L’horticultrice n’était d’ailleurs pas seule pour cet événement théâtral très attendu, puisque celui dont elle parle si souvent et qui fait battre son cœur — qu’elle appelle affectueusement Minou — était aussi présent.
Les amoureux de longue date ont donc foulé le tapis rouge l’un à côté de l’autre, le bonheur dans les yeux!
Et ils ont certainement un peu volé la vedette…
Jessica Therrien
Ils sont tout simplement magnifiques et parfaits ensemble.
Quel bonheur d’avoir vu Marthe et son conjoint, Sylvain!
Jean-Philippe Wauthier se trouvait sur le plateau de sa propre émission Bonsoir Bonsoir à titre d’invité, rappelons qu’il avait dû prendre une pause pour cause d’épuisement professionnel.
Aux côtés de celui qui a assuré sa place en attendant son retour, Jean-Sébastien Girard, il a d’abord tenu à dire qu’il allait mieux et qu’il n’avait pas nécessairement vu venir son épuisement.
Capture ICI Télé
« Je pense qu’on a tous un élastique qu’on étire. On ne sait pas c’est quoi la tension maximale de cet élastique-là (…) On ne connaît pas l’ADN de cet élastique, puis on joue avec, jusqu’au temps que ça pète. Tu ne peux pas savoir nécessairement quand est-ce qu’il va péter », confiait-il avec vulnérabilité.
Capture ICI Télé
Son absence des projecteurs et de ses engagements professionnels, qui a duré trois mois, était somme toute assez brève, comme il l’explique. En trois mois, il a certes eu un peu de temps pour se poser et réfléchir, mais pas complètement.
On comprend que ce congé forcé lui a fait du bien, mais qu’il était de courte durée et qu’il lui reste encore du cheminement à faire.
Bien que Jean-Sébastien ait été excellent sur le siège d’animateur de Bonsoir Bonsoir, nous avons bien hâte de retrouver Wauthier.
Pour assister au grand retour de Jean-Philippe, rendez-vous le lundi 7 juillet dès 21 h sur les ondes d’ICI Télé.
Dans le cadre du FuelFest, Vin Diesel a confirmé plusieurs bonnes nouvelles pour les amateurs des films Fast & Furious.
Celui qui incarne Dominic Toretto a notamment mentionné que le prochain titre de la sage sortira en avril 2027. Accompagné de Tyrese Gibson, une autre star de cet univers, Diesel a aussi affirmé que F&F reviendra aux sources pour clore la boucle, soit une attention particulière sur la culture automobile et les courses de rue. Ce dernier fait évidemment référence au fait que Fast & Furious est devenu un film d’action, plus qu’autre chose, au fil des ans.
Et la cerise sur le sundae? Dom a également officialisé le retour de Brian O’conner, soit le personnage incarné par le défunt Paul Walker, décédé durant le tournage de Furious 7, soit le septième volet de la série.
Vin Diesel confirmed during FuelFest that the final Fast & Furious movie release in April 2027. It will feature the return of Paul Walker’s character, Brian O’Conner, and will take place in Los Angeles, with a renewed focus on car culture and street racing. pic.twitter.com/9DRwxBDFTD
Nous ne savons pas comment le tout sera présenté à l’écran, mais on peut potentiellement s’attendre à des interventions liées à l’intelligence artificielle, comme dans Furious 7, avec la participation de Cody Walker, le petit frère ressemblant de Paul.
Fast & Furious 11 releasing on April 2027 according to Vin Diesel at FuelFest
Les animateurs n’ont pas perdu de temps et, dès les premières minutes de l’épisode, ils ont demandé à Maude comment elle se sentait à l’idée de «dater» Lance Stroll.
«Je ne date pas Lance Stroll, guys», déclare-t-elle, avant que l’animateur ne l’invite à mettre les choses au clair.
Capture YouTube @Prends Un Break
«C’est vraiment une vidéo, je pense, qui a été prise hors contexte, là. C’est un ami d’un ami, donc on s’est ramassé à la même table, mais il n’y a vraiment rien là (rires). Il n’y a vraiment, vraiment rien (…)», explique-t-elle, en faisant référence à une vidéo circulant sur TikTok où on la voit proche de ce dernier dans un bar.
L’un des animateurs lui a ensuite demandé si, au-delà de ses millions, elle trouvait quelque chose d’attirant chez Lance Stroll.
