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Son rôle dans la série FEM, de la réalisatrice Marianne Farley, où elle interprète une chanteuse déchue qui prend sous son aile un jeune voisin talentueux en questionnement sur son identité de genre (personnifié par Lennikim), a résolument planté une graine fertile dans la carrière d’Émily Bégin.
Elle qui rêvait depuis toujours de décrocher des contrats comme actrice réalise encore davantage cette ambition cette année. Non seulement la deuxième saison de FEM – où son personnage sera de retour – sera enregistrée en mars et avril pour Unis TV, mais Émily Bégin a également obtenu un rôle épisodique dans la fiction quotidienne Indéfendable, à TVA!
Ses scènes dans Indéfendable ont été tournées avant Noël, a raconté Émily en entrevue avec nous, et celles-ci seront diffusées à l’écran au début février.
«Je pense que les gens vont être bien surpris de me voir dans ce rôle-là», a indiqué la comédienne, précisant du même souffle que le cas d’Indéfendable impliquant son personnage est inspiré d’une histoire de l’actualité ayant réellement défrayé les manchettes.
L’affaire recèle quand même un peu de mystère, puisqu’Émily Bégin explique que la femme qu’elle incarne «se fait enlever, séquestrer», et que son mari, personnifié par Daniel Thomas, recevra une demande de rançon. Or, la dame n’est pas que victime, puisqu’elle devra subir un procès et qu’elle siégera au banc des accusés. Me Kim Nolin (Julie Trépanier) sera son avocate.
«C’est rough, comme personnage, c’est vraiment flyé! C’était vraiment particulier de me retrouver dans le palais de justice pour la comparution. C’est intimidant, mais ça m’a aidée dans mon jeu. J’ai eu plein de belles scènes avec mon kidnappeur, avec Daniel Thomas – c’est une perle, mon chum avait déjà tourné avec lui et il m’avait dit que c’était un amour –, avec Julie Trépanier, qui est super, tellement gentille!»
Enchantée de son expérience dans le décor d’Indéfendable, Émily a de surcroît été très flattée des commentaires de la réalisatrice Mariane McGraw à son endroit après le tournage.
«Elle m’a dit: Ayoye, tu es ma découverte! Tu vas en entendre parler! C’est bien excitant!», a souligné la nouvelle professeure d’éducation physique et de danse à Star Académie, qui démarrera à TVA ce dimanche, 19 janvier, à 19 h. Un mandat qui n’est pas totalement étranger à Émily, car celle-ci a autrefois travaillé sur les chorégraphies de Chanteurs masqués, de Star Académie (les éditions 2004, 2005, 2009 et 2012), de la pièce annuelle Revue et corrigée, au Théâtre du Rideau Vert, et qui a même déjà été entraîneuse privée dans un gym Énergie Cardio.
«Travailler avec des non-danseurs, c’est ce qui me fait le plus tripper! On ne fera pas des danseurs de Révolution avec les académiciens en 12 semaines, mais le but, c’est de faire du sport. Je me vois comme une coach. Moi, je vais conseiller aux jeunes d’être en forme mentalement – parce que ce métier peut être troublant – et physiquement.»
Voyez ou revoyez ici les photos de notre rencontre avec toute l’équipe de Star Académie 2025!
Récemment, Sami, ancien participant d’OD Andalousie et Tentations, s’est livré lors d’une entrevue en abordant sa relation avec Mégane, sa partenaire lors de sa deuxième expérience en téléréalité.
Il y a révélé n’avoir jamais été intéressé par elle, expliquant qu’il n’avait ressenti aucune connexion avec cette dernière et qu’il n’avait pas apprécié les valeurs qu’elle véhiculait.
À la suite de la diffusion de cette vidéo, Mégane a tenu à clarifier la situation en partageant à son tour une vidéo dans laquelle elle exprime ses sentiments face aux propos de Sami, laissant entendre qu’il ne dit pas la vérité.
