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Suzie Villeneuve dévoile un projet chargé d’émotion

Ma liste de Noël nous ramène au cœur de l’essentiel.

Suzie Villeneuve illumine le temps des Fêtes avec une interprétation bouleversante de Ma liste de Noël.

C’est avec une étincelle impossible à ignorer que Suzie Villeneuve ouvre officiellement la saison des Fêtes en dévoilant sa magnifique version de Ma liste de Noël. Une interprétation livrée avec une chaleur qui traverse littéralement l’air et le cœur.

À la recherche de trois nouvelles pièces à graver en studio cette année, Suzie voulait offrir une chanson de Noël qu’elle n’avait encore jamais explorée. En retombant sur Ma liste de Noël, elle a été frappée par la délicatesse poignante du texte, comme si les mots eux-mêmes lui murmuraient qu’elle devait en révéler toute la lumière.

Quelques mots de la chanteuse

«Le texte m’a enveloppée d’un coup. J’ai su immédiatement que je voulais le porter presque à nu: un piano, une voix, et un immense souffle de douceur. Dès les premières mesures, j’ai senti une vague de tendresse, de compassion… et j’ai terminé la prise avec les yeux humides», confie Suzie avec émotion, par voie de communiqué.

«TA DA DAMMMMM!! Voilà une nouvelle chanson à ajouter à votre playlist de Noël. Une liste de cadeaux qui fait vraiment vibrer mon cœur. Et vous? Si vous souhaitez voir le clip, rendez-vous sur YouTube: Suzie.Villeneuve_Officiel. Elle est disponible sur toutes les plateformes numériques dès maintenant», ajoute-t-elle, sur sa page Instagram, visiblement fière de ce partage.

Une chanson qui ranime la magie

Ma liste de Noël nous ramène au cœur de l’essentiel: les souhaits simples, sincères, ceux qui n’ont jamais perdu leur pouvoir. Dans son interprétation, Suzie redonne vie à la naïveté lumineuse de nos listes d’enfants, qu’elle transforme en un grand souhait universel, rempli d’humanité.

Avec une vulnérabilité touchante et une joie palpable, elle offre une version qui fait vibrer, qui apaise, qui rassemble, une interprétation qui rappelle à chacun que la douceur peut, encore aujourd’hui, changer le monde.

Un moment d’authenticité, capté sur le vif

Lors de l’enregistrement en studio, l’équipe a d’abord interprété la pièce à deux reprises, le temps d’en apprivoiser le souffle, le rythme et la chorégraphie précise des caméras. Ce que vous entendez, et voyez, dans la vidéo, c’est la troisième prise: une exécution complète, d’un bout à l’autre, captée sur le vif, sans montage et sans la moindre retouche. Un moment brut, fidèle à l’émotion de l’instant.

Un spectacle pour réchauffer les coeurs

Pour prolonger cette magie déjà bien installée, Suzie présentera un spectacle de Noël le 6 décembre 2025, à la Salle Julie-Pothier de Saint-Jacques. Une soirée qui s’annonce à la fois féerique et profondément humaine, où chaque note et chaque mot promettent de réchauffer l’hiver et d’allumer des souvenirs impérissables.

Un album qui fait du bien

Rappelons qu’en 2024, Suzie Villeneuve nous présentait son nouvel album intitulé De la tête au cœur, un album qui comprend 11 titres.

«Ça y est, «De la tête au coeur», l’album, est maintenant disponible en entier, dans un premier temps, sur ma chaîne YouTube et en version physique (CD et clé USB) sur le site web suzievilleneuve.com! Un an et demi de studio à l’écrire, le composer, le créer et préparer son envol. C’est maintenant à travers vous qu’il va voyager et grandir… Merci de tout mon coeur. Pour écouter l’album, cliquez sur le lien dans la bio. Je vous fais signe dès qu’il sera disponible sur les plateformes d’écoute en ligne. Bonne écoute», annonçait-elle, en mai 2024.

