Il y a quelques mois déjà, une publicité a fait un buzz incroyable sur nos écrans. Il s’agit de celle du géant de la construction et des rénovations, RONA. Le nom vous dit certainement quelque chose : on parle bien sûr de Mike chez RONA.
Un personnage devenu rapidement iconique… même si, évidemment, il est joué par un comédien. Un comédien qui, jusqu’à tout récemment, rêvait de percer dans le milieu artistique — et qui, du jour au lendemain, est devenu connu du grand public.
Son nom? Alexandre Pronovost…
Rappelons d’ailleurs que ce dernier a récemment été aperçu lors d’un match des Canadiens de Montréal, en plus d’avoir inspiré son propre costume d’Halloween, qui s’est retrouvé en vente au Rona.
Il faut le dire: Mike est désormais un personnage populaire au Québec, et son visage ne passe plus du tout inaperçu. Et c’est lors d’une récente apparition télé que nous en avons appris davantage sur lui… le vrai lui!
Un invité de Tout le monde en parle!
Oui, il y a parlé de sa soudaine popularité, mais aussi du fait qu’il souhaite décrocher d’autres rôles dans le futur. Il a également mentionné qu’il ne croit pas que son association à Mike l’empêchera de trouver de nouveaux projets télé — au contraire, il voit cette visibilité comme un tremplin.
L’animateur du rendez-vous, Guy A. Lepage, dominical lui a même demandé s’il s’attendait à être parodié dans le Bye Bye 2025…
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Et sa réponse est, disons-le, fort prometteuse, mais aussi intriguante!
«Bien, c’est sûr, c’est sûr que j’espère me voir, mais il y a une chose que je peux vous dire en exclusivité ce soir (…) C’est qu’on a une pub qui s’en vient dans le Bye-Bye (…) qui est déjà tournée. Avec Mike chez RONA (…) J’ai très hâte que vous la voyiez dans le Bye Bye. Ça fait que je vous invite à regarder le Bye-Bye… et les publicités surtout du Bye Bye», répond Mike… ah non, Alexandre, à Guy.
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Nul doute que cette prochaine publicité prendra fort certainement le contrôle de nos pensées… ou nous rappellera la fameuse chanson de Mike chez RONA !
Mais outre cette confidence, nous avons surtout découvert un acteur passionné, visiblement heureux de la chance qu’il a et de cette grande reconnaissance du public. Une ascension fulgurante qu’il accueille avec beaucoup d’humilité… et un sourire contagieux.
Aimeriez-vous voir Alexandre dans un rôle au petit écran?
Il raconte avoir partagé une story sur sa page en allant trop vite, sans prendre le temps d’analyser, avant de réaliser qu’il s’était fait avoir par une création générée par l’IA. Dans la foulée, il énumère les principales raisons qui pourraient le pousser à quitter définitivement les réseaux sociaux, une éventualité qu’il dit envisager dans un avenir qu’il croit peu lointain.
Ses trois raisons pointent surtout la haine qui gangrène les réseaux et l’intelligence artificielle, un outil fascinant, souvent utile et de plus en plus omniprésent avec ses avancées, mais qui, entre de mauvaises mains, peut aussi devenir franchement toxique.
«J’ai partagé une «story» ce matin sur Instagram et ici. Je suis allé vite, sans prendre le temps d’analyser (on est rendu là). Je me suis fait avoir, c’était du Al. Bien évidemment. Ça m’écœure. Désolé pour ça. Si je quitte définitivement les réseaux sociaux un jour (sûrement pas si lointain parti comme c’est là), il y aura trois raisons majeures: La division qui ne cesse d’augmenter; Les idéologues de droite comme de gauche; L’intelligence artificielle. Ce sera tout pour aujourd’hui», déclare-t-il, visiblement ébranlé par ces fléaux qui minent les réseaux sociaux et la société.
Il ne faudra donc pas s’étonner si, un jour, les profils en ligne du comédien, désormais aussi pompier forestier, deviennent introuvables: on saura exactement ce qui aura poussé la personnalité à tout débrancher.
Le revers des réseaux sociaux et d’autres sorties publiques marquantes
En parlant du côté plus sombre des réseaux sociaux, rappelons que de nombreuses personnalités publiques prennent régulièrement la parole pour dénoncer l’usurpation d’identité en ligne, un problème qui ne cesse de gagner du terrain.
