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Une attaque ukrainienne rend Trump furieux

Le président américain Donald Trump s’est montré extrêