















Je dors sur mes deux oreilles, maintenant…
Mais depuis, où en est Jeanick Fournier, et quel impact ce grand prix de 150 000 $ a-t-il eu sur sa situation?
C’est dans un épisode de l’émission Sauve qui peut!, animée par le spécialiste des finances, Pierre-Yves McSween, que la chanteuse s’est confiée sur différents aspects de sa vie financière.
Pour commencer, Pierre-Yves McSween lui a demandé quel type de contrats était le plus avantageux financièrement pour elle: les festivals estivaux ou les spectacles en salle pendant les saisons froides.
«Financièrement, je dirais les festivals d’été, les corporatifs: c’est des événements qui nous apportent beaucoup plus de sous», affirme-t-elle, avant que l’animateur enchaîne en lui demandant si elle gère tout elle-même pour réduire les coûts ou si, au contraire, elle s’appuie sur une équipe.
Elle a répondu qu’elle avait réellement besoin d’une équipe, tout en se disant chanceuse de pouvoir compter sur des gérants amicaux qui ne lui prélèvent pas un pourcentage chaque mois.
Cependant, le prix de 150 000$ était-il soumis à l’impôt?
La réponse est simple: non.
«Puis, tu sais, le plus drôle, c’est que quand on est sortis de là-bas, je m’en venais sur la route, puis j’ai regardé mon amoureux, puis je l’ai comme réalisé deux jours après (…) j’ai dit: Euh… hey, sais-tu quoi? Je pense que je viens de gagner 150 000$, tu sais», témoigne-t-elle, précisant au passage qu’elle n’avait pas participé au concours pour le grand prix, une réponse qui survenait à une autre question de l’animateur.
Pierre-Yves s’est ensuite attardé au volet gestion du montant, lui demandant si, après avoir reçu ce grand prix, on lui avait proposé de rencontrer un conseiller financier.
«Non, ç’a pris trois mois avant que le chèque arrive (…) j’avais quand même hâte que ça arrive (…) j’ai perdu de l’intérêt. Non mais j’ai une personne vraiment autour de moi, mon gérant Régis, qui me disait: Fais attention, tu sais, ça se brûle vite de l’argent. Il ne faut pas oublier que je viens quand même d’un milieu très modeste, puis sur le coup ce fut la joie. Je me suis bien amusée, j’en ai profité», explique-t-elle, avant que McSween ne lui demande si elle s’était amusée raisonnablement ou sur une lancée.
Elle a alors confié s’être permis «deux, trois petites folies», comme prendre l’avion pour aller voir un concert de Coldplay, rien de vraiment extravagant, précise-t-elle. Elle rappelle d’ailleurs qu’elle partait de loin: elle vivait dans un 4 ½ en coopérative, avant de finalement louer une maison.
«Oui, je dirais que tout de suite après que les gens ont visionné le fameux golden buzzer, j’ai été hyper occupée: dès que ç’a passé à la télévision, j’ai dû quitter la maison à Chicoutimi, puis m’en venir presque un mois ici, dans le coin de Montréal (…)», raconte-t-elle.
L’animateur lui demande alors comment elle a vécu ça au début: est-ce qu’on est conscient, dès le départ, que cette nouvelle réalité risque d’être temporaire?