«(…) Écouter les propos de Sami et tout ça, ça m’a un petit peu… ça m’a un petit peu marqué», lance-t-elle, affirmant que la manière dont il en parle donne l’impression qu’elle n’est vraiment pas une bonne personne.
«(…) À la base s’il n’avait pas été intéressé, je ne l’aurais pas pris, je ne serais pas allé vers lui (…)», continue-t-elle.
Elle affirme ensuite que, lorsque Catherine F. a fait son entrée dans l’aventure, elle avait aperçu Sami rouler des yeux, comme pour montrer qu’il était découragé, pour des raisons qu’elle ignore.
Mégane explique être allée le voir à plusieurs reprises pour lui demander s’il était intéressé par Catherine F., car elle remarquait une certaine chimie entre eux. Cependant, il lui aurait répondu que non, car elle n’était pas son genre de fille.
«(…) Moi, je suis quelqu’un de vraiment transparente (…) je n’ai pas parlé dans le dos de personne, je n’ai pas fait ch*er personne, moi, je n’ai pas menti aucune fois (…)», lance-t-elle, affirmant qu’elle pense que, lorsque Sami est revenu au Québec, il a voulu préserver son image et tenir compte des commentaires des gens.
«(…) j’ai l’impression que parce que c’est un homme et qu’il est médecin, tout ce qui sort de sa bouche est plus valorisé que ce que moi je vais dire. Et c’est dommage parce que ça reflète un peu notre société d’aujourd’hui et je trouve ça vraiment ordinaire», partage-t-elle.
Sami avait d’ailleurs mentionné que, selon lui, parler d’argent haut et fort n’était pas approprié, étant donné que de nombreuses personnes vivent dans la misère, une critique qui avait été adressée à Mégane.
Cependant, dans la vidéo, la jeune femme affirme n’avoir parlé d’argent qu’une seule fois, lors d’une conversation qu’elle avait eue avec Ophélia et Audrey.
«(…) À part cette journée-là, je n’ai jamais parlé de ça», soutient-elle.
«(…) De voir qu’il reprend ce que le Québec dit quand lui, à la base, il ne fait que mentir (…) de la façon qu’il dit ça, comme si j’étais un *sti de c*nne naïve, qui court après un gars qui n’était pas intéressé (…)», s’exprime Mégane, visiblement découragée.
«Il est médecin, ça fait deux fois que tu viens à OD et dans le temps que tu étais à l’autre OD, tu n’as quand même pas fait ce qu’il fallait que tu fasses en tant que médecin, qui est beaucoup plus important que moi dans ma vie actuelle, qui est de vendre des choses, et c’est moi que tu juges, et c’est moi que tu tapes sur la tête (…)», avance-t-elle.
De plus, l’ex-candidate affirme qu’elle ne parle presque plus à personne d’OD afin de se tenir à l’écart de ce genre de situation.
«Je trouve ça plate de me faire taper sur la tête gratuitement (…)», témoigne celle qui n’avait plus l’intention de revenir sur la téléréalité, mais qui a ressenti le besoin de rétablir sa vérité.
Que pensez-vous de toute cette saga?
Été 1997. Le Québec est depuis quelques mois le théâtre d’une guerre sans merci de motards criminalisés, qui prend une ampleur telle que des innocents en paient le prix. Dans la foulée, deux gardiens de prison, Diane Lavigne (en juin) et Pierre Rondeau (en septembre) sont bassement assassinés.
La tension monte dans les corps policiers. Me France Charbonneau, procureure chevronnée, plus de 80 procès au compteur, fatiguée de son métier qui lui laisse peu de temps pour sa fille et sa vie privée, s’amène comme conseillère juridique au sein de l’escouade Carcajou, entité formée par le gouvernement pour, justement, contrer cette escalade de violence.
