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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Un antidépresseur expérimental fort prometteur

Un nouvel antidépresseur, qui n’en est qu’aux phases expérimentales, pourrait s’avérer très prometteur, selon plusieurs experts.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle du traitement comme d’une nouvelle façon de faire en matière de traitement de la dépression. L’antidépresseur agirait de façon précise sur le cerveau, ciblant des zones spécifiques.

De plus, on vante les mérites à long terme du produit, pour l’instant appelé GLYX-13. Testé uniquement de façon intraveineuse en ce moment, il semble offrir de bons résultats sur certains patients qui n’ont pas (ou mal) réagi aux autres traitements et antidépresseurs connus.

Le traitement serait efficace presque immédiatement après l’administration, et son effet à long terme satisfait l’équipe de chercheurs chargée des essais cliniques.

Joseph Maskal, professeur en biomédecine, est l’un de ceux-là. Il explique : « On a constaté des effets robustes, rapides et à long terme. De plus, aucun effet secondaire majeur n’a été répertorié ».

Le Dr Bryan Bruno, de l’équipe de direction du département de psychiatrie de l’hôpital Lenox Hill de New York, parle d’un « développement fort excitant ».

Il s’agirait donc d’une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des troubles dépressifs qui ne réagissent pas ou peu aux traitements populaires retrouvés sur le marché, comme le Prozac, le Paxil ou encore le Zoloft.