«Personnellement, je ne trouve pas (…)», répond-elle, ce qui a aussitôt donné lieu à quelques blagues des animateurs sur les résultats en piste du coureur automobile.
Capture YouTube @Prends Un Break
À en croire les propos de Maude, il s’agirait donc d’un simple nuage de fumée… sans la moindre étincelle.
Prenez un titre de comédie musicale mythique parmi les plus renommés et populaires (deuxième la plus jouée!) de Broadway, et mélangez-le avec des actrices-chanteuses charismatiques et talentueuses, une mise en scène rythmée suintant le glam et le sex appeal, des fioritures visuelles évoquant kitsch et démesure, parsemez d’une touche d’humour, et vous obtiendrez Chicago, dans la version de Juste pour rire qui vient de prendre l’affiche à l’Espace St-Denis.
Déjà à la fin du premier tableau, l’assistance explosait en une bruyante et sincère ovation. L’iconique Roxie Hart (candide, mais frondeuse Véronic DiCaire) avait tiré son amant, et la chorégraphie très maîtrisée de C’est ça le jazz (oui, les chansons sont en français), certainement l’air le plus emblématique de l’univers de Chicago, tout incarnée de noir (la couleur dominante du spectacle) avait suffi à enjôler le tout gratin artistique réuni au St-Denis.
Véronic DiCaire dans une scène de la comédie musicale Chicago / Crédit : Mario Beauregard
Et que dire des triomphes de l’excellent Tango carcéral, où les nouvelles complices de détention de Roxie confessent leurs crimes («Vous savez, y’a des hommes qui ne supportent pas l’arsenic…»)! Ou de la langoureuse Roxie, où l’héroïne étale son pedigree de jeune femme pas-si-sage et assoiffée de gloire, et ses rêves de vaudeville. Et encore, du segment J’peux pas faire ça toute seule, où la mentore / rivale de Roxie, Velma Kelly (Terra Ciccotosto MacLeod) dévoile sa vulnérabilité.
On n’était alors qu’en fin de première partie, qui se termine avec une grosse surprise pour les non-initiés à Chicago. Au second droit, le récit campe encore davantage la soif d’évasion de prison – imaginée à partir d’un cas vécu, soit dit en passant – de Roxie et Velma, guidées plus ou moins judicieusement par le «ratoureux» avocat Billy Flynn (Michaël Girard). Ode au pouvoir et à l’ambition féminins, Chicago rafraîchit, même aujourd’hui, en montrant des femmes sûres d’elles, insoumises et aspirant à grand.
Véronic DiCaire et Neev dans une scène de la comédie musicale Chicago / Crédit : Mario Beauregard
On aurait pu croire qu’après la Waitress de l’an dernier,Hair en 2023 et Annie en 2022, des productions rassembleuses destinées à la famille, Juste pour rire jouait d’audace, voire de risque, en programmant cette année Chicago, joyau culturel célèbre et estimé, certes, mais au propos beaucoup plus subversif (meurtre, cupidité, violence, corruption, sur fond de cabarets jazz des années 1920) et «adulte» que celui de ses prédécesseures.
Or, 50 000 billets avaient été vendus en date du début juin, comme quoi l’attrait de la création de l’Américain Bob Fosse ne s’éteint pas, même au terme de 10 000 représentations sur Broadway depuis 1996, et des adaptations dans 38 pays et plus de 525 villes. Doit-on rappeler que la Belle Province en avait eu sa première relecture en 2003, avec à son bord Véronic DiCaire et Terra Ciccotosto MacLeod (dans les mêmes rôles qu’en 2025!), ainsi qu’Anthony Kavanagh, Laurent Paquin et Kathleen Fortin.
Malgré qu’on se répand beaucoup en bling-bling et en cliquant – soyons francs, on frôle parfois la quétainerie, même si ce n’est pas généralisé – et que Chicago n’est pas la plus humble des propositions, celle-ci ravira les amateurs du genre et offrira un beau baptême de la franchise aux néophytes.
Terra Ciccotosto MacLeod et la troupe de Chicago dans une scène de la comédie musicale / Crédit : Mario Beauregard
La mièvrerie des numéros de Mon bébé et moi et Monsieur Cellophane (Neev, dans la peau de «l’invisible» Amos Hart, tire très bien son épingle du jeu) est fort bien rachetée par l’agilité d’autres actes (comme la comparution de Roxie en justice) et la magnificence du résultat final.
