Son humour et son côté rassembleur ont fait de lui l’un des participants les plus appréciés de la récente cuvée de Star Académie, et il semblerait que les prochains mois s’annoncent très prometteurs pour Joël Vogt!
En effet, le garçon de 25 ans vient de franchir une grande étape dans sa jeune carrière : il a paraphé un contrat avec la maison de disques Musicor pour la réalisation de ses prochains projets.
Joël Vogt fait donc partie des quelques diplômés privilégiés de Star Académie avec qui la compagnie de production appartenant à Québecor a choisi de continuer à travailler, car ce ne sont pas tous les académiciens qui ont par la suite systématiquement la chance de collaborer avec Musicor.
Or, pour l’heure, Joël Vogt laisse encore retomber la poussière sur l’expérience incroyable qu’il a vécue à Star Académie avant de se lancer dans de nouveaux engagements. Il partage son temps entre la guitare et la ferme de ses parents, à La Visitation, où il donne un coup de main lorsque son horaire le lui permet.
«J’ai fait quelques spectacles depuis la sortie, mais moins qu’avant. Je prends ce temps-là pour écrire des chansons», a-t-il exposé à Hollywood PQ.
Aucune date de sortie d’album au nom de Joël Vogt n’est arrêtée pour l’instant, mais le jeune artiste sait parfaitement dans quelle direction il souhaite s’aventurer :
«Je ne vais pas me dénaturer de mon country! C’est ce que je faisais avant», a indiqué ce grand admirateur de Chris Stapleton, Zach Bryan, Matt Lang et Francis Degrandpré, qui tient à écrire et composer son propre matériel.
Quels commentaires Joël a-t-il principalement reçus du public et des gens de son entourage à sa sortie de Star Académie?
«Que je suis resté moi-même! Surtout mes proches et mes amis en général, m’ont dit que je suis resté moi-même à l’académie. Je n’ai peut-être pas été le plus performant, mais j’ai été l’un des plus naturels, je pense.»
«Non, parce que ça fait partie de l’expérience! Je n’ai aucun mauvais souvenir. Juste du beau!», s’est empressé d’assurer Joël.
La troupe de Star Académie sera en spectacle extérieur au Festivent de Lévis le 2 août, au Festival Osiko en lumière de Rouyn-Noranda le 6 août et à l’International de montgolfières de St-Jean-sur-Richelieu le 15 août.
Les candidats des dernières saisons de Survivor Québec se retrouvent pour un party
Ce week-end, une poignée d’anciens candidats de Survivor Québec ont prouvé que l’esprit d’équipe, les alliances et la complicité ne restent pas qu’à l’écran. Luc, Olivier, Rayane, Sarah, Nabil, Kassandre, Gwladys, Florence, Ashly, Raphaël, Audrey et Élodie ont mis le cap sur une soirée festive avec souvenirs et fous rires.
Instagram @florence.survivorqc3
Le coup d’envoi de cette soirée a été donné par Ashly et Florence, deux anciennes acolytes de la saison 3, qui ont partagé un moment complice autour d’une bonne dégustation de sushis. Eh oui encore du riz!
Peu à peu, d’autres visages familiers sont arrivés, chacun accueilli comme un membre de la famille. Si certains ne s’étaient pas vus depuis la fin de leur saison respective, le courant est vite repassé.
Une chose est certaine: même loin des caméras, les liens créés à Survivor Québec continuent de briller. Et ce party n’était qu’un rappel de plus que l’aventure, parfois, ne fait que commencer une fois que les caméras s’éteignent.
Ce qu’ils auraient été fiers, Stan, Bob, Fern, Popol, Boisvert, Méo et les autres, à leurs premiers coups de patin dans nos cinémas, en 1997, d’apprendre qu’ils seraient, 28 ans plus tard, intronisés au Temple de la renommée!
Pas le vrai Temple de la renommée du hockey, bien sûr. Nos Guy Lafleur des pauvres ne sont évidemment pas allés rejoindre le démon blond, Jean Béliveau, Guy Carbonneau et autres Mario Lemieux au panthéon des hockeyeurs les plus légendaires de l’histoire.
Un mini musée des Boys attendait le public dans le hall de la Place des Arts à la soirée d’intronisation des Boys au Temple de la renommée de Juste pour rire / Crédit : Mario Beauregard
Non, le Temple de la renommée qui était inauguré avec les comédiens des Boys au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, lundi, est celui de Juste pour rire, un nouveau concept qui reviendra désormais chaque année au festival de l’humour québécois, et qui ne concernera pas seulement le hockey. C’est ce qu’a expliqué Sylvain Parent-Bédard, président de Juste pour rire, à Hollywood PQ sur le tapis rouge qui précédait l’événement.
