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Chantal Machabée s’ouvre sur son célibat: «Je suis très réaliste»

Chantal Machabée était l’invitée de l’émission Pour une fois.

Rappelons que cette émission se déroule dans le cadre de quatre petites entrevues avec des personnalités connues du public.

Lorsqu’on pense à Chantal, on pense définitivement au succès, dans un univers où les hommes sont encore très présents. Mais elle a su se faire une place avec brillance et classe.

C’est lors de son échange avec la chroniqueuse sportive Élizabeth Rancourt qu’elle s’est notamment ouverte sur le sujet du célibat.

Capture Télé-Québec

Eh oui! La maman de deux grands garçons est toujours célibataire.

La vice-présidente des communications des Canadiens de Montréal n’a, disons, pas beaucoup de temps pour les rencontres — comme elle l’explique à son intervieweuse.

Une relation impossible?

«Je vois du monde, mais je ne rencontre pas (…) je n’ai pas de date (…) Non, il n’y a rien, c’est flatline. D’abord parce que je travaille beaucoup. Donc, pendant la saison de hockey, j’ai en moyenne deux congés par mois, c’est un dimanche, puis je suis tellement fatiguée que (…) je travaille à tous les matchs, tous les entraînements. En moyenne, 90 matchs par année, en plus les entraînements (…) et une journée de match au Centre Bell, c’est 17 heures (…) Il n’y a pas un gars qui endurerait ça. Tu sais, moi, un samedi soir, je n’en ai aucun samedi soir; tu sais, on vas-tu au cinéma…on vas-tu souper?» dévoilait-elle, en disant que, de toute façon, quand elle a un dimanche sans travail, elle veut relaxer et ne pas sortir.

Capture Télé-Québec

Elle explique, par ailleurs, que les hommes de son âge ne vont pas nécessairement vers elle.

«À l’âge que j’ai, les hommes de mon âge vont préférer des femmes plus jeunes. Puis ça, en grande majorité, c’est ça. Je suis très réaliste», dévoilant, aussi, que ça ne la dérangeait pas, puisqu’elle est très bien entourée au quotidien, étant aussi grand-maman.

Capture Télé-Québe

Un moment d’une grande authenticité, puisque Chantal s’est livrée avec toute sa sagesse et sa franchise.

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Colette Provencher: authenticité, émotions et belles retrouvailles à l’écran

L’univers de Colette!

Nous pouvons toujours compter sur En direct de l’univers pour nous divertir.


Cette émission animée par France Beaudoin recevait cette semaine Colette Provencher — oui, oui, la reine de la météo!☀️

De nombreux hommages lui ont été rendus, tant par des membres de sa famille, des amis, que par des artistes qu’elle adore.

En effet, plusieurs vedettes telles que Dave Fenley, Sylvain Cossette, Claude Dubois et, bien sûr, son amie de longue date Sophie Thibault étaient présentes.

De nouveau ensemble à l’écran!

Rappelons que Sophie Thibault a récemment pris sa retraite du milieu journalistique — elle qui travaillait aux côtés de Colette depuis de nombreuses années.

Elle est montée sur le plateau afin de lui rendre hommage. Ainsi, les deux femmes étaient de nouveau réunies à l’écran.

Sophie, qui a du talent dans bien des aspects, lui a joué de l’harmonica, avec Dave Fenley interprétant la chanson Knockin’ on Heaven’s Door.

Ce n’est pas tout: Colette a aussi pu compter sur les membres de sa famille — ses enfants ainsi que ses neveux et nièces — pour un moment qui valait tout l’or du monde.

Nous avons eu droit à des moments authentiques, pour cette femme qui, visiblement — selon ses dires — ne comprenait pas pourquoi elle se retrouvait à être l’invitée d’En direct de l’univers.

Une personnalité qui fait preuve d’intégrité et de gratitude.

On l’a vue, aussi, émotive à de nombreuses reprises!

Une chose est certaine: on aime Colette, et le public aussi adore la dame météo du Québec.

Quelle belle soirée !