Articulée autour de 35 artistes au total sur les planches, dont un orchestre d’une quinzaine de musiciens, sur un podium en fond de scène, qui est loin de faire de la figuration (les cuivres jouissent d’ailleurs d’un moment de lumière mérité au retour de l’entracte), «notre» Chicago se défendrait sûrement bien en comparaison avec les moutures d’ailleurs. Le metteur en scène Benoit Landry (maître d’œuvre de Plaines de Chansons, Lili St-Cyr et Serge Fiori – Seul ensemble, entre autres, qui avait aussi planché sur le spectacle de la Fête nationale à Québec qui a hélas été annulé le 23 juin), a visiblement voulu beaucoup faire ressortir l’aspect racé de Chicago, son élégance, son chic.
Une scène de la comédie musicale Chicago / Crédit : Mario Beauregard
Le jeu des comédiens, parfaitement sur la note, ne verse jamais dans la caricature, et les voix (essentiellement celles du trèfle Véronic DiCaire – Terra Ciccotosto MacLeod et Mélissa Bédard, même si cette dernière n’est pas extrêmement présente dans l’enchaînement) sont toujours d’or.
Puis, plaisir assumé : dans le Chicago du Québec, il y a un dialecte, une langue bien de chez nous. Des «Maudite marde» ou des gags scabreux glissés ici et là dans les textes chantés, des sacres bien typiques (cherchez plus adorable que le «câl*sse!» relâché qu’échappe Véronic DiCaire, alias Roxie Hart, lorsque celle-ci comprend que son crime est passible de la peine de mort…. Vous ne trouverez pas!)… Chapeau à Manuel Tadros pour sa traduction habile du livret original.
Chicago tient l’affiche de l’Espace St-Denis, à Montréal, jusqu’au 27 juillet, puis se transportera au Théâtre Capitole, à Québec, du 9 au 31 août, et au Théâtre du Casino du Lac-Leamy, à Gatineau, du 10 au 21 septembre. Consultez le site Web (chicagolacomediemusicale.com) pour plus de détails
Alors qu’on attend avec impatience la nouvelle série de Bon Cop Bad Cop sur la plateforme Crave, de nouvelles images viennent de faire surface.
Comme on le sait, la série fera suite aux deux premiers films, alors que l’histoire prendra place dans une réserve autochtone du Québec, entre autres.
D’ailleurs, Patrick Huard a partagé de nouvelles photos du tournage sur son compte Instagram, afin de créer davantage d’engouement chez les téléspectateurs.
À noter que plusieurs comédiens et comédiennes ont été confirmés dans la publication, dont Patrick Huard (évidemment), Sarah-Jeanne Labrosse, Henry Czerny, Christine Beaulieu, Joshua Odjick et plus encore.
Mais… plusieurs se demandaient pourquoi Colm Feore n’était pas présent sur ces photos.
Les fans n’aimeront pas la réponse, alors que La Presse rapporte que non seulement Feore s’est désisté de la série pour ce que l’on allègue être un conflit d’horaire à ce stade, mais qu’en plus, son rôle de Martin Ward a été attribué à un autre acteur (Henry Czerny)…
La série sera disponible sur Crave à quelque part en 2026.
En effet, l’ex-candidate de téléréalité révèle qu’elle a trouvé… le grand amour!
«(…) J’ai un chum! J’ai un chum pour la première fois depuis huit ans (…)», s’écrit-elle, en expliquant qu’elle avait manifesté un homme qui la stimule intellectuellement, qui aime les activités, est aventurier et honnête.
C’est finalement après plusieurs tentatives que Camille a trouvé l’amour… grâce à une application de rencontre.
«(…) J’ai pris une chance, je suis allée en date avec un gars que je n’étais comme pas sûre, et honnêtement, maintenant je peux vous dire que j’ai enfin trouvé ma personne. Cette personne a été faite pour moi (…)», exprime-t-elle, comblée de bonheur, encore un peu étonnée de réaliser ce qui lui arrive.
Camille confie qu’elle le présentera même à sa famille le mois prochain, en précisant qu’ils partagent les mêmes valeurs et qu’ils adorent faire plein de choses ensemble, comme planifier des voyages.
Ce n’était pas un coup de foudre, mais leur connexion et leur chimie se sont développées très rapidement. Elle le décrit comme son ami, son amoureux, son amant, et dès leur deuxième rendez-vous, ils ont exprimé leurs attentes.
Son conjoint met la barre si haute qu’elle réalise aujourd’hui avoir accepté bien des choses qu’elle n’aurait jamais dû tolérer par le passé.