«Lors de cette soirée, nous allons introniser de grandes créations culturelles québécoises ou canadiennes, qui ont marqué l’humour, la société et la culture au Québec. Avec Les Boys, je crois que nous avons la bonne franchise pour lancer notre Temple de la renommée!», a exposé Monsieur Parent-Bédard.
On comprend donc que ce Temple de la renommée fictif remplacera en quelque sorte les galas Juste pour rire hommages d’il y a quelques années, à l’époque de Gilbert Rozon, où avaient notamment été salués plusieurs vedettes (Desrochers, Lapointe, Deschamps, Meunier, Dodo, Filiatrault, Parent, Latulippe, Pérusse, Barrette et Michel Côté) au fil des ans.
Un hommage sympathique
À tout seigneur, tout honneur, à l’heure où ils sont partout, au théâtre (lisez notre critique ici, voyez nos photos ici et revivez les répétitions ici et le tapis rouge ici, ici et ici!) comme à nouveau bientôt au grand écran (eh oui, encore, les détails ici!), ce sont Les Boys qui ont baptisé le Temple de la renommée Juste pour rire en ce 21 juillet 2025.
Le spectacle, animé par Guy Jodoin, était d’ailleurs bâti à la façon d’un gala hommage, avec des numéros d’invités spéciaux tournant autour de l’univers des Boys, parfois ponctués d’extraits des films.
Guy Jodoin, animateur de la soirée d’intronisation des Boys au Temple de la renommée de Juste pour rire / Crédit : Mario Beauregard
Le contenu s’est avéré un peu répétitif, les possibilités de gags autour de cette seule franchise étant nécessairement un peu limitées. Il y a quand même un bout à ironiser sur la prononciation de «Chamonix» versus «Chamonixe», sur la «toupie québécoise» et sur la fameuse expression «la dureté du mental»! Mais l’hommage fut quand même sympathique.
Nos jubilaires (le noyau dur d’acteurs du premier opus de la série de films, Rémy Girard, Marc Messier, Pierre Lebeau, Michel Charette, Roc Lafortune, Patrick Labbé, ainsi que l’auteur Louis Saïa et le producteur Richard Goudreau) sont apparus de l’arrière-scène dans une bruyante et chaleureuse ovation, et sont allés rejoindre les spectateurs enthousiastes au parterre.
Le clou du spectacle, l’intronisation officielle des Boys au Temple de la renommée de Juste pour rire / Crédit : Mario Beauregard
Guy Jodoin a ouvert la fête avec un monologue couci-couça, comparant Les Boys à «la femme à barbe du cinéma québécois» et rappelant qu’à la sortie en salle de la comédie, en décembre 1997, le Québec était «la seule place sur Terre qui battait le film Titanic au box office», tant le succès aux guichets de notre équipe de garage préférée était considérable. Jodoin a beaucoup fait tourner – un peu trop – son propos autour de son propre rôle dans le premier film des Boys (vous vous en souvenez?), et a fait monter près de lui son fils Hugolin, né l’année de la sortie du long métrage, pour un sketch qui ne passera pas à l’histoire.
Katherine Levac et France D’Amour expliquant combien les Boys sont… féministes! / Crédit : Mario Beauregard
L’organiste du Canadien de Montréal, Diane Bibaud, et Kim Richardson, accompagnées d’une chorale, ont revisité le Boys Blues Band. Christophe Dupéré nous a entretenu de sa passion enflammée pour Les Boys («Je suis né en 1993; Les Boys, c’est la seule équipe gagnante que j’ai vue de ma vie!»). Katherine Levac et France D’Amour ont abordé Les Boys dans une perspective féministe, notamment à travers les protagonistes féminins de l’histoire. Steve Bégin et Daniel Savoie (dans son personnage de Patrice Lemieux), ont offert de mini bien-cuits aux personnages et joué avec les mots comme tous bons analystes sportifs.
Louis Champagne s’est amusé de certaines répliques célèbres des Boys / Crédit : Mario Beauregard
Louis Champagne et Didier Lucien ont décortiqué à leur façon le «livre» de Stan (Rémy Girard) («Dans mon livre à moé…») et autres répliques marquantes des Boys. José Gaudet s’est longuement épanché sur sa déception de n’avoir pas fait partie de l’épopée des Boys, avec quelques vannes bien envoyées à son ex-copine de jeunesse, Véronique Cloutier.
Steve Bégin et Daniel Savoie (alias le personnage de Patrice Lemieux) offrant un bien-cuit aux comédiens des Boys / Crédit Mario Beauregard
David Beaucage, autoproclamé «le Fern de [son] entourage», a été excellent en défilant des statistiques à la manière du personnage du regretté Paul Houde. Sa projection des «Boys 17», «en prolongation en CHSLD», avec une imitation parfaite de Pierre Lebeau, était très amusante. Et le plaidoyer du jeune humoriste pour la fierté québécoise, et «la grosseur du cœur versus celle du chèque», était à la fois senti et inspiré.