«Je dirais que oui, mais je dirais que la première année et demie, ç’a été tellement vite: j’ai été projetée, puis je me suis laissé porter (…) Ensuite de ça, ça s’est plus déposé, mais je me disais: Est ce que je vais rester dans le coeur des gens? Est-ce que je vais rester là? Est-ce que je vais être juste l’instantané du moment (…) Mais là, après trois ans, je suis heureuse de voir que je suis restée dans le coeur des gens (…) Oui, il y a la voix, mais il y a la personnalité, il y a l’histoire qui vient chercher les gens (…)», affirme l’artiste.
«Oui, oui, vraiment, puis de dire de profiter de ça. Mais puis tu sais, la chose que j’étais le plus fière, c’est que quand j’ai gagné (…) mon montant, j’ai investi dans ma production (…) mais j’ai mis des sous de côté, et ça je suis contente. À chaque jour, je suis sur mon application, je vais voir (…) ça fructue, mais ça, je suis fière. Ça, je dors sur mes deux oreilles, maintenant (…) j’ai cette sécurité là qui est là (…)», conclut-elle.
Visiblement, Jeanick ne perd rien de la bonté et de l’authenticité qui la rendent si attachante, et nous espérons que ce sentiment de sécurité l’accompagnera encore longtemps.
Et vous, qu’est-ce que vous feriez avec un montant pareil?
C’est terminé…
Le contenu de l’enveloppe a été expédié avant même qu’on ait le temps de respirer: zéro tension dramatique, des animateurs qui récitaient leur script comme des élèves en présentation orale, des finalistes manquants… et pas un mot de la productrice Julie Snyder, ce qui, honnêtement, était probablement la plus grande surprise de la soirée, vu à quel point elle aime d’habitude commenter.
Une vidéo de la réaction des gagnants, Arnaud et Lauriane, a fini par apparaître sur les réseaux sociaux, parce que visiblement, la finale n’avait pas assez de place pour… la réaction des gagnants.
On nous a d’ailleurs confirmé, par la bande, que l’intégralité de leur réaction serait finalement diffusée dans le fameux, et très attendu, épisode de L’heure de vérité.
En parlant de L’heure de vérité, disons que cette saison, les candidats ne risquent pas de manquer de matériel: avec une édition marquée par les trahisons, les complots, les stratégies à deux faces, les demi-vérités et la bisbille à répétition, ils arrivent armés d’un solide bagage de sujets à brasser.
À moins, évidemment, qu’on se fasse encore avoir et qu’on assiste à une version «format collation», avec la moitié de ce qui avait été promis.
«(…) Je trouve ça vraiment dommage de regarder la dernière table de délibération et d’entendre les mensonges et les arguments pourris qu’ils ont sortis, (des choses auxquelles je vais répondre très facilement d’ailleurs). Si vous avez été choqués hier, attendez l’Heure de vérité, vous allez l’être encore plus. Anthony qui dit que je lui ai «toujours» parlé de ma «grande carrière d’influenceur», alors que la seule raison pour laquelle il savait que j’avais une plateforme avant OD, c’est parce qu’il m’a tiré l’information à force d’insister, justement parce que je ne voulais pas parler des réseaux. J’ai vraiment cringe. Bref, il y a six finalistes. Vous allez être servis six fois. À bientôt», déclarait-il dans l’une de ses toutes premières prises de parole, une fois l’aventure terminée.

