



















Atteinte du syndrome de la personne raide, Céline Dion nous a beaucoup surpris dans les derniers mois en multipliant les apparitions publiques.
Toujours aussi élégante et lumineuse, elle montre une force incroyable malgré la maladie.
Et voilà qu’elle surprend une fois de plus ses fans en étant le visage dans la nouvelle campagne des Fêtes de Charlotte Tilbury.

«Céline est la définition d’une ICÔNE INTERNATIONALE – son histoire de persévérance, d’authenticité et de confiance en soi nous inspire tous!»
peut-on lire sous cette publicité incroyable!
Une apparition qui prouve que, même face à l’adversité, notre diva internationale continue de briller et d’inspirer.
Atteinte du syndrome de la personne raide, Céline Dion nous a beaucoup surpris dans les derniers mois en multipliant les apparitions publiques.
Toujours aussi élégante et lumineuse, elle montre une force incroyable malgré la maladie.
Et voilà qu’elle surprend une fois de plus ses fans en devenant le visage de la nouvelle campagne des Fêtes de la marque de cosmétiques Charlotte Tilbury.
«Céline est la définition d’une ICÔNE INTERNATIONALE – son histoire de persévérance, d’authenticité et de confiance en soi nous inspire tous!»
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Pierre Bruneau se trouvait à Salut Bonjour, aux côtés d’Ève-Marie Lortie, où il venait parler d’une grande nouvelle concernant la Fondation Charles-Bruneau.

Rappelons que la Fondation a été créée après le décès du fils de Pierre Bruneau, qui a tristement perdu la vie des suites d’une leucémie.

«Le 30 septembre 2025 est une date qui marque un jalon important dans l’histoire de la Fondation Charles-Bruneau et dans l’histoire de la recherche sur les cancers de l’enfant. En effet, la Fondation s’est engagée à distribuer 50 millions de dollars – sur cinq ans (2025-2030) – entre les quatre centres hospitaliers universitaires du Québec spécialisés en hématologie-oncologie pédiatrique.», peut-on lire sur le site internet de la fondation.
Lors de sa visite, l’ancien chef d’antenne a parlé de la fierté qu’il ressent à continuer de réaliser des miracles avec la Fondation, et c’est aux côtés de l’animatrice du rendez-vous matinal qu’il a partagé un puissant message concernant son fils.
Je suis sûr qu’il applaudit
«Hier, ils ont passé une petite vidéo où l’on voyait Charles, c’est sûr que c’est hors contexte, qui applaudissait à un match des Nordiques. Et puis, pour moi, là, cette image m’a tellement frappé hier… parce que je suis sûr qu’il applaudit à tout ce que les gens font pour le cancer pédiatrique.», lançait Pierre avec amour.

Une visite à Salut Bonjour qui prouve que l’espoir existe et qu’il faut y croire, tout comme Pierre et tous ceux qui contribuent, de près ou de loin, à la lutte contre le cancer.
Il est possible de donner en tout temps sur le site officiel de la Fondation.
Mia Bleu Voua, que le public a découverte à Occupation Double Andalousie, édition qu’elle a d’ailleurs remportée, a récemment fait sourire ses abonnés en partageant une vidéo sur sa page TikTok. On l’y voit se questionner avec humour sur le remplissage de sa voiture et le montant qu’elle dépense à chaque plein.
Elle s’interroge: si sa voiture est déjà pleine et qu’elle ne peut pas mettre toute l’essence qu’elle a payée, est-ce que le montant non utilisé lui est remboursé?
«Ok, il faut qu’on m’explique. Quand je full mon char, mettons, live là, je suis à 47,91 puis j’ai mis 50 $. Là, moi ce que je fais, c’est que là, là, quand ça commence à mousser, là j’arrête parce qu’il est rempli. Pis là j’attends. Mais mettons là, je peux-tu ravoir mon cash, genre? Mettons, je peux-tu ravoir ma piasse et demie? Parce que là j’essaie de le fuller jusqu’au bout, genre je le laisse mousser. Je n’ai pas fini. On lâche pas, il faut que tout rentre. Je n’ai pas payé 50 $ pour rien, puis au prix que tout nous coûte, c’est pas une piasse et demie que je vais perdre dans le gaz, oh ça non», lance-t-elle.
Guys, je vous promets, je ne suis pas si conne.
Sa vidéo a récolté 11,5 k mentions J’aime et a déjà été visionnée par plus de 300 000 personnes.
Les commentaires ont aussi afflué: certains ont jugé sa question avec un brin d’ironie, d’autres ont pris le temps de lui expliquer, tandis que plusieurs l’ont mise en garde contre les dommages que pourrait subir sa voiture si elle continuait à faire le plein jusqu’à ce que ça déborde.
De son côté, Mia a tout de même tenu à rectifier un détail important.
«Guys, je vous promets, je ne suis pas si conne. Je paye à l’intérieur! Peut-être pour ça que mon cash ne revient pas dans mon compte», lance-t-elle, suivie de plusieurs internautes qui lui affirment que, dans ce cas précis, elle doit retourner à l’intérieur pour se faire rembourser.

