Une protection pour le cerveau

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Une équipe de l’Inserm a mis en lumière des agents protecteurs contre la neurotoxicité du mercure et des effets du métal lourd sur le cerveau.
 
Le Toxicological Sciences affirme que les tests effectués sur des souris victimes d’intoxication alimentaire au methylmercure (MeHg), un dérivé du mercure, montrent qu’après trois mois, elles avaient perdu 30 % de leurs cellules nerveuses du cortex.
 
Toutefois, la chimiokine CCL2 a protégé le cerveau de certaines d’entre elles.
 
« L’ensemble de ces résultats démontre que le MeHg peut provoquer une neuroinflammation et que la chimiokine CCL2 agit comme un système d’alarme neuroprotecteur dans les déficits neuronaux induits par le MeHg. Ils viennent compléter et confirmer d’autres études récentes montrant les effets toxiques du mercure sur le métabolisme énergique et ses effets neurotoxiques », mentionnent les chercheurs.