


















Surprise! L’ancien chanteur des Beatles, Paul McCartney, fera son grand retour en sol montréalais, cet automne, pour la tenue de deux spectacles de la tournée Got Back.
C’est donc les 17 et 18 novembre 2025 au Centre Bell que le vocaliste de 83 ans mettra les pieds dans la vieille métropole pour performer, et ce, pour la première fois depuis 2018 (Freshen Up). La prévente des billets se mettra en branle à la mi-juillet (15 juillets, à 10h00), tandis que les tickets officiels seront mis en ligne le 18 juillet.
Notons qu’il s’agira d’une première tournée nord-américaine depuis 2022 pour McCartney.
Aussi, la tournée débutera le 29 septembre à Greater Palm Springs et viendra à échéance les 24 et 25 novembre du côté de Chicago.
Excellente nouvelle pour les amateurs de longue date, non seulement de McCartney, mais également des Beatles!
Le Festival International de Jazz de Montréal a frappé un grand coup pour son 45e anniversaire, rassemblant près d’un million de personnes dans une ambiance festive, inclusive et vibrante. Fidèle à sa mission, l’événement a célébré la diversité musicale en grand, bien au-delà du jazz!
Parmi les moments forts : une foule record, le 4 juillet, pour les spectacles de Monsieur Periné, Kes et Frente Cumbiero, un hommage émouvant d’Elisapie au Nord, un Nas symphonique à guichets fermés et un retour triomphal de Branford Marsalis. Natalia Lafourcade et Samara Joy ont, quant à elles, été honorées pour leur immense talent.
Les artistes locaux comme Hanorah, Mike Shabb et Ash ont brillé, tout comme la relève représentée par Sophye Soliveau, Jazzbois et Matteo Mancuso. Les propositions audacieuses de Clown Core, Thundercat ou Fantastic Negrito ont aussi marqué les esprits.
Le centenaire d’Oscar Peterson a été souligné avec brio, et le public a pu profiter d’expositions, d’activités interactives et de DJ sets jusqu’au bout de la nuit.
Côté écoresponsabilité, le FIJM continue de poser des gestes concrets, économisant entre autres plus de 67 000 bouteilles de plastique.
Avec une visibilité internationale, cette édition a prouvé que le FIJM est bien plus qu’un festival, c’est un évènement incontournable pendant l’été Montréalaise.
Prochain rendez-vous : le 25 juin 2026!
C’est dans le cadre idyllique du Vignoble Rivière du Chêne, à Saint-Eustache, que l’artiste Mari-Mai a assisté à l’ouverture officielle du Bistro VRDC, le tout nouveau projet de son conjoint, le chef Ian St-Pierre Brinkmann.
Situé à l’étage du vignoble, le bistro propose une table gourmande qui met à l’honneur les produits locaux, la créativité culinaire et les saveurs du terroir.
Bistro VRDC se distingue par son ambiance conviviale et raffinée. Le brunch du week-end, servi les samedis et dimanches de 10h à 15h, propose des assiettes généreuses et réconfortantes comme le pain doré au jambon et cheddar, des poutines déjeuner, des toasts à l’avocat et un bols de yogourt garnis grec.
À l’heure du dîner, le chef laisse libre cours à son imagination avec un menu bistro à l’ardoise, qui évolue chaque semaine selon les inspirations du marché et du jardin. En après-midi, les planches gourmandes à partager sont idéales pour accompagner un verre sur la terrasse. Et pour terminer la journée en beauté, les soirées Tapas & Vins, offertes du jeudi au samedi dès 17h30, promettent une ambiance festive et savoureuse.
Parmi les plats déjà proposés, on retrouve des assiettes aussi élégantes que savoureuses, comme les crevettes grillées aux pêches, le tartare de saumon aux fraises et gingembre mariné, les tomates ancestrales au pesto de basilic, ou encore les escargots en coquille avec ail du Québec et tomates semi-séchées.
Avec sa vue imprenable, son atmosphère chaleureuse et la passion du chef pour les produits d’ici, Bistro VRDC s’impose déjà comme un incontournable des Basses-Laurentides.
