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Sia retrouve sa couronne pop avec You’re Never Fully Dressed Without a Smile

Dans l’industrie de la pop, il est pratiquement de l’ordre d’une chance sur deux, et peut-être plus, d’être déçu par l’écoute d’un nouvel extrait ou par la sortie d’un nouveau vidéoclip.

Des statistiques qui ne semblent cependant pas s’appliquer à Sia, qui démontre encore une fois qu’elle mérite le titre de reine de la pop, à tout le moins pour les extraits les plus efficaces, avec la sortie de You’re Never Fully Dressed Without a Smile et de son clip subséquent.

La voix de Sia est sans doute l’une des plus intéressantes en ce moment (heureusement qu’elle a décidé de l’utiliser au lieu de continuer de tout donner à ses homologues), mais c’est surtout la manière dont elle l’utilise qui se démarque à ce point.

Sur une chanson aussi « classique » que You’re Never Fully Dressed Without a Smile, par ailleurs destinée à la trame sonore du remake d’Annie, Sia s’impose encore une fois devant une compétition moribonde.

Découvrez You’re Never Fully Dressed Without a Smile, de Sia.

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Un enregistrement de Paul McCartney perdu et retrouvé

Un enregistrement inédit de Paul McCartney datant de 1964 a été découvert récemment, annonce NME.

Il s’agit d’une version de A World Without Love, de Peter and Gordon. Il faut dire que c’est McCartney lui-même qui avait à l’époque créé la chanson, avant de la remettre à Peter Asher (Peter and Gordon).

Ce dernier était par ailleurs le frère de la petite amie de Sir McCartney de l’époque, Jane Asher.

Mais revenons au titre qui refait surface, puisque celui-ci n’était pas censé exister, selon les sources. Personne dans l’entourage de McCartney ne savait qu’il avait non seulement écrit la chanson, mais qu’il en avait aussi enregistré une version…

La voilà donc qui réapparait, déterrée par Peter Asher lui-même, alors que ce dernier a découvert l’artéfact dans un casier de stockage de Los Angeles.

Il poursuit en expliquant qu’à l’époque, personne ne voulait de la chanson. John Lennon n’aimait pas cette composition de son homologue. Ainsi, Asher et son groupe se sont approprié la pièce, qui allait devenir un numéro un tant en Angleterre qu’aux États-Unis.