Anouk Meunier et son fils se sont rendus au Domaine Lafrance afin d’y pratiquer une activité d’automne bien populaire: la cueillette de pommes.
C’est sur Instagram que l’animatrice a partagé de magnifiques souvenirs d’elle et son fils profitant de la bonne température et des belles couleurs du verger.
«Super journée au Domaine Lafrance», lançait-elle en marge de magnifiques images.
Le domaine est situé à Saint-Joseph-du-Lac au cœur des Basses-Laurentides et est ouvert durant toute l’année.
Des poiriers, des vignes, des pruniers et des milliers de pommiers s’étendent sur leur terrain de 30 hectares de verdure.
Plusieurs délicieux produits alcoolisés tels qu’un mousseux rosé, un cidre de glace et un Vermouth de pomme sont d’ailleurs créés par cette cidrerie.
Pour ceux qui ont des enfants en bas âge comme Anouk, l’endroit propose différentes aires de jeux et même une mini-ferme.
Le Domaine Lafrance, c’est le rendez-vous automnal!
La créatrice de contenu et entrepreneure, Lucie Rhéaume a dévoilé le montant que lui coûte son appartement et a fait une visite guidée de celui-ci.
C’est sur Instagram que le créateur de contenu Yannis Chaumard-Sevean a partagé une vidéo dans laquelle il s’adresse à Lucie dans la rue et lui demande combien lui coûte son appartement à Montréal.
«Excuse-moi, combien coute ton appartement à Montréal?», l’interroge-t-il.
«615 000 $», révèle-t-elle avant de le lui faire visiter.
Le groupe a annoncé les dates nord-américaines de sa tournée mondiale OASIS LIVE ’25.
La première de la tournée nord-américaine débutera à Toronto le 24 août 2025 pour ensuite se déplacer vers Chicago, East Rutherford, Los Angeles et Mexico.
Seulement cinq représentations sont affichées, excluant un arrêt au Québec, ce qui impose un roadtrip à ceux et celles qui souhaiteraient les voir en spectacle cette année.
La présence de Cage The Elephant en guise d’invité spécial pour toute la durée de la tournée convaincra peut-être quelques fans de plus de faire la route!
Une scène du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop, avec Elizabeth Duperré, David Savard et Sylvain Marcel
Elle est plus que venue, l’heure de célébrer dignement les immuables accomplissements du papa de nos humoristes, du grand Deschamps. Il a 89 ans. Il faut le remercier pendant que résonne encore à nos oreilles son rire aussi sonore que candide, ses gloussements uniques, rien qu’à lui, reconnaissables entre mille.
Plus que jamais, on prend collectivement conscience de sa valeur, à ce trésor comique-philosophe-critique de l’ordinaire et de ses contemporains comme seul le Québec a su en créer ou à peu près. On dirait qu’actuellement l’urgence se presse, on réalise que Deschamps n’est pas plus immortel que Ferland ou qu’un autre, les projets d’hommages s’accumulent et s’entrecroisent: le recueil Vraiment tout Deschamps… au complet vient de paraître en librairie, une série télévisée se mitonne sous le parrainage d’Alexis Durand-Brault (rapportait le quotidien La Presse l’an dernier), Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques offre son coup de chapeau dans le balado Les mots d’Yvon Deschamps, sur OHdio, et d’autres rumeurs de spectacles en gestation se murmurent ça et là. Le Deschamps des beaux jours nous aurait probablement taquiné avec son sourire moqueur qu’il était temps qu’on se réveille.
Yvon Deschamps et Judi Richards à la première d’Yvon Deschamps raconte la shop, le mardi 24 septembre, au Théâtre Maisonneuve / Crédit : Serge Cloutier
Et il y a cette fresque, Yvon Deschamps raconte la shop, qui se dévoilait au Théâtre Maisonneuve, à Montréal. Qui ne constitue peut-être pas «l’hommage des hommages», mais qui s’avère incontestablement digne de la grandeur de son sujet. Une magnifique production, inventive, respectueuse, articulée autour de l’œuvre brute d’Yvon Deschamps, de ses textes marquants. Sur papier, Yvon Deschamps raconte la shop laissait craindre le pire: on présentait le tout comme un amalgame de jeu, de chanson, de danse, de cirque, dans un univers «rétrofuturiste» (ce dernier n’étant finalement pas si palpable). Mais, qu’est-ce que cet objet disparate allait bien pouvoir manger en hiver?, redoutions-nous.