Du 16 au 27 juillet 2025, l’humour s’invite au cœur de Montréal avec la programmation extérieure gratuite de Juste pour rire. À la Place des Festivals, le rire prend toute la place grâce à une série de spectacles sous les étoiles, combinant artistes établis, étoiles montantes, DJ et animation festive.
Chaque soir dès 19h, la scène Loto-Québec s’anime avec de la musique, suivie à 20h d’une série de stand-up mettant en vedette quatre humoristes différents. Parmi les soirées à ne pas manquer : Céline en humour et paillettes, un hommage festif animé par Mathieu Dufour, et Le Gros Party, une explosion d’énergie humoristique menée par Dave Gaudet. Aussi, il y aura Imite-moi si tu peux, qui rassemblera des imitateurs de talent pour une soirée mémorable.
La programmation bilingue et anglophone offre aussi des exclusivités : Puddles Pity Party, Adam Ray is Dr Phil Live, Tom Segura et le spectacle Bonjour / Hi, véritable pont entre les cultures.
La Scène Dr. Squatch présente humour émergent et musique déjantée, la Taverne chez Stan recrée l’ambiance des Boys, et un terrain de jeux urbain propose activités familiales et découvertes ludiques. Les Gags Juste pour rire, foodtrucks et cuisine de rue complètent ce décor festif.
Et en salle? De nouveaux spectacles payants enrichissent le festival : Xavier Mortimer, Spécial Radio Enfer, Les Denis Drolet, Louis T, Rhys Darby, Jon Lovett, Variety’s 10 Comics to Watch, Malik Elassal et bien d’autres.
Participez aussi au moitié-moitié Juste pour rire et courez la chance de gagner 50% de la cagnotte ou un voyage aux Bermudes, tout en soutenant la programmation gratuite.
Tous les détails et la billetterie sont au www.hahaha.com. Cet été, venez célébrer le rire à Montréal!
Connue pour son flair pour les bonnes adresses, Ines Lalouad d’Occupation Double Dans L’Ouest a récemment mis le cap sur Iru Izakaya, une brasserie japonaise moderne située au cœur du Quartier des spectacles, avec d’autres succursales à Brossard et Ste-Foy.
Avec son ambiance conviviale, ses saveurs audacieuses et ses plats à partager, ce restaurant est rapidement devenu un incontournable pour les amateurs de cuisine nippone réinventée.
Iru Izakaya propose deux formules vedettes qui séduisent autant les néophytes que les fins gourmets: le Menu Découverte à 50$ par personne, offrant un éventail des plats les plus populaires, et le Menu Expérience à 70$, conçu autour de leurs créations signatures les plus raffinées.
Sur le menu, on retrouve les huîtres gratinées au miso (Oisutaa Misozuke) et les fameuses brochettes Yakiton au flanc de porc servies avec moutarde au wasabi et daïkon mariné. Il y a aussi le Kanidippu, une trempette chaude au crabe accompagnée de wontons frits croustillants. Les amateurs de poisson cru ne sont pas en reste avec les Taco Maki notamment celui au thon et les plateaux de sashimis allant jusqu’à 36 morceaux pour les plus affamés.
Côté plats, le Chirashi Sushi mêle habilement sashimis de qualité, légumes croquants et riz collant. Plus audacieux, le Kinoko Mazemen, des ramen sautées aux champignons et canard avec une touche de parmesan et d’huile de truffe.
Pour accompagner le repas, on retrouve le Tokkotai, un cocktail à base de vodka Ketel One et de grenadine maison légèrement relevé de gochujang et de piment gochugaru. Les cocktails signatures comme le Gensou, leur version du Mai Tai au whisky japonais et sésame blanc, ou l’exotique Aotori au rhum épicé, poire et ube, ajoutent une dimension festive à l’expérience.
Iru Izakaya s’adresse à tous les palais, proposant également des options végétariennes ainsi que des plats sans gluten sur demande.
