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Les derniers jours ont été les pires moments de ma vie.

Claudia Dimopoulos, que nous avons connue à OD Mexique, a annoncé une bien triste nouvelle sur ses réseaux sociaux. La jeune femme, qui avait remporté l’édition avec Jimy, a depuis refait sa vie avec son amoureux Philippe, celui qui fait battre son cœur depuis maintenant quelques années.

Ensemble, ils sont devenus parents d’un petit garçon, Tom, né il y a un peu plus d’un an, et qui remplit leur quotidien de bonheur.

Il y a quelques mois, Claudia avait partagé une grande joie: elle attendait leur deuxième enfant. Une grossesse qu’elle vivait avec enthousiasme et qu’elle commençait à dévoiler peu à peu à sa communauté.

Un petit être à venir qu’elle prénommait L, sur ses réseaux sociaux.

Tout semblait bien aller, et ses abonnés suivaient avec douceur l’évolution de ce nouveau chapitre.

Une nouvelle déchirante sous une photo tout aussi bouleversante.

Malheureusement, les choses ont pris une tournure inattendue. Dans une publication profondément touchante, Claudia a révélé que leur petit ange était décédé.

«Les derniers jours ont été les pires moments de ma vie.
Mon cœur est encore en mille morceaux,
un vide immense qui restera toujours habité par lui,
un endroit fait pour lui et lui seul. ❤️‍🩹 J’ai tenu mon petit ange seulement quelques heures avant de devoir dire au revoir,
juste assez pour tomber en amour,
juste assez pour imaginer un futur en famille,
juste assez pour respirer la vie dans ses bras. 🪽 Des heures qui ont filé comme des secondes,
et des secondes qui semblaient, pourtant, durer une éternité. Il est né dans ce mois où tout devient calme, j’ai l’impression, où l’air semble arrêter de bouger, où chaque petite lueur brille fort au milieu du noir. Le noir qui envahit mes pensées depuis. Puis il est parti, lentement, doucement, silencieusement,
beaucoup trop tôt. 🤲🏼👼🏻 Les derniers jours m’ont appris ce qu’est un amour pur, celui qui dépasse le temps et l’espace,
celui qui reste quand tout semble s’effacer. Je me trouve tellement chanceuse de croire que les âmes circulent et qu’elles se retrouvent, parce que dans mon cœur, je sais que le chemin de mon bébé d’amour croisera le mien à nouveau. D’ici là, merci de veiller sur ton frère et ton papa depuis là-haut. ✨👼🏻
Je t’aime et je m’ennuie terriblement.
See you soon, my angel 🪽», écrivait Claudia sous cette photo où l’on voit un tatouage pour son petit homme.

Toutes nos pensées accompagnent Claudia et sa petite famille dans cet immense deuil.

Le cancer, pour moi, c’est un professeur…

Alexandra Diaz a récemment pris la parole sur sa page Instagram pour partager avec sa communauté un moment à la fois touchant, empreint d’émotion et d’une grande vulnérabilité.

C’est dans une série de stories que l’inspirante personnalité a dévoilé une surprise, autant pour elle que pour le public: sa nouvelle perruque, un accessoire qui l’accompagne dans son cheminement et son apprentissage de vie avec le cancer.

Elle y explique l’importance que cela représente pour elle d’en porter une, tout en dévoilant son nouveau look, qu’elle porte à merveille.

«J’ai une petite surprise, pour moi, pour vous. 3… 2… 1… Tadam! C’est officiellement ma wig, ma vraie de vraie perruque. Alors, celle que j’avais, tu sais, je portais un bonnet, là, c’est que, ici (pointant le haut de sa tête), il y avait des mèches pâles, ça de large. J’avais l’impression d’être une mouffette, ça n’allait pas. Et là, ma si belle amie, généreuse, gentille, talentueuse, artiste incroyable (…) propriétaire du salon Local B, a pris cette wig que j’ai achetée sur Amazon, faite de vrais cheveux. Elle a reproduit ma coupe de cheveux, m’a coiffée comme je me coiffe et elle a fait une colo (…)», dévoile-t-elle fièrement, en ajoutant que cette couleur est un peu plus foncée que celle qu’elle avait au départ.

«Maintenant que j’ai mon dévoilement de nouvelle tête fait, il faut que je remercie Véro du fond du coeur parce que… C’est sûr que chez nous je suis en coco (…) Mais pour moi, pour mon bien-être à moi, pour me permettre d’intégrer les apprentissages du cancer, parce que vous le savez, le cancer, pour moi, c’est un professeur, alors que tout mon système de vie s’est écroulé pour pouvoir… bien passer au travers, j’ai besoin d’une wig. J’ai besoin de me sentir, Alex aussi. Je suis Alex sans cheveux, mais je suis aussi Alex avec des cheveux qui reviendront plus forts», déclare-t-elle, avec émotion.

«Un grand moment d’émotion et de vulnérabilité (…)», conclut-elle.

Un dévoilement qui fait chaud au cœur, tant on sent à quel point cela lui fait du bien. On lui envoie beaucoup d’amour et nos pensées les plus positives; elle demeure une source d’inspiration pour tant de gens.

