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Finale de STAT: Patricia Paquin demande la bienveillance

Avez-vous repris votre souffle?

Le 25 novembre, les téléspectateurs de la populaire quotidienne STAT ont assisté au dernier épisode avant la pause du temps des Fêtes. Et fidèle à son habitude, l’autrice a offert une finale loin d’un long fleuve tranquille: un épisode chargé de tensions et de rebondissements, qui s’est conclu sur un suspense taillé pour faire monter l’attente et laisser les fans impatients de retrouver la série au retour.

Parmi toutes les intrigues, celle de Siméon Granger, interprété par Benjamin Gratton, a particulièrement frappé, puisque son sort demeure très incertain après qu’il a été laissé seul à la maison et qu’un feu s’est déclenché alors qu’il tentait de se faire des frites.

Son père, Pascal St-Cyr (Normand D’Amour), fait grimper la tension d’un cran: pris au piège dans le trafic pendant que la situation dégénère à la maison, il assiste impuissant à un vrai cauchemar à distance.

L’épisode se termine sur un suspense insoutenable, alors qu’on ignore encore si Siméon a pu échapper à l’incendie…

Attention! Attention!

En marge de la diffusion de cet épisode, qui soulève déjà de nombreuses questions chez le public, Patricia Paquin, la mère du comédien Benjamin Gratton, a tenu à faire un rappel, invitant les téléspectateurs à rester bienveillants s’ils croisent Benjamin et souhaitent lui parler de la série ou de son personnage.

«On vient tout juste de regarder le dernier épisode de STAT avant la pause du temps des Fêtes… Alors, pour ceux qui croiseront Benjamin: soyez bienveillants. Évitez-lui les questions trop insistantes… sinon ses réponses risquent d’être aussi courtes que des frites allumettes! En attendant le grand retour de STAT, faites-vous plaisir:
une petite gâterie, ça fait toujours du bien. En tout cas, sa soeur Florence était très contente de partager son snack», commente-t-elle en marge d’une photo de Benjamin et de sa sœur, tous deux devant un bon bol de… frites!

Véronique Cloutier, elle aussi fan de l’émission, a ensuite repartagé la publication, rappelant à son tour à ses abonnés de ne pas harceler le jeune comédien avec des questions sur STAT d’ici janvier.

L’autrice prend le pouls du public

Sur une autre note, derrière ce cruel suspense se trouve évidemment l’autrice Marie-Andrée Labbé. Même si la série nous laisse sur une sortie plutôt abrupte, elle, a pris le temps d’adresser un message aux téléspectateurs avant de les retrouver en janvier.

«Un mot de l’autrice: Avez-vous repris votre souffle? Vous venez de voir le dernier épisode de STAT avant la pause des Fêtes. Ce sera une longue pause, n’est-ce pas…? Je vous assure que l’attente en vaudra la peine. Les performances des acteurs et actrices dans les prochains épisodes seront époustouflantes. Je vous remercie d’avoir été au rendez-vous pour cette première moitié de saison en format hebdomadaire. Vos réactions sont toujours aussi vives et enflammées, ce qui nous rend très heureux. Évidemment, les gens qui regardent les épisodes sur l’Extra et qui dévoilent les punchs à l’avance… Comment dire… Si on devait vous donner une partie de notre foie, on changerait peut-être d’idée à la dernière minute. Les autres, nous vous souhaitons un merveilleux temps des Fêtes et avons déjà hâte de vous retrouver en janvier pour la suite de l’histoire. Joyeuses Fêtes! Marie-Andrée xx P.S. Si vous recevez à Noël, prévoyez une réserve de papier de toilette. P.P.S. Ne faites pas trop d’abus, votre teint pourrait virer au jaune. P.P.P.S. Et assurez-vous que le vin rouge qu’on vous sert provient toujours d’une bouteille», lance-t-elle, au passage, en ponctuant son message de quelques références aux intrigues marquantes qui ont jalonné la saison.

Les mots de la fin (et de la faim)

Alors ne manquez pas la suite de la série dès le mois de janvier 2026: ce n’est pas parce qu’on change d’année qu’il faut changer de série!