Le principal suspect dans le dossier des meurtres des agents correctionnels, Stéphane «Godasse» Gagné, est arrêté; sa collaboration pourrait permettre d’épingler Maurice «Mom» Boucher, l’une des principales têtes dirigeantes d’un des groupes de motards. Boucher sera acquitté en 1998, mais l’intervention de France Charbonneau, en 2000, mènera à son procès final et à son incarcération, en 2002.
Ces noms, cette prémisse disent assurément quelque chose aux plus âgés d’entre vous. Car ils ont véritablement existé, cette cruelle joute interlope et cette atmosphère de terreur, ici, à la fin des années 1990. Difficile à oublier, cette époque où Maurice «Mom» Boucher et sa bande défrayaient les manchettes.
Et qui de mieux que l’auteur d’Omertà, du Dernier chapitre et de District 31, Luc Dionne,avec sa connaissance approfondie de la chose policière et criminelle, pour rendre compte en format fiction télévisée de ce chapitre peu glorieux de l’histoire récente de la province?
Le résultat, la minisérie L’Appel, se dévore sur la plateforme illico+, à raison de deux épisodes d’une heure (sur un total de six) dévoilés par semaine, à compter du jeudi 23 janvier.
Hommage à une guerrière
Nuance, toutefois. L’équipe de production de L’Appel (la maison de production Aetios, de Fabienne Larouche et Michel Trudeau, la réalisatrice Julie Perreault, la direction d’illico+) insiste et le martèle : ce thriller en quasi tous points calqué sur la réalité (à peu près seuls des noms des policiers ont été modifiés) est d’abord et avant tout le combat d’une femme, la procureure France Charbonneau, incarnée par Magalie Lépine-Blondeau.
France Charbonneau, procureure émérite, réellement conseillère juridique de l’escouade Carcajou, juge à la Cour supérieure, présidente de la Commission Charbonneau…
La dame n’est pas spécialement au cœur des deux premières heures de L’Appel, surtout narrées par les policiers, notamment l’enquêteur Sylvain Provencher (Patrice Robitaille), son bras droit Martin Coulombe (David Savard) et leur patron Georges Dugal (Christian Bégin). Mais c’est autour d’elle, France Charbonneau, son amie dans la vie, que Luc Dionne a voulu axer son récapitulatif des événements. Le prolifique créateur de Dumas l’a beaucoup répété depuis l’annonce de L’Appel, en mai dernier : écrire une série sur Mom Boucher, un personnage «fascinant, pas intéressant», à proprement parler, ne l’intéressait pas du tout.
En table ronde avec les journalistes lors du visionnement de presse de L’Appel, en début de semaine, en visioconférence depuis la Floride, l’authentique France Charbonneau n’a nullement caché son enthousiasme devant cet hommage qui lui est aujourd’hui rendu.
«Absolument fabuleuse», «un copier-coller de la réalité», «d’un réalisme criant», «comédiens exceptionnels» : l’icône québécoise du monde judiciaire n’avait que des éloges à formuler.
«Je suis extrêmement honorée et émue de cette série-là. J’étais assise sur le bout de mon siège. Je connaissais la fin (rires) et j’avais hâte de me rendre à la fin. C’est génial, ce qu’ils ont réussi à faire», a souligné France Charbonneau, un sourire sincère aux lèvres.
8900 pages de procès!
L’intrigue de L’Appel déboule vite. Au début, surtout, alors qu’elle avance au gré des discussions entre les enquêteurs.
Écoutez-les bien, ces conversations : elles jettent les bases de toute l’affaire. Elles nous lancent directement au vif de l’action: qui a peut-être tiré qui, où et quand, qui est complice de qui, qui avait vendu de la drogue à qui lorsque l’autre était jadis agent double…
Le fil des événements est délimité avec exactitude par des indicateurs temporels – dates, heures – qui apparaissent à l’écran de façon pas du tout subtile. Ce n’est pas superflu : la guerre aux motards se déployait de minute en minute, en cette période où I’ll Be Missing You, de Puff Daddy, trônait au sommet des palmarès musicaux.
