Un gène détermine la facilité à arrêter de fumer
Selon des chercheurs de l’Université McGill, un gène déterminerait notre réaction au tabagisme.
En fait, les personnes ayant un métabolisme nicotique rapide voient leur cerveau réagir plus aux stimuli du tabagisme, comme voir une cigarette ou un fumeur.
De cette façon, le taux de succès à l’arrêt du tabac est plutôt restreint, car les rechutes sont plus fréquentes.
« Les personnes au métabolisme nicotinique rapide auraient une réaction cérébrale plus importante à la vue de stimuli au tabagisme, à cause du lien étroit dans la vie quotidienne entre l’exposition aux cigarettes et les poussées de concentration de nicotine dans le sang », mentionne le chercheur Alain Daguer.
Cette découverte pourrait mener à une modification des programmes pour arrêter de fumer afin qu’ils soient basés sur la génétique de chaque personne.