La Nano, la voiture la moins chère au monde, devrait entre-temps être commercialisée en Europe dès 2011. Cependant, pour être vendue en Amérique, elle devra d’abord réussir tous les tests gouvernementaux relatifs aux émissions polluantes et à la sécurité.
Les prétentions de Tata ne s’arrêtent pas là. Cette semaine, à New York, le président de Nano a confié que sa société travaillait à la conception d’une voiture n’étant pas propulsée par un moteur à essence. On pense au diesel, aux biocarburants et à l’électricité fournie par des piles.
De plus, Tata veut proposer un autre véhicule encore moins cher que la Nano. Il s’agirait d’une combinaison moto-scooter, facile à manoeuvrer dans les régions très densément peuplées, principalement destinée aux pays émergents.