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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

Bonne nouvelle dans le dossier du VPH (virus du papillome humain), qui prend de plus en plus de place dans l’actualité depuis l’an dernier.

Surtout après que des spécialistes aient établi que le virus transmissible sexuellement pouvait aussi contribuer fortement au développement du cancer, un fait propulsé aux quatre coins du monde par l’histoire contradictoire de l’acteur Michael Douglas, récemment.

Les nouvelles sombres concernant le VPH font maintenant place à de l’optimisme, alors que Santé Log rapporte une étude publiée dans le Journal of Infectious Diseases qui confirme l’efficacité du vaccin.

Ce dernier avait passé les phases d’essais cliniques traditionnels il y a quelques années, mais encore faillait-il que la population adopte le vaccin, ce qui semble chose faite.

En effet, on rapporte une réduction du VPH chez les jeunes Américaines, après des hausses constantes enregistrées année après année.

On constate que les campagnes de sensibilisation et le bouche-à-oreille pourraient finalement avoir porté des fruits, et ainsi permettre de sauver des milliers de vies à moyen et long terme.

Même s’il reste encore beaucoup de travail à faire, les spécialistes des Centers for Disease Control and Prevention se réjouissent de ce pas dans la bonne direction. 

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Un test sanguin pourrait permettre la détection précoce du cancer par VPH

La plus récente menace en matière de maladies et infections transmissibles sexuellement est certainement la montée fulgurante du VPH, virus du papillome humain.

Plus qu’une simple infection, on découvre que le VPH peut également favoriser le développement d’un cancer, notamment de la gorge et des ovaires.

Les déclarations et le cas médiatisé de Michael Douglas, récemment, ont ouvert les yeux sur cette possibilité, qui s’avère bien réelle.

The National Library of Medicine rapporte maintenant que des chercheurs affirment avoir découvert une façon de détecter le développement du cancer dû au VPH, ce qui augmenterait grandement les chances de rémission.

Le test en est un sanguin, et il permettrait de découvrir la maladie même des années avant son apparition et son développement!

C’est grâce à l’apparition de certains anticorps que les spécialistes pourraient réussir ce tour de force, ce dont se réjouit Paul Brennan, de l’Agence Internationale de Recherche sur le Cancer.

« Des outils de détection seront offerts pour le dépistage précoce dans le futur », conclut-il.

 

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Michael Douglas reprend ses propos

Hier (3 juin), alors que les commentaires de Michael Douglas sur la cause de son cancer ont beaucoup fait parler, nous apprenons aujourd’hui sur People que l’acteur aurait été mal cité.

En effet, Douglas, en parlant du cancer dont il a été victime, avait suggéré que le virus du papillome humain (VPH) était en cause et qu’il l’aurait contracté en faisant des cunnilingus.

Or, le porte-parole de la star a publié un communiqué afin de remettre les pendules à l’heure : « Michael Douglas n’a pas dit que le cunnilingus était la cause de son cancer. Il a cependant été mentionné pendant la discussion que, comme mentionné par un médecin, le sexe oral était une possible cause de certains cancers oraux, mais il n’a pas dit qu’il s’agissait de la cause de son cancer à lui ».

Plus tard dans la journée d’hier, alors qu’il participait à un évènement de la Société américaine du cancer, il s’est mis à plaisanter sur le sujet en se qualifiant du nouveau visage du sexe oral. Il a de plus expliqué que son but avait été de conscientiser les gens sur le sujet, en parlant de cette infection transmissible sexuellement et des dangers encourus. En effet, si non traité, le VPH peut se développer en cancer.

Il finit en disant qu’heureusement, il existe maintenant un vaccin contre cette ITS qui peut être administré aux jeunes.

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La SOGC encourage les garçons à se faire vacciner contre le VPH

Le VPH, ou virus du papillome humain, frappe la jeune génération de plein fouet. Bien que ce virus soit souvent associé aux jeunes femmes, la Société des obstétriciens et des gynécologues du Canada (SOGC) tient à rappeler aux garçons qu’ils sont aussi concernés par le fléau.