«Je l’aime de tout mon cœur», déclare-t-elle, en ajoutant qu’il s’agit d’une relation saine, dans laquelle elle peut pleinement être elle-même.
«(…) Je sais que cette personne-là, elle est faite pour moi (…)», poursuit-elle, en expliquant qu’elle avait presque renoncé à l’idée de trouver le grand amour.
La jeune femme a ensuite conclu en affirmant qu’elle le présentera peut-être un jour, mais que pour l’instant, elle préfère savourer leur petite bulle d’amour en toute intimité.
Du 26 juillet au 7 août 2025, la WTA s’amènera à Montréal pour la populaire Coupe Rogers.
Ce sera l’occasion de voir les meilleures joueuses de tennis au monde compétitionner devant les Montréalais, à l’Omnium Banque Nationale.
Mais… une certaine Eugénie Bouchard pourrait ne pas pouvoir y participer, elle qui n’est aucunement confirmée pour l’événement et qui pourrait bien ne pas recevoir de laissez-passer pour le tableau principal, notamment en raison de sa 339e position au classement général de la WTA.
Un record de huit canadiennes est prévu pour la tenue du tournoi, avec les présences potentielles de Leylah Fernandez, Victoria Mboko et Bianca Andreescu, rapporte TVA Sports.
Un total de laissez-passer doivent être distribués, et il semblerait que Genie ne soit pas parmi les favorites pour obtenir un billet, car la liste de candidates est assez profonde.
Ça ne regarde pas bien pour l’athlète de 31 ans, surtout que ses meilleures années en carrière sont derrière elle…
Interrogée sur son bien-être, la comédienne et maman a d’abord confié qu’elle traversait une période particulièrement heureuse.
Elle s’est également confiée sur ses craintes concernant la conciliation travail-famille avec de jeunes enfants.
«Absolument. Ça prend à la fois de l’organisation, du courage, de l’énergie, de la passion, un couple solide, de l’aide, etc. Mais y’a pas une journée où je remets en question le fait d’avoir des enfants en faisant mon métier. Ça me comble. Cela dit, je mentirais de dire que je ne suis jamais essoufflée, et que je ne souhaiterais pas souvent être à plusieurs endroits en même temps pour ne rien manquer. Et je suis beaucoup moins disponible pour mes amis, mes frères, mes parents, que je ne le souhaiterais», témoigne-t-elle avec transparence.
Pour conclure sa séance de questions/réponses, Sarah-Jeanne a publié une vidéo dans laquelle elle répond à une série de questions en rafale, y compris celle très attendue sur le sexe du bébé.
«On ne le sait pas, nous autres, on se garde la surprise. On aime ça de même. On a fait ça avec les autres. On aime ça que le gender reveal, ce soit la naissance. C’est trop merveilleux comme gender reveal», explique-t-elle.
Une belle façon de garder un brin de magie jusqu’au tout dernier moment.
Nous souhaitons tout le bonheur du monde à la maman et à sa belle petite famille.
En effet, alors qu’il profite pleinement de l’été dans un endroit bien spécial pour lequel il semble avoir eu un véritable coup de cœur, l’animateur nous dévoile quelques-uns des secrets les mieux gardés de… la Gaspésie.
«Un écrin de beauté et le meilleur latte de ma vie!!! Une mère et sa fille, Chantale et Camélia, qui portent avec grâce et engagement ce bijou de café au cœur d’un village qui est le plus beau trésor caché de La Haute-Gaspésie. Arrêtez à Sainte-Madeleine-de-la-Rivière-Madeleine!! Posez-vous au Café Le Saint-Péché», lance-t-il, visiblement sous le charme.
«Un accueil si «gaspésien» qu’on se sent tout de suite comme à la maison. Un cadre d’une beauté exceptionnelle! Des ami.e.s pour la vie!! Un havre de paix et une vraie attention portée à TOUT ce qu’ils font! Un STOP obligé si vous prévoyez aller dans la MRC de la Côte-de-Gaspé. Merci Mathieu et Stéphanie!! Vivement Hôtel Motel Grande-Vallée», ajoute-t-il, après y avoir visiblement passé un séjour confortable et apaisant.
«Une belle sortie en mer pour découvrir la côte et l’histoire passionnante du magnifique village de Sainte-Madeleine-de-la-Rivière-Madeleine. Un secret trop bien gardé… Partez, la mer est belle», témoigne l’animateur en marge de photos de magnifiques paysages.