Kristi Noem, secrétaire à la Sécurité intérieure, a annoncé récemment au Nouveau-Mexique que le mur frontalier serait entièrement repeint en noir, sur ordre direct du président Donald Trump.
Trump’s wall at the southern U.S. border will be painted black in an attempt to make things worse for migrants crossing the border, Homeland Security Secretary Kristi Noem announced.
Selon elle, cette peinture vise à rendre la surface plus chaude et donc plus difficile à escalader pour les migrants.
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Noem a également souligné que cette mesure permettrait de prévenir la rouille et d’accroître la durabilité de la structure.
L’idée n’est pas nouvelle puisqu’elle avait déjà été proposée lors du premier mandat présidentiel de Donald Trump.
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Toutefois, plusieurs sources, dont le Washington Post, rappellent qu’un test de peinture réalisé en 2019 avait commencé à s’écailler en moins de 18 mois, mettant en doute l’efficacité du procédé.
Donald Trump a acheté pour plus de 100 millions de dollars d’obligations d’entreprises et de gouvernements américains depuis janvier, alors même qu’il est président en exercice.
The documents show that Trump began the bond-buying spree one day after being sworn in on Jan. 20 and include debt sold by companies, local governments and entities that could be directly impacted by his sweeping agenda. He made about 690 purchases from Jan. 21 through Aug. 1.nbcnews.to/4oJO8ln
Ces transactions, près de 700 en quelques mois, selon NBC News, recouvrent des secteurs directement touchés par ses propres décisions politiques.
Parmi ses achats figurent des obligations émises par Apple, JPMorgan Chase, Amazon et Goldman Sachs, mais aussi par des villes comme New York, Chicago et Philadelphie, ainsi que par des hôpitaux, des écoles publiques et des services d’électricité.
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Officiellement, elles passent par un «trust» familial, mais Trump en tire toujours le bénéfice financier.
Aux États-Unis, aucune loi stricte n’empêche ce type de conflits d’intérêts flagrants, ce qui lui permet d’agir en toute impunité.
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Ce nouvel épisode illustre une fois de plus comment les institutions américaines ferment les yeux sur les pratiques douteuses de Trump, ainsi qu’une bonne partie de l’électorat.
Le président français Emmanuel Macron a lancé une pique à peine voilée contre son homologue américain Donald Trump, dans une récente entrevue accordée au magazine Paris Match.
“Those who talk about this supposed freedom of speech are the people who ban journalists from the Oval Office. I don’t accept that.”
Macron y dénonce l’hypocrisie du mouvement MAGA, et indirectement de son leader Donald Trump, sur la liberté d’expression, alors même qu’il a engagé des poursuites contre Candace Owens pour ses attaques répétées affirmant que son épouse Brigitte… serait un homme.
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Ces déclarations du président français surviennent alors qu’il a récemment engagé une action en diffamation contre Candace Owens, qu’il accuse de diffuser des faussetés odieuses sur son épouse et d’avoir ignoré les preuves irréfutables qui lui avaient été présentées pour qu’elle cesse de propager ces mensonges.
L’attaque de Candace Owens, podcasteuse d’extrême droite proche du mouvement MAGA et de Donald Trump, connue pour ses thèses complotistes et ses polémiques médiatiques, prend une tournure personnelle pour le président français, qui justifie son action en justice en déclarant:
«Il s’agit de défendre mon honneur! Parce que c’est n’importe quoi.»
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Macron affirme vouloir faire respecter la vérité et souligne que le problème «a pris une telle ampleur aux États-Unis que nous nous devions de réagir», tout en dénonçant le double discours de Donald Trump et du mouvement MAGA, ainsi que la défense de Candace Owens qui l’accuse de vouloir restreindre les droits du Premier amendement d’une journaliste américaine.
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À cette critique, le président français réplique que «ceux qui vous parlent de cette prétendue liberté de parole sont ceux qui interdisent des journalistes dans le bureau ovale. Je n’accepte pas cela», une réplique cinglante visant le président des États-Unis.
NEW YORK, NEW YORK - 02 MARS : Artemi Panarin #10 des New York Rangers prend un tir en deuxième période contre les Nashville Predators au Madison Square Garden le 02 mars 2025 à New York City. (Photo par Bruce Bennett/Getty Images)
MONTRÉAL, CANADA - 27 AVRIL : Nick Suzuki #14 des Canadiens de Montréal patine durant la deuxième période contre les Capitals de Washington lors du quatrième match du premier tour des séries éliminatoires de la Coupe Stanley 2025 au Centre Bell le 27 avril 2025 à Montréal, Québec, Canada. Les Capitals de Washington ont battu les Canadiens de Montréal 5 à 2. (Photo par Minas Panagiotakis/Getty Images)
PHILADELPHIE, PENNSYLVANIE - 30 JANVIER : Mathew Barzal #13 des Islanders de New York patine la rondelle contre les Flyers de Philadelphie au Wells Fargo Center le 30 janvier 2025 à Philadelphie, Pennsylvanie. (Photo par Len Redkoles/NHLI via Getty Images)
COLUMBUS, OHIO - 01 AVRIL : Filip Forsberg #9 et Ryan O'Reilly #90 des Predators de Nashville discutent pendant un arrêt de jeu contre les Blue Jackets de Columbus au Nationwide Arena le 01 avril 2025 à Columbus, Ohio. (Photo par Jason Mowry/Getty Images)