Le Bal d’Halloween du Rocky Horror Picture Show: trois soirées de pur délire à Montréal
Préparez vos bas résille, vos pistolets à eau et votre plus beau rouge à lèvres: le légendaire Bal d’Halloween du Rocky Horror Picture Show revient pour célébrer les 50 ans du phénomène culte. Cette année, l’événement occupera deux théâtres emblématiques : le Théâtre Rialto le 29, puis le Théâtre Décarie les 31 octobre et 1er novembre. Avec huit représentations, à 19h et 23h chaque soir, c’est le rendez-vous le plus exubérant de la saison.
Un show entre cinéma, théâtre et folie participative
Sur scène, une troupe en direct recréera les scènes les plus emblématiques du film pendant que celui-ci sera projeté sur grand écran, et cette année, sur pellicule 35 mm, comme à l’époque de 1975.
L’expérience sera animée par la fabuleuse Peaches Le Poz, une M.C. haute en couleur qui donnera le ton dès le départ avec un concours de costumes complètement déjanté et un cri de ralliement «R-O-C-K-Y» lancé juste avant le début du film. Tout au long de la soirée, le public sera entraîné dans une ambiance aussi débridée que bienveillante, ponctuée de fous rires, de répliques cultes et de danses improvisées.
Plongée dans l’univers du Rocky Horror Picture Show
Sorti en 1975, ce film musical britannique réalisé par Jim Sharman est devenu le symbole d’une liberté totale d’expression et de sexualité. On y suit Brad et Janet, un couple sage qui tombe en panne devant le manoir du Dr Frank-N-Furter, un savant travesti extraterrestre aussi fascinant que provocant. Mélange de glam rock, de comédie et de parodie de science-fiction, Rocky Horror est devenu un véritable rite de passage, célébré dans le monde entier par des projections interactives où le public s’invite littéralement dans le film.
L’art de la participation : entre accessoires et fous rires
Ce n’est pas un film qu’on regarde, c’est un film qu’on vit. Le public est invité à se munir de chapeaux de fête, de pistolets à eau, de papier de toilette et d’autres accessoires absurdes pour recréer les moments cultes du film. Certaines règles s’appliquent, notamment l’interdiction du riz, trop difficile à nettoyer, mais les organisateurs ont tout prévu, jusqu’aux journaux fournis par Exclaim! Magazine pour la fameuse scène de la pluie.
Durant la projection, une voix au micro guidera les spectateurs en lançant des répliques et des blagues, créant une interaction constante avec la salle. Et lorsque retentira le mythique Time Warp, tout le monde est encouragé à se lever et danser. Pas besoin d’être coordonné: la chanson explique elle-même les mouvements, dans un esprit de pure camaraderie. Pendant la chanson There’s a Light, la salle s’illumine de glow sticks et de briquets, un moment suspendu d’une beauté inattendue au cœur de la folie.
Même si le concours de costumes promet d’être spectaculaire, rien n’est obligatoire. Vous pouvez venir habillé en personnage du film, en créature d’Halloween ou simplement comme vous êtes. L’essentiel, c’est de s’amuser dans un espace inclusif où règnent l’audace, la créativité et le plaisir d’être soi-même.
Les billets, au coût de 24,95$ + taxes et frais de service, sont disponibles exclusivement à la Boutique Diabolik (254, avenue du Mont-Royal Est, métro Mont-Royal). Le paiement se fait en argent comptant seulement, avec un maximum de six billets par personne.
La boutique est ouverte du lundi au mercredi de 11 h à 18 h 30, les jeudis et vendredis jusqu’à 21h, le samedi jusqu’à 17h30 et le dimanche de 12h à 17h. À noter que les représentations de 23 h sont réservées aux 18 ans et plus.
Le buzz autour d’Ivan Demidov ne fait que grandir, depuis qu’il a été sélectionné par le Canadien de Montréal au premier tour du repêchage de 2024.
Une nouvelle sensation débarque à Montréal
Avec son talent unique et sa personnalité attachante, son nom fait vendre, notamment au niveau des marchandises, mais également au point de vue publicitaire.
La franchise Ashton a sauté sur l’occasion, en vue de l’ouverture d’une nouvelle succursale dans le Grand Montréal, précisément du côté de Mirabel.
«L’arrivée d’un nouveau Ashton dans le Grand Montréal, ça méritait bien une collaboration avec une nouvelle sensation montréalaise…», a annoncé Ashton, plus tôt cette semaine.
Les restaurants Ashton ont profité de cette opportunité marketing pour frapper un grand coup en annonçant l’arrivée de Demidov comme leur nouvelle recrue vedette.
L’entreprise a su transformer l’actualité sportive en un coup de maître publicitaire, en liant habilement son image à celle du célèbre joueur.
«Cette année, une nouvelle sensation débarque à Montréal», lance le narrateur, en ouverture de pub.
Il ajoute ceci: «Inoubliable. Inarrêtable. L’incontournable…»
«Moi?», demande Ivan Demidov, avec son air interrogatif et une poutine à la main.
«Ben non, Ivan! Ashton. La vraie poutine des Québécois depuis 1969!»
«Ashton x Ivan Demidov. Quand deux sensations se rencontrent: une sur la glace et l’autre dans l’assiette. FRAIS. VRAI», écrit Ashton sur les réseaux sociaux.
Cette collaboration symbolise à la fois l’audace et l’humour typiques de la marque, tout en renforçant sa présence auprès du grand public.
Habitué aux fortes collaborations
Au fil des ans, Ashton s’est régulièrement associé à des sportifs de renom et des personnalités publiques, afin de promouvoir sa marque, notamment des athlètes de la région de Québec.
Ici, une collaboration avec Thomas Chabot, défenseur étoile des Sénateurs d’Ottawa:
«Thomas Chabot qui commande du Ashton pour son équipe: c’est FRAIS.»
Fondée à Québec dans les années 1960, la chaîne a su préserver un esprit local et authentique tout en développant une forte reconnaissance provinciale. Son impact réside dans la valorisation du terroir québécois et dans la promotion d’un produit devenu symbole national.
En misant sur des campagnes publicitaires audacieuses et un ton humoristique, Ashton a su créer un lien affectif avec sa clientèle. Aujourd’hui, la marque incarne une réussite typiquement québécoise, mêlant tradition, fierté et modernité dans le secteur de la restauration rapide.
Est-ce que Ashton possède la meilleure poutine au Québec, selon vous?