Jeremy Allen White et Bruce Spingsteen font vibrer le tapis rouge

Jeremy Allen White et Bruce Springsteen ont attiré tous les regards sur le tapis rouge de l’AFI Fest lors de la première mondiale du film Springsteen: Deliver Me From Nowhere. L’événement, empreint d’émotion et d’admiration, a réuni des personnalités du monde du cinéma et de la musique venues célébrer la légende du rock. Voyez ci-dessous les meilleures photos sur le tapis rouge.

Kim Kardashian superbe à la première d’All’s Fair

Kim Kardashian a une fois de plus fait sensation lors de la première londonienne de la série All’s Fair, dévoilant un look audacieux et résolument glamour. Ses collègues étaient d’autant plus élégantes. Sans oublier le décor efflorescent, qui a volé la vedette sur le tapis violet. Voici quelques looks de l’événement.

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Mariah Carey se défend et sonne les cloches

Minuit, minuit, dis-moi à quel temps nous sommes rendus…


Le moment où il devient socialement acceptable d’écouter All I Want for Christmas Is You en boucle?

Eh bien, chaque année, quand vient le moment de passer d’octobre à novembre, une personne donne le ton — et il s’agit d’une chanteuse très, très connue, surtout dans ce contexte.

Oui, les cloches sonnent très fort à minuit, le 1er novembre! Puisqu’il s’agit de la fin de l’Halloween,..et pour plusieurs la saison festive des Fêtes de Noël approche et… débute officiellement …

Bien sûr, il y a toujours les plus sceptiques — ceux qui trouvent que sortir le sapin dès novembre, c’est beaucoup trop tôt. C’est certain qu’un vrai sapin est difficile à garder deux mois de temps…

Revenons aux clochettes!

Si on peut se fier à quelqu’un pour lancer le bal des festivités, c’est bel et bien Mariah Carey. Eh oui, chaque année, elle se surpasse pour faire sonner les cloches avec sa voix légendaire.🎁

D’ailleurs, cette fois, on la retrouve dans une magnifique robe blanche dévoilant de grandes ailes d’ange.

Une vidéo parfaite pour les amoureux des Fêtes et des cosmétiques, puisque Sephora est bel et bien la marque commerciale derrière le tout.

Cependant, dans cette publicité, le lutin commet un vol de maquillages et est pris en flagrant délit, annonçant que Noël n’aura pas lieu, puisque les elfes sont en grève…

Capture

Mais, bien évidemment, Mariah sauve Noël et prend les rênes du traîneau ! 🎁 Et notre pauvre elf se retrouve dans le corps d’un bbonhomme de eneige.

Un rituel devenu presque officiel : dès que Mariah dit « It’s time », on sait que Noël est en route! ❄️

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Vous êtes du type Cindy Lou ou du type Grinch?

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21 faits insolites sur Luc Poirier

Que sa propension à étaler sa richesse nous impressionne ou nous agace, Luc Poirier fascine. Au point où lui et son parcours sont l’objet d’une nouvelle série documentaire en trois épisodes, Luc le milliardaire?, animée par Pierre-Yves McSween et maintenant disponible sur la plateforme Crave (on vous en donne un petit aperçu ici!).

Voici 21 faits insolites sur Luc Poirier appris dans les deux premières heures de Luc le milliardaire?

1-Son spectaculaire bureau-entrepôt (on le sait, on y a mis les pieds!) compte un simulateur de golf, un simulateur de voiture, une table de billard, un tv wall, des chandails de hockey dédicacés, une réplique de la Coupe Stanley… et une quarantaine de voitures de luxe, essentiellement des Ferrari (bon, Poirier possède également une minivan… «pour le côté pratique», soutient-il). Valeur estimée du garage? Environ 80 millions… Luc Poirier avoue lui-même rembourser 300 000 $ d’intérêts par mois, uniquement pour la dette de ses bolides. «Les mois viennent vite, donc il faut que je crée de l’argent, que je crée du profit. À date, j’ai toujours réussi», indique Poirier dans Luc le milliardaire?

2- Dans sa petite enfance, ses parents ont ouvert une épicerie en Gaspésie. Ses parents ont divorcé quand il avait quatre ans et demi, et il en a alors été tellement affecté qu’il a cessé de parler. C’est pourquoi il a dû, par la suite, fréquenter des écoles spécialisées pour les jeunes malentendants.