Surtout, d’ici le retour, soyez prudents quand vous faites cuire des frites… et rappelez-vous de vous contenir si vous croisez Benjamin!

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Arrêt cardiaque pour Robert Marien: le moment où tout a basculé

Le 5 octobre 2021 est une journée qui sera malheureusement gravée dans l’esprit du comédien et chanteur Robert Marien, aussi connu comme «l’encyclopédie de la télévision».

C’est lors d’un match de hockey entre amis que la vedette de la série Lance et compte a subi un arrêt cardiaque, lors d’une récupération de rondelle dans le coin de la patinoire.

Dans le cadre d’une entrevue en rappel avec la Fondation Cœur + AVC, Robert Marien est revenu sur cette terrifiante journée, qui aurait pu se terminer en cauchemar.

Neuf minutes dans l’ombre

Les lumières se sont éteintes.

Lorsque Robert Marien a fait son malaise, deux joueurs de hockey se sont précipités pour entamer les manœuvres de RCR, tandis qu’un troisième composait immédiatement le 9-1-1. Pendant ce temps, un autre coéquipier s’est mis à courir pour aller chercher le défibrillateur externe automatisé de l’aréna, installé quelques années auparavant grâce à une initiative conjointe du gouvernement fédéral et de Cœur + AVC.

Par un heureux hasard, un ambulancier se trouvait sur place pour assister au match de son enfant. Il a pu intervenir sans tarder, prendre en charge la situation et apporter le défibrillateur directement sur la glace. Le DEA a délivré un choc, et ce dernier a repris conscience avant même l’arrivée des secours.

Il avait été inconscient durant neuf minutes. Une fois stabilisé, le comédien a été transporté en ambulance à l’Hôpital Le Gardeur, où une série d’examens lui a été administrée. Par la suite, il a été transféré à l’Institut de cardiologie de Montréal, où les médecins lui ont posé un défibrillateur interne et ont procédé au dégagement d’une artère obstruée.

«Je trouvais que je jouais particulièrement bien. Puis, les lumières se sont éteintes», a raconté Robert Marien.

Heureusement pour lui, les gens concernés sont intervenus rapidement, lui qui est conscient de la chance qu’il a d’être toujours en vie.

«J’ai été extrêmement chanceux. S’ils avaient hésité, je ne serais probablement pas ici aujourd’hui», a-t-il dit avec gratitude.

Très reconnaissant

J’y pense constamment.

Robert Marien consacre désormais beaucoup de temps à la sensibilisation, déterminé à faire comprendre au grand public l’importance vitale d’un accès rapide aux défibrillateurs.

Ayant lui-même vécu une situation où chaque seconde comptait, il souhaite que ces appareils soient disponibles partout où des foules se rassemblent ou où des activités sportives ont lieu.

«Il devrait y avoir autant de défibrillateurs dans les lieux publics que d’extincteurs d’incendie, insiste Robert. On n’a pas besoin d’être un pompier pour se servir d’un extincteur. C’est la même chose avec le DEA. On n’a pas besoin d’être un ambulancier. Il est facile à utiliser et il te dit même quoi faire. Avec le répartiteur du 9-1-1 au bout du fil et un DEA à portée de main, vous n’avez rien à craindre. Vous mettez toutes les chances de votre côté pour sauver une vie. J’en suis la preuve vivante», s’est-il exprimé.

Le comédien s’est montré profondément reconnaissant envers toutes les personnes qui lui ont sauvé la vie, exprimant à plusieurs reprises combien leur rapidité d’action et leur sang-froid ont été déterminants.

Conscient d’avoir frôlé le pire, il dit désormais chérir chaque instant avec une intensité nouvelle, savourant les petits moments du quotidien autant que les grandes occasions.

«Tout est un bonus, un moment que je n’aurais pas eu la chance de vivre sans mes coéquipiers. Je ressens une immense gratitude. J’y pense constamment, et je suis très heureux d’être ici. On aspire tous à être de grands humains et à devenir meilleurs. Les gars qui m’ont sauvé, ils sont devenus de grands humains par la force des choses. Tout le monde peut être un héros. Ils ont posé un geste simple, mais d’une grande importance. Ils seront à jamais dans mon cœur», avoue-t-il avec panache.