Tu ne vas pas perdre ce que tu ne mets pas!
Il semblerait que la vidéo de Mia ait même atteint Luc Poirier, passionné de voitures, qui a confirmé à la jeune femme exactement ce que plusieurs internautes lui avaient déjà expliqué dans les commentaires.
«Je viens de voir ça. Pour ceux que ça peut aider, pas besoin de «laisser mousser» son essence si tu as pré-autorisé pour 50$ et que tu es plein rendu à 40$. C’est juste une pré-autorisation, tu ne vas pas perdre ce que tu ne mets pas», explique-t-il.
Les commentaires sous le post de l’entrepreneur ont rapidement pris une tournure humoristique.



Et vous, vous êtes-vous déjà posé la même question que Mia?
Sa vidéo est accompagné de la chanson Cardigan de Taylor Swift qui parle d’une romance perdue du passé et de la façon dont l’amour de jeunesse est gravé de manière permanente dans notre mémoire. Dans la vidéo d’Alanis c’est ce passage que l’on peut entendre: «To kiss in cars and downtown bars. Was all we needed. You drew stars around my scars. But now I’m bleedin’»
«S’embrasser dans les voitures et dans les bars du centre-ville, c’était tout ce dont on avait besoin. Tu avais dessiné des étoiles autour de mes cicatrices, mais maintenant je saigne.»
Un message accompagné d’une chanson qui ne laissait rien présager de positif.
Dans les commentaires, plusieurs internautes se sont demandé pourquoi il en était ainsi. Avec humour, la créatrice de contenu a répondu que l’essentiel à retenir était surtout… qu’elle saignait.
«Il faut aussi comprendre le «Now i’m bleeding», commente-t-elle avec un émoji qui rit aux larmes.

On comprend rapidement que cette vidéo se veut fort probablement humoristique, que la jeune femme y fait plutôt référence à ses changements d’humeur liés à ses périodes menstruelles et qu’elle n’a pas réellement songé au divorce de façon sérieuse.
Une blague qui n’a rien de surprenant, puisque la créatrice a l’habitude de partager sur TikTok du contenu plus léger, inspiré de son quotidien.
Juste après, elle avait d’ailleurs partagé une vidéo d’un souper préparé par son conjoint, où elle le taquinait à propos de ce qui se trouvait dans son assiette.
Ensemble, les tourtereaux semblent partager une relation solide, se compléter à merveille et, surtout, trouver beaucoup de plaisir dans leurs folies qui ne manquent jamais d’animer leur quotidien.
Pas de panique: il ne semblerait donc pas qu’un divorce soit à l’horizon.
Longue vie aux fous rires et au bonheur, et un petit extra de courage pour Alanis dans ses montagnes russes hormonales!
J’en reviens comme pas de votre confiance.
Louis Morissette a toutes les raisons de célébrer: un heureux cap vient d’être franchi! Son spectacle Sous Pression a officiellement dépassé la barre impressionnante des 100 000 billets vendus. Un exploit qui confirme l’immense succès de cette production et l’engouement du public.
En effet, KOScène se réjouit d’annoncer que le tout premier spectacle solo de Louis Morissette a franchi le cap des 100 000 billets vendus. Dans ce one-man-show, l’humoriste propose une réflexion d’autodérision sur son parcours, sur la valeur des échecs professionnels et sur cette société obsédée par la performance. Avec une sincérité désarmante, il se livre sans filtre et lance une grande question: qu’est-ce qu’on cherche vraiment à atteindre?

«100 000 fois merci! J’en reviens comme pas de votre confiance. La majorité des gens ne savaient pas à quoi s’attendre et voilà que 100 000 billets plus tard je m’apprête à mettre fin à ma tournée. Me reste une vingtaine de dates alors j’espère vous voir car j’entends profiter de chaque moment. Ce show c’est toute ma vie en 90 minutes et j’ai un plaisir fou à le jouer encore et encore», lance-t-il.

