Après avoir fait rire des générations de spectateurs grâce à son humour fin, accessible et toujours teinté d’autodérision, il s’apprête à relever un nouveau défi sur scène, cette fois du côté du théâtre.
Dans sa publication, Massicotte a confirmé qu’il sera au cœur d’une toute nouvelle pièce intitulée Le Duplex, un projet qui promet déjà d’attirer l’attention. Pour l’occasion, il sera entouré d’une distribution solide et très appréciée: Sylvain Marcel, Valérie Blais et Sophie Faucher.
Ce quatuor d’artistes chevronnés réunit des talents qui brillent autant en comédie qu’en drame, laissant présager une œuvre vivante, rythmée et menée par une belle chimie de troupe.
«C’est avec un grand bonheur que je vous annonce que j’aurai l’honneur de partager la scène avec Sylvain Marcel, Valérie Blais et Sophie Faucher dans la pièce «Le duplex» qui a fait un gros hit à Paris. On se retrouve dès l’été prochain à l’Assomption et ensuite partout au Québec en 2026! Comme disait un certain Sylvain: Ça va être telllllement le fun! Un énorme merci à Eric Young et à la gang d’Entourage d’avoir pensé à moi», annonce François Massicotte.
Encore enveloppé de mystère quant à son intrigue complète, Le Duplex s’annonce comme une production où les petits riens du quotidien risquent de se transformer en grandes sources d’émotion et de fous rires, un terrain de jeu qui colle parfaitement à l’univers de Massicotte.
«Le Duplex, l’hilarante comédie de Didier Caron qui a triomphé à Paris, débarque au Québec pour la toute première fois! Avec Sophie Faucher, Sylvain Marcel, Valérie Blais et François Massicotte, préparez-vous à plonger dans une guerre de voisinage complètement hilarante, avec des manigances douteuses et des quiproquos savoureux. Au menu: une bonne dose de folie, des éclats de rire… et des voisins qui n’ont rien vu venir! La pièce, mise en scène par Charles Dauphinais, sera présentée en primeur dès juillet 2026 à L’Assomption, St-Hyacinthe et Québec, avant de partir en tournée partout à travers la province», partage l’équipe de production.
Rappelons que Massicotte campait François, tandis que Marcel interprétait Sylvain, le voisin envahissant des premières saisons. Leur dynamique comique, ultra-naturelle à l’écran, a rapidement conquis le public.
Massicotte a d’ailleurs raconté que, dès l’audition de Sylvain Marcel, il avait éclaté de rire à sa toute première réplique, signe d’un instinct comique partagé et d’un fit immédiat entre les deux hommes.
Leur dynamique reposait sur un contraste qui fonctionne à merveille: Massicotte dans le rôle du gars normal, un peu dépassé, Marcel dans celui du voisin plus grand que nature.
Aujourd’hui, le fait qu’ils se retrouvent à nouveau dans la pièce Le Duplex est une belle nouvelle des plus nostalgiques.
Irez-vous voir ce nouveau projet? Et surtout, regardiez-vous 450, chemin du golf à l’époque?
Dans un segment aussi drôle que malaisant, il raconte avoir récemment insulté quelqu’un en laissant échapper un commentaire très maladroit sur son physique, une gaffe qui l’a aussitôt plongé dans l’embarras.
«Mon garçon jouait au soccer, soccer intérieur, samedi après-midi. Au même moment, j’apporte mon iPad parce que les Carabins de l’Université de Montréal, que j’adore au football, jouaient (…) Probablement que mon niveau d’attention était divisé entre le match de mon gars, plus les Carabins. Puis là, il y a un homme qui vient, que je connais (…)», met-il en contexte, avant d’être interrompu par Maripier, qui lance à la blague que ça n’a pas de bon sens de regarder une autre game que celle de son fils.