L’événement le plus cidré de l’année avait lieu ce weekend et nous avons eu la chance d’y participer afin de découvrir plusieurs produits complètement pomme. Voici quelques cidres qui nous ont particulièrement fait pétiller;
La nouvelle cuvée de Cidre Intrus
Les bains, le vin et vénus est un délicieux hybride à la croisée du cidre et du vin. L’ensemble des cidres Intrus sont issus de la pomme seulement, mais dans ce cas-ci, c’est en commençant avec une macération de raisins Vidal qu’on ajoute ensuite le jus de la pomme McIntosh. Au goût, c’est frais, juste assez effervescent et pas du tout assommant. Ça donne envie de troquer le vin pour boire ça tout l’été.
SALANGE de Cidre Sauvageon
Cidre Sauvageon à l’identité magnifiquement ludique joue tout aussi bien avec les saveurs. Ce cidre d’inspiration gose nous permet de goûter la mer à travers la pomme. Rafraîchissant et salin, SALANGE intègre des arômes de coriandre, de mélisse, de poire et de pomme (évidemment). Un parfait mélange entre l’eau douce du cidre et la mer saline de la bière gose.
Le cidre à l’érable de Joli Rouge (mais tous les autres aussi)
Faire un cidre à l’érable, c’est savoir comment charmer le Québec. Celui qu’on aurait aussi bien pu nommer le génie de la famille Joli Rouge est fait avec à partir de la première coulée de l’Érablière Sucre d’Or. Ce cidre aromatisé garde son goût premier de la pomme qu’on adore, mais vient nous surprendre avec une finale complètement en érable qui rappelle un doux dessert de cabane. Il a d’ailleurs remporté la médaille d’or dans la catégorie Meilleur Cidre Aromatisé du World Drink Awards, et c’est complètement justifié.
« S’en permettre » de Moulton Hill, ferme cidricole
Ce cidre à la couleur de rêve marie pommes et prunes pour un résultat complètement printemps. Présenté plat – ce qui signifie sans bulles, ce cidre se rapproche d’un vin nature qu’on adorerait découvrir en buvette. Au goût, c’est délicat, un peu fermier, et sa finale de soif donne envie d’en boire un autre verre, puis un autre, puis un autre.
Les moûts de pomme du Verger Lamarche Chantepom
La gamme de moûts Chantepom fait la fierté du verger depuis 30 ans, mais vit présentement un nouveau souffle grâce au renouvellement de son image de marque. Design minimaliste mais dynamique, bien à l’image de leur produit; leurs 4 recettes de moûts pétillants s’en tiennent à l’essentiel. On peut goûter Pomme, Pomme et canneberge, Pomme et camerise, et Pomme et poire. Le fruit est bien présent sans son côté sucré, le pétillant est prédominant, résultant en un produit très élégant.
Le cidre au houblon de la Capsule Temporelle
Ce cidre juste assez sec de la Capsule Temporelle, intègre des arômes du houblon bio de chez son voisin, Houblons Franklin. Ce dernier comporte des arômes pas trop amerrissantes, pour conserver sa nature cidrée. On retrouve les saveurs de la pomme, de la pêche, et même du litchi, en ajoutant une petite finale plus sur l’amertume que sur le sucre en bouche. Parfait pour commencer l’apéro tout en légèreté.
L’été, la saison des mariages, est bien entamé, et c’est toute une célébration qui vous attend à La TOHU, où le festival Montréal Complètement Cirque, 16e édition, bat son plein depuis jeudi! Le genre de party qu’on ne veut plus quitter, où les petits comme les grands s’éclatent follement.
Où personne ne change l’eau en vin comme Jésus aux Noces de Cana, mais où l’ivresse coule naturellement, même sans alcool… Pas tous les échanges de vœux qui culminent en une telle fiesta!
C’est que la plus ludique des troupes de cirque québécoises, le Cirque Alfonse, a déposé son bagage lanaudois à la salle circulaire de la rue Jarry, en résidence pour quelques jours, avec sa nouvelle œuvre, La Noce d’Alfonse, qui n’inspire que plaisir, réjouissances et émerveillement. À des spectacles énergiques, dynamiques, colorés, participatifs, surprenants, rassembleurs et réconfortants du genre, on répondra toujours : «Oui, on le veut!»