La présentation s’est conclue sur une note d’émotion comique, lorsque les personnages de femmes des Boys (Mahée Paiement, Rosie Yale, Diane Lavallée, Sylvie Potvin) ont adressé de vibrants messages à «leur homme» . Évoquant le souvenir de l’attachant Paul Houde, le passage de Sylvie Potvin fut particulièrement touchant.
La comédienne Sylvie Potvin, rendant hommage à Paul Houde / Crédit : Mario Beauregard
«Fern, c’est aussi mon beau Paul (…) Sa mémoire, son sens de l’humour, sa générosité, tout ce qui le définissait, nous manque. Fern, Paul, tu nous manques», a sobrement décrété l’actrice, aussitôt remerciée d’une ovation debout.
Sylvain Parent-Bédard et Chantal Machabée, vice-présidente communications du Canadien de Montréal, ont finalement remis une plaque honorifique à la belle bande des Boys.
Chantal Machabée et Sylvain Parent-Bédard remettant une plaque honorifique à l’équipe des Boys / Crédit : Mario Beauregard
Il n’y a pas eu de montée de chandails en clôture, mais une descente de fanions jaunes et rouges aux noms de nos (anti)-héros des Boys, au son de la voix de Ludovick Bourgeois, venu chanter l’immortelle chanson-thème.
«Quand ça va ben, ça va ben!», clamerait probablement notre Bob (Marc Messier) national, cette fois sans sarcasme, en constatant tout l’amour reçu par ses troupes en ce moment spécial.
Les comédiens des Boys moulent leur main dans le plâtre pour la postérité / Crédit : Mario Beauregard
Avant la représentation, lundi, les comédiens des Boys ont foulé le long tapis rouge déroulé dans le hall de la Place des Arts pour poser pour les photographes et les nombreux admirateurs massés devant la toile. Ils ont aussi moulé, pour la postérité, les empreintes de leurs mains dans le plâtre.
Le spectacle d’intronisation des Boys au Temple de la renommée Juste pour rire sera diffusé à Radio-Canada en décembre prochain, en deux parties.
Alors que l’artiste The Weeknd est de passage à Montréal, de nombreux fans se sont rassemblés au parc Jean-Drapeau pour vivre un moment magique au rythme de sa musique.
En effet, une vidéo partagée sur TikTok montre un joli moment capté à la sortie du concert: alors que la foule se dispersait, un groupe de fans a reconnu Gino Chouinard et lui a spontanément chanté «Joyeux anniversaire», en l’honneur de sa fête.
«Chanter «Bonne fête» à Gino Chouinard après un show de The Weeknd n’était pas sur ma bucket list», commente l’internaute, manifestement ravi d’avoir vécu un moment aussi inattendu qu’inoubliable.
Effectivement, le premier ministre du Québec a souligné publiquement ses 35 ans de vie amoureuse avec sa conjointe Isabelle en lui adressant une déclaration d’amour sur les réseaux sociaux.
«Aujourd’hui, ça fait 35 ans avec Isabelle. Je suis chanceux de l’avoir à mes côtés depuis tout ce temps», lance-t-il, visiblement reconnaissant de pouvoir partager sa vie avec elle.
Aujourd’hui, ça fait 35 ans avec Isabelle. Je suis chanceux de l’avoir à mes côtés depuis tout ce temps.❤️
Sur Instagram, la chroniqueuse culturelle a exprimé toute sa joie de retrouver une amie de longue date, la journaliste Marie-Laurence Delainey, avec qui elle a la chance de travailler à Salut Bonjour.
«Y’a 21 ans, on se rencontrait pour la première fois, assises l’une à côté de l’autre à l’examen d’admission d’ATM à Jonquière. Et on vient de passer une première semaine ensemble à Salut Bonjour. C’est fou la vie», lance-t-elle.
Une semaine manifestement remplie de bonheur pour les deux complices.
Une belle preuve que les parcours professionnels peuvent aussi créer de magnifiques retrouvailles humaines!
C’est après que l’animateur de Bonsoir Bonsoir ait glissé le nom de notre Moman préféré dans la discussion — étant donné que Serge est choriste sur le projet — que Claude a avoué que celui-ci avait été ému de certaines chansons de l’album.
«Il a été très ému Serge, parce qu’il y a une ou deux chansons qui sont touchantes. Celle Dans ma tombe, qui est une chanson un petit peu plus profonde. Nous autres, comme je le dis, on n’est pas profonds, on est creux (…) Mais Serge, il est venu, il a chanté, c’était vraiment super. Il était bien heureux d’être là, tu sais. Mais c’est tout un train, un band comme ça, il faut que tu chantes beaucoup…», lançait Claude.
Capture ICI Télé
Rappelons que Serge se fait très discret depuis quelques années, et qu’il est rare d’avoir des nouvelles de lui ou de son état de santé.
Nous espérons que les deux amis partageront encore de beaux moments ensemble.