Depuis des années, les scientifiques se sont penchés sur la question. Le point G existe-t-il vraiment?
Il a été évoqué pour la première fois en 1950 par le Dr Granfenberg. Il évoquait une zone érogène sur la paroi vaginale qui, une fois stimulée, garantissait un orgasme aux femmes.
Depuis des années, les hommes tentent de le trouver, certaines femmes également, alors que la majorité de la gent féminine affirme que le point G existe réellement.
Le Journal of Sexual Medicine affirme que cette fameuse zone érogène demeure introuvable. Après une centaine d’articles sur 60 ans, des tests, des études de cas et autre, personne n’a pu prouver avec certitude l’existence du point G.
On croit que le terme proprement dit, qui a commencé à être utilisé dans les années 80, serait seulement lié à la période de la libération sexuelle.
On espère plutôt que cela enlèvera de la pression aux personnes qui ne parviennent pas à le localiser.