Ce constat est celui de chercheurs basés à Genève (Suisse) et publié dans la revue médicale Pediatric Allergy and Immunology.
L’enquête s’est attardée à vérifier la durée du régime d’éviction, les symptômes des crises allergiques, ou encore l’influence de l’allergie sur la qualité de vie.
Elle a démontré que les hommes ont été les plus téméraires, en stoppant plus facilement leur régime d’éviction, afin de réintroduire dans leur alimentation les produits fautifs.
De nos jours, les allergies alimentaires, qui touchent environ 8 % des enfants en âge préscolaire et 4 % des enfants plus âgés, conduisent généralement, faute de mieux, à l’éviction de l’aliment incriminé.