Me demande ce que vont dire les gens qui disaient que tu vendrais jamais de billets sans moi?
Son épouse, Véronique Cloutier, s’est empressée de saluer cette réussite, visiblement remplie de fierté envers son partenaire de vie.
«Je pourrais pas être plus fière. Ce show, c’est son histoire. L’histoire inspirante (et hilarante) d’un battant qui mange des coups et se relève, un travaillant motivé par le désir de réussir… et beaucoup d’orgueil aussi. Bravo amour. Me demande ce que vont dire les gens qui disaient que tu vendrais jamais de billets sans moi?
La tournée achève, il reste une vingtaine de dates! (Sherbrooke et St-Jean en fin de semaine). Manquez pas votre chance», dit-elle en lançant un clin d’œil à ceux qui doutaient qu’un spectacle solo de Morissette puisse fonctionner.

Pour tous ceux qui n’ont pas encore eu la chance d’assister à son spectacle, il n’est pas trop tard! La tournée de Louis se poursuit aux quatre coins du Québec jusqu’en février 2026.
Il se produira dans plusieurs villes, dont Sherbrooke, Saint-Jean-sur-Richelieu, Trois-Rivières et Québec.
Toutes nos félicitations à Louis pour cette étape marquante de succès!
Sur les ondes d’Énergie, à l’émission Le Boost qu’elle coanime avec Rémi-Pierre Paquin, Martin Tremblay et François Pérusse, Kim Rusk s’est confiée sur l’état de santé de son père, Patrick Zabé. Elle a expliqué avoir dû s’absenter de l’antenne afin de l’accompagner et de le soutenir durant ses opérations.
J’ai dû manquer hier le travail parce que j’étais à Québec.
«Bien, papa va bien maintenant. Ç’a été un petit peu plus rough depuis jeudi passé, je vous dirais, là. Donc, c’est ça, j’ai dû manquer hier le travail parce que j’étais à Québec. Non pas pour aller voir le hockey, mais pour aller supporter le daddy, daddy cool. Puis honnêtement, à 80, presque 84 ans, ça me fascine de voir à quel point mon père, il est fort. Il se bat pour une maladie qui est le Parkinson, mais il y a toujours des petits effets collatéraux à tout ça. Puis, bien là, on répare des petits bouts, là… d’après moi, il est presque neuf, là», lance-t-elle.

L’un des animateurs a alors souligné que le père de Kim vivait avec la maladie de Parkinson depuis une vingtaine d’années déjà.
«C’est beaucoup pour une fin de vie, en fait, tu sais… puis tu souhaites pas ça à personne, surtout connaissant mon père (…)», poursuit-elle en affirmant qu’elle est hyperactive, mais que son père demeure le véritable maître en la matière.
«Il a encore des projets dans sa tête (…) C’est un homme qui aurait pu avoir une très belle fin de vie, une belle vingtaine d’années à faire plein d’affaires. Mais tu sais, marcher n’est plus une option présentement, non plus… depuis longtemps même», confie-t-elle ensuite, lorsqu’on lui demande depuis combien de temps il ne marche plus. Elle répond alors que cela doit faire environ six ans.

L’animatrice explique que le cerveau, lui, est toujours bien présent, mais que le défi, c’est de le traduire: réussir à le rendre, à le dire, à l’exprimer… et c’est là que tout devient difficile.
Elle est tellement extraordinaire!
«Donc, juste les opérations qu’il a vécues en fin de semaine, deux fois plutôt qu’une… sa femme Mona, qui est son extension assurément, tu sais… puis c’est ce qui fait qu’il est encore en vie, c’est qu’elle est là. C’est comme… on ne serait pas la personne si elle n’était pas là. Elle est tellement extraordinaire, Mona, on l’aime d’amour. Tu sais, elle ne peut pas le suivre au bloc opératoire, mais jusqu’à la limite, elle va pousser pour y aller, pour l’accompagner, pour être sûre que tu sais… Alors bref, ça s’est quand même bien passé, mais ç’a été deux opérations majeures… puis c’est parce que tu ne le sais jamais (…)», témoigne Kim.
«J’avais tellement peur… j’attendais l’appel et ç’a été les trois heures les plus longues de ma vie, de mon existence. Mais parce que c’est l’homme de ma vie, évidemment, c’est mon papa. Ce n’est pas drôle… je l’aime tellement», témoigne-t-elle.
Elle a conclu en affirmant qu’au moment même où elle se confiait sur la situation, son père devait recevoir son congé afin de retrouver le confort de la maison.
Nous adressons beaucoup d’amour et de réconfort à Kim et à son père.
La chanteuse Ariana Grande a suscité des réactions négatives jusqu’à la Maison Blanche avec un post Instagram interrogeant les électeurs MAGA après 250 jours de présidence Trump.
Dans une story Instagram publiée au cours du week-end, la pop star Ariana Grande a reposté un message destiné aux partisans de Trump, commençant par : « Je veux vérifier auprès des électeurs de Trump. J’ai une vraie question. »
Dans le texte reposté par la star de Wicked, le message exprimait son point de vue sur Trump et son administration depuis son retour à la Maison Blanche :
« Cela fait 250 jours, maintenant que les immigrés ont été violemment arrachés à leurs familles et que les communautés ont été détruites, maintenant que les personnes trans ont été blâmées pour pratiquement tout et vivent dans la peur, maintenant que la liberté d’expression est au bord de l’effondrement pour nous tous… »