Pour une bande comme celle d’Alfonse, qui puise dans la tradition et les thématiques collectivement familières pour monter ses fresques toujours divertissantes et intelligentes (Timber revisitait les camps de bûcherons en 2010, Barbu – Foire électro trad rassemblait de sympathiques personnages poilus en 2014, Tabarnak s’amusait de la religion en 2017, Animal explorait le monde des bêtes en 2021…), le terreau de la noce était sans contredit fertile.
Et la famille Carabinier-Lépine, fondatrice du Cirque Alfonse, ne s’est pas privée d’exploiter tous les référents communs du mariage et de la réception qui suit pour dérider ses foules.
Songez un instant à tout ce qu’il est possible d’imaginer comme numéros autour du lancer du bouquet, de l’habituel «petit train» sur le plancher de danse (qui prend ici des proportions… impressionnantes, n’en dévoilons pas plus), des bouteilles de bière et de vin qui s’entrechoquent… Ajoutez-y acrobaties étudiées, chanteurs et musiciens et atmosphère de sincère camaraderie, et franchement, il y a de quoi redorer le blason de l’institution de la robe blanche et redonner de l’ouvrage aux curés dans un avenir rapproché!
Dès l’entrée en fanfare des artistes par le parterre une fois tous les spectateurs assis, on devine que le reste de la soirée à cette Noce d’Alfonse ne sera pas banal. Pendant que l’orchestre joue ses airs trad tout du long en fond de scène – la musique n’arrête à peu près jamais, empruntant ici et là des accords à la Macarena ou autres rythmes ensoleillés incitant au déhanchement –, les segments gagnent en intensité et en complexité, font sourire en évoquant les codes connus du mariage.
D’abord, des enfants (ceux d’Antoine et Julie Carabinier-Lépine, le frère et la sœur à l’origine d’Alfonse, et leurs conjoints) effectuent des tours de scène en trottinettes et en patins à roulettes. Puis, un adolescent s’exécute en jonglerie.
Et les prouesses s’enchaînent à une cadence ne laissant pas beaucoup de temps à l’assistance pour raccrocher sa mâchoire après l’ébahissement : pyramides humaines, main à main, balançoire russe… Sans qu’on n’égare ne serait-ce qu’un instant le fil conducteur de la fête nuptiale. La Noce d’Alfonse amalgame théâtre, danse et art circassien dans un esprit aussi juvénile que rigoureux.
En guise de décor autant que d’accessoires, les guirlandes de fleurs, la table et les chaises blanches suffisent à illustrer l’ambiance voulue. L’orchestre, à lui seul, remplit efficacement l’espace, sans que trop de fioritures ne soient nécessaires.
Le public est sollicité très souvent, de diverses façons. Il est même invité à donner de l’amour à ses voisins de sièges. Sans tintement de cuillères sur les verres de vin, toutefois! Et il y a même un peu de nudité… Mais, soyez sans crainte, dans les limites du bon goût. Rien pour choquer les yeux chastes!
Bon, on vous le concède, il y a bien peu de noces où des invités improvisent une petite virée en unicycle sur fil de fer après avoir fait tenir des coupes de cristal en équilibre depuis une perche tenue par les dents … Et où un chansonnier hisse une femme haut d’un seul bras, comme si celle-ci avait la légèreté d’une plume, en déclamant ses vers salaces comme si de rien n’était…. Et où une convive, à la pointe d’un chausson de ballet, se tient bien droite, en toute stabilité, sur un verre de vin…
Seulement, au Cirque Alfonse, on ne sait jamais comment le party va tourner. Cheers, et longue vie aux mariés!
Le festival Montréal Complètement Cirque se poursuit dans la métropole jusqu’au 13 juillet, avec, entre autres à son affiche, des productions des troupes Copenhagen Collective, FLIP Fabrique, Cirque Hors Piste et Les sœurs kif-kif. La Noce d’Alfonse, du Cirque Alfonse, est présentée à La TOHU jusqu’au 13 juillet. Consultez le site Web du festival (montrealcompletementcirque.com) pour les détails.