C’est grâce à des témoignages comme celui-ci que l’on prend véritablement conscience de la fragilité de l’existence. Ces histoires, aussi bouleversantes qu’inspirantes, nous rappellent que la vie peut basculer en un instant et que rien n’est jamais garanti.

Elles nous poussent à apprécier davantage chaque moment, à reconnaître la valeur des proches qui nous entourent et à ne jamais tenir pour acquis notre santé ou notre quotidien.

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Grosse nouvelle de P-A Méthot pour se faire pardonner

Je veux un peu me faire pardonner par le public…

Après quelques années derrière le micro en animation radio, l’humoriste P-A Méthot vient d’annoncer une grande nouvelle, et les amateurs de son humour risquent d’être ravis.

Une annonce qu’il préparait

Il avait déjà semé la curiosité en laissant entendre qu’une «nouvelle» tomberait bientôt, mais cette fois, c’est officiel: l’annonce est enfin concrète.

«Gang!!!! Disons que si vous voulez être les premiers au courant de ce qui s’en vient (très prochainement), mon infolettre, c’est pas mal LA place. Abonne-toi au pamethot.com», avait-il lancé quelques jours plus tôt, avant de finalement reprendre la parole à ce sujet.

Le grand retour

Je peux FINALEMENT vous l’annoncer…

C’est désormais officiel: P-A Méthot lancera son troisième one-man-show, PARDON?!, un spectacle où il promet d’aborder avec audace des histoires vraies, aussi loufoques qu’inattendues, tirées de son vécu.

«Les amis… je capote un peu. Après des mois à travailler là-dessus, je peux FINALEMENT vous l’annoncer: je lance mon 3e one-man-show intitulé PARDON?! Un nouveau show rempli d’histoires vraies (trop vraies), de situations du quotidien qui n’ont pas d’allure… puis surtout, de rires. J’ai tellement hâte de vous retrouver dans les salles, de vous jaser ça, de raconter mes folies: bref, de tripper avec vous autres! Je m’en viens vous voir un peu partout au Québec… puis je suis BIEN excité!!! Les billets sont en vente dès maintenant au pamethot.com. (Puis inquiétez-vous pas… d’autres dates s’en viennent!)», annonce avec enthousiasme l’humoriste gaspésien, visiblement fébrile à l’idée de retrouver son public sur scène.

Le spectacle sera d’ailleurs présenté dans plusieurs provinces, une information que P-A Méthot a confirmée lui-même dans ses publications.

«Ce nouveau one-man-show répondra aux grands questionnements de la vie… avec une seule et unique question: PARDON?!», s’exprime-t-il en légende.

«Salut tout le monde, c’est P-A! Ça fait trois ans qu’on ne s’est pas vus. Bien là, je reviens vous voir aux quatre coins du Québec, en Ontario, au Nouveau-Brunswick. Je vais être là avec mon tout nouveau show qui se nomme PARDON?!. Tu sais, souvent, on en a à dire, on entend des affaires, puis on dit: PARDON?!. Donc moi, j’en ai entendu pas mal des affaires dans 30 ans de carrière (…) Ça fait trois ans que je n’ai pas fait de spectacle, donc ouais, je veux un peu me faire pardonner par le public de l’avoir «abandonné», mais pas vraiment abandonné», ajoute-t-il dans une vidéo où il s’adresse directement à son public, à qui il souhaite un peu se faire pardonner.

Une histoire marquante à raconter

Reste à voir s’il abordera aussi, avec l’humour qu’on lui connaît, un sujet nettement plus sérieux: le harcèlement dont il avait parlé publiquement en mars 2025, après en avoir subi pendant de nombreuses années.

