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Dans les coulisses

Valeri Nichushkin : l’Avalance n’aurait pas envie de l’échanger

DENVER, COLORADO - MAY 11: Valeri Nichushkin #13 of the Colorado Avalanche skates in warmups ahead of Game Three of the Second Round of the Stanley Cup Playoffs against the Dallas Stars at Ball Arena on May 11, 2024 in Denver, Colorado. (Photo by Ashley Potts/NHLI via Getty Images)

Comme vous le savez, l’Avalanche du Colorado doit composer avec deux données inconnues en vue de la prochaine saison : est-ce que Gabriel Landeskog sera en mesure de jouer… et quel Valeri Nichushkin se pointera à Denver en novembre?

Parce que oui, le cas du Russe va continuer de retenir l’attention.

Celui qui est suspendu jusqu’en novembre en raison de son troisième passage dans le programme d’aide des joueurs ne pourra pas commencer la saison à temps, mais on se demande surtout quel Valeri sera en uniforme quand il pourra revenir.

Celui qui gagne 6.125 M$ par campagne pendant encore six ans ne peut pas voir son contrat être déchiré par ses patrons. Il devra donc être de retour avec ses coéquipiers en temps et lieu.

Et eux, je me demande comment ils vont l’accueillir.

Vous me direz qu’il y a toujours l’option de l’échanger, mais en ce moment, le bruit qui court, c’est que les patrons à Denver n’ont pas vraiment l’intention de l’échanger – même s’ils peuvent.

C’est ce que Chris Johnston rapporte.

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À mes yeux, le Colorado ne veut pas échanger son joueur puisqu’il faudrait payer l’autre équipe pour le prendre. Et quand je dis payer, je veux dire avec un atout… et possiblement en retenant du salaire.

On peut penser que peu importe à quel point le Colorado est fâché des agissements du joueur, donner un choix au repêchage pour le voir sortir son gros talent ailleurs n’est pas un projet qui enchante Joe Sakic et son équipe.

Après tout, le Russe (qui a une clause de non-mouvement) n’a rien perdu de son talent.

À ce point-ci, je m’attends pleinement à ce que le dossier Nichushkin soit une grosse distraction pour le club de Denver. Mais pourtant, personne n’a obligé les dirigeants à lui offrir huit ans de contrat en 2022 non plus…

En rafale

– De quatre à trois? C’est déjà ça.

– Le club devra se relever.

– B+ pour le processus d’agent libre du CH. [NYT]

– Ah ben.