Cette déclaration reflète bon nombre des points chauds des 250 premiers jours du mandat de Trump, des raids de déportation de masse à l’escalade des batailles sur la liberté d’expression sur les campus universitaires et dans les médias, tandis que la communauté transgenre a été pointée du doigt et largement blâmée par la droite et l’administration Trump pour les actions d’un petit nombre de personnes.
Le message de Grande poursuit :
« Votre vie s’est-elle améliorée ? Vos courses sont-elles moins chères ? Vos primes d’assurance maladie ont-elles baissé ? Votre équilibre entre vie professionnelle et vie privée s’est-il amélioré ? Pouvez-vous déjà prendre des vacances ? Êtes-vous plus heureux ? »
Malgré les promesses électorales, les prix des produits alimentaires restent élevés, l’inflation ne diminuant que légèrement tandis que les coûts quotidiens pour les familles continuent de s’alourdir. Les primes d’assurance maladie n’ont pas diminué de manière significative, et les critiques affirment que les efforts de M. Trump pour revenir sur certaines parties de la loi sur les soins abordables (Affordable Care Act) risquent d’entraîner une hausse des coûts pour les Américains vulnérables. Les défenseurs du travail notent également que la stagnation des salaires et l’affaiblissement des protections des travailleurs rendent l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée plus difficile à atteindre.
Par ailleurs, les sondages montrent que de nombreux ménages n’ont toujours pas les moyens de s’offrir des vacances ou des dépenses discrétionnaires.

Le message de Grande résonne comme un reflet culturel du scepticisme croissant quant à savoir si les politiques de Trump ont amélioré la vie quotidienne des Américains ordinaires.
Le message partagé par Grande se termine par :
« La souffrance généralisée des autres a-t-elle porté ses fruits pour vous comme il l’avait promis, ou attendez-vous toujours ? »
Le message d’Ariana Grande a rapidement suscité de vives réactions en ligne de la part des partisans de Trump, dont beaucoup l’ont attaquée personnellement en lui faisant subir la honte du corps et en formulant des commentaires désobligeants plutôt que de s’attaquer au fond de son message.

La controverse a fini par atteindre la Maison Blanche, où le porte-parole Kush Desai a répliqué à Grande avec un coup de gueule, déclarant aux journalistes :
« Épargne tes larmes, Ariana … Les actions du président Trump ont mis fin à l’inflation de l’ère Biden et apportent des trillions de nouveaux investissements. »
C’est lors de son échange avec Geneviève Everell qu’elle a répondu à une question sur les critiques qu’elle reçoit sur les réseaux sociaux, notamment lorsqu’elle partage certaines publications.
Des commentaires parfois très durs, qui vont jusqu’à l’insulter pour diverses raisons…
Les commentaires non sollicités, par contre, qui m’ont atteint… si je peux baisser mes gardes. C’est que les gens ont tellement détesté le nom de mes enfants. À un moment donné, j’ai eu une petite craque de genre: Ça commence à me déranger. Au début je disais: Je m’en fous, ce n’est pas grave (…)
-confiait Sarah-Jeanne, qui considérait que, vu qu’elle était dans l’œil du public, c’était normal.

Mais les commentaires sur les prénoms de ses enfants sont devenus une sorte d’inquiétude.
Je me suis mis à me demander si mes enfants allaient se faire niaiser. Il a fallu que je travaille ma confiance pour ne pas être trop atteinte
ajoutait-elle, tout en mentionnant que les noms de ses enfants étaient beaux et qu’ils allaient bien avec eux.

Comme elle était enceinte lorsque l’entrevue a été filmée, elle n’avait pas révélé le nom de son petit être, qui est maintenant venu au monde.
D’ailleurs, elle n’a, toujours, pas donné beaucoup d’informations concernant le dernier bébé de la famille Labrosse-Grondin.
On souhaite à Sarah-Jeanne beaucoup de douceur et de bienveillance sur ses réseaux sociaux.