Au deuxième épisode, le suspense autour de l’arrestation de Stéphane «Godasse» Gagné (Pier-Luc Funk), que Provencher cuisinera abondamment pour le persuader de devenir délateur, fait grimper nos pouls d’un cran.
Dans une scène particulièrement convaincante, la partie de ping-pong verbal qui s’opère entre les deux comédiens (Patrice Robitaille s’y expose en furie!) s’avère savoureuse.
Encore là, les investigateurs profitent d’un plus important temps de glace que France Charbonneau, mais on ne perd apparemment rien pour attendre. L’épouse de Godasse et mère de son petit garçon (Léa Roy) se retrouve elle aussi sur la sellette.
Même si L’Appel ne poursuit absolument pas l’objectif de glorifier les bandits – c’est très clair dans le ton, dans le texte –, l’exécutant de Mom Boucher gagne en humanité lorsqu’il passe un coup de fil à sa mère en pleurant.
Et difficile de ne pas ressentir une pointe de fascination lorsque ledit Mom Boucher (confondant Vincent Graton) se pointe dans le décor…
Devant les médias, Luc Dionne a salué la «volonté politique» qui animait nos dirigeants, il y a 30 ans, d’en finir avec les gangs et la brutalité. À l’exception du petit bavardage entre ses protagonistes, Dionne – qui a transposé son lot de récits vécus à la caméra, entre autres dans les films Monica la mitraille, Aurore et L’Enfant prodige sur le pianiste André Mathieu –, affirme que «tout est réel» dans L’Appel. Les 8900 pages de procès et de requêtes qu’il a épluchées pour les besoins du projet en font foi.
L’un des retournements de cette croisade contre le crime organisé, l’attentat contre le journaliste du Journal de Montréal, le regretté Michel Auger, qui avait tant frappé l’imaginaire au tournant des années 2000, sera montré dans la série au 5e épisode.
Et pourquoi le titre L’Appel? Celui-ci réfère à un important appel manqué. Celui que Stéphane «Godasse» Gagné a passé à ses avocats, à 6 h du matin. Lesquels n’ont jamais répondu, transformant ainsi le cours d’un pan de l’histoire judiciaire du Québec.
La série L’Appel, à voir sur illico+ dès maintenant.
François Lambert, actuellement dans la maison de Big Brother Célébrités, a pris l’habitude de nous offrir des nouvelles exclusives.
La personne en charge de ses réseaux sociaux publie hebdomadairement des vidéos dans lesquelles il partage des résumés captivants de son aventure.
Cependant, il semblerait que François ait rencontré de petits incidents lors de sa dernière semaine dans l’aventure…
«Je me suis barré le dos hier, c’était l’aventure du jour (…) et comble de malheur, je me suis pété une dent, donc il faut que je regarde ça aujourd’hui, qu’est-ce que je vais faire avec ça (…)» lance-t-il sans donner plus de détails sur comment c’est arrivé .
Bien qu’il ait rencontré quelques petits soucis, il semblerait toutefois qu’en ce qui concerne le jeu, l’homme d’affaires se sente dans une bonne position.
«Est-ce que j’ai une bonne position dans la maison en ce moment? Je pense que oui. J’ai, je pense, beaucoup d’alliés, mais c’est Big Brother, donc on ne sait jamais trop ce qui se passe (…)», lance celui qui profite pleinement de son aventure, sachant pertinemment qu’il s’agira fort probablement de la dernière fois qu’il vivra une telle expérience.
Nous continuons de suivre attentivement son parcours et lui souhaitons un prompt rétablissement.
Une nouvelle qui a ému autant son équipe que les téléspectateurs, qui l’ont accueillie dans leur quotidien pendant plus de trois ans et qui ressentiront assurément son absence.
D’ailleurs, celui qui est passé par où la jeune femme passe présentement, Gino Chouinard, a tenu à souligner son départ avec de magnifiques messages.