Ce n’est pas tout… Il a récemment partagé une nouvelle vidéo TikTok, filmée tout juste après ce moment tant attendu, dans laquelle il affirme qu’il y a bel et bien eu des… disputes!
«On s’est chicanés durant L’heure de vérité, mais, au moins, c’est terminé LOL», lance-t-il en marge d’une vidéo où on le voit danser aux côtés d’Alexandra, Clara, Naomi, Any, Béatrice et Anthony T.
De plus, si on se fie à une vidéo où Naomi nous entraîne dans les coulisses de l’événement, le tournage de l’épisode aurait commencé vers 15h pour se terminer autour de 2h du matin. Elle y mentionne aussi avoir perdu la voix, ce qui en dit peut-être long sur l’intensité de la journée.
Clara, de son côté, a aussi partagé une vidéo dans laquelle elle affirme que le public n’est pas prêt pour ce qui s’en vient: que ça n’a pas été de tout repos… et que ça promet:
«On a terminé de filmer L’heure de vérité hier soir et ce ne fut pas de tout repos. Ça promet»
Finalement, Laurie, qui n’a clairement pas digéré d’avoir développé un lien avec Mathis avant de le voir réintégrer l’aventure et filer jusqu’en finale avec Cindy, a partagé une vidéo de ses nouveaux ongles en annonçant qu’elle est prête à «cook»… autrement dit, à servir du thé TRÈS chaud.
Ayayaye… la déception va frapper solide si tout ce qu’on nous a teasé finit par être aussi intense qu’un verre d’eau tiède. On nous a vendu du feu d’artifice: il ne faudra pas nous servir trois pétards mouillés.
Rendez-vous le dimanche 30 novembre à 18h30 sur Noovo… avec l’espoir que cette fois, on ne se fera pas voler un autre dimanche soir fondue pour rien.
Dans mon podcast, j’ai parlé d’une ex-amoureuse…
C’est sur sa page Instagram que l’humoriste a expliqué que, dans son balado Oublie pas ta brosse à dents, qui traite des anciennes relations amoureuses, il avait parlé de son ex Aurélie, à qui il avait dédié une magnifique phrase:
«Elle est sa propre maison.»
Une métaphore à la fois douce et lumineuse, qui a trouvé un écho particulier. Reprise par Aurélie, elle l’a visiblement touchée au point qu’elle a choisi de… la faire graver sur son bras.
Une déclaration sincère et tendre, qui laisse entendre qu’elle trouve en elle-même son lieu d’ancrage: une source de stabilité, d’acceptation de soi, d’indépendance émotionnelle et de résilience.
«Dans mon podcast, j’ai parlé d’une ex-amoureuse qui avait souvent été déracinée et que je trouvais tellement bien dans sa peau que je la décrivais ainsi: Elle est sa propre maison. Mes propos lui ont été rapportés et visiblement l’ont touchée. Première fois de ma vie qu’une de mes citations est imprégnée dans la peau de quelqu’un! Aurélie, il demeure que tu es bien partout. Tu es heureuse partout. Tu irradies partout», explique Alexandre.
Aurélie n’est d’ailleurs pas la seule ex-amoureuse avec qui Alexandre entretient une belle relation et de précieux souvenirs.
Alexandre Barrette a été en couple pendant plusieurs années avec Mariana Mazza. Leur relation, qu’ils avaient choisi de garder discrète pendant longtemps, a duré environ sept ans. Depuis leur séparation, les deux humoristes sont demeurés en très bons termes et continuent d’ailleurs de s’occuper ensemble de leurs deux caniches, leurs enfants.
Une attention qui a manifestement réchauffé le cœur de son ancienne partenaire.
«Cette photo représente tout l’amour que je porte pour cet humain. Hier, c’était ma première à Québec, sa ville natale. Les gens l’ont accueilli comme si c’était son show à lui. J’ai eu la chance de partager sa vie et son intimité pendant 7 années, houleuses , mais ô combien nécessaires. Alex, c’est un gars qui vient chercher au plus profond de mon être tout ce qui confronte mes certitudes. Un coeur d’humain. Une tendresse d’ami. Un copain merveilleux. Un co-auteur dédié. Je t’aime. Plus que jamais. Nos deux enfants canins sont la somme de nous deux: mal engueulés et imparfaits. Je nous souhaite encore plusieurs vies à se chicaner en riant, parce que sinon, je meurs de plate», partageait-elle.
Un tatouage est un geste fort, intime et irréversible, qui en dit souvent très long. Et vous, est-ce que vous feriez quelque chose d’aussi marquant en lien avec une ancienne relation?
Une histoire invraisemblable
Ève-Marie Lortie, l’animatrice du rendez-vous matinal préféré des Québécois, Salut Bonjour, était de très bonne humeur ce matin. Comme chaque jour, plusieurs segments se succèdent à l’émission, mais c’est pendant l’un d’eux — alors que Simon Philibert partageait une vidéo — qu’Ève-Marie s’est mise à avoir… presque des cauchemars!
Eh oui, c’est lorsque celle-ci allait partager une vidéo qu’elle a tout de suite commenté le tout, sachant très bien ce qui s’en venait.

