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Les experts s’inquiètent d’une triple menace de virus respiratoires

À l’approche de l’hiver, les experts de la santé expriment leur inquiétude et craignent que les infections virales telles que la COVID-19, le VRS et la grippe saisonnière ne connaissent une saison anormalement difficile au pays.

L’augmentation prévue de l’activité virale survient à un moment où les systèmes de santé sont déjà sous pression par le manque de personnel et les taux d’occupation élevés.

L’épidémie de VRS a débuté en septembre de l’année dernière et a été en partie attribuée à la baisse de l’immunité de la population générale due à l’isolement social, ainsi qu’à d’autres mesures de prévention de COVID-19.

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Les admissions et les décès dus à la COVID-19 sont faibles, mais les cas de grippe sont en augmentation, selon l’Agence de santé publique du Canada et la situation aux urgences des hôpitaux pédiatriques est préoccupante, particulièrement chez les enfants se présentant avec une infection par le virus respiratoire syncytial (VRS).

Les rassemblements de fêtes faciliteront certainement la transmission des virus des plus jeunes membres de la famille à leurs aînés, ce qui inquiète particulièrement les professionnels de la santé.

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La convergence de la grippe, de la COVID et du VRS pourrait provoquer une réaction en chaîne virale qui pourrait s’avérer dévastatrice.

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Effets à long terme d’un virus commun

Le virus syncytial (VRS), même si l’on connaît peu son nom, est pourtant très courant. La plupart des enfants le contractent avant d’avoir atteint l’âge de trois. Ce virus entraîne une infection des poumons et des voies aériennes.

Chez les bébés, le VRS peut entraîner la bronchiolite ou la pneumonie. Sinon, les symptômes les plus importants consistent en l’écoulement nasal et la congestion, la toux, le mal de gorge et la fièvre. Il peut parfois se conclure par une otite.
 
Or, un article vient d’être publié dans The Pediatric Infectious Disease Journal sur le virus syncytial. Selon ses auteurs, on devrait prendre le VRS plus au sérieux, car il peut engendrer des impacts importants sur la santé générale des enfants et des bébés.
 
Il faudrait donc resserrer les mesures de prévention de ce virus, car s’il en existe pour les enfants déjà à risque de développer une maladie grave, il y en a peu pour ceux qui sont en pleine santé.

L’hygiène est encore la meilleure des préventions, car aucun vaccin n’existe encore pour contrer le VRS. Se laver les mains et celles des enfants et des bébés est donc la meilleure option pour l’instant, car ce virus est présent dans le mucus et la salive, c’est-à-dire sur les mains, dans la bouche et dans le nez.

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La vitamine D préviendrait un virus respiratoire

Une étude parue dans Pediatrics a démontré que la vitamine D protégerait les enfants du virus respiratoire syncytial, le VRS.

Ce virus constitue la cause première des infections respiratoires chez les jeunes enfants. Dans la majeure partie des cas, il affecte des bébés de moins de deux ans et il est très contagieux.
 
L’étude en question a porté sur l’analyse de la concentration de vitamine D dans le sang du cordon ombilical de 156 nouveau-nés des Pays-Bas. On a remarqué qu’une déficience de cette vitamine engendrait de plus grands risques de contraction du VRS.
 
Précisément, les bébés qui venaient au monde avec une déficience en vitamine D étaient six fois plus exposés au virus respiratoire que ceux qui présentaient un taux plus élevé.
 
De plus, les chercheurs ont noté que 54 % des bébés en santé naissaient avec une carence en vitamine D et que 12 % des enfants étaient atteints du VRS durant leurs 12 premiers mois de vie.

On recommande finalement que de prochaines études portent sur les effets des suppléments de vitamine D pendant la grossesse quant aux risques de virus respiratoire syncytial chez les bébés.