«J’ai réfléchi longtemps (…) j’ai décidé de le faire, parce que je pense que ça peut rendre service à bien des gens (…) Après la pandémie, il y a bien des artistes qui ont eu des haters (…) moi, j’en ai un qui a été pas mal actif à mon sujet depuis trois ans (…) à un moment donné, ç’a commencé à être un petit peu plus agressif (…)», avait confié P-A, sur les ondes du FM93, expliquant que cet individu finissait toujours par revenir, tel une marmotte au printemps.

Une situation pour le moins fâcheuse, sur laquelle vous pouvez en apprendre davantage ici, en attendant de voir si elle sera abordée dans son spectacle.

Capture YouTube @Cogeco Média

Nos sincères souhaits

Nous lui souhaitons beaucoup de succès avec ce nouveau projet, qui risque de rallier bien des amateurs alors que la personnalité signe un grand retour sur scène.

Avez-vous ressenti l’absence de l’humoriste? Et si oui, irez-vous le voir dans son tout nouveau spectacle?

Les billets sont d’ailleurs en vente dès maintenant pour le public de 18 ans et plus.

Kristen Stewart, Sydney Sweeney et bien plus au Festival du film de Savannah

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Une pause de plusieurs mois: Le désir de Sébastien Benoit

Je suis là, à toutes les semaines, quarante, quarante-cinq semaines par année…

Sébastien Benoit a soufflé ses 53 chandelles et, pour souligner l’occasion, sa collègue Maripier Morin lui a demandé quel grand projet, le rêve qu’il n’a pas encore réalisé, il aimerait finalement accomplir dans la cinquantaine.

Il a alors confié qu’il avait bel et bien une chose qu’il rêvait d’accomplir, mais qu’il n’était pas encore passé à l’action, pour plusieurs raisons.

Le rêve qu’il caresse et ce qui le retient

«En fait (…) j’ai la chance d’avoir des jobs en radio, en télé, mais quelque chose de régulier, tu sais. Je suis là, à toutes les semaines, quarante, quarante-cinq semaines par année. Partir six mois, un an, faire le tour du monde, ça j’aimerais ça. Mais en ce moment, qu’est-ce que tu veux, on est… j’aime ce que je fais, puis tu fais vivre la famille, puis c’est ça, mais en même temps (…) mais vraiment le rêve, ça serait de dire: Regarde, hey, gang, savez-vous quoi? Six mois, je suis partie. On se retrouve dans six mois, dans un an, puis je fais le tour du monde», dévoile-t-il.

Maripier lui a alors lancé qu’elle n’était pas certaine qu’il serait game.

«C’est ça l’affaire», répond-t-il, avant que sa collègue n’ajoute que cela demanderait une bonne préparation mentale, mais que si c’est réellement ce qu’il désire, elle lui souhaite de trouver l’énergie et le feu nécessaires pour y arriver.

Personnalité débordée? En voici une preuve de plus!

Rappelons que l’animateur, qui soulignait avoir la chance d’être très occupé sur le plan professionnel, fera bientôt partie d’un autre projet.

En effet, le 25 novembre, on a découvert les huit personnalités qui agiront à titre de collaborateurs, les fameux «Givrés», dans la nouvelle mouture de la populaire émission Sucré Salé, version hivernale, et Sébastien Benoit se retrouve parmi eux.

«Voici la TOP gang avec qui on vous présentera Sucré Givré cet hiver! TROP TROP FIER! (…) C’est la première fois de ma vie que j’ai aussi hâte d’aller jouer dehors», lance l’animateur de l’émission, Jean-Philippe Dion, au sein de laquelle Benoit signera des capsules Coups de food express.

Ce tout nouveau projet, qui nous plongera dans l’effervescence culturelle de la saison froide: premières médiatiques, spectacles inédits, lancements d’albums et tapis rouges à profusion, sera lancé dès le 5 janvier, sur les ondes de TVA.

Découvrez les autres personnalités qui se joignent à cette nouvelle aventure hivernale, juste ici.

Nos sincères souhaits!

Nous souhaitons un très joyeux anniversaire à Sébastien et, surtout, qu’il puisse enfin concrétiser ce rêve qu’il semble convoiter plus que jamais.