Radio-Canada rapporte une campagne de sensibilisation lancée par la Société, qui croit que les jeunes hommes ne sont pas assez bien informés sur le virus, souvent transmis à la suite de rapports sexuels non protégés.

Le VPH fait des ravages, et s’il peut parfois s’avérer bénin, on l’associe aussi à de nombreux problèmes de santé éventuels, ainsi qu’à certains cancers chez la femme… et maintenant chez l’homme.

Il faut donc redoubler de vigilance, et on ne saurait assez mettre l’accent sur l’importance d’une sexualité sécuritaire, donc avec protection.

Sachant que les jeunes ne sont pas toujours enclins à être responsables, on veut faire la promotion du vaccin, qui s’avère efficace et fort utile pour enrayer ce nouveau fléau.

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De plus en plus de parents refusent de faire vacciner leur fille contre le VPH

Le journal médical Pediatrics a publié les résultats d’un sondage mené auprès de parents de jeunes filles, portant sur leurs attitudes face au vaccin contre le VPH.

Ce vaccin est administré en trois doses aux filles à partir de 9 ans, ainsi qu’aux adolescentes. Apparu en 2006, il demeure controversé, parce qu’il protège contre une infection transmissible sexuellement, même auprès d’une population qui n’est pas encore active à ce point de vue.

En 2007, un sondage similaire avait révélé que 40 % des parents refusaient de vacciner leur fille. En 2012, ce nombre avait encore augmenté, avec 44 %. Pendant cette période, le taux de parents inquiets par rapport à la sécurité du vaccin a également grimpé de 5 à 16 %.

Le pédiatre américain Robert Jacobson a expliqué que « cette tendance était contraire à ce que l’on devrait observer », selon Science Daily. « Le VPH cause 100 % du cancer du col de l’utérus, et 50 % des Américains vont contracter ce virus au moins une fois dans leur vie. C’est une infection silencieuse, et il n’est pas possible de savoir si vous avez été exposés ou non. Ce vaccin est anti-cancer. »

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Le vaccin contre le VPH pourrait aussi venir en aide aux femmes qui ont le VIH

Le VPH est une maladie qui frappe fort depuis quelques années. Le virus du papillome humain, de son vrai nom, est statistiquement en hausse depuis quelque temps, mais un vaccin pourrait changer la donne dans le futur.

Et ce vaccin pourrait également profiter aux femmes atteintes du VIH, selon ce que rapporte www.nih.gov. Les chercheurs ont découvert que les risques potentiels chez les porteuses du VIH de développer un cancer sont similaires à ceux encourus par celles atteintes du VPH.

« Plusieurs travailleurs de la santé hésitent à prescrire le vaccin contre le VPH immédiatement après le début de la vie sexuelle d’une jeune femme ou d’une adolescente. Toutefois, les résultats des études démontrent que le vaccin peut apporter beaucoup de bénéfices, et même chez les patientes atteintes de VIH, ou qui vont l’être au cours de leur vie », explique l’auteure en chef de cette récente étude, Jessica Khan.

Dre Khan, de l’University of Cincinnati College of Medicine, rappelle également l’importance de la prévention des maladies transmissibles sexuellement chez les jeunes filles.

D’autres études concernant les liens entre le VIH, le VPH et ces vaccins seront publiées dans un futur rapproché.

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Les femmes pourraient elles-mêmes faire leur dépistage du VPH

Une étude parue dans le Journal of the National Institute of Cancer donne le feu vert à un ensemble de dépistage maison pour le virus du papillome humain (VPH).
 
L’étude chinoise réalisée avec 13 000 femmes révèle que ces ensembles maison, à base d’acide acétique, sont tout aussi efficaces que le frottis traditionnel des médecins pour déceler le virus. Même qu’ils se seraient montrés meilleurs pour dépister les signes avant-coureurs du cancer du col de l’utérus chez les femmes.
 