C’est sur la page Instagram de Géraldine, en marge de son message annonçant son départ, que l’ancien animateur de l’émission matinale a partagé un tendre message rempli de compassion.
«Gégé! Merci pour tout. Les gens ignorent à quel point la routine de la météo est exigeante à Salut. Tu auras fait une magnifique route avec nous. Merci pour le soleil que tu ajoutais à nos journées grises. Je t’embrasse. Le meilleur pour la suite.», lance-t-il, visiblement ému, en se remémorant les beaux moments partagés avec elle.
«Gégé! Quelle magnifique aventure on aura vécu ensemble. Merci d’avoir illuminé tous nos matins gris. Tu nous as accompagné de façon extraordinaire, même pendant les moments plus difficiles. Merci pour tout le beau et le bon donné à Salut et au public. Félicitations d’avoir survécu à l’horaire éreintant de la météo toutes ces années. Je t’embrasse. La suite sera belle.», a-t-il ajouté sous une publication Facebook de l’émission.
Il faut le dire, Gino et Géraldine partageaient une adorable complicité!
Bonne continuation, Géraldine, et beaucoup de bonheur pour la suite.
Alors que Fred a remporté le défi du véto lors du dernier épisode, les joueurs se demandaient qui serait choisi comme remplaçant sur le bloc. Avec l’imprévisibilité de Barnev, personne ne se sentait réellement à l’abri.
Coco, tentant de deviner le choix du patron, avec peine et misère, a même déclaré que Barnev n’était pas une créature de la logique, mais bien une créature du chaos.
Avant même de savoir qui allait se battre à ses côtés pour rester dans la maison, Simon a lancé sa campagne en tentant de convaincre les autres joueurs qu’il n’est pas une menace, se décrivant comme étant doux comme un agneau.
Il devrait cependant savoir que parfois, ce sont les joueurs les plus doux qui parviennent le mieux à se faufiler jusqu’au sommet de la pyramide.
De son côté, Steph a rapidement senti la soupe chaude et est allée confirmer auprès du patron qu’elle était hors de danger. Malheureusement, elle n’a pas obtenu la réponse espérée, Barnev lui ayant confié vaguement qu’il envisageait peut-être de la remettre en danger une fois de plus.
Brillante comme on la connaît, Stéphanie a réfléchi et s’est dit qu’elle devait trouver une autre cible que Danick et Jean-Thomas à proposer à Barnev, étant convaincue qu’il était impossible qu’ils se retrouvent sur le bloc pendant son patronat.
Bien joué, Stéphanie…
Elle a également tenté de former une alliance avec Barnev et d’autres joueurs, une proposition que le patron n’a pas semblé détester du tout.
Sans surprise, lors de la cérémonie du véto, Fred a utilisé son pouvoir pour se retirer du bloc, forçant le patron à désigner un nouveau joueur. C’est finalement Stéphanie qui s’est retrouvée dans cette position peu enviable pour la deuxième semaine consécutive.
Stéphanie a très mal pris cette nouvelle, ressentant une impression de déjà-vu douloureuse, comme dans sa saison précédente, où elle avait été mise sur le bloc à maintes reprises. Cette édition aurait vraiment pu s’intituler Big Brother Célébrités: Une saison de déjà-vu!
Alors que tous tentaient de se divertir pour relâcher la tension, les joueurs ont été surpris par des clignotements de lumières rouges et bleues, faisant sursauter plusieurs d’entre eux.
Finalement, un message est apparu sur les écrans, indiquant qu’il fallait «combler le vide» et précisant que la personne qui réussirait à le faire obtiendrait un vote supplémentaire lors de l’élimination.
Tous les joueurs se sont alors précipités, faisant les cent pas dans la maison, à la recherche d’un moyen de résoudre l’énigme. C’est finalement Danick qui a repéré une poutre avec un trou à combler.
