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Les deux meilleurs moyens de prévenir la grippe

À l’ère de la technologie et des percées médicales constantes, on pourrait s’attendre à ce que de nouvelles façons, hormis le vaccin, soient proposées ou découvertes pour prévenir la bonne vieille grippe lors de la saison hivernale.

Or, selon les informations rapportées par Top Santé, des chercheurs se sont penchés sur les meilleures méthodes présumées pour prévenir et contrer la grippe, pour finalement couronner deux des plus vieux trucs du monde comme meilleures façons d’y parvenir.

En effet, selon les chercheurs de l’équipe du Dr Michael Allan, basée à l’Université d’Alberta, le simple fait de se laver les mains et quelques apports supplémentaires en zinc seraient toujours les deux meilleures manières de repousser le virus de l’influenza le plus longtemps possible.

Le Dr Allan a analysé plusieurs études précédentes pour en arriver à ce constat, et malgré l’impact présumé du zinc en prévention de la grippe, le spécialiste ne conseille cependant pas une prise systématique de suppléments.

« Ce n’est pas quelque chose que je recommanderais sur une base régulière. Le zinc peut mener à des nausées et n’a pas un goût particulièrement plaisant », explique-t-il.

Le lavage de main s’avère cependant une solution plus simple et plus efficace.

Les probiotiques ont aussi été mentionnés comme possible solution préventive.

Le Dr Michael Allan publiait ces conclusions, ainsi qu’une analyse des traitements possibles une fois la grippe contractée, dans le Canadian Medical Association Journal.

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Que manger pour prévenir la DMLA?

Le DMLA, ou dégénérescence maculaire, se définit comme étant une dégénération des yeux et de la capacité à voir, un mal qui afflige bon nombre de personnes en prenant de l’âge.

Plusieurs études et théories affirment qu’il est possible de contrer le phénomène par l’alimentation, mais ces dernières se contredisent souvent.

Santé Log rapporte maintenant une nouvelle étude, proposée par les US National Institutes of Health, qui démystifie les aliments et les éléments nutritifs qui peuvent avoir une incidence positive en prévention de la DMLA.

On confirme d’abord que le risque de DMLA est plus grand chez les individus qui affichent des carences en caroténoïdes, en lutéine et en zéaxanthine, tous des antioxydants.

Les oméga-3, en revanche, n’auraient aucun impact sur le développement de la maladie.

Aussi, on invalide ici les présumées propriétés bienfaitrices du bêta-carotène, que l’on croyait utile à la prévention de la DMLA. On suggère maintenant de se tourner plutôt vers les caroténoïdes et d’abaisser le taux de zinc des patients.

On soupçonne par ailleurs la bêta-carotène d’être un facteur de risque du cancer du poumon chez les fumeurs.

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Un régime riche en fer au secours des femmes et du SPM

Si le syndrome prémenstruel (SPM) relève du mythe et de la discrimination pour certaines, il s’agit d’un véritable fléau pour d’autres.

Il y a peut-être de l’espoir pour ces dernières, puisque The National Library of Medicine révèle une étude qui laisse croire qu’une alimentation riche en fer pourrait apporter une partie de la solution au problème.

Plus spécifiquement, le soulagement pourrait provenir des aliments riches en fer à base de plantes, donc de sources végétales.

Les symptômes de ce syndrome pourraient même être diminués jusqu’à 30 %, croient les spécialistes en tête de l’étude. Le zinc est mentionné spécialement dans ces conclusions. L’élément serait très important dans le traitement du SPM.

« On dirait bien que certains minéraux s’avèrent importants dans la gestion du cycle menstruel et du SPM. Les femmes devraient adopter un régime équilibré au quotidien, et si elles ne reçoivent pas les apports nécessaires de leur diète, elles devraient alors se tourner vers les multivitamines », croit Elizabeth Bertone-Johnson, professeure associée de l’Université du Massachusetts (Amherst).

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Comprendre l’impact du zinc sur la santé

De plus en plus de Nord-Américains consomment du zinc, que ce soit dans leur alimentation quotidienne ou par la prise de suppléments, apprend-on via le site de la National Library of Medicine.

Les spécialistes se penchent maintenant sur la question des impacts du zinc sur la santé, et une nouvelle étude qui vient de paraitre traite des effets potentiels du zinc sur les infections.

Plusieurs personnes en consomment d’ailleurs pour contrer les grippes et autres problèmes similaires, et l’étude menée par Daren Knoell de l’Université d’État d’Ohio semble approuver ce comportement. Pour l’équipe de Knoell, le zinc permet en effet d’améliorer le système immunitaire et, par conséquent, ses réponses.

« Nous croyons que nos découvertes vont aider à améliorer la compréhension des effets de ce métal plutôt banal sur notre système de défense, notamment face aux infections », déclare le chercheur.

Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de constater que le zinc se retrouve entre autres dans la viande rouge et la volaille, pourtant décriées par plusieurs nutritionnistes.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, puisque le zinc semble prometteur à bien des égards.

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Grippe : L’alternative au vaccin

Les avis nous pressant de nous faire vacciner contre les différentes souches de l’influenza sont de plus en plus nombreux et de plus en plus agressifs.

Proportionnellement, de plus en plus de gens sont méfiants envers le vaccin contre la grippe, et d’autant plus envers les compagnies pharmaceutiques qui les produisent massivement et empochent ainsi des tonnes de billets.

Se pourrait-il qu’il existe d’autres méthodes de prévention de la grippe?

Selon The National Library of Medicine, il semble que oui. Bien sûr, on parle ici d’alimentation et de choix gastronomiques, puisque ceux-ci sont le gage d’un système immunitaire fort ou faible.