Nos sincères souhaits

Nous souhaitons à Suzie un merveilleux temps des Fêtes, rempli de joie, d’amour, de bonheur et de douceur.

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En bonne compagnie, Janette Bertrand et Julie Snyder rayonnent

La magnifique Jannette Bertrand, qui a eu 100 ans en mars dernier, fait quelques sorties médiatiques depuis quelque temps. Nous adorons voir cette grande femme qui a tant contribué à faire évoluer la société.

En effet, elle a aidé à démystifier de nombreux tabous pour plusieurs générations, et on l’adore pour tout ce qu’elle a accompli et continue d’inspirer.

Eh bien, l’iconique dame se trouvait récemment à une soirée!

C’est ce qu’on apprend à travers les stories que Julie Snyder a mises sur ses réseaux sociaux.

D’ailleurs, Julie Snyder nous a bien divertis lors d’un récent épisode de Tout le monde en parle, puisqu’elle a discuté de chirurgie plastique et a dévoilé qu’avec plus d’argent et plus de temps, son visage serait toujours en construction.

«J’admire les gens qui s’acceptent. Mais moi, je ne m’accepte pas. Donc, je suis en faveur de la chirurgie esthétique, des traitements. J’ai fait du Botox, je me suis fait passer la face au laser, brûler la peau pour stimuler mon collagène. Et moi, si j’avais plus de temps, Guy, et plus d’argent, ma face serait comme les rues de Montréal, toujours en travaux», avait confié Julie à TLMEP.

Elle présente toutefois un documentaire qui traite des répercussions liées aux implants mammaires. Un moment fort intéressant en compagnie de la productrice et animatrice.

Revenons maintenant à Janette.

Julie nous a partagé un très beau moment en compagnie de sa fille Romy, dans le cadre de la grande première de Le meilleur des deux mondes. Une soirée chaleureuse et festive qui a eu lieu chez Luc Poirier, où plusieurs visages bien connus étaient réunis.

C’est dans un premier temps que Julie a partagé une story en compagnie de sa fille… qui, depuis quelque temps, semble suivre les pas de sa maman.

«Soirée de fête avec Romy chez Luc Poirier pour présenter la nouvelle émission de Kassandra Fradette», partageait Julie.

C’est par la suite qu’elle a partagé les derniers moments de sa soirée, qui rendront plusieurs très jaloux.

Eh oui, cette fois, elle est allée à la rencontre de la magnifique Janette, qui se trouvait aux côtés de son amoureux, Donald.

«Rencontre de fin de soirée avec la petite jeunesse de 100 ans: Janette Bertrand et son conjoint Donald», mentionnait Julie sur cette photo où le bonheur se sent.

«Hâte de voir la nouvelle émission de Janette Les jeunes et la vieille à Télé-Québec», ajoutait Julie sur un second cliché.

Il est clair que Snyder a passé un magnifique moment et qu’elle semblait sincèrement heureuse d’avoir croisé la grande Janette Bertrand.

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Julie Snyder: Ce qu’elle ferait si elle était «plus riche»

Moi, je ne m’accepte pas

Dans un récent épisode de Tout le monde en parle, Julie Snyder était présente sur le plateau. C’est aux côtés de l’animateur Guy A. Lepage qu’elle est venue parler de son nouveau documentaire, Inoffensifs mes implants? qui se veut informatif quant aux risques pouvant être liés à la pose d’implants mammaires.

Capture ICI Télé

Oui, un projet télé important, qui met de l’avant des femmes ayant vécu des problèmes à la suite de ce corps étranger installé chez elles. L’une d’entre elles est la Dre Isabelle Gaston, qui est aussi une amie de la productrice.

C’est lors d’une discussion entre les deux femmes, comme l’explique Julie, qu’elle aurait confié à la docteure qu’elle souhaitait se faire poser des implants mammaires. Son amie lui a recommandé de ne pas le faire.

Et apparemment, Julie manque de temps… et d’argent!