Dans un geste surprenant, il a spontanément partagé cette découverte avec Stéphanie, comme s’il souhaitait lui donner un coup de pouce. Malheureusement pour elle, c’est Sinem qui a réussi à mettre la main sur l’objet qui s’ajustait parfaitement dans le trou, remportant ainsi l’avantage.
Sinem aura donc droit à un vote supplémentaire lors de l’élimination, qui se jouera entre Stéphanie et Simon.
Qui de Stéphanie ou de Simon voudriez-vous quitter l’aventure?
P-A Méthot était l’invité d’honneur sur le plateau de En direct de l’univers, animé par France Beaudoin. Il a eu droit à une soirée riche en moments musicaux divertissants, offerts par plusieurs artistes, ses amis et sa famille.
L’humoriste a vécu une montagne d’émotions, passant des rires aux larmes tout au long de l’émission.
En voyant sa fille, Zoé, danser sur scène, P-A n’a pu retenir ses larmes, qui n’ont pas diminué d’intensité lorsque le segment suivant a révélé une autre surprise émouvante.
C’est lorsque sa conjointe des dernières années, Véronique, a rejoint Breen LeBoeuf sur scène pour interpréter leur chanson de couple, Rock De V’lours, que les larmes de Méthot ont continué de couler. Visiblement ému par ce moment chargé de souvenirs et de significations, il n’a pu contenir son émotion.
Il a également eu droit à une interprétation magistrale de la talentueuse Jennifer-Lee Dupuy, qui a livré une performance époustouflante de la chanson Kissing You (Roméo et Juliette). Ce moment chargé d’émotion a profondément touché P-A Méthot, car cette chanson lui rappelle également une période plus sombre de sa vie.
D’autres artistes de renom sont également montés sur scène, dont Brigitte Boisjoli, Jonas, Jeanick Fournier, Matt Lang, Paul Daraîche et une rare apparition de Pierre Bündock, après plus de 20 ans.
Quelle magnifique soirée remplie d’émotions, où l’on a partagé les larmes de P-A tout en chantant et dansant. Une fois de plus, En direct de l’univers nous a offert un moment de divertissement incomparable!
Et vous, avez-vous été aussi ému que nous et que l’invité?
Mathieu Baron se trouvait à l’émission Ça finit bien la semaine, où il venait parler de son rôle de Maxime dans Indéfendable, moment où il a aussi discuté de sa vie, qui a grandement changé dans les dernières années. Lui qui est maintenant papa d’un jeune garçon, Cooper, et également fiancé.
Il se confiait à nouveau sur le fait qu’il s’agissait du véritable amour de devenir père. C’est par la suite, à la demande de l’animateur remplaçant Jean-Michel Anctil, le temps d’un épisode, soit José Gaudet, que le comédien est également revenu sur le fait qu’il n’hésiterait pas à chercher un travail dans un autre domaine s’il ne parvenait plus à décrocher de rôles dans le milieu artistique.
«Est-ce que tu trouves ça confrontant, maintenant que tu es père d’avoir à avoir ces pensées-là? (…)», demandait José, qui lui aussi a eu ce type de pensées.
«(…) Confrontant… non, je me suis juste dit: Moi, je me lève, je vais le voir, il sourit, puis il faut que je le nourrisse… Ça fait que, en ce moment, je suis chanceux, je gagne ma vie en faisant ce que j’aime. Si dans trois mois Maxime Dubois meurt puis je n’ai pas d’autres contrats (…) Bien, qu’est-ce que tu veux que je fasse… je vais aller poser du gypse, je n’ai pas de trouble. Il y a trois choses que mon gars ne manquera jamais… c’est: un toit, de l’amour, puis de la bouffe. Ça fait que moi, je vais faire ce qu’il faut pour garder ces trois choses-là, that’s it», confiait Mathieu avec amour pour son fils.
Un moment touchant en compagnie de Mathieu.
Nous lui souhaitons bien des années sur nos écrans et beaucoup de bonheur en famille!