Retour sur l’annonce

Rappelons que c’est en octobre 2025 que la figure appréciée du monde culinaire, Alexandra Diaz, a pris la parole pour annoncer la nouvelle aussi lourde que bouleversante…

«Cher.e.s ami.e.s, J’ai le cœur lourd en vous écrivant ces mots. J’aimerais pouvoir sortir un airbag pour amortir cette nouvelle. On m’a diagnostiqué un cancer du système immunitaire: un lymphome du manteau. Oui, oui, du manteau. Mes proches m’ont fait répéter en contenant un rire nerveux. Moi non plus, je n’en avais jamais entendu parler. Pas de faute. L’humour a toujours été ce que je préfère au monde, particulièrement pour traverser des tempêtes. Je débuterai les traitements de chimiothérapie d’un jour à l’autre, pour une période de six mois. Avec mes enfants et mes amies, on s’organise, on cuisine, on fait du bouillon d’os en batch. (J’espère tellement que mon Air Fryer sera admis avec moi à l’hôpital ) J’ai expliqué à mes enfants que ce sont beaucoup d’apprentissages qui s’en viennent pour eux comme pour moi. Comme le dit la grande Jane Fonda: le cancer est un professeur. Les prochains mois seront rock’n’roll. Dommage, je préfère le reggaeton. Mais je compte être la meilleure patiente ou élève possible, pour ma santé et pour mes enfants, plus que tout. Ne vous étonnez pas si je continue à mon rythme, sans pression, avec un peu de travail et de création à travers tout ça. Je dois apprendre à savoir où aller dans ma tête: me tenir occupée, c’est bon pour le moral. Oui, une journée à la fois. Mais aussi, une émotion à la fois. Alex xoxo», lançait-elle, avec une sincérité désarmante, faisant preuve d’une vulnérabilité touchante et d’une force impressionnante.

Nous réitérons nos vœux et lui envoyons encore une belle dose d’amour.

La désintox se passe bien.

Depuis quelques semaines, à la suite de deux mandats exigeants comme mairesse de Montréal, Valérie Plante recharge ses batteries dans le cadre d’un voyage partagé entre le Brésil et l’Espagne.

Bien que reconnaissante de son temps passé en politique, Valérie Plante a admis avec franchise que son travail lui demandait beaucoup d’énergie, ce qui a impacté son approche avec le public.

Elle s’est prononcée sur sa fameuse «désintox» loin de l’actualité et de l’attention médiatique à son endroit et visiblement, ce pas de recul semble lui faire un grand bien.

Une pause salutaire

J’ai profondément aimé ma job au cours des huit dernières années, mais…

Fidèle à ses valeurs et à l’authenticité qui la caractérisent, Valérie Plante a pris la parole avec une grande sincérité sur les réseaux sociaux pour expliquer le sens de cette pause.

Dans un message à la fois personnel et rassembleur, elle a ouvert une fenêtre sur ce qu’elle traverse et a traversé, sans détour ni mise en scène, en rappelant l’importance de s’écouter, de reconnaître ses limites et de préserver ce qui compte vraiment.

«Cher journal, la désintox se passe bien. Loin de l’actualité québécoise et canadienne et des enjeux internationaux, mon corps se détend. Le mode économie d’énergie fait tranquillement le plein. Signe encourageant, j’ai recommencé à regarder les gens dans les yeux quand je les croise dans la rue. On dira peut-être: Bien voyons donc, vous étiez tout le temps souriante, madame la mairesse. La vérité, c’est que lorsque j’étais en civil, souvent je n’avais pas l’énergie d’entrer en contact avec les autres. Pas que les gens étaient méchants envers moi. Bien au contraire. Mais par moment, ma fatigue était telle que je n’étais pas capable d’envisager entrer en communication avec des inconnus. Même pour recevoir de beaux bonjours, des mots d’encouragement ou des critiques faites avec respect et gentillesse. Pour être bien honnête, je me suis souvent enfermée chez moi durant mes temps off, plus par nécessité que par désir. La nécessité de me reposer, de reprendre des forces pour affronter une autre journée, une autre semaine, une autre urgence, un autre enjeu. J’ai profondément aimé ma job au cours des huit dernières années. Mais elle a exigé de moi une discipline exemplaire, des sacrifices personnels et une volonté de fer. La volonté de m’élever au-dessus des attaques et celle de mettre mon égo de côté pour garder le cap sur notre vision. Tout cela m’a amené à devoir me maîtriser constamment et à partager mes frustrations et ma colère avec des personnes de confiance et en lieu sûr. Avec le temps, ça épuise… Au point de limiter les échanges avec ceux et celles que l’on rencontre par hasard», souligne Valérie Plante au sujet de son comportement sur la place publique lors de son mandat de mairesse.

L’invitation est lancée

Si vous me rencontrez à l’épicerie, à la piscine, au parc ou dans l’autobus…

Visiblement reposée par ce pas de recul qu’elle s’est accordé, Valérie Plante explique sentir qu’un nouvel équilibre s’installe. Elle laisse entendre que cette période de pause lui a permis de reprendre son souffle, de se recentrer et de retrouver une forme d’élan qu’elle croyait un peu émoussée par le rythme et la charge des derniers mois.

Aujourd’hui, elle se sent de nouveau ouverte à ce qui nourrit la vie autrement que par le travail, notamment les rencontres spontanées et les conversations qui n’ont pas d’autre but que de faire du bien.

«Ce temps-là est terminé! Je reprends des forces. Mon besoin de spontanéité peut enfin exister à nouveau. J’ai tellement envie de vous parler et de vous regarder dans les yeux comme avant. Alors, si vous me rencontrez à l’épicerie, à la piscine, au parc ou dans l’autobus, sachez que vous m’avez manqué», lance Valérie Plante à ses abonnés.

En partageant cette réflexion, elle a aussi lancé un appel à la bienveillance, envers soi-même comme envers les autres, et a montré qu’on peut faire preuve de force tout en acceptant de ralentir.

À travers ses mots, on comprend que cette disponibilité retrouvée n’est pas un détail: c’est un signe de mieux-être, le reflet d’une énergie qui revient et d’un désir de reconnecter avec les autres à sa façon.

Nous lui souhaitons beaucoup de bonheur, de douceur et une belle continuité.