«Parce que moi, j’admire les gens qui s’acceptent. Mais moi, je ne m’accepte pas. Donc, je suis en faveur de la chirurgie esthétique, des traitements. J’ai fait du Botox, je me suis fait passer la face au laser, brûler la peau pour stimuler mon collagène. Et moi, si j’avais plus de temps, Guy, et plus d’argent, ma face serait comme les rues de Montréal, toujours en travaux.»

Un manque de confiance

«Et j’avais un problème parce que ça tenait pas tout seul, ça, ici (…) j’avais des complexes par rapport à ça, donc je voulais diminuer mes complexes (…) Moi, je suis très complexée, j’ai fait l’amour souvent avec un soutien-gorge. Et j’avais pris des photos en clinique et il m’avait dit : on va juste vous mettre un petit implant. Parce que je les voulais pas plus gros, parce que je suis assez petite. (…) Alors j’ai fait toutes les démarches et là, je discute avec Isabelle Gaston, on est sur ma terrasse…on jase entre filles. Et là, elle me dit: mais non, Julie, je te déconseille de faire ça. Mais elle dit: Je te respecte, je ne suis pas contre les implants. Mais moi, j’ai des implants et je vais me faire explanter. Alors, moi, je ne comprenais pas ce qu’« explanter » voulait dire. Je pensais qu’un implant, c’était comme un crayon, on l’enlève», ajoutait Julie.

Ajoutant qu’une explantation était une grosse opération.

Capture ICI Télé

C’est donc après avoir entendu l’histoire d’Isabelle, qui a eu de grandes répercussions sur son corps dues à l’implant, que Julie a choisi non seulement d’annuler son opération, mais aussi d’en faire un documentaire.

Nous souhaitons à Julie de trouver la paix avec elle-même et avec son corps… Rappelons que toutes les femmes sont uniques et magnifiques.

Pour voir ce documentaire, fort important, rendez-vous sur ICI TOU.TV.

Capture ICI Télé

8 émissions à suivre sur ICI TOU.TV en décembre

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«Un cocktail explosif»: Sophie Lorain sur son couple

Il piquait des colères assez… assez extraordinaires…

Sophie Lorain a récemment pris part au balado Ouvre ton jeu, animé par Marie-Claude Barrette, où elle s’est confiée avec une sincérité rare sur sa vie personnelle.

C’est au moment où Marie-Claude lui a demandé de répondre à une carte portant sur le besoin profond auquel Alexis Durand-Brault répond, que Sophie Lorain s’est ouverte sur sa relation amoureuse avec le réalisateur, qu’elle connaît depuis près de 15 ans.

Elle a d’abord expliqué qu’elle et son amoureux avaient été très, très, très longtemps sans habiter ensemble, parce qu’elle n’est pas certaine que «vivre ensemble ne tue pas, à plus ou moins long terme, la relation».

Serge Cloutier

Maintenant qu’ils ont choisi de vivre ensemble, trouve-t-elle cela difficile?

«(…) Je pense qu’on avait chacun fait un bout de chemin seul. Alors ça fait en sorte que c’est moins difficile (…) Moi, je croyais que le fait qu’on travaille beaucoup ensemble, puis, qu’on vive ensemble allait être un cocktail explosif. Parce qu’on est un cocktail explosif, là, il ne faut pas se le cacher», explique-t-elle, précisant au passage que l’endroit où le balado est enregistré était autrefois leur bureau.

Des tensions au travail?

Marie-Claude a alors lancé, à la blague, que les murs de ce local les avaient donc déjà entendus s’obstiner.

«Tout le monde, au début, était comme: Ahh! Qu’est-ce que c’est que ça», lance Sophie, avant que Marie-Claude ne lui demande si, pour eux, c’est quelque chose de normal.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

«Nous autres, on verbalise, là: Non, ça ne marche pas? Qu’est-ce que tu fais là? Pourquoi? C’est quoi ça? (…) C’est sûr qu’à un moment donné, là, il y a des questions de tout ordre qui se posent. Puis, à un moment donné, il faut prendre les décisions, puis il faut essayer d’y arriver, puis (…) il y a des moments où c’est houleux», témoigne l’invitée au sujet de leur travail conjoint.