Une étude allemande avec un ensemble du même genre en était arrivée aux mêmes conclusions précédemment. Aux Pays-Bas, ces ensembles de dépistage maison sont déjà en vente, et au Royaume-Uni, ils sont toujours à l’étude.
 
Aux États-Unis, il existe un ensemble créé par Qiagen de Gaithersburg, dans le Maryland, qui permet aux femmes de faire le prélèvement elles-mêmes et de l’envoyer à un laboratoire. Ceci permet aussi d’éviter d’attendre pour obtenir un rendez-vous chez le médecin et de désengorger les cliniques.
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Les infections de la bouche par le VPH plus fréquente chez les hommes

Selon le Journal of the American Medical Association, les hommes sont trois fois plus nombreux que les femmes à souffrir d’une infection de la cavité buccale du virus du papillome humain (VPH), dont par une souche particulièrement cancérigène.
 
Chez les hommes, la prévalence de ce type d’infection est de 10,1 %, alors que chez les femmes, elle est de 3,6 %, selon les données recueillies auprès de 5579 personnes âgées de 14 à 69 ans en 2009 et 2010.
 
C’est chez les 60-64 ans que la prévalence du VPH est plus élevée, soit 11,4 %, comparativement à 7,3 % chez les 30-34 ans.
 
La maladie touche surtout les gens sexuellement actifs, et le risque d’infection augmente non seulement avec le nombre de partenaires sexuels, mais aussi avec l’âge.
 
Le VPH peut favoriser l’apparition de cancers. « L’infection orale par le VPH est la cause de cancers de la bouche et du pharynx. Au moins 90 % d’entre eux sont provoqués par la souche la plus cancérigène de ce virus. L’incidence de ces cancers a augmenté ces trois dernières décennies dans plusieurs pays, et l’infection par le VPH en a été la cause principale », expliquent les chercheurs.
 
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Le vaccin Gardasil aussi recommandé pour les garçons

Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) est maintenant recommandé pour les garçons.
 
Le comité consultatif national de l’immunisation de l’Agence de santé publique du Canada considère que le vaccin Gardasil a fait ses preuves.
 
À noter que Gardasil serait le seul homologué par Santé Canada qui serait administré aux garçons et jeunes hommes de 9 à 26 ans.
 
La décision reviendra aux provinces afin de décider si le vaccin sera offert pour les garçons également. Au Québec, la question est maintenant à l’étude.
 
Le VPH est une affection transmise sexuellement qui peut causer des verrues génitales. À long terme, ce virus est aussi reconnu pour favoriser l’apparition du cancer du col de l’utérus chez les filles et plusieurs cancers chez les garçons.

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Le vaccin contre le VPH est bel et bien efficace

Une étude internationale dévoilée par la revue The Lancet affirme que le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH), transmis sexuellement, est aussi efficace qu’on le pensait au départ.
 
« Nos résultats confirment ce qu’on savait déjà, mais avec une force statistique très grande. De plus, d’autres études ont montré que la couverture du vaccin maintient sa force pendant au moins huit ans. On arrive au seuil des dix ans qui feraient du vaccin un bon investissement de santé publique », mentionne l’auteure principale de cette nouvelle recherche, Silvia de Sanjos.
 
De plus, le vaccin vise les souches du virus qui sont l’origine de 75 % des cas de cancer du col de l’utérus les plus courants.
 
Toutefois, il existe des opposants au vaccin qui croient que l’argent investi serait plus efficace dans des campagnes de prévention et de dépistage précoce. En 2008, on estimait que le vaccin avait coûté de 35 000 à 40 000 $ US par année de vies sauvées.
 
Les opposants ajoutent également que le vaccin procure un faux sentiment de sécurité aux jeunes femmes et qu’il déclencherait aussi des souches dormantes du virus.