Aimeriez-vous, tout comme l’animateur, vous offrir une pause de plusieurs mois, loin des tracas du quotidien, et partir à l’aventure?

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Propos inquiétants: Normand Brathwaite s’excuse

Je t’aime beaucoup, ça m’a inquiété…

Invité à l’émission Dans le blanc des yeux, animée par Sophie Durocher, Normand Brathwaite a tenu des propos qui ont suscité des réactions et été jugés inquiétants par certaines personnes.

Preuve que ces propos n’ont pas laissé tout le monde indifférent: lors de son dernier épisode du concept Le beau dimanche de Jeannot, Jean-Sébastien Girard a relancé Normand Brathwaite à ce sujet.

Contexte et inquiétudes exprimées

«Tout le monde a entendu cette phrase: Je ne vais jamais bien. Tu vas rarement bien dans la vie, bon, j’espère que tu peux mettre ça en perspective, parce que ça m’a inquiété, parce qu’on se connaît quand même depuis longtemps. Je t’aime beaucoup, ça m’a inquiété de savoir que tu étais peut-être toujours malheureux. Alors remets ça en perspective», demande l’animateur à son invité, visiblement soucieux de remettre les choses en perspective et d’obtenir une réponse plus rassurante.

Il clarifie ses propos et fait le point sur son état

«Ok, je veux juste dire… premièrement m’excuser, parce que le public, il a d’autres choses à faire que d’écouter mes états d’âme (…) mais… je suis quelqu’un qui… il y a des bouts où ça va bien, puis, il y a des bouts où ça va moins bien (…) ma pharmacienne et ma psychologue me disent toujours: Tu es une personnalité publique, donc tu vas t’en sortir, si quand tu es bien, tu dis: Je suis bien, on a du fun, puis si tu n’es pas bien, il faut que tu le dises (…) je pense que c’est important de le dire, mais sauf que, des fois, tu as une journée où la phrase dépasse ce que tu penses vraiment, et je m’excuse de dire: Je ne suis jamais bien, ce n’est pas ça que je voulais dire, ce que je veux dire c’est que: je ne suis jamais bien (rires) ce que je veux dire, c’est que je ne suis jamais bien, mais donne-moi deux verres de vin et un band avec des filles, j’ai du fun en c*lice, c’est ça que je voulais dire», réitère-t-il, alors que Jean-Sébastien mentionne que Brathwaite a ses propres moyens d’évasion.

«Je ne fais pas pitié», ajoute Normand, suivi de l’hôte qui avance qu’il est peut-être simplement un être mélancolique.

«Il y a des gens qui sont de bonne humeur tout le temps, puis c’est parfait (…) c’est juste ça que je voulais dire: je vais bien», déclare-t-il en conclusion au sujet de son état mental, des propos qui devraient en rassurer (et soulager) plus d’un.

Au bout du compte, Normand Brathwaite a tenu à remettre les pendules à l’heure: oui, ses propos ont pu inquiéter, mais en s’excusant et en parlant ouvertement de sa santé mentale, il rappelle surtout à quel point ces enjeux demeurent importants. Ses prises de parole s’inscrivent surtout dans une démarche de transparence avec son public.

Retour sur d’autres propos marquants

Rappelons qu’invité au podcast Le Temps d’une Bouffe, il s’était ouvert sur plusieurs aspects marquants de sa vie, notamment sur les événements qui ont failli lui coûter la vie et ses années de dépression.

«Je ne voyais pas le bout, parce que je me disais: Si j’arrête, je vais leur devoir des shows. Je ne peux pas arrêter, je ne peux pas dire, au milieu de Piment fort… J’ai beaucoup de respect puis d’admiration pour Jean-Philippe Wauthier, qui dit, à un moment donné: Je ne peux plus. Parce que, tu sais, c’est une roue (…)», avait-il affirmé en évoquant la dépression.

Pour lire l’article complet, rendez-vous ici.

Nous souhaitons à Normand beaucoup de bonheur, de douceur, de sérénité et, pourquoi pas, une foule de moments qui riment avec vin, band et femmes, pour la suite.

Capture YouTube @Le Temps d’une Bouffe