«Ton fils, il va consulter à cause de ça», lance-t-elle, pendant que Sébastien se justifie en précisant que son fils ne jouait pas tout le temps et qu’au moment de l’anecdote, il était sur le banc.
«Là, là, il y a un père d’un garçon qui connaît mon gars, il joue pour une autre équipe, OK. C’est un immigrant français. Câline, il t’a une tabarouette de shape, il est tough, il est musclé, tu sais, il a des tattoos», poursuit-il.
«Donc lui, pendant ce temps-là, pas mieux, il est sur son téléphone, puis il regarde un match de rugby. Parce qu’il y avait un match France-Australie de rugby (…) Il me parle du football canadien ou du football, tout ça. Moi, je parle du rugby, donc il me dit: Tu sais, le rugby c’est des vrais, c’est des vrais durs, ils n’ont pas d’équipement comme ce qu’on voit au football américain ou canadien. Puis, je ne sais pas si tu as remarqué, mais les joueurs de rugby, comme les gars qui font du combat ultime, souvent, ils ont des oreilles en chou-fleur (…) Donc là, moi, j’ai regardé les oreilles au gars en question, puis j’ai dit: J’imagine que vous avez joué au rugby pendant plusieurs années», raconte l’animateur.
«Oh non, non, non, non, non, tu n’as pas dit ça», s’exclame sa coanimatrice.
«Il me regarde et il dit: Je n’ai jamais joué, je fais juste être un spectateur attentif. Ah, bah, merci, mes oreilles sont niquées», lâche-t-il, tout en l’imitant.
«Ah, je suis morte en dedans», commente Maripier.
«Je n’étais pas bien», témoigne Sébastien.
«Mais là, je le regarde puis je fais: Bien désolé buddy, je ne sais pas. Bah j’avoue qu’elles ne sont pas très belles mes oreilles, mais je t’assure je n’ai jamais joué au rugby», ajoute-t-il.
Affirmant qu’il allait sûrement le recroiser, Maripier l’a alors encouragé à lui présenter ses excuses en ondes, profitant de ce moment privilégié au micro pour rectifier le tir.
«Je vais le nommer par son nom, Thibault (…) Thibault, tu as le physique et la carrure d’un joueur de rugby. Selon moi, peut-être les oreilles, mais ce ne serait pas le cas. Je suis sincèrement désolé, je me suis mis les pieds dans la bouche», conclut le papa.
Ayayaye…
Si cette histoire n’est pas qu’une simple invention pour faire rire les auditeurs, elle est vraiment savoureuse.
Et vous?
Et on parie que plusieurs s’y reconnaîtront: ce genre de moment où l’on ouvre la bouche un peu trop vite, avant même d’avoir pris le temps de réfléchir.
Vous est-il déjà arrivé de lâcher une insulte sans même vous en rendre compte?
Il semble d’ailleurs réussir tout ce qu’il entreprend avec une détermination impressionnante, et sa plus récente publication en est une preuve de plus.
Autant qu’il démontre prendre soin de ses affaires et de sa famille, Luc Poirier trouve toujours du temps pour se maintenir en forme. Passionné d’endurance, il participe à des compétitions Ironman depuis plusieurs années, une discipline exigeante qui demande autant de rigueur mentale que de préparation physique.
Son plus récent Ironman, complété au Mexique, s’est d’ailleurs révélé le plus difficile de sa carrière jusqu’à présent. Entre la chaleur écrasante, un parcours particulièrement éprouvant et les imprévus qui viennent toujours tester les limites des athlètes, il a dû puiser loin dans ses réserves.
«Iron Man Cozumel… Mon pire à vie. J’étais vraiment malade, mais je l’ai tout de même complété parce que j’ai pris l’habitude depuis toujours de terminer ce que j’entreprends. D’ailleurs, ça fait maintenant une dizaine d’Ironman que je complète, 3 ans après mes débuts. Avant ça, je n’avais jamais fait de sport d’endurance, à part le hockey à l’occasion et beaucoup d’heures au bureau… Comme quoi tout le monde peut commencer! J’étais tard dans ma quarantaine et, surtout avec de la volonté, je suis parvenu à insérer cette belle et saine compétition, pas juste physique, mais très mentale, dans ma vie. C’est devenu une pièce importante, un moment que j’attends toujours avec impatience et une communauté de gens passionnés que j’apprécie beaucoup», témoigne Luc Poirier sur son compte Instagram.
Pour lui, ces épreuves sont autant une question de dépassement de soi que d’équilibre de vie: un rappel que, même avec un horaire chargé, la discipline et la constance peuvent mener très loin.
De quel défi sportif s’agit-il exactement?
Un Ironman est un triathlon longue distance considéré comme l’une des épreuves d’endurance les plus exigeantes au monde.
Il enchaîne trois disciplines sans pause: 3,8 km de natation en eau libre, 180 km de cyclisme sur route, puis un marathon de 42,2 km à pied.
Le but est de terminer l’ensemble dans un temps limite qui varie selon les organisations, généralement autour de 16 à 17 heures. Au-delà de la performance, l’Ironman demande une préparation de plusieurs mois: volume d’entraînement élevé, stratégie de nutrition et d’hydratation, gestion du rythme et adaptation aux conditions météo.
Julie avait abordé un possible retour au travail et avait confié avoir traversé un été particulièrement éprouvant, après qu’un deuxième cancer eut été détecté, un cancer qui résistait à tous les traitements. Heureusement, les derniers tests sanguins avaient ensuite révélé une nouvelle porteuse d’espoir: 0 % de cellules cancéreuses dans son sang.
Voilà que, tout récemment, à la suite de sa participation à l’émission, Julie a repris la parole pour annoncer une autre excellente nouvelle, à la fois émouvante et pleine d’espoir, qui souffle une douce bouffée de lumière sur la suite.
«C’est mon dernier traitement en immunothérapie. Dernière fois que je viens dans ce local que je fréquente depuis un an. C’est donc la fin du volet traitement qui m’a occupée à temps plein. J’espère ne plus jamais devoir y retourner. C’est une nouvelle étape importante, une petite victoire. Je ne suis pas guérie, c’est trop tôt pour parler de rémission, mais je n’ai plus de cancer dans mon corps. Mon cœur est plus léger. Je regarde en avant, je recommence à me construire des projets d’avenir. Ça n’a jamais été pénible de venir semaine après semaine dans ce local de traitement grâce à la bonne humeur et la délicatesse des infirmières qui prennent soin de nous. Merci à vous toutes! Merci pour les conseils, les rires, pour votre humanité. Merci à mon oncologue qui m’a proposé ce plan de traitement qui était très costaud, parfois difficile, qui m’a encouragée, poussée à aller jusqu’au bout même quand les effets secondaires étaient lourds et douloureux. On va se revoir, mais moins souvent. Et c’est très bien comme ça. Je sais que tous les patients qui vous auront comme médecin sont très chanceux et entre bonnes mains. Encore une fois, j’ai pu faire «sonner la cloche», charmant rituel qui souligne la fin de chacune des étapes de traitement vers un retour à la santé», témoigne-t-elle, en accompagnement de photos particulièrement significatives.
Une pluie d’amour qui témoigne de l’admiration du public
Sous la publication, les commentaires se sont rapidement multipliés: sa communauté a littéralement fait pleuvoir une avalanche de messages d’amour, d’encouragement et de soutien, témoignant à quel point Julie est entourée et appréciée.
Nos sincères souhaits
Félicitations à Julie pour cette grande étape franchie avec courage et force. Nous lui souhaitons une suite remplie de douceur, de beaux jours à venir et, surtout, la santé.
«Ça fait 53 ans», répond-il, lorsque Serge lui demande depuis combien de temps ils se connaissent.
«Ça veut dire que ta vie d’homme, tu l’as faite avec France», questionne Denoncourt.
«Je l’embrasse, ça goûte encore la même chose que le premier baiser que je lui ai donné», affirme l’invité. Serge enchaîne en lui répondant qu’il veut bien le croire, mais qu’il connaît peu de gens capables de dire ça de leur femme après autant d’années.
«Bien, il y a une France Mousseau, qu’est-ce que tu veux que je te dise. On a une loi ensemble, c’est que même si on veut s’arracher la tête sur l’heure du souper, on va finir dans le même lit, puis il n’y a personne qui n’a jamais couché sur le divan», témoigne-t-il, visiblement toujours fou d’elle, alors que Serge plaisante en disant qu’en couple, il dormait plus sur le divan que dans son lit.
Sa fille Francesca au cœur d’un échange très émotif
En soulignant qu’encore aujourd’hui, les gens parlent de leur couple, allant même jusqu’à dire qu’ils sont «au sommet de la pyramide», l’animateur a ensuite glissé vers un sujet tout aussi intime: leur fille, Francesca.
«Tu sais, dans la vie, quelqu’un te pose une question: Est-ce que tu veux un garçon ou une fille? Je pense que la réponse la plus, on va dire, cohérente, c’est… la santé, tu t’en fous (…) et là, on me l’a enlevé et du coup (…)», explique le papa, avant que Serge précise qu’au début de sa vie, Francesca était plus ou moins en forme.
Un échange particulièrement émouvant entre les deux hommes, au fil duquel Jean-Marc se livre à cœur ouvert sur des sujets majeurs, profondément intimes, qui ont marqué sa vie.
C’est dans une entrevue exclusive accordée au média Télé Star que la personnalité s’est ouverte sur son histoire d’amour avec sa conjointe Yulia Baranova Lavoie, qu’il vient récemment d’épouser, après quelques années de bonheur partagé.
L’auteur-compositeur-interprète a notamment raconté avoir rencontré son amoureuse en Italie, dans un cadre on ne peut plus romantique, avant de l’épouser cet été au Canada.
«On s’aime et je suis très heureux» aurait-il notamment confié.
Un cliché de ce grand moment
Sa partenaire a d’ailleurs partagé sur sa page Instagram un adorable cliché des tourtereaux pris lors de ce grand jour, où on les voit vêtus de leurs habits de cérémonie.
Plus de détails sur leur union et celle qui fait battre son cœur
Ce n’est d’ailleurs pas la seule aventure qu’elle ait partagée sur sa page Instagram: elle y publie parfois de magnifiques clichés de leurs voyages et de tendres moments partagés ensemble.
Installée à Paris, où elle travaillerait dans la mode, elle semble partager avec son mari bien plus qu’un quotidien: une même manière d’embrasser la vie. Entre escapades, aventures et découvertes, leur complicité transpire dans chacun de leurs souvenirs.
Rappelons que Daniel Lavoie s’apprête à retrouver la troupe de Notre-Dame de Paris dès le 19 décembre 2025. Celui qui a repris en 2016 son rôle de l’archidiacre Claude Frollo sera de nouveau sur scène pour cette série de représentations.
Et comme il ne compte visiblement pas ralentir, Daniel Lavoie s’apprête à reprendre la route: après des décennies de carrière éclatante, il retrouvera, en compagnie de ses musiciens, le public européen dès mars 2026 avec un tout nouveau spectacle, Ils s’aiment… comme avant, qui promet déjà son lot d’émotions et de grands moments de scène.
De plus, Notre-Dame de Paris – Les grandes retrouvailles 25 ans après sera diffusé le samedi 29 novembre à 21h10 sur M6. Une soirée-événement à ne pas manquer, qui offre une occasion rare de retrouver Daniel Lavoie et le casting original réunis pour célébrer ce spectacle mythique dans une ambiance festive et pleine de nostalgie.
C’est lors d’un échange avec son ami, le journaliste Alain Gravel, que Stéphan Bureau est revenu sur la relation complexe qu’il entretenait avec son père, une dynamique qui a peut-être, avec le recul, influencé sa propre vie familiale.
Capture Télé-Québec
Des défis marquants dès son jeune âge
Alain Gravel a lancé que, lorsque Stéphane avait environ 15 ou 16 ans et vivait déjà en appartement, il avait eu l’impression que, lors de ses visites, le jeune Bureau souffrait de solitude.
«À ce moment-là, très rapidement, je fais faillite, donc je m’effondre (…) C’est la fin de mon petit cycle où je pensais que je pouvais péter de la brou, et que la brou m’a fait péter, et j’ai vraiment pété au fret (…) C’est une sacrée leçon d’humilité et, à ce moment-là, oui, il y a de la solitude (…)», confie-t-il.
Capture Télé-Québec
Le poids d’une relation père-fils complexe et ses répercussions
Ça m’a heurté.
Son ami lui a alors demandé s’il était en quête de racines, rappelant que son père avait occupé une place très importante dans sa vie et qu’il était resté proche de lui.
«Oui, on a eu de vraies disputes, on a été en rupture de conversation pendant trois ans (…) Mon père a fait de gros efforts longtemps pour être indifférent à ce que je faisais. J’ai passé à 13 ans des mois à aller à Radio-Canada, toutes les semaines, faire ma participation à Téléjeans, jouer dans des sketchs (…) et jamais on m’a posé une question, jamais mes parents à 13 ans sont venus me reconduire, puis ce n’est pas un reproche que je leur adresse d’ailleurs (…) Mais c’est un mystère, c’est-à-dire que pour moi, c’est un mystère: ou ça ne les intéressait pas du tout, ou c’était une posture pour dire: Il n’est pas question qu’il se prenne la tête, donc on n’en parlera pas, tout est égal, et c’est vrai que tout est égal, mais ça m’a heurté, et à un moment donné, ça m’a heurté au point où tu dis presque délibéré, c’est-à-dire que j’avais des soeurs très performantes et magnifiques, franchement, les deux, et il était normal qu’on célèbre leur succès, elles le méritaient, et rien de ce que je faisais n’était intéressant. Puis, à un moment donné, j’ai dis: Bien non, ça ne me tente pas, et ce père, donc, que j’ai beaucoup aimé et que j’aime encore beaucoup, même s’il n’est plus là, j’ai arrêté de lui parler pendant trois ans. Mais cette guerre froide est probablement proportionnelle à l’amour que l’on avait l’un pour l’autre: on était deux orgueilleux, deux esprits libres», témoigne Bureau.
Sa théorie, malgré tout, avec amour
«Je pense, c’est ma théorie, et je peux l’exposer parce qu’il est mort aujourd’hui, puis elle est dite avec plein d’amour, mais je pense que la vanité de mon père, très tôt, souffrait mal que je puisse réussir différemment à ses côtés (…) Je ne pense pas que c’était conscient, je ne pense pas du tout, et je me suis posé la même question parce que j’ai des enfants qui ne sont pas les miens: je ne suis pas un parent biologique, et je me suis demandé pourquoi je n’ai pas d’enfant. Et j’ai craint que je ne sois pas capable d’admirer mes enfants parce qu’ils m’auraient fait de l’ombre, ce qui est débile, mais c’est la logique que j’ai tirée de ce que j’ai vécu avec mon père. Mais si je n’ai pas eu d’enfant, je pense que, je n’y pense pas, mais j’y pense ce soir, c’est que j’ai eu probablement peur que ce que j’ai reproché à mon père, je l’applique», explique l’invité.
Une entrevue très intéressante, empreinte de vulnérabilité, qui illustre à quel point une relation familiale complexe peut laisser des traces.
Vous reconnaissez-vous dans le témoignage de Stéphan Bureau?
L’humoriste — et désormais comédienne — a vibré avec un enthousiasme contagieux au son des performances de ses artistes chouchous et des trames sonores qui ont marqué différentes étapes de sa vie. Parmi les moments forts, elle a même reçu une prestation à la Harry Styles, offerte par un acteur qu’elle adore: Steven Lee Potvin.
Elle a aussi été profondément touchée par la présence de ses proches : ses parents, sa sœur et sa cousine, tous venus contribuer à cette célébration musicale qui lui ressemblait parfaitement.
Et au-delà de tous ces invités, un homme particulièrement important dans sa vie est lui aussi monté sur scène pour elle: Jason Roy-Léveillée. Il a offert une interprétation empreinte de sincérité, un moment qui a certainement fait vibrer le cœur de Marie-Lyne — et celui des téléspectateurs.
Juste avant sa performance, elle a d’ailleurs discuté de sa relation avec Jason à France Beaudoin, qui soulignait leur belle complicité…
Et ils se connaissent depuis très longtemps!
Oui, oui — depuis qu’ils ont 15 ans.
C’est donc dans cette ambiance de confiance et d’amitié de longue date que France a voulu savoir comment s’était déroulée leur scène intime tournée pour la série Dumas.
«On n’a pas eu trop de scènes intimes encore, mais, Luc, c’est juste à toi d’en écrire. En fait, je me sens vraiment confortable avec lui. C’est quelqu’un avec qui je me sens bien, en proximité. C’est quelqu’un qui a été vraiment là pour moi aussi au début. Je n’avais pas d’expérience. Fait que c’est vraiment plus facile, je me sens comme si j’étais avec mon frère», lançait Marie-Lyne, qui a visiblement une belle relation avec celui avec qui elle partage l’écran dans cette série de Luc Dionne.
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La performance grandiose de Jason!
Il lui a offert une prestation complètement éblouissante, et personne n’a pu passer sous silence ses capacités vocales impressionnantes.
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D’ailleurs, ce n’est pas la seule fois du week-end où nous avons pu l’entendre chanter, puisqu’il occupait aussi un rôle important à Chanteurs masqués.
Il était en effet le Maître de la voûte, celui qui a offert des indices tout au long de la saison aux enquêteurs. Et une fois de plus, il a certainement laissé bien des gens sans mots à la toute fin de l’émission grâce à sa voix envoûtante et puissante.
Un projet mystérieux, un coup de fatigue… et souvenirs de débuts
Sur Instagram, l’homme d’affaires a révélé être impliqué dans un projet de téléréalité tenu encore secret. Il en a également profité pour revenir sur son passage à Un souper presque parfait, l’émission qui a marqué ses débuts dans cet univers.
«Bon samedi matin! Je reviens de mon projet secret de téléréalité. Je ne peux pas encore en parler, mais j’ai vraiment trippé. Trois jours sans cellulaire, sans accès à rien, juste à jouer à des jeux… ça fait du bien pareil. Je ne me tanne jamais de faire de la téléréalité. Je sais que c’est un privilège d’être invité, surtout que plusieurs aimeraient être à ma place. Dire que tout ça a commencé en 2011 quand j’ai dit «oui» à Un souper presque parfait. Et honnêtement, ce n’était même pas pour faire de la télé. Mon idée, c’était juste de montrer aux autres comment cuisiner parce que ça ne cuisinait pas fort. J’avais oublié que c’était un show de téléréalité… pas un cours de cuisine. Vous m’avez aimé, détesté… et c’est encore ça à chaque fois. Ça fait partie du jeu. Depuis, je l’ai fait trois fois, j’ai fait Les Dragons trois fois, j’ai écrit quatre livres, fait de la radio, de la télé, Big Brother deux fois… et qui sait pour la suite. Chaque fois, je me dis que c’est peut-être la dernière fois qu’on m’invite, alors j’en profite au maximum. Mais c’est stressant. Trois jours comme ça, c’est beaucoup. Ce matin, je suis brûlé. J’ai besoin de quelques heures pour revenir dans le vrai monde, rattraper les nouvelles, voir que le bitcoin a tombé, qu’il y a encore de la chicane au PLQ… les classiques. Les nouvelles vont tellement vite que trois jours déconnecté, ça feel comme trois mois. Quand tu consommes l’actualité comme moi, quelques heures sans lire les journaux et t’es déjà dépassé. Partir trois jours, ça donne aussi un petit break à mon équipe. Si je ne suis pas reposant dans un jeu de téléréalité, imaginez dans la vraie vie… Et maintenant, qu’est-ce que je fais aujourd’hui? Retourner à la campagne? Aller voir Marilyn? Lire les journaux pour me remettre à jour Probablement un peu de tout ça. On reprend ça tranquillement», témoigne-t-il, laissant entendre qu’il a beaucoup apprécié l’aventure, même s’il a traversé un épisode de fatigue.