Ainsi, l’Academy of Nutrition and Dietetics conseille d’opter pour des protéines durant la saison froide, elles qui sont primordiales à un système immunitaire en santé. C’est donc le bon moment d’apprécier de bonnes viandes!

On parle également de l’importance des apports en vitamines A, C et E, que l’on retrouve dans les légumes verts (épinards, brocoli, etc.), les fruits (oranges et autres) et dans les produits laitiers, respectivement.

Avant de conclure, l’Académieparle du zinc, qui aurait des propriétés miraculeuses sur le système immunitaire, selon certains.

À vous de choisir les aliments qui vous plaisent, mais pour éviter les grippes et rhumes en hiver, ce n’est pas le moment de commencer des régimes draconiens.

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Pour un système immunitaire optimal

Vous avez sans doute remarqué que certaines personnes sont malades plus souvent que d’autres, entre autres lorsque vient la saison de la grippe.

Comme elle est d’ailleurs à nos portes, et que la saison hivernale apporte son lot de virus potentiels, il vous est possible d’ajouter une corde à votre arc afin de vous donner les meilleures chances de combattre ces « maladies ».

En plus de bien s’habiller et de vous laver les mains, il est suggéré de regarder du côté du système immunitaire pour obtenir des réponses quant à vos habitudes de grippes, rhumes, gastro-entérites et autres.

En effet, si vous vous sentez souvent fatigué et que vous êtes sujet aux virus hivernaux, vous avez peut-être un problème de système immunitaire faible. Cependant, il est possible d’inverser le processus et de le renforcer par la nutrition, selon Conseilsnutrition.tv.

D’abord, ce n’est pas un mythe, les vitamines sont vraiment des alliées dans la quête d’un système immunitaire fort. Il faut donc s’assurer d’ingérer suffisamment des différentes vitamines, sinon de se tourner vers les suppléments.

Les minéraux comme le zinc et le sélénium sont aussi à conseiller. On les retrouve dans les noix et les légumineuses.

Les probiotiques (bonnes bactéries retrouvées dans une foule de produits) viennent compléter le trio des armes pour un système immunitaire au maximum de ses capacités.

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Le zinc pour réduire les complications chez le bébé

Une étude menée à New Delhi recommande aux médecins d’utiliser le zinc comme traitement complémentaire afin de réduire les risques d’échec en cas d’infection bactérienne chez nouveau-nés.

Les infections de ce type sont l’une des principales causes de décès chez les jeunes bambins, spécialement dans les pays moins développés. 
 
Les scientifiques suggèrent donc d’administrer 10 milligrammes de zinc en cas d’infection en plus des antibiotiques appropriés.
 
À l’issue de leurs études, les auteurs de la recherche ont déterminé que pour 15 nourrissons traités au zinc, il y a au moins l’évitement d’un échec thérapeutique pour l’un d’entre eux.  
 
Le zinc est également reconnu pour intoxiquer les microbes dans notre organisme.
 
Rappelons que le zinc n’a pas d’effets bénéfiques que sur les poupons, puisque les pastilles de zinc peuvent réduire la durée du rhume chez les adultes. En fait, elles permettraient de réduire de deux jours la durée des symptômes. Cependant, les pastilles de zinc n’ont aucune incidence sur l’intensité des symptômes du rhume.
 
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Une nouvelle méthode pour réduire la durée du rhume

Le Journal de l’Association médicale canadienne rapporte que les pastilles de zinc peuvent réduire la durée du rhume chez les adultes, permettant deux jours de moins de maladie.
 
Selon la Dre Michelle Science, on n’a remarqué aucun effet chez les enfants, probablement en raison du fait que durant les essais cliniques, les petits ont reçu des doses plus petites et sous forme de sirop.
 
Cependant, les bénéfices peuvent être vite relégués au second plan en raison des effets indésirables, notamment le mauvais goût des pastilles, mais aussi la possibilité de ressentir des nausées.
 
De plus, on ajoute que les pastilles de zinc n’ont aucune incidence sur l’intensité des symptômes du rhume.
 
Il reste maintenant à trouver le type de zinc et les doses exactes qui sont les plus efficaces pour réduire la durée du rhume.

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Les suppléments de zinc sauvent la vie d’enfants malades

Une étude menée en Ouganda, où la carence en zinc est omniprésente, et publiée en ligne dans le journal BMC Medicine démontre que les suppléments de zinc ont un effet incroyable sur la réduction du taux de mortalité chez les enfants qui ont une carence de ce minéral et qui sont atteints d’une sévère pneumonie ou du sida.

Sur 352 enfants atteints de pneumonie sévère, qui ont été traités avec des antibiotiques, la moitié a reçu un supplément de zinc pendant les traitements.

Parmi cette moitié, seuls 4 % des enfants sont décédés, comparativement à 12 % dans le groupe sans supplément de zinc.

Pour les enfants atteints du VIH, la chute du taux de mortalité était encore plus flagrante. Plus d’un quart des enfants sidatiques ont eu la vie sauve grâce au zinc.

Cependant, pour une raison encore inconnue, les suppléments de zinc n’ont pas amélioré le temps de récupération pour les enfants qui sont gravement malades.

Le zinc se trouve dans les crustacés, les viandes, les jaunes d’œufs et les graines. Il est connu pour stimuler le système immunitaire.

La carence en zinc est omniprésente partout dans le monde, tant dans les pays riches que pauvres. Un traitement par suppléments de zinc pourrait être une solution efficace et peu dispendieuse, selon les spécialistes.