Récemment, c’est d’ailleurs la présentatrice météo Colette Provencher qui a sonné l’alarme en dénonçant publiquement avoir été la cible d’une usurpation d’identité en ligne, une situation frustrante.
C’est sur sa page Instagram que la personnalité publique avait pris la parole, publiant une story dans laquelle elle mettait en garde ses abonnés et demandait à toute personne ayant reçu une demande d’amitié en son nom de ne pas l’accepter.
«N’acceptez pas de demande d’amitié FB avec mon nom.. des trous-de-pet-pas-de-vie s’amusent à usurper des comptes, dont le mien», lançait-elle, accompagnant son message d’un émoji qui traduisait bien son émotion.
La personnalité publique a opéré un solide virage de carrière, un choix qu’il a expliqué plus en détail lors de son passage chez Isabelle Maréchal sur les ondes de QUB. Patrice Godin y a parlé à cœur ouvert de sa nouvelle vocation de pompier forestier avec la SOPFEU, un métier qu’il exerce désormais depuis la base de Havre-Saint-Pierre, sur la Côte-Nord.
Lui qui exerce cette profession depuis l’été 2024 est revenu sur sa volonté de prendre un peu d’air loin du milieu artistique, bien qu’il n’abandonne pas complètement sa carrière de comédien.
«C’est un gros pas que j’ai fait et j’avais… j’étais rendu là, je pense que j’avais besoin de me redéfinir, de trouver un autre sens à ma vie, à ce que j’avais envie de faire, et ça faisait longtemps que j’avais envie de faire un métier de service», affirmait-il, en précisant que son choix de métier a été guidé par son âge et par son absence de désir de retourner à l’école.
Pour en savoir davantage sur ce qu’il y a confié, cliquez juste ici.
Visiblement, ces dernières années, Patrice fait un grand ménage dans sa vie, autant dans sa carrière que, peut-être, dans sa présence en ligne. On ne peut que lui souhaiter beaucoup de bonheur, de douceur et de sérénité pour la suite.
La décision de Paramount de lancer une offre hostile de 108,4 milliards de dollars pour faire échouer le projet de rachat de Warner Bros et de HBO par Netflix a provoqué une onde de choc dans les sphères du divertissement et de la politique, non seulement en raison de l’ampleur de l’offre, mais aussi parce qu’elle s’est déroulée au moment précis où Trump a annoncé son intention de s’impliquer personnellement dans l’autorisation de la vente par son administration. La coïncidence de ces événements ajoute une couche d’incertitude à un scénario de méga-fusion déjà volatile, transformant ce qui devait être une bataille conventionnelle entre géants du streaming en une confrontation aux enjeux élevés, façonnée autant par la stratégie de l’entreprise que par l’intervention politique.
Paramount Skydance launched a $108.4 billion deal for Warner Bros Discovery, throwing a wrench into the $72 billion deal with Netflix in a last-ditch effort to create a media powerhouse that would challenge the dominance of the streaming giant reut.rs/4a40lwj
L’offre hostile de Paramount a été officiellement lancée le 8 décembre, quelques jours seulement après que Netflix ait conclu un accord de prise de participation pour les actifs de Warner Bros Discovery dans les domaines de la télévision, des studios de cinéma et de la diffusion en continu, recadrant instantanément la bataille pour le contrôle de l’entreprise. Paramount Skydance a mis 108,4 milliards de dollars sur la table pour l’ensemble de Warner Bros Discovery, une offre ancrée à 30 dollars par action et conçue pour porter le combat directement devant les actionnaires après des semaines de négociations privées. Contrairement à l’accord de Netflix, qui ne vise que certains actifs et mélange liquidités et actions, la proposition de Paramount couvre l’ensemble du groupe et est présentée comme une alternative plus propre et de plus grande valeur, destinée à créer une puissance médiatique capable de contester la domination de Netflix tout en offrant un paiement plus immédiat et plus substantiel aux investisseurs de Warner Bros Discovery.
Trump a réagi à l’accord initial entre Netflix et Warner Bros/HBO avec un mélange de scepticisme public et d’avertissement clair qu’il avait l’intention de peser personnellement sur son sort, signalant que le risque réglementaire serait loin d’être routinier. S’adressant aux journalistes sur le tapis rouge du Kennedy Center Honors à Washington, il a présenté le processus d’approbation comme ouvert et incertain:
«Cette phrase a immédiatement rappelé aux investisseurs que la Maison-Blanche elle-même pourrait intervenir. Il a ensuite évoqué la taille de Netflix dans le domaine du streaming, mettant en garde contre l’impact de la fusion sur la concurrence:
«Ils ont une très grosse part de marché», a déclaré Trump à propos de Netflix.
«Quand ils auront Warner Bros, cette part augmentera considérablement.»
Ces remarques ont cristallisé les craintes de Wall Street, qui redoute que l’opération ne se heurte à de fortes turbulences politiques et antitrust bien avant la date de clôture.
Une bataille d’acquisition aux enjeux considérables
Warner Bros Discovery avait déjà refusé Paramount avant que l’offre hostile ne soit rendue publique. En octobre, la société a rejeté une première approche de Paramount évaluée à environ 20 dollars par action, concluant que la proposition sous-évaluait l’entreprise et ne répondait pas à ses normes fiduciaires. À l’époque, WBD a souligné que son conseil d’administration agissait «avec le plus grand soin» dans l’évaluation des options stratégiques, mais il a clairement indiqué que l’offre de Paramount était insuffisante et ne correspondait pas à l’évaluation que la société estimait mériter. Ce premier refus a préparé le terrain pour l’offre beaucoup plus agressive de 108,4 milliards de dollars que Paramount a ensuite présentée directement aux actionnaires, transformant une négociation privée en une bataille de prise de contrôle aux enjeux considérables.
Breaking news: Paramount has launched a $108bn hostile bid to buy Warner Bros Discovery, in an attempt to outmanoeuvre Netflix after the streaming giant won an auction for the media company last week. https://t.co/ew4m1FZ0Pdpic.twitter.com/Fk1FVT3YHR
C’est en tirant la carte qui lui demandait quelle personne avait fait une différence dans sa vie que Guy a aussitôt senti l’émotion lui monter à la gorge, au moment même où il s’apprêtait à se livrer sur sa mère et sur le lien profond qui les unit.
«Bien, c’est sûr que ça va être difficile de ne pas pleurer ou de ne pas déjà être en émotion, mais c’est ma mère», avoue-t-il.
Capture YouTube @Marie-Claude Barrette
Un moment d’une grande tendresse sur sa mère et le lien profond qui les unit
«J’ai choisi ça, parce que… c’est quelqu’un que j’adore, c’est une personne qui est beaucoup en émotions. Je parle de façon émotive, en ce moment, parce qu’elle vit des moments difficiles, donc je suis près d’elle, puis je me rends compte que je suis plus près d’elle que je croyais. Mais là, j’ai toujours été près d’elle, mais je veux dire, c’est comme si on se voit en ce moment, puis, je ne sais pas, des fois, on n’a pas besoin de se parler, on se voit, nos yeux connectent ensemble, je peux la flatter, flatter ses cheveux (…)», témoigne-t-il, alors que l’animatrice lui demande si, pour lui, le temps est devenu plus précieux qu’avant.
«Il a toujours été précieux (…) j’essaie de cristalliser le temps sans arrêt», trouve que la vie va trop vite depuis toujours et qu’il n’hésite jamais à voir les gens qu’il aime.
Capture YouTube @Marie-Claude Barrette
Sa relation complexe avec ses frères
«Elle est importante pour moi, parce que c’est vraiment la personne qui, lorsque j’étais jeune, j’ai pleuré beaucoup dans ma vie; j’ai pleuré, parce que j’avais des grands frères qui étaient beaucoup plus vieux que moi, donc, qui pouvaient me kicker. J’étais un peu un ballon de soccer avec eux autres… Puis, je comprends, parce qu’on avait 7-8 ans de différence; donc le petit de six ans dérange celui qui a 13-14 ans, c’est sûr… mais j’ai trouvé ça difficile. Donc il a fallu rapidement je me fasse une carapace, que j’éloigne mes frères de ma tête, de me dire: Bon, j’ai rien à attendre de ces personnes-là. Même que, des fois, ils me disent: Bon, est-ce que tu veux qu’on qu’on reconnecte?, mais c’est difficile quand tu ne l’as pas eu étant jeune (…)», explique-t-il, avant que Marie-Claude enchaîne en constatant avec lui que, malgré les années, ce lien ne s’est jamais vraiment reconnecté.
«Pas beaucoup, un respect, mais mes vrais frères, c’est mes amis, c’est mon ami Daniel Poisson. C’est mes amis de Québec, Jean Tanguay. Tu sais, je veux dire, j’ai plusieurs personnes, cinq amis de Québec, j’ai des amis très proches. Puis, j’ai beaucoup d’amis dans le métier aussi, des amis à qui je pourrais juste aller prendre une bière rapidement, mais… C’est sûr que c’est des amis que j’ai; je pourrais développer quelque chose d’incroyable, mais c’est un manque de temps, c’est que la vie va tellement vite. Puis je veux offrir du temps à ma famille, je veux offrir du temps à ma vie personnelle, au voyage, au travail, donc c’est ça, j’y arrive pas (…)», répond-il, honnêtement.
Puis, Guy revient sur sa mère et son père
«Ma mère, c’est celle qui donc, quand je n’allais pas bien ou que je pleurais beaucoup, venait me mettre une main dans le dos; puis ça, ça, reste physiquement fort, je le sens encore, j’ai encore cette main-là, et puis c’est moi qui lui fais maintenant (…) ne serait-ce qu’il y a deux jours, je frottais le dos de ma mère, puis je me voyais dans cette situation-là où elle me frottait le dos quand j’étais petit, puis, bien, c’est comme le retour du balancier. Donc elle est en émotion, c’est une personne qui est complètement folle, mais elle dit elle-même (…) elle va nommer les choses (…)», poursuit-il, en évoquant la folie douce et la créativité de sa mère, des traits qui la rendent profondément attachante.
«(…) c’est vraiment une personne incroyable, c’est une personne qui est ouverte à 1000%, je veux dire, tu pourrais être de n’importe quelle religion, n’importe quelle orientation sexuelle (…) peu importe ta personnalité, elle va t’accueillir, puis elle va jaser, un peu comme Janette Bertrand, à la limite (…) c’est quelqu’un d’hyper généreux aussi (…) mes parents, c’est des gens qui sont très, très, très généreux, puis, en ce moment, à 92 pour mon père et à 89 ans pour ma mère, ils ont tellement bien placé leur cercle social que les gens sont autour d’eux, donc ils peuvent à la limite terminer leur vie dans leur maison, parce qu’il y a tellement de gens qui gravitent autour (…) ils ne sont pas isolés. Mes parents, ils sont dans la maison, ils voulaient être dans leur maison pour finir leurs jours. (…) c’est comme si ils récoltaient, tu sais, quand on dit qu’on récolte ce qu’on a semé. Bien, ils ont vraiment récolté (…)», affirme l’animateur, avec des paroles qui touchent droit au coeur.
Un témoignage profondément touchant de la part de l’animateur chouchou du public québécois, qui, une fois de plus, bouleverse par son humanité et sa grande vulnérabilité en s’ouvrant sur un sujet intime, personnel, oui, mais d’une beauté et d’une tendresse rares.
Sophie Grégoire a grandement fait jaser dans les dernières années, notamment en raison de son divorce avec Justin Trudeau, l’ancien premier ministre du Canada.
Il faut savoir que Sophie n’était pas que la femme du premier ministre, comme plusieurs l’ont longtemps identifiée. Elle est aussi une grande défenseure féministe, qui a contribué à faire bouger les choses à sa façon.
Dernièrement, elle n’a probablement pas eu les choses faciles avec toute l’histoire entourant Justin et Katy Perry, maintenant en couple.
Rappelons-le: son ex-conjoint et père de ses enfants se dévoile un peu partout avec sa nouvelle amoureuse, mondialement connue. Un buzz médiatique qui, on le devine, ne doit pas toujours être simple à gérer.
Eh bien oui, dernièrement, Perry et Trudeau ont fait beaucoup jaser, notamment lors de leur visite au Japon, où ils ont rencontré l’ex-premier ministre Fumio Kishida et sa conjointe. Leur apparition, très remarquée, a d’ailleurs été immortalisée en photo.
Qui dit talent en chanson ne pense pas seulement à Katy Perry, mais aussi à l’ancienne amoureuse de Trudeau… la très dynamique Sophie.
Un secret haut en couleurs et en divertissement… et c’est peu dire!
Eh oui, lors du rendez-vous spécial de Chanteurs masqués – Édition Noël, une personnalité bien connue se cachait sous un tout nouveau costume. Mais de qui pouvait-il s’agir?
C’est sous le costume de la Fée des étoiles, qui a d’ailleurs offert une fabuleuse interprétation de la chanson Faufile, que s’est finalement révélée l’identité de celle qui a déjà partagé le cœur de Justin.
«Enregistré en plein été sous cette majestueuse robe! Comme c’était amusant de jouer (en chantant!) la fée des étoiles de Noël aux Chanteurs Masqués! On a vraiment pris les juges et le magnifique public par surprise!», écrivait Sophie sous ce carrousel photo.
Il faut dire que, par le passé, nous avions déjà entendu Sophie chanter — et qu’elle possède tout de même une très belle voix.
De quoi faire, disons, un léger clin d’œil de concurrence à Katy Perry… même si on s’entend, bien sûr, qu’elle n’aura jamais la même carrière. Rappelons que le tout a été filmé aussi avant le buzz autour du couple Perry/Trudeau.
C’est à l’émission Pour emporter, où l’invitée principale était Ginette Reno, que la chanteuse de grand renom a livré plusieurs confidences et anecdotes.
C’est aux côtés de l’animatrice France Beaudoin que nous avons eu droit à un épisode fort divertissant.
Un récit qui ne concerne pas seulement Céline, mais aussi le grand Luc Plamondon!
Ginette a eu une rencontre marquante avec Luc au Mexique et, comme le relate France Beaudoin, son invitée aurait été plutôt insistante pour que ce dernier lui écrive une chanson.
« Je ne l’ai pas lâché. Sais-tu quoi, la chanson de Céline? Attends une minute. C’est…», cherchait la grande chanteuse.
«L’amour existe encore?», lance le musicien de l’émission pour aider Ginette.
«C’était pour moi. Donc, attends, j’en ai voulu, là. Ça fait que moi, quand je rencontre Luc, je lui donne la marde, un petit peu de marde (…) Puis, je me rappelle, j’ai dit : Là, tu ne m’en dois pas une, tu me dois un album au complet. Puis là, j’ai commencé à tout lui lire mes textes. Et il est parti avec ça, puis il a écrit La chanteuse», dévoile Ginette, ce qui a évidemment surpris les gens en studio.
Et juste après avoir raconté ce passage de vie, elle a dévoilé ce qu’elle aurait fait si elle n’avait pas été chanteuse…
«Toute ma culture, je l’ai faite dans les livres. Si je n’avais pas été une chanteuse, puis que j’avais été élevée dans une famille pas dysfonctionnelle, assez normale, puis qui aurait pris soin de moi, je pense que j’aurais étudié beaucoup, puis j’aurais aimé ça être une psychanalyste», dévoilait Ginette.
Capture ICI ARTV
Ginette ne dévoile toutefois pas pourquoi cette chanson devait, à l’origine, lui être destinée. Chose certaine, la pièce — finalement (selon les dires de Reno) interprétée par Céline Dion — a connu un succès phénoménal.
Il faut dire que cette trame musicale, portée par la voix puissante de Céline, a contribué à vendre des centaines de milliers d’albums de Dion chante Plamondon. Une chanson devenue emblématique, au point où il est difficile aujourd’hui d’imaginer quelqu’un d’autre que Céline derrière ces mots.
Mais la question demeure… auriez-vous perçu la chanson autrement si Ginette Reno avait été la voix derrière L’amour existe encore ?
En effet, l’animateur et producteur confie qu’il caresse un rêve bien précis: s’acheter un pied-à-terre à Paris. Toutefois, Il se demandait encore avec qui il pourrait bâtir une relation assez solide (et assez complice!), pour se lancer dans cette aventure immobilière et dénicher le bon endroit.
«Vous savez, mon rêve, en faite, c’est vraiment de m’acheter un appartement à Paris, une maison, un bien extraordinaire. Et là, bien, je me demandais, tu sais, avec qui trouver ce bien là, avec qui développer une relation pour trouver la maison de mes rêves. Je pense que j’ai trouvé les meilleurs courtiers européens (…) bonjour la famille Kretz», lance-t-il dans la vidéo, où l’on apprend qu’il a justement déniché une équipe pour l’épauler dans ce processus, rencontrée en marge de sa nouvelle émission Sucré Givré, qu’il pilote.
«Je vous partage un secret… J’ai toujours rêvé d’avoir un appartement à Paris… Je pense que j’ai trouvé ceux avec qui partir à la recherche… les meilleurs de France: Kretz Family Real Estate! Ceux qui savent, savent! 😉 L’agence. Ma rencontre cet hiver à Sucré Givré», ajoute Jean-Philippe en marge de la vidéo.
Dans les commentaires, plusieurs personnalités ont réagi avec excitation, saluant sa belle rencontre avec l’équipe chouchou du public et son projet qui fait déjà rêver.
«Bien voyons donc!!! C’est quoi ta vie», s’exclame Christian Bégin.
«Ahahah! Me le demande moi aussi», répond Jean-Philippe.
«Malade», commente Ariane Moffatt.
«Je les adore», ajoute Julie du Page.
«Notre famille pref!! Malade», affirme Alexandra Diaz.
Mais qui sont les Kretz, cette agence immobilière familiale qui fait tant parler?
Kretz Family Real Estate, c’est une agence familiale spécialisée dans l’immobilier de luxe, fondée en 2007 par Sandrine et Olivier Kretz et basée à Boulogne-Billancourt, près de Paris. Elle vend des biens haut de gamme à Paris, en France et à l’international, avec une approche très «réseau» et digitalisée. Le grand public les connaît grâce à l’émission L’Agence: l’immobilier de luxe en famille (TMC/Netflix), qui suit la famille et leurs ventes de propriétés spectaculaires.
Sucré Salé se réinvente et devient Sucré Givré
Rappelons qu’après 24 saisons à ensoleiller nos étés, Sucré Salé change de température! L’émission se réinvente cet hiver dans une formule rafraîchie qui promet de réchauffer les soirées froides.
Sucré Salé troque ses lunettes de soleil pour un manteau d’hiver et devient… Sucré Givré! Et qui de mieux que… Jean-Philippe Dion, l’un des chouchous du public québécois, pour piloter cette version givrée? Il nous plongera au cœur de l’effervescence culturelle de la saison froide: premières médiatiques, nouveaux spectacles, lancements d’albums et tapis rouges à profusion!
À l’image de Sucré Salé, Jean-Philippe Dion sera entouré d’une équipe haute en couleur composée des «Sucrés» et des «Givrés». Les premiers suivront l’actualité artistique au quotidien avec un regard unique, tandis que les seconds proposeront des segments originaux, parfois mordants, à travers des concepts qui leur ressemblent. Tout ça, dans une formule présentée trois soirs par semaine.
«Après près d’un demi-siècle à faire rayonner notre culture sous le soleil, Sucré Salé enfilera son manteau, ses gants et ses bottes à l’hiver 2026! Piloté par Jean-Philippe Dion, le populaire magazine culturel réchauffera vos foyers du lundi au mercredi avec des entrevues colorées et des segments on ne peut plus divertissants. Restez à l’affût pour découvrir les divers collaborateurs qui se grefferont à cette formule 100 % hivernale», annonçait l’équipe derrière le projet, visiblement fébrile à l’idée de dévoiler cette nouvelle mouture aux fans de l’émission.
C’est lors d’un spécial du temps des Fêtes que l’émission Ça finit bien la semaine a accueilli trois invités de marque: Megan Brouillard, Alexandre Aussant ainsi que Serge Denoncourt.
Et pendant cette émission festive, nous avons eu droit à plusieurs moments croustillants qui ont certainement fait réagir les téléspectateurs!
C’est dans le cadre de l’émission qu’il a reçu un cadeau particulièrement apprécié de Jean-Michel Anctil, l’animateur. Chaque invité avait droit à un présent bien spécial sous le sapin, et pour Serge, c’était… un G.I. Joe.
Oui, oui, un G.I. Joe! Celui qu’il réclame depuis qu’il est tout petit et qu’il n’avait jamais eu.
Il s’agissait d’ailleurs du G.I. Joe personnel de Jean-Michel. Et honnêtement, on a rarement vu Serge aussi ému et heureux!
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«On parle de 57 ans plus tard, j’ai mon G.I Joe», lançait Serge très content.
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C’est aussi dans ce cadeau que se trouvait une question croustillante!
En effet, les animateurs ont voulu savoir à quel personnage de la crèche le metteur en scène — et notre Grinch préféré — s’identifiait le plus et pourquoi.
«Alors, je vais vous faire une réponse compliquée. D’instinct, j’aurais tendance à dire le petit Jésus, le sauveur. Mais je me suis fait tellement tromper dans ma vie que je dirais Saint-Joseph. Mais ça fait tellement longtemps que je n’ai pas baisé que je pense qu’on pourrait dire la Vierge-Marie», répondait-il.
Sa réponse a provoqué un éclat de rires général sur le plateau, et elle nous a permis de découvrir une petite parcelle de sa vie privée.
Avec son humour bien à lui, Serge a expliqué son choix d’une façon désarmante!
Le tout a débuté lorsque Jean-Sébastien a complimenté le veston de l’invité… ce qui a immédiatement donné lieu à une petite joute.
«Bien, écoute, c’est le même que toi, mais en plus cher», répondait Serge.
«Le mien coûte moins cher, mais au moins, il est à ma grandeur», avait répliqué Jean-Sébastien.
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Un véritable fou rire a alors éclaté dans la salle — du pur Serge Denoncourt, avec une belle touche de Jean-Sébastien Girard. Une chose est certaine: il n’y en a pas deux comme Serge.
En effet, lors du Gala Québec Cinéma, qui célébrait le talent d’ici le 7 décembre, la comédienne a remporté l’Iris de la meilleure interprétation féminine dans un premier rôle grâce à sa performance dans la comédie Deux femmes en or.
Cependant, c’est la réalisatrice du film, Chloé Robichaud, qui est montée sur scène pour recevoir l’Iris à sa place. Elle a alors expliqué que la comédienne n’avait pas pu être présente puisqu’elle avait accouché à deux heures du matin. Elle a tenu à rassurer tout le monde en précisant que la nouvelle maman se portait très bien, un moment à la fois surprenant, tendre et rempli de joie pour clore cette reconnaissance.
Petit résumé de Deux femmes en or pour ceux qui ne l’ont pas encore vu
Deux femmes en or, réalisé par Chloé Robichaud et scénarisé par Catherine Léger, revisite le classique de 1970 avec un regard actuel. Florence et Violette, deux voisines et mères de famille, étouffent sous la routine et les attentes sociales. Quand Florence vit une première infidélité, elles s’autorisent à explorer leur désir et à reprendre le pouvoir sur leur vie. Entre humour, sensualité et critique sociale, dans une comédie douce-amère assumée, le film célèbre la liberté féminine et bouscule les tabous.
Retour sur les confidences de la comédienne au sujet de sa maternité
Rappelons qu’en août 2025, la comédienne s’était ouverte à nous sur cette grossesse, partageant les coulisses de cette belle nouvelle et abordant l’annonce.
La comédienne n’avait toutefois pas de plan marketing derrière sa belle annonce. Si elle a attendu avant d’officialiser sa grossesse, alors que les rumeurs circulaient depuis quelques semaines, c’est simplement parce qu’elle voulait d’abord savourer son bonheur dans la discrétion.
«J’ai attendu longtemps avant d’en parler, parce que je continue de penser que c’est quelque chose qui m’appartient, qui est intime, et que j’ai envie de vivre dans l’intimité. Je n’avais pas envie de m’exposer sur les réseaux, parce que je n’avais pas envie de m’exposer aux opinions des gens», nous avait affirmé la comédienne en entrevue, dans les décors d’Antigang.
De plus, l’autrice Nadine Bismuth et l’équipe d’Aetios Productions ont fait preuve d’une belle générosité en adaptant l’histoire d’Antigang afin d’y intégrer la grossesse de Karine. Son personnage, l’enquêtrice Carolanne Daigneault, attendait donc un bébé, ce qui ensuite permettrait de justifier son absence temporaire de la production, le temps de son congé de maternité.
«Je suis vraiment reconnaissante de ça», avait enchaîné Karine. «Je trouve que c’est fantastique, de voir des femmes enceintes – vraiment enceintes! – travailler. J’ai été accompagnée comme dans un rêve, dans ce processus-là. Ç’a tout de suite été célébré. Je n’ai jamais senti que c’était un bâton dans les roues de la production ou de l’autrice. Au contraire! On a décidé d’en faire quelque chose de positif, et ils ont même décidé de s’en servir dans les intrigues, plutôt que d’essayer de le cacher.»
Félicitations à la comédienne pour cet Iris, mais surtout pour l’arrivée de son bébé, deux événements heureux qui viennent conclure l’année 2025 sur une note magnifique. On lui souhaite que cette nouvelle aventure soit remplie de douceur, de bonheur et d’amour, entourée des siens, au rythme de tous ces petits instants précieux qui font les plus belles histoires.