«Une histoire invraisemblable (…) C’est mon pire cauchemar… je vous le dis», lançait-elle avec sérieux.
Il s’agissait d’une vidéo partagée sur les réseaux sociaux, où l’on voit une femme qui a été enterrée vivante.
«C’est une Thaïlandaise de 65 ans qui a été retrouvée vivante dans un cercueil (…) », mentionnait Simon avant de présenter la vidéo.
«La femme qui a réussi à alerter le personnel en donnant de légers coups sur les parois du cercueil. La dame, qui était clouée au lit depuis deux ans, n’avait pas donné de signe de vie depuis deux jours. Comme son frère croyait qu’elle était morte, il l’avait donc amenée au temple pour être incinérée, selon ses dernières volontés. Mais elle a plutôt été reconduite à l’hôpital pour des examens», ajoute Simon.

À la vue de ces images, Ève-Marie a réagi de nouveau, et c’est à ce moment que le collaborateur sportif Charles-Antoine Sinotte a voulu savoir dans quelles circonstances elle pourrait rester prise dans un cercueil.

«Je ne sais pas..mais il y a quelqu’un qui n’a pas fait sa job admetton. Ça peut arriver n’importe où», répondait l’animatrice.

Faut mentionner qu’il s’agit d’un simple segment terrifiant pour l’animatrice, qui vit également des moments magiques et précieux dans le cadre de l’émission.
Rappelons d’ailleurs que, dernièrement, elle a vécu un magnifique instant en compagnie de la grande Janette Bertrand, venue parler de son nouveau roman Cent ans d’histoire.
Lors de ce passage, la magnifique centenaire a même offert de sages conseils, livrés avec toute sa bienveillance habituelle. 🌟
Janette souhaitant qu’il y ait davantage de discussions entre générations.
Salut Bonjour un rendez-vous quotidien qui fait très souvent du bien!










On a eu notre première date à Universal Studio
Cette année, la cinquième saison de Chanteurs masqués fut un réel succès. Nous avons eu droit à des stars masquées derrière leurs costumes, toutes aussi fascinantes les unes que les autres. Et il ne faut pas oublier le volet vocal: plusieurs d’entre eux ont offert des performances véritablement inoubliables.
Mais comme dans toute compétition, il devait y avoir un gagnant à la toute fin
Et c’est le Cardinal qui a triomphé, sous lequel se cachait Steph Carse — une révélation qui a grandement réjoui les téléspectateurs!
Le chanteur, très bien-aimé au Québec et star derrière le Achy Breaky Dance, n’avait pas donné de nouvelles depuis quelque temps, puisqu’il réside désormais en Floride.
Nous étions donc très heureux de le retrouver sur scène, avec sa voix magnifique et puissante.
C’est dans le cadre de sa victoire que nous avons eu la chance de nous entretenir avec Steph, qui est fort sympathique soit dit en passant. Nous avons abordé bien des sujets avec lui, dont le fait qu’il est très heureux et impressionné par cette grande production qu’est Chanteurs masqués.
Steph a d’ailleurs accepté de nous parler de sa belle histoire d’amour avec celle qui partage sa vie depuis 2017, Natasha.
« Notre histoire d’amour? On s’est rencontrés lors d’une soirée bénéfice où elle prenait la parole. Ma femme travaille dans le milieu des finances», ce fut donc leur première rencontre et, au premier regard, Steph a été ébloui.
C’est un mois plus tard qu’ils ont eu leur première date — et pas n’importe où !
Non, leur tout premier rendez-vous a eu lieu à Universal Studios, comme il le mentionne lui-même :
Un mois plus tard, on a eu notre première date à Universal Studio.
Leur amour est évident, et les amoureux aimeraient également accueillir un bébé. 👶
Les tourtereaux chantent d’ailleurs ensemble sur une chanson de Céline Dion, L’amour existe encore, disponible sur YouTube — un duo qui témoigne de leur belle complicité.
Et d’ailleurs, sa femme a même appris le français spécialement pour cette performance, au combien magique !
Ce n’est pas le seul projet en cours, puisqu’il prépare aussi un tout nouvel album compilation, auquel s’ajoute un livre retraçant son parcours, ses débuts et l’évolution de sa carrière.
Quel bonheur de retrouver Steph Carse, à qui nous souhaitons beaucoup de succès… et un bébé avec sa femme Natasha! 💕✨
























Je suis très, très souvent déroutée…
Invitée récemment au balado Ouvre ton jeu de Marie-Claude Barrette, Hélène Bourgeois Leclerc s’est livrée sans détour sur plusieurs pans de sa vie.
Au fil de l’échange, une carte lui a demandé d’identifier le plus grand défi qu’elle ait eu à surmonter. La comédienne a alors livré un témoignage touchant sur sa vie familiale, marquée par plusieurs épreuves.

