pause de l’hiver et s’envoler vers le sud, quel bonheur! Cependant, pour certaines personnes, il existe un irritant. Les voyageurs québécois doivent soit quitter leur demeure sans manteau et se geler un peu avant d’être dans les murs de l’aéroport, soit traîner ce vêtement encombrant et des bottes jusque dans l’avion…

Cela fait des lustres que bien des voyageurs se demandent pourquoi il n’y a aucun casier dans nos aéroports pour y déposer tout ça et se rhabiller chaudement au retour.

Et bien, l’aéroport de Québec serait le premier de la province à écouter ce souhait, selon Ici Québec.

En effet, récemment une trentaine de casiers intelligents de l’entreprise québécoise Expedibox ont été installés au premier niveau de l’aéroport, entre le stationnement étagé et la passerelle qui mène à l’aérogare.

Les compartiments automatisés permettent de déposer des objets en consigne pendant quelques heures ou plusieurs jours.

Le cofondateur d’Expedibox, Alexandre Vignola-Côté, a expliqué à Ici Québec que ce système automatisé et à  faible coût est avantageux. 

« Pour une semaine, pour une très grosse porte qui comprendrait des bottes, un manteau, une petite valise, des choses comme ça, ça serait environ 35$ pour la semaine ».

Selon lui, l’aéroport Jean-Lesage serait le premier dans la province à offrir un tel système.

À Montréal-Trudeau, on retrouve pour le moment plutôt un service de consigne. Sur le site Internet de YUL, on lit que « pour des raisons de sécurité, il n’y a pas de casiers dans l’aérogare ».

Pour sa part, monsieur Vignola-Côté affirme que les casiers Expedibox sont sécuritaires, car’ils prennent automatiquement une photo de l’usager qui y dépose et y récupère ses biens.

C’est suite à la demande des voyageurs que la direction de l’aéroport de Québec a approché l’entreprise, qui est basée à St-Denis-de-Brompton, en Estrie.

« Il y avait une demande de la part de la clientèle, les gens qui veulent aller dans le sud l’hiver, ils veulent un endroit pour laisser leur manteau, leurs bottes », a confié le  vice-président au développement des affaires et technologies à l’aéroport de Québec Marc-André Bédard à Ici Québec.

Monsieur Bédard a confié que les commentaires des utilisateurs de ce système sont actuellement  recueillis, pour voir comment on  pourrait l’améliorer.

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Habsolument Fan

La LNH confirme les deux clubs qui participeront à la Global Series à Melbourne en Australie

La LNH vient tout juste de confirmer que les Coyotes de l’Arizona vont affronter les Kings de Los Angeles les 23 et 24 septembre prochain au Rod Layer Arena de Melbourne en Australie.

Il s’agira donc d’une expérience incroyable pour l’ancien du Canadien, Phillip Danault

En 2022, la Global Series s’était déroulée du côté de la Finlande, de l’Allemagne, de la Suisse ainsi que de la Tchéquie.

Les Predators avaient affronté le SC Bern en Suisse le 3 octobre, les Sharks contre Eisbären Berlin le 4 octobre en Allemagne, puis les deux clubs de la LNH avaient croisé le fer à deux reprises en Tchéquie les 7 et 8 octobre dernier. 

Du côté de la Finlande, l’Avalanche avait disputé deux matchs contre les Blue Jackets les 4 et 5 novembre. 

Voyez la publication de Frank Seravalli plus bas :

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Nightlife.ca

Premier test avec cobayes pour Virgin Hyperloop

La société Virgin Hyperloop a réussi son premier test de fonctionnalité avec deux personnes à bord dans le désert près de Las Vegas.

L’Hyperloop est un mode de transport du futur qui permettra de véhiculer des personnes à plus de 1000 kilomètres à l’heure dans des capsules projetées en lévitation magnétique dans des tubes.

Même s’il s’agit d’un mode de transport très futuriste, la technologie de l’Hyperloop est basée sur des connaissances éprouvées. En effet, depuis les années 1970, des trains au Japon et en Allemagne utilisent déjà l’énergie électromagnétique pour léviter sur les rails et circuler plus rapidement.

L’Hyperloop ajoute toutefois une composante importante. La capsule est placée dans un tube pressurisé. Ne rencontrant aucune friction causée par l’air, la capsule peut ainsi atteindre des vitesses très élevées.

Pour ce premier test concluant, Virgin Hyperloop s’en est tenu à une vitesse de 160km/h. Le tube installé dans le Nevada ne faisant que 500 mètres de long, il n’est pas possible pour le moment de tester l’appareil à des vitesses plus élevées.

