Une nouvelle étude se penche sur l’avortement
Selon cette étude, l’Angleterre (incluant le Pays de Galles) avait le taux d’avortements le plus élevé, soit 22 sur 1000, suivi de près par la Suède, avec 21 pour 1000. Les taux les plus bas ont été observés en Allemagne et en Slovaquie.
Lorsqu’étudié par tranche d’âge, l’avortement était plus susceptible d’arriver à une femme dans la vingtaine, souvent à cause d’un problème avec un moyen de contraception.
Ainsi, les femmes de 20 à 24 ans étaient les plus touchées par une interruption volontaire de grossesse. Aux États-Unis, par exemple, 40 avortements sur 1000 étaient subis par une femme dans la jeune vingtaine, de même que 34 avortements sur 1000 en Estonie, et 33 avortements sur 1000 en Suède.
Les adolescentes de 15 à 19 étaient moins touchées par le phénomène, mais celles-ci comptaient tout de même pour 18 % de l’ensemble des avortements, une proportion qui s’est avérée semblable en Europe comme en Amérique du Nord.
L’étude a été publiée dans la revue médicale International Perspectives on Sexual and Reproductive Health.