Elle explique qu’il faut être capable d’argumenter sans tout prendre personnel, même si, parfois, la personnalité, la mauvaise foi ou le côté un peu «cow-boy» finissent par reprendre le dessus.

«Alexis, puis moi (…) on peut être cow-boys encore plus l’un avec l’autre qu’avec les gens autour de nous. Puis souvent, je vais lui dire: Fais attention, ne sois pas trop cow-boy, puis c’est moi qui le deviens», avoue-t-elle.

La grande qualité de leur couple

Cependant, elle et lui partagent une grande qualité qui leur permet de régler leurs différends.

«L’un envers l’autre, là, on est assez bons, je pense. On a quand même l’intelligence du cœur, donc tu sais, on n’est pas très… on ne s’en veut pas éternellement. On a l’intelligence du cœur de voir que l’autre n’est pas là pour nous faire ou nous vouloir du mal. On a aussi, je pense, cette intelligence émotive qui fait qu’on est capable de passer. On n’est pas rancunier l’un envers l’autre (…) on a de l’admiration l’un envers l’autre, mais on n’est pas… On ne tombe pas à genoux, là, devant l’autre (…)», affirme l’invité.

Celles d’Alexis

L’animatrice lui a ensuite demandé à quel besoin profond il répondait chez elle.

«Alexis a des qualités profondes que moi je n’ai pas. C’est quelqu’un qui est très intelligent, puis qui a une perception des gens. Il est très, très, très clairvoyant. C’est quelqu’un qui est capable de très bien juger la personne qui est en face de lui. C’est quelqu’un qui sait très bien naviguer, qui a une logique hors du commun et est très rapide d’esprit, très vite. Moi, je n’ai pas ça (…)», décrit-elle, ajoutant qu’elle pense que c’est ce qu’elle aime de lui.

Le besoin profond auquel il répond

Donc, quel serait ce besoin profond, si elle devait l’identifier?

«Ça serait la connexion, hors de tout doute, qu’Alexis ne me veut pas de mal», confie-t-elle, ajoutant être en sécurité à ses côtés.

Un besoin qui apaise, sans effacer les frictions

«Mais ça ne veut pas dire qu’on s’entend là, tout le temps là», réitère-t-elle, avant que Marie-Claude Barrette ne lui demande s’il leur arrive de se chicaner.

«Bien oui! (…) Ça peut être explosif, ça peut être: Bon, bien je m’en vais, salut. Alexis est bien bon pour, à un moment donné, s’en aller, il disparaît», raconte-t-elle.

C’est finalement le temps qui finit par amoindrir les choses lorsque cette situation survient. Elle précise toutefois que ce comportement et cette façon de réagir n’ont pas toujours été comme ça par le passé.

«(…) Avant, il piquait des colères assez… assez extraordinaires (…) Moi, je ne suis pas du même type, mais lui, il était de ce type-là. Puis là, j’ai réussi à lui faire comprendre que ce n’était pas utile, et là, maintenant, au lieu de pogner les nerfs puis de gueuler, il ne dit plus rien, il se lève et il s’en va, ce qui lui sert énormément et qui nous évite des écueils à long terme», témoigne-t-elle.

Selon elle, oui, cela peut parfois avoir un effet dévastateur, puisqu’il part en laissant le problème non résolu. Mais, ajoute-t-elle, c’est encore préférable à mettre «la hache dans la table».

De plus, elle conclut que la colère n’est pas nécessairement négative et que, dans le cas d’Alexis, elle ressemble plutôt à un volcan qui doit se décharger pour ensuite s’apaiser.