C’était toutefois de sous-estimer la vision du concepteur et metteur en scène Jean-François Blais (En direct de l’univers, La Voix, galas ComediHa!) et, sans doute aussi, sa passion pour l’héritage de Deschamps, que de douter ainsi. La pièce de théâtre qu’il nous propose illumine les monologues du maître de brillante façon en les supportant de musiques (variées), de chorégraphies (soignées) et d’acrobaties (réussies). On ne se tanne jamais de les réentendre, ces numéros d’Yvon Deschamps, ces Unions, qu’ossa donne? et autres Le bonheur, mais ils sont ici mis en valeur autrement et superbement… et nous font réaliser que bien peu de choses ont changé depuis l’époque où Deschamps maniait encore sa plume.
Une scène acrobatique du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
Sur scène, un décor d’usine. Celui de la shop. Des blocs et des tonneaux blancs, d’immenses pièces de machinerie, une clôture, qui disparaîtra, puis reviendra. Et les travailleurs, tout en blanc aussi. Il y a le frondeur (David Savard), la rêveuse (Elizabeth Duperré), le mouton (Stéphane Archambault), le syndicaliste (Sylvain Marcel) et le contremaître (David-Alexandre Després, dans un rôle muet). Chacun aura, dans les deux heures trente suivantes, sa partition de Deschamps à réciter, selon la personnalité de son personnage, dans une habile distribution des mots. Les travailleurs racontent leurs splendeurs et leurs misères. Les monologues, ici, se répondent et deviennent parfois dialogues. Autour du noyau de protagonistes se meuvent les autres ouvriers, alias huit danseurs et deux acrobates, et trois musiciens par-dessus le marché.
Yvon Deschamps lui-même n’est pas dans le spectacle… Ou, plutôt, oui. Il apparait dans son écran en médaillon, un peu plus haut que l’action, dans des petits bouts de narration récemment filmés, où il brasse encore la cage de ses observations et de la douce ironie qui est la sienne, liant ainsi les tableaux entre eux. On n’a heureusement pas abusé du procédé; ce n’est pas un one-man-show d’Yvon Deschamps comme tel, après tout, mais on a ainsi une idée de ce que dirait l’homme s’il devait monter au micro du Bordel en 2024.
On a aussi trouvé façon d’insérer des références à l’univers de Charlie Chaplin, l’une des idoles de Deschamps, surtout au début, avec des directives adressées aux spectateurs en noir et blanc: «Applaudissez!»; «Êtes-vous en forme?»; «Plus fort que ça!»
Une scène d’Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
La première vignette est celle du dur labeur. Celle d’Une job steady pis un bon boss et des Unions, qu’ossa donne?,où on se réjouit de la semaine de 54 heures de travail et d’une unique semaine de vacances par année, sans sécurité physique, sans sécurité d’emploi. Les artistes se déplacent en mouvements militaires dans une union – justement! – de gestes étudiés. Puis, il y aura Les filles, La noce de la fille du boss, L’argent, La paternité, Papa, Le boss est mort, Lock Out et l’inévitable Bonheur en fermeture. Avec tous ces bouts de phrases mémorables d’Yvon Deschamps qui ont imprégné notre mémoire collective.
À eux seuls, les acteurs, tous excellents, constituent une immense force d’Yvon Deschamps raconte la shop. David Savard insuffle un aplomb imposant à son séducteur frondeur qui se questionne sur le consentement dans Les filles (d’actualité, Deschamps, vous avez dit?) Mention spéciale à Elizabeth Duperré, dont la voix magnifie un peu tous les segments. En grande contemplative qui rêve d’un mariage fastueux comme La noce de la fille du boss, la comédienne des Moments parfaits et d’Avant le crash allie vulnérabilité et caractère. Elle est sans contredit la révélation du spectacle.
Yvon Deschamps entouré de Sylvain Marcel, Elizabeth Duperré et David Savard à la fin de la première médiatique d’Yvon Deschamps raconte la shop, le 24 septembre 2024, au Théâtre Maisonneuve / Crédit : Serge Cloutier
Dans chacune des parenthèses, une ou des chanson(s). Pas nécessairement de Deschamps. Yvon Deschamps raconte la shop est également, à petite échelle, une fleur à tous nos grands auteurs-compositeurs. Travailler, de Pagliaro, et Comme un million de gens, de Dubois, accompagnent le flot Dans ma cour. Il y aura aussi La vie de factrie (Clémence Desrochers), À hauteur d’homme (Vincent Vallières), La maudite machine (Pierre Flynn)… La prouesse circassienne romantique de main à main sur Sous les cheminées, de Richard Séguin, avec, encore, le timbre de Duperré pour rehausser le tout, est émouvante. La relecture de Cash City, du répertoire de De Larochellière, sonne un peu douteuse en filigrane de la diatribe sur l’argent, mais la plupart des arrangements sont harmonieux. Et on entend aussi, bien sûr, les On est content, Les fesses, Papa, Seul, Boum Boum, Le bonheur et Aimons-nous, toutes signées ou cosignées Deschamps.