«Le défi en lien avec la maternité. La maternité et la parentalité. Être un parent, pour moi, c’est un immense et magnifique et riche défi, encore à ce jour, puis je trouve que toutes les étapes en sont. Tu sais, je trouve qu’être parents c’est tellement confrontant et riche et étonnant et surprenant, mais tu n’es plus le centre de ton univers, soudain (…) La petite personne qui est là, tu ne la comprends pas tout le temps, tu n’es pas toujours d’accord, non plus (…) Tu es toujours en train de te demander: Je fais-tu la bonne affaire, je suis-tu en train de le fucker, je suis-tu en train de… je suis-tu trop, je suis-tu assez (…) Puis, pour moi, c’est un défi magnifique, mais je suis très intuitive, puis instinctive dans la vie (…) je sais où je m’en vais, puis comme mère, je suis très, très souvent déroutée (…) Je l’ai voulu, j’ai couru après, j’ai voulu des enfants (…)», confie-t-elle.

Questionnée sur ses attentes et sur la façon dont elle imaginait la maternité, elle a avoué avoir traversé cette période avec une certaine impression d’étouffement. Être souvent à la maison, privée de liberté, lui a pesé: elle trouvait ça parfois monotone. Elle avait besoin de bouger, de sortir, de sentir qu’il se passe quelque chose, bref de retrouver du mouvement dans son quotidien.
«Ça, puis, tu sais (…) je m’imaginais tomber enceinte facilement, puis moi j’ai fait plusieurs fausses couches avancées donc, je m’imaginais que ça allait être un peu comme tout le reste dans ma vie, c’est-à-dire: Quand tu veux, tu peux puis tu vas y arriver puis tout va bien aller (…) ça n’a pas été ça notre histoire, nous, de famille ou de couple (…)», explique la maman.

«(…) Avec un immense désarroi. Comme des deuils, que personne ne peut tant comprendre (…)», affirme l’invitée, tandis que Marie-Claude rebondit sur sa propre expérience et raconte à quel point les gens autour d’elle se montraient souvent maladroits face à ce deuil.
«J’ai eu des fausses couches (…) la plus avancée, c’était à quatre mois (…) ç’a tout été des petits deuils, mais à chaque fois, je me demandais surtout qu’est-ce que j’avais de pas correct (…) au début, c’était physique (…) il doit se passer quelque chose, mon chum puis moi. Tu sais, notre… Il y a quelque chose qui ne marche pas, je veux dire, physiquement, ça ne se peut pas, je tombe enceinte, mais il ne reste pas, donc là c’est devenu: Est-ce que mon chum et moi, dans le fond, on ne devrait pas être ensemble. C’est peut-être un signe de la vie qu’on ne devrait pas avoir d’enfants ensemble (…) Que je ne suis pas faite pour être mère, que je ne serais pas une bonne mère. Là, j’étais dans: La petite âme qui est venue trouver refuge dans mon ventre, elle n’a pas aimé ce qu’elle a trouvé, elle est partie (…) Je cherchais un sens, une réponse, je trouvais que ça ne se pouvait pas. J’en ai quand même fait beaucoup, j’en ai fait sept (…) c’est dur pour le corps (…) c’est parce que ça s’additionne (…) qu’est-ce que je dois comprendre de ça? (…) Les médecins, ils me disaient tous: Il n’y a rien à comprendre, ça arrive (…) tu ne manques de rien. Physiquement, tu as tous les nutriments, ton corps est en forme, en santé (…) finalement, on a eu Margot, quand j’avais 38 ans (…) Il y en a eu deux autres après Margot, puis, après ça, on a décidé d’aller en adoption. Parce qu’en réalité ce qu’on voulait, c’était de se bâtir une famille. Tu sais, de le porter ou de ne pas le porter, sincèrement, ce n’était pas ça l’enjeu. Puis, j’avais eu disons, la chance ou le privilège, de vivre une grossesse (…) J’en ai vécu une donc, la suite elle va se faire autrement (…) C’est un défi dans lequel je me suis lancée. C’est un défi que j’ai choisi de vivre, ce n’est pas un défi qui m’a été imposé du tout, du tout, puis, pour moi, ça fait toute la différence dans l’espèce de drame que ça peut être ou la difficulté que ça peut amener», témoigne Hélène.
Aujourd’hui, avec Margot et Oscar, sa belle famille est désormais complète.
Félicitations à elle pour ce magnifique témoignage, qui fera sans doute écho chez bien des gens. Nous lui envoyons beaucoup d’amour et lui souhaitons une suite remplie de bonheur et de douceur.