La capsule qui a accueilli les deux premiers cobayes travaillant pour Virgin Hyperloop, Josh Giegel, le responsable des technologies, et Sara Luchian, la directrice de l’expérience client, semble aux premiers abords très confortable. Elle est toutefois loin de ressembler à celles qui devraient recevoir entre 25 à 30 passagers lorsque le projet sera lancé.

Virgin Hyperloop aimerait construire un système de tubes reliant de grandes villes de par le monde. La société espère recevoir les certifications nécessaires au déploiement de sa technologie d’ici 2025-2026.

Relier Los Angeles à San Francisco, un trajet de 615 km, prendrait 43 minutes, affirme Virgin Hyperloop. Un trajet nettement plus rapide que l’avion qui met 1h28 à faire la même distance ou qui prend 6 heures en voiture.

Virgin Hyperloop a été fondée en 2014. Elle est l’oeuvre du milliardaire britannique Richard Branson.

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Nouvelles quotidiennes

Les Européens préféreraient voyager dans le passé que dans le futur

Si les voyages dans le temps existaient, les touristes aimeraient revivre une partie de leur jeunesse, révèle une étude originale menée par Lastminute.com.

28,9 % choisiraient un retour en arrière dans leur propre vie pour retrouver leur vie plus jeune. De nombreuses personnes interrogées effectueraient même un bon dans le passé à la rencontre de personnages illustres, tels que Cléopâtre (16,6 %). Quasiment autant se verraient bien dans une cour royale, et 12 % aimeraient se retrouver dans la Grèce antique pour discuter avec les grands philosophes.

Les voyages dans le futur séduisent 25,9 % des sondés européens qui adoreraient avancer dans le temps de plusieurs centaines d’années. 21,4 % seraient moins curieux, mais seraient intéressés de voir à quoi ressemblerait leur vie dans quelques années.

Les Français rejoignent la moyenne européenne. 28,4 % voudraient revivre leur jeunesse, contre 21,3 % pour un voyage dans le futur très lointain, et 21,2 % dans un avenir proche.

Il n’y a que les Italiens et les Britanniques qui préféreraient un voyage dans le futur plutôt que dans le passé.

L’enquête a été réalisée pour le compte de Lastminute.com par OnePol auprès d’un échantillon représentatif total de 5000 adultes à travers cinq pays : 1000 au Royaume-Uni, 1000 en Allemagne, 1000 en France, 1000 en Espagne et 1000 en Italie, fin mars 2014.

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Comment voyagerons-nous en 2024?

Le site de réservation de voyage Skyscanner a demandé à 56 spécialistes des tendances et au Future Laboratory d’imaginer les voyages de demain dans un rapport intitulé The Future of Travel 2024.

La première partie de ce rapport en comprenant trois s’intéresse au processus d’organisation et de réservation de voyages en 2024. Trois grandes tendances se profilent à en croire ces spécialistes du secteur :

– Compagnon virtuel et intelligence portable
En plus d’être connectée, la technologie portative va considérablement évoluer par rapport aux Google Glass. En 2024, les voyageurs pourront porter des lentilles de contact connectées capables de traduire n’importe quelle langue et ainsi détruire les barrières de la langue.

– Vacances virtuelles
En plus de technologies de réalité virtuelle comme Oculus Rift permettant d’évoluer dans sa destination avant son départ, une nouvelle technologie appelée Haptic permettra aussi une expérience plus sensorielle, avec la possibilité de ressentir la texture de son lit ou de son siège d’avion en amont de son voyage.

– Recherches sémantiques
L’organisation en ligne de ses vacances sera encore plus personnalisée à l’avenir, grâce à des technologies plus intuitives et nuancées. Par exemple, des outils comme des algorithmes à reconnaissance faciale permettront aux moteurs de recherche de lire les expressions du visage des internautes et d’adapter leurs résultats en fonction des réactions et des réponses des utilisateurs.

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Séjours Game of Thrones : voyager sur les traces de la série télé

Les lieux de tournage de la série Game of Thrones deviennent de vraies attractions touristiques. La Croatie, l’Islande et l’Irlande du Nord, qui ont accueilli les équipes américaines, ne manquent pas de surfer sur la vague pour promouvoir leurs régions.

La Croatie, qui accueille le tournage depuis la saison 2, surfe sur l’événement pour promouvoir les sites servant de décor à la série. À l’instar de Dubrovnik, qui incarne Port-Réal, alias la capitale du royaume des Sept couronnes, ou encore de Split, où ont été filmées plusieurs scènes d’action.

L’agence de voyages Viator a même mis sur pied des séjours pour permettre au public de suivre les traces des héros créés par George Martin, l’auteur des romans A Song of Ice and Fire. Les touristes peuvent ainsi participer à une visite guidée de quatre heures dans Dubrovnik ou partir à la découverte des lieux de tournage dans la région lors d’un petit périple de quatre jours. La visite de l’impressionnante forteresse de Lovrijenac, juchée à 37 m de haut, fait notamment partie du programme. Info : www.viator.com

L’Irlande du Nord, qui a également reçu les équipes de la série HBO, profite aussi de ce coup de projecteur. Les comtés d’Antrim, de Londonberry et de Down tirent leur épingle du jeu. En effet, ils participent depuis plusieurs saisons à recréer l’univers fantastique de Game of Thrones. Les grottes de Cushendun ont servi de décor pour l’accouchement de Lady Melisandre qui a donné naissance à une mystérieuse ombre. Les Dark Hedges et ses hêtres voûtés se sont transformés pour les besoins de la série en une dangereuse route royale. Quand la vallée de Shillanavogy a permis de recréer les prairies Dothraki.

L’office de tourisme ne s’y est pas trompé et propose sur son site internet un guide des différents lieux phares de la série à ne pas louper. À noter que du 11 au 15 juin, Belfast accueille l’exposition gratuite Game of Thrones qui dévoile, entre autres, les costumes et les armes de la série. Info : www.gotexhibitionbelfast/gotexhibition, www.ireland.com/

Pour le cas de l’Islande, c’est la même histoire. Les propos de la réalisatrice Janet Graham Borda vantant la destination ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd. En effet, l’office de tourisme n’hésite pas à les citer. Pour les lieux de l’extrême nord de Game of Thrones, « nous voulions quelque chose de beau, aride et brutal. En Islande, nous avons trouvé tout cela, ainsi que d’une équipe de production hautement professionnelle ».

Le tournage a eu lieu principalement au nord de l’île, à Gooafoss par exemple, où l’on trouve l’une des plus spectaculaires cascades du pays. Mais aussi à Dimmuborgir, une région composée de grottes volcaniques et de formations rocheuses, ou encore à Thingvellir, un site historique, culturel et géologique de premier plan. La région prisée des touristes se révèle être l’endroit où les plaques tectoniques de l’Amérique du Nord et de l’Europe se rencontrent. Info : www.iceland.is/

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Est-ce que votre adolescent devrait prendre une année sabbatique avant de poursuivre ses études?

Selon Deena Maerowitz, en entrevue avec SheKnows, il y a un avantage certain à prendre une année sabbatique entre le secondaire et le cégep. Il s’agit d’une occasion enrichissante, qui permet d’apprendre à mieux se connaître, d’économiser de l’argent, de faire du bénévolat ou de voyager.

Maerowitz est une consultante en éducation et fondatrice du site Undergradadmit.com. « Cela permet aux étudiants de prendre de la maturité et d’avoir plus de certitude quant au temps, à l’argent et à la concentration qu’ils sont prêts à investir pour leurs études. » Apparemment, même les établissements scolaires apprécient cette maturité chez les élèves qui prennent une sabbatique.

Sans compter que les jeunes apprennent à se connaître durant ce temps de réflexion, qui leur donne la possibilité d’explorer diverses options et intérêts.

Cependant, cette décision ne se prend pas à la légère. Elle n’est pas pour tout le monde et comporte des inconvénients. Retourner à l’école si l’on a trouvé un travail que l’on juge « suffisant », par exemple, peut mettre un frein à l’envie de poursuivre des études.

D’ailleurs, Maerowitz rappelle qu’il est important d’utiliser ce temps précieux intelligemment. « Ils doivent penser à leurs raisons de retarder le retour en classe et s’assurer de ne pas déroger du plan établi. »

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Voyager pour approfondir sa foi

Le site de cette organisation appelée Faith Travel Association se présente comme un lieu unique pour trouver à la fois son moyen de transport, son voyagiste, son hébergement ainsi qu’un spécialiste de l’alimentation selon sa religion. Il a été développé pour aider les voyageurs à approfondir leur foi grâce à des pèlerinages, des missions humanitaires ou des conférences à but religieux.

Selon la National Tour Association, qui est responsable de ce projet, chaque année, environ 300 millions de personnes partiraient en voyage à des fins religieuses à travers le monde. Ils insuffleraient 18 milliards de dollars par an à l’industrie du tourisme.

Un autre site, HalalTrip.com, a vu le jour l’année dernière pour les musulmans exclusivement. Il se présente comme le « TripAdvisor du voyage musulman ». Il propose une sélection d’hôtels, de voyages organisés et de vols.

De son côté, le site HalalStars.com est un comparateur d’hôtels visant aussi une clientèle musulmane, il a été lancé en partenariat avec Expedia.

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Voyager en avion n’a jamais été aussi sûr dans le monde

« Le début de l’année 2014 marque à la fois le 100e anniversaire de l’aviation commerciale et un record en matière de sécurité », a-t-elle annoncé, faisant état de 17 accidents et 224 victimes recensées en 2013.

« Les accidents mortels causés dans le monde par les avions de ligne ont été moins nombreux en 2013 que lors des cinq dernières années, avec 17 accidents recensés contre 27 en moyenne par an », explique l’institution basée à Cologne (Allemagne) et dont la mission est de veiller à la sécurité aérienne.

L’AESA souligne qu’aucun accident n’était à déplorer en 2013 parmi ses membres qui ont opéré, à eux seuls, environ 6 millions de vols commerciaux et transporté plus de 800 millions de passagers.

« L’Europe continue de détenir le record de la sécurité dans le monde, mais ceci ne doit pas être considéré comme acquis; alors que le trafic s’accroît dans le ciel européen et dans le monde, nous devons poursuivre nos efforts pour maintenir et même améliorer la sécurité aérienne », a commenté Patrick Ky, directeur général de l’AESA.

L’association internationale de transport aérien (IATA), qui estime que le seuil des 3 milliards de passagers transportés en avion a été franchi en 2013, doit publier le mois prochain son propre bilan annuel.

En 2012, elle avait évalué qu’il y avait un accident pour cinq millions de vols. C’était alors le taux le plus faible de l’histoire de l’aviation commerciale.

Le cabinet britannique Ascend, qui recense également le nombre d’accidents d’avion, établit lui le bilan 2013 à 220 morts. « Ce nombre de victimes est le plus faible en plus de 60 ans », souligne-t-il.

Celui-ci paraît en outre dérisoire comparé au nombre de victimes d’accidents survenant sur les routes. À titre d’exemple, 1128 personnes ont été tuées sur les routes en Espagne l’an passé, un niveau pourtant historiquement bas, soulignait la semaine dernière le ministre de l’Intérieur, Jorge Fernandez Diaz.

Les statistiques d’Ascend, qui incluent les accidents d’avions et de turbopropulseurs de plus de 14 places, font toutefois état d’une année 2013 un peu moins bonne que 2012, avec un accident tous les 1,9 million de vols contre 1 accident tous les 2,3 millions l’année précédente.

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Feu vert de l’UE pour voyager connecté dans les avions

Les passagers des avions européens vont pouvoir utiliser leurs appareils électroniques portables pendant toutes les phases du vol, et ils pourraient pouvoir les connecter à bord en 2014, mais seulement pour un usage silencieux, a annoncé la Commission européenne.

« Aujourd’hui, nous franchissons une première étape dans l’assouplissement des règles d’utilisation des dispositifs électroniques à bord des avions en toute sécurité lors des phases de roulage, de décollage et d’atterrissage », a annoncé le commissaire aux Transports, Siim Kallas.

« La prochaine étape concernera la connexion au réseau à bord d’un avion. Nous pensons publier de nouvelles orientations de l’UE sur l’utilisation d’appareils connectés à bord d’avions dans l’UE dans le courant de l’année prochaine. »

Siim Kallas a par ailleurs annoncé pour février 2014 la levée de certaines restrictions à l’embarquement de liquides imposées pour des raisons de sécurité. « Mais nous ne pourrons pas tout autoriser », a-t-il souligné.

L’autorisation du commandant de bord sera toutefois nécessaire pour pouvoir laisser allumer les téléphones portables, les tablettes et liseuses configurés en « mode avion » non connecté aux réseaux.

« Pouvoir rester connecté même en voyage c’est le souhait de tous, mais la priorité reste la sécurité. Si le commandant de bord donne pour consigne d’éteindre, il faudra obtempérer » , a insisté Siim Kallas.

« Il faut respecter le silence. Pas question de conversations privées. Seuls seront autorisés les textos ou les courriers électroniques, et rien d’autre », a averti le commissaire.

L’Agence européenne de sécurité aérienne a donné son aval en novembre à l’utilisation d’appareils électroniques dans les avions de ligne durant toutes les phases du vol, y compris le décollage et l’atterrissage.

Cette autorisation avait été donnée un mois plus tôt, en octobre, par l’Agence américaine de l’aviation civile (FAA) pour les consoles de jeux vidéo et les tablettes.

La FAA pourrait donner prochainement son accord à l’utilisation en vol des téléphones portables ou tablettes fonctionnant avec les réseaux mobiles 3G ou 4G. Leur utilisation resterait toutefois interdite pendant les phases de décollage et d’atterrissage.

Les compagnies aériennes seront appelées ensuite à donner leur accord et éventuellement installer les équipements nécessaires qui devront, à leur tour, être approuvés par la FAA.