Pierre-Yves McSween et Luc Poirier dans un extrait de Luc le milliardaire? / Courtoisie Bell Média

3-Il a grandi dans un HLM de Longueuil, avec sa mère, sur la Rive-Sud de Montréal. Or, à l’adolescence, Luc Poirier a rapidement commencé à brasser du business. À 15 ans et demi, il achetait sa première Porsche (au coût de 18 000 $, l’équivalent d’environ 44 000 $ aujourd’hui). Laquelle, stationnée dans la cour de son habitation à loyer modique, avait attiré les policiers au bout d’une heure… et incité le directeur de l’immeuble à aller voir la mère de Luc, car une telle voiture ne pouvait trôner au pied d’un HLM. Luc Poirier a alors dû déménager chez son père pour un certain temps!

4-C’est en lançant un serveur BBS (sorte d’ancêtre d’Internet, très lent), dont il facturait l’utilisation à la minute par jour, que Luc Poirier a généré ses premiers (généreux) revenus, qu’il chiffre à environ 100 000 $ par année. Son serveur est devenu le plus gros en Amérique du Nord. Aussi, à 14 ans, l’homme d’affaires en devenir a démarré un commerce de cartes de hockey. Il fréquentait les foires de collectionneurs et se procurait des cartes, recherchées au Québec, à rabais en Ontario. Ce fut là le tremplin pour le reste de sa carrière en affaires. À la même époque, il travaillait dans un Provi-Soir 44 heures par semaine, en plus de l’école, et du temps que lui exigeaient ses commerces de BBS et de cartes de hockey.

5-Devinez d’ailleurs où travaille Benjamin Poirier, le fils de Luc (en plus d’être lui aussi propriétaire d’immeubles à logements à 21 ans)? Dans un dépanneur Couche-Tard…

6-Preuve que nul n’est infaillible, peu importe l’épaisseur du portefeuille : Luc Poirier a commencé à perdre ses cheveux très jeune, au début de la vingtaine. C’est pourquoi il a reçu quelques greffes de cheveux. «Plusieurs interventions d’opérations, qu’ils ont pris les cheveux à l’arrière pour les mettre sur le dessus», explique-t-il dans Luc le milliardaire?

Luc Poirier dans un extrait de la série documentaire Luc le milliardaire? / Courtoisie Bell Média

7-À l’adolescence, Luc Poirier s’est fait expulser de trois écoles, parce qu’il commettait des mauvais coups assez graves… Il a ensuite abouti à l’École Gérard-Fillion, à Longueuil, où ça jouait plutôt dur. Poirier s’y est fait casser le nez, taxer, voler ses souliers… et devenait revenir chez lui à pied.

8-En revanche, sa Porsche lui amenait beaucoup de popularité auprès de la gent féminine! Luc Poirier se vante fièrement d’avoir «foxé» bien des cours avec des demoiselles dans sa voiture… dont le siège passager était usé à force d’en voir toutes les couleurs! «Il y a eu beaucoup d’activité sexuelle et amoureuse sur ce banc-là», concède Poirier. Celui-ci a ainsi été sacré garçon «le plus cruiseur» de l’école à son bal de finissants!

9-Dans la même veine, à 14 ou 15 ans, il organisait de mémorables partys dans les sous-sols d’églises, avec DJ, éclairages, sécurité…

10-Parmi les employés qui travaillent actuellement pour Luc Poirier (il n’en compte que quatre), deux jeunes ingénieurs gagnent 65 000 $ par année… mais peuvent investir à leur guise dans tous les projets de l’entrepreneur, un avantage non négligeable! Ils ont des cours de pilotage d’hélicoptère et de jet fournis, et ont accès à tous les joujoux du bureau de Luc Poirier… Sans surprise, leurs amis les envient beaucoup!

11-L’une des principales motivations de Luc Poirier pour sélectionner ses projets d’affaires? Grosso modo, «plus c’est compliqué, plus j’aime ça», scande-t-il dans Luc le milliardaire? Zonage interdit, sol contaminé, résistance de groupes communautaires : là où le commun des mortels ne perçoit qu’un tas d’emmerdes, Luc Poirier, lui, décèle les opportunités. La bureaucratie ne l’effraie pas!