Une scène du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
Yvon Deschamps raconte la shop incarne en somme l’illustre décret de jadis d’Yvon Deschamps (qui jaillit bien sûr rapidement dans l’enchaînement): «On veut pas le sawoère, on veut le woère!». Sous les ordres de Jean-François Blais, le petit monde d’Yvon Deschamps prend corps en chair et en os, réinventé, mais fidèle à l’original. C’est de toute beauté. Et on se surprend à réaliser, en écoutant ces doléances d’une maudite machine qui aurait avalé les salariés, en recevant les autoritaires: «Moé pis ma sœur, on veut de l’industrialisation!», aujourd’hui, à l’heure où l’intelligence artificielle nous fait craindre le pire, que les observations d’Yvon Deschamps étaient réellement, cruellement, et resteront, intemporelles.
Le spectacle Yvon Deschamps raconte la shop est présentement en tournée.
Des supplémentaires ont déjà été annoncées dans plusieurs villes.
Consultez le yvondeschamps.com pour plus d’informations!
C’est sur Instagram que la créatrice de contenu a partagé plusieurs stories dans lesquelles elle partage son expérience à ce verger situé à Saint-Grégoire.
«C’est la saison des pommes!!», lançait-elle en marge d’une photo d’elle en pleine action.
«Les beignets aux pommes sont incroyables! Je comprends maintenant le hype», continuait-elle, nous faisant saliver.
«Pour les amateurs de cidre, on a même fait la dégustation de leurs produits (btw ils sont ouverts à l’année!). Agréablement surprise et fière de consommer des produits frais d’ici», lançait-elle, nous donnant envie de nous mettre au calendrier une petite visite.
«Et leur jus de pommes fait maison: 10/10», concluait Florence.
Lors de vos visites au Verger Charbonneau, vous pourrez découvrir une variété de délicieuses pommes à leur apogée de fraîcheur.
De la jaune transparente croquante dès fin juillet à l’Ambrosia sucrée en octobre, chaque variété offre une palette de saveurs à explorer.
De plus, sur place, on retrouve une crêperie, vous pourrez donc combiner votre cueillette de pommes à un petit déjeuner en famille.
La tournée Hit Me Hard and Soft de Billie Eilish a donné son coup d’envoi hier soir dans la ville de Québec et nous sommes parmi les 19 000 chanceux qui avons eu la chance d’assister à cet événement grandiose. On peut dire que l’artiste de 22 ans sait comment charmer ses fans en leur offrant un spectacle à son image, à la fois doux, éclectique et actuel.
Le premier spectacle de cette tournée mondiale nous a fait voir une Billie généreuse et authentique en performant la presque totalité de ses succès. En plus de tous les morceaux de son dernier album qui justifie la tournée, elle a fait un tour d’horizon généreux des chansons qui l’ont emmené là où elle est aujourd’hui. On pense notamment à Everything I Wanted, Ocean Eyes, Bury A Friend et Bad Guy qui a littéralement explosé le Centre Vidéotron.
Mais, son bonheur de performer pour la première fois devant public certains de ses morceaux était palpable. Le spectacle a commencé en force avec Chihiro et Lunch que l’artiste a chanté en dansant et en parcourant à la course l’énorme scène rectangulaire et centrale aménagée pour l’événement.
Crédit : Kevin Mazur – Getty Images for Live Nation
Après avoir ouvert en force et fait chanter hurler les foules, Billie est passée à un segment plus senti. Elle a offert un moment particulièrement marquant pour When the party’s over. L’artiste a demandé à la foule un silence absolu pour enregistrer des harmonies qui, doucement, se sont superposées afin de créer la chanson. Elle a terminé la chanson couchée sur un sol illuminé.
Magique.
La mise en scène simple, mais efficace a permis à ce spectacle sans grands artifices d’être toujours intéressant. Coup de coeur pour les moments où Billie se filmait elle-même à l’aide d’une GoPro pour être projeté sur les écrans. Mécanique qui reflétait bien sa personnalité, en plus d’accentuer l’effet de proximité.
Chacune de ses interactions avec le public étaient honnêtes et propres à elle-même. Elle a d’ailleurs confié avoir un wedgie, pour ensuite demander de l’aide avec ses cheveux mêlés, tâche qui a été prise en charge par plusieurs petites paires de mains dévouées. C’est complètement décoiffée qu’elle a terminé le spectacle avec son succès de Barbie, What Was I made For?, et finalement, la tant attendue Birds Of A Feather qui a clôt le spectacle à la perfection.