Un témoignage qui rappelle qu’un couple n’est jamais parfait: l’essentiel est de trouver la bonne personne avec qui traverser les tempêtes, en acceptant que chacun réagisse et s’exprime différemment.

Nous leur souhaitons une belle continuité, remplie de bonheur, et encore de nombreuses années d’amour!

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Gildor Roy en politique?

J’espère que je ne me ferai pas poursuivre…

Gildor Roy était récemment de passage au micro de Monic Néron, à l’émission Mimosa! diffusée sur Radio-Canada, pour parler du cinéma d’ici, de la culture québécoise et du financement qui lui est accordé.

Intriguée par sa réponse, Monic a ensuite soulevé un enjeu central pour notre culture: les films québécois connaissent un beau succès, mais où se trouve le financement pour les soutenir?

«Au Québec, nos films sont vus, sont vus même plus que jamais. En tout cas, ça remontait à 2005 avant qu’il y ait autant d’achalandage dans nos cinémas. Nos films s’illustrent à l’étranger, puis quand on regarde les chiffres, on voit que nos films sont de moins en moins financés. Où est-ce que ça bloque? Qu’est-ce qui cloche», déclare-t-elle.

Le plan de Gildor

«Je ne veux pas mettre le documentaire dans le trouble là… Moi, être chef de partie, là, puis appréhender des élections qui s’en viennent bientôt, dans mon programme, ce serait: il va y avoir 5% du budget du gouvernement qui vont être consacrés à la culture. Le problème est réglé, on n’en parle plus, comme dans beaucoup de pays européens, mais nous autres: gna, gna, gna… Il faut investir là-dedans si on se targue d’être les défenseurs de la langue française, puis que la culture québécoise est en danger, puis tout ça, bien: Put your money where your mouth is, mais, tu sais, investissez où vous prétendez que c’est important», explique le comédien.

«Ah… J’espère que je ne me ferai pas poursuivre», chuchote-t-il, en arrière-plan.

«Donc, demain matin, tu es au gouvernement, tu as les deux mains sur le volant, c’est ce que tu fais, un financement systémique ou systématique (…) C’est ça, de 5%», réitère l’animatrice.

«Pas besoin d’aller quêter à chaque année, regarde, c’est ça le montant», poursuit Gildor, avant que Monic ne renchérisse en soulignant que ce serait alors une approche comparable à ce qui se fait dans d’autres pays.

«Donc on est en retard un petit peu», résume Néron.

Avec une sortie comme celle-là, Gildor vient presque de déposer les bases d’un programme électoral, il ne lui manquerait qu’un slogan et une pancarte pour se lancer en politique!

Louis Morissette dans un tout nouveau film et ses confidences à Gildor Roy

En gars, ça ne m’a jamais fait ça…

Parlant de culture et de cinéma québécois, rappelons qu’un nouveau film mettant en vedette Louis Morissette prendra l’affiche en 2026. Intitulée François.e, cette comédie très attendue sortira en salle le 8 juillet.

«C’est l’histoire d’un scénariste de 50 ans qui ne travaille plus, et qui pense que c’est à cause des quotas. Alors, il fait croire qu’il est trans pour pouvoir travailler… Et son projet est alors accepté. Il devra vivre cette double vie», avait relaté le comédien et homme d’affaires à notre journaliste.

Le comédien et producteur s’est d’ailleurs confié à Gildor à ce sujet lors d’une entrevue accordée dans le cadre de l’émission Dans un cinéma près de chez vous.

«Je me trouvais vieille; en gars, ça ne m’a jamais fait ça (…) en femme, je voyais juste mes rides (…) Ça me rappelait juste à quel point une femme de 52 ans a à négocier avec plein d’affaires que, moi, gars de 52 ans, je n’ai pas à faire», lui confiait Louis.

Et vous, consommez-vous la culture québécoise? Allez-vous en salle pour découvrir et soutenir nos films d’ici?

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La fortune de Normand Brathwaite a parfois compliqué sa vie

Ç’a été plus dur à faire.