L’un des nombreux bolides de la collection de Luc Poirier… / Courtoisie Bell Média

12-Il a commencé à collectionner les Ferrari en 2019 et fait partie d’un club très sélect de collectionneurs auquel peu de gens ont accès (il faut regarder le documentaire pour comprendre). Il possède une auto de chaque modèle de Ferrari depuis le début des années 1960, pour un total d’une quarantaine de bolides. «La plus grosse collection [de Ferrari] au Canada et l’une des plus grosses au monde», souligne-t-il dans Luc le milliardaire?

13-Il a stoppé ses études universitaires après un an pour ouvrir un magasin d’informatique, Services Info, à Longueuil, devenu le plus important magasin d’informatique indépendant au Québec. Il a ensuite ouvert d’autres succursales, puis un centre de distribution.

14-À l’époque où il tenait ses magasins, il a été victime de deux vols à main armée. Luc Poirier se souvient de la sensation du canon de revolver très froid sur son front. «Rate-moi pas, parce que moi, je ne te raterai pas!», a-t-il alors balancé au malfaiteur. Ce dernier a décampé sans demander son reste… les mains vides.

15-Luc Poirier estime qu’il possédait 1 million en valeurs nettes à 20 ans, âge auquel il a acheté sa première maison, suffisamment vaste pour qu’il loue des chambres aux membres de sa famille, recréant ainsi un esprit de commune chez lui. Il avait payé la baraque 155 000 $ en 1995, pour la revendre 375 000 $ cinq ou six ans plus tard. Une résidence qui a été l’hôte de nombreuses fêtes démesurées de 780 ou 800 personnes…

Pierre-Yves McSween et Luc Poirier dans un extrait de la série documentaire Luc le milliardaire? / Courtoisie Bell Média

16-Saviez-vous que Luc Poirier est à l’origine du concept du Bota Bota spa-sur-l’eau, dans le Vieux-Montréal? En mettant la main sur cet ancien bateau de croisière, Poirier espérait d’abord en faire une salle de spectacle ambulante sur l’eau. Il avait même approché Daniel Lamarre, ancien président-directeur-général du Cirque du Soleil, pour s’associer avec lui dans l’aventure, qui ne s’est finalement pas concrétisée. Luc Poirier a alors revampé son idée pour la muer en spa, convaincu que le tourisme du Vieux-Montréal entraînerait une clientèle naturelle. Il a fait appel au clan Émond, fondateur du spa BALNÉA, à Bromont, pour opérer l’endroit. Le partenariat 50 % – 50 % s’est conclu à l’amiable et sans animosité.

17-Lors d’une de ses journées d’entrevue avec Pierre-Yves McSween pour Luc le milliardaire?, Luc Poirier portait un manteau Hermès en cuir avec laine intérieure d’une valeur de… plus de 20 000 $.

18-Au Centre Bell, Luc Poirier a l’embarras des possibilités s’il souhaite passer une soirée de rêve devant une partie de hockey cruciale ou devant les spectacles des plus grandes stars américaines : il est propriétaire d’une loge (qui lui coûte autour de 400 000 $ par année et qu’il loue 8000 $ pour une soirée, pour 14 personnes, boisson incluse, mais bouffe non comprise), ainsi que de sièges stratégiquement situés dans la section VIP Air Canada avec vue spectaculaire sur l’action, et salon et bar privé, au coût de 600 $ du billet par événement. Choix difficile…

19-L’un des TOC (obsessions) de Luc Poirier, d’après sa douce, Isabelle Gauvin? Le ménage! Tout doit être bien rangé chez lui, et ses vêtements, soigneusement classés dans sa garde-robe.

20-Les restaurants préférés de Luc Poirier sont l’Europea, à Montréal et… le Pacini, pour son bar à pain, ses pâtes et ses pizzas. Au bar à pain du Pacini, Poirier craque pour le pain 9 grains et le beurre à l’ail, et il a sa technique bien à lui pour dorer le pain à la perfection. «J’adore les textures dans la nourriture», précise-t-il dans Luc le milliardaire?.

21-Luc Poirier joue au hockey et ses coéquipiers le trouvent «correct» sur la glace… même si son bâton vaut 400 $!

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Les vedettes du Québec ont su captiver leurs abonnés en partageant leurs looks originaux sur les réseaux sociaux! Voici quelques premières photos de famille d’Halloween publiées aujourd’hui!