Crédit : Kevin Mazur – Getty Images for Live Nation
L’artiste a filmé sa sortie en courant jusqu’à l’arrière scène du Centre Vidéotron, ce qui laissait présager qu’elle ne reviendrait pas, mais on doit dire que Québec avait déjà le coeur plein.
La tournée ne fait que commencer, mais on pourra dire qu’on aura été les premiers à crier à Billie qu’elle est l’amour de notre vie.
Sébastien Benoît a passé du bon temps en présence de son père à l’occasion de son anniversaire et ensemble, ils ont choisi de célébrer cette journée dans un restaurant de Montréal.
L’animateur chouchou a partagé sur Instagram quelques photos de ce moment au Casavant, une brasserie française que l’on retrouve à Villeray.
«Bonne fête papa!», lançait-il en marge d’une photo de lui et son papa trinquant à l’aide d’un bon verre de vin!
Le restaurant propose de nombreux mets savoureux tels qu’une tartelette provençale, du tartare de bœuf et un flétan de la Gaspésie.
Pour accompagner ceux-ci, il vous est possible de commander une bonne bouteille de vin et si on se fie à la carte, vous aurez l’embarras du choix.
Camille Dufresne d’OD Afrique du Sud a partagé une vidéo sur sa page TikTok dans laquelle elle teste un nouveau restaurant dans le Quartier Latin de Montréal.
Il s’agit du restaurant Panacée, un restaurant qui propose une ambiance chaleureuse et authentique ainsi qu’un menu de plats raffinés, sophistiqués et gourmands.
«À l’intérieur, le restaurant est vraiment trop mignon, c’est l’endroit parfait pour une date night (…) on a choisi l’option cinq services et je vous la recommande à 100% (…). Tout est préparé avec tellement de beauté; c’est fin, c’est magnifique à regarder, mais c’est bon dans la bouche aussi. (…) Je rentre du restaurant. C’était tellement, tellement bon, j’ai le bedon plein (…)», lançait-elle, ayant visiblement passé une soirée parfaite et à la hauteur de ses attentes.
Tout d’abord, il est coutume avant un spectacle d’une telle ampleur de voir les fans camper devant la salle afin d’avoir les meilleures places. Pour le spectacle de Billie Eilish ce dimanche 29 septembre, leCentre Vidéotron autorisera l’accès à sa cour extérieure à partir de 8h, vendredi le 27 septembre. C’est donc trois jours de camping que certains fans seront prêts à faire pour assurer leur place à l’avant de la scène.
La programmatrice de la salle, Dominique Goulet, affirme avoir mis en place des mesures proactives afin d’assurer une attente adéquate pour les fans: des toilettes sont accessibles à l’extérieur et une fontaine d’eau est mise à leur disposition. Un système de bracelets numérotés permet de garantir la place des spectateurs selon leur ordre d’arrivée pour éviter tout conflit. Des agents de sécurité sécurité sont également sur place.
L’organisation s’attend à ce qu’un millier de spectateurs se rassemblent devant le Centre Vidéotron d’ici dimanche.
L’artiste de 22 ans dit souhaiter réduire l’empreinte environnementale de sa tournée et a donc tenu à mettre en place plusieurs mesures écoresponsables pour son spectacle de Québec, mais également tout au long de sa série de représentations.
Exceptionnellement, aucune bouteille d’eau en plastique à usage unique ne sera vendue dimanche soir au Centre Vidéotron. Toutefois, l’amphithéâtre donne la permission aux spectateurs d’apporter une bouteille d’eau réutilisable de 32 oz et moins, vide au moment d’entrer. Plusieurs fontaines d’eau s’ajouteront à celles déjà existantes afin de permettre aux spectateurs de remplir leur gourde.
L’artiste s’est aussi assurée que la salle offre un accès à de la nourriture à base de plante de qualité. BillieEilish, au-delà de demander un service de traiteur végétalien pour elle-même, voulait s’assurer que ses fans ayant la même alimentation soient bien servis. Trois options véganes s’ajoutent donc à la proposition existante pour qu’ils aient du choix pour une fois.
Les spectateurs sont aussi encouragés à utiliser le transport en commun pour se rendre au concert. Quatre navettes desservant la ville de Québec se rendront au Centre Vidéotron.
Pour ce qui est des objets dérivés en vente au concert, ils sont faits exclusivement à partir de matériaux recyclés. Parmi la marchandise en vente, on pourra y trouver des posters faits de papier 100% recyclé, des vêtements à partir de coton organique recyclé et des vinyles fait également faits de matières recyclées.
On peut donc dire que l’artiste ayant chanté Bad Guy est pourtant une good girl pour avoir mis en place toutes ces mesures écologiques afin de diminuer l’empreinte carbone qu’occasionnent les tournées.
Une raison de plus d’aimer BillieEilish, comme si on en n’avait pas déjà assez!