Normand Brathwaite était récemment l’invité d’honneur sur le plateau de l’émission Pour emporter, animée par la chaleureuse France Beaudoin. Au fil de l’entrevue, il s’est confié avec franchise sur plusieurs aspects de sa vie professionnelle et personnelle, abordant notamment son rapport à l’aisance financière.

C’est lorsque France a évoqué la réplique culte de Jerry Maguire, «Show me the money», qu’elle a souligné qu’il faisait partie des rares personnalités à avoir assumé ouvertement gagner beaucoup d’argent. Normand Brathwaite est même allé jusqu’à avancer des chiffres et à révéler qu’il touchait des bonus à la radio.

Mais a-t-il eu à en payer le prix pour avoir abordé ce sujet publiquement?

Sa réponse, sans la moindre hésitation, ne laisse place à aucun doute

«Oh que oui», affirme-t-il, avant que, un peu plus tard, l’animatrice ne l’interroge sur l’impact que son argent a pu avoir sur ses enfants.

Richesse et parentalité: un équilibre pas toujours simple

«Mais toi qui as de l’argent, puis, qui en a eu en masse, qui pouvais acheter toutes les bébelles du monde à tes enfants, est-ce que tu as été capable de les laisser dans l’imagination», lui demande-t-elle.

«Ç’a été plus dur à faire. Ç’a été plus dur à faire, mais tu sais, ce qui est dur à faire, c’est de ne pas leur donner tout cuit, puis de ne pas leur donner tellement d’affaires que tout le monde les haïsse, à l’école, là, tu sais», témoigne le papa.

Capture Radio-Canada

Avoir un parent connu: une chance… ou un poids?

France a ensuite enchaîné en lui demandant si, pour ses enfants, il avait été difficile de grandir en étant ceux de la personnalité publique.

«Oui. Extrêmement. Ça va toujours l’être mais c’est pour ça que mon gars, il ne fait pas du show business (…) Il est drôle comme un singe (…) Il est bon. Je le prenais sur mes shows, jusqu’à temps qu’il soit deux heures du matin, puis qu’on est au (…) restaurant à Québec, il est habillé en YMCA puis il a les petites choses qui coulent ici puis il dit: Papa, je n’aime pas ça (rires) je n’aime pas ça faire ça, papa. Je dis: Ok. Tu n’es pas obligé de faire ça», raconte l’animateur.

Capture Radio-Canada

Un témoignage touchant qui révèle l’envers du décor de la richesse et de la popularité, des réalités parfois plus difficiles à gérer lorsqu’on élève des enfants.

Retour sur la récente entrevue de Normand Brathwaite et ses propos préoccupants

Ça m’a inquiété, parce qu’on se connaît quand même depuis longtemps.

Rappelons qu’invité à l’émission Dans le blanc des yeux, animée par Sophie DurocherNormand Brathwaite avait tenu des propos qui avaient suscité des réactions et été jugés inquiétants par certaines personnes.

Lors d’un épisode du concept Le beau dimanche de Jeannot, Jean-Sébastien Girard a relancé Normand Brathwaite à ce sujet.

«Tout le monde a entendu cette phrase: Je ne vais jamais bien. Tu vas rarement bien dans la vie, bon, j’espère que tu peux mettre ça en perspective, parce que ça m’a inquiété, parce qu’on se connaît quand même depuis longtemps. Je t’aime beaucoup, ça m’a inquiété de savoir que tu étais peut-être toujours malheureux. Alors remets ça en perspective», demandait l’animateur à son invité, visiblement soucieux de remettre les choses en perspective et d’obtenir une réponse plus rassurante.

Pour découvrir ce qu’il avait à dire sur le sujet, rendez-vous dans notre article, qui revient sur leur conversation et fait le point sur la santé mentale de la personnalité.

Nous lui souhaitons une suite lumineuse, entourée d’amour, de douceur et de tout ce qui lui fait du bien.


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