Dans les commentaires sur sa page Facebook, plusieurs internautes disent avoir très hâte de découvrir ce nouveau projet et se prêtent déjà au jeu des spéculations quant à la nature de l’émission.
Durant les trois jours de tournage de cette compétition musicale télévisée, Lou-Pascal a été reçu par celui qu’il appelle à la fois son collègue de travail et «son boy», soit Stéphane Rousseau.
«Il est sans faute, Steph. Il a toujours une répartie (…) Je suis fier de lui, je suis fier de dire que c’est mon ami dans la vie. Puis, de pouvoir faire d’autres types de projets comme ça avec lui, c’est un privilège», louange Lou-Pascal.
En effet, les deux acteurs partagent l’écran de la populaire série télévisée STAT. Profitant de leur proximité sur le plateau, Lou-Pascal avoue avoir tenté d’obtenir quelques scoops sur Karaoké Club… en vain.
«Des fois, je le voyais répéter ses textes pour Karaoké Club. J’essayais de voir c’est quoi les tounes qui allaient y être, mais il n’a jamais voulu rien me dire, donc il a été très bon pour garder tout ça secret», raconte-t-il.
«Elle est excessivement talentueuse, elle nous amène ailleurs. On va plus loin dans les émotions», nous rapporte Lou-Pascal sur celle qui est également la conjointe de Stéphane Rousseau.
Avec Julie, elle-même actrice, il dit devoir jouer «dans la vérité» en tout temps:
«Il y a des fois où je fais semblant, où ça ne me tente pas nécessairement d’aller là, de vivre telle émotion en ce moment dans ma vie. Il y a des fois où je fake des affaires, mais je sais qu’elle voit que ce n’est pas vrai. Je ne peux plus me cacher derrière mes réflexes. (…) C’est challengeant au boute, mais c’est vraiment formateur.»
D’après le comédien, les ouï-dire d’une 5e saison semblent d’ailleurs se concrétiser:
«Moi, je me suis toujours dit: Si on fait cinq ans avec ça, je suis f*cking content. Ça s’enligne pour ça.»
Très attaché à son personnage, le docteur Jacob Faubert, Lou-Pascal confie:
«Le jour où je vais perdre ce personnage-là, je vais m’en ennuyer profondément. J’aime Jacob, j’aime ce qu’il m’amène dans ma vie, j’aime sa dégaine, sa confiance en lui. Je le respecte et j’apprends de lui.»
«STAT, c’est quelque chose que j’ai vraiment tatoué sous le cœur. Je ne veux pas qu’on me l’enlève», conclut l’artiste.
Retrouvez Lou-Pascal sur Prime Vidéo, dans Karaoké Club, aux côtés de l’actrice et animatrice Karine Vanasse, la comédienne Debbie Lynch-White, l’animateur Pierre-Yves Lord et de la créatrice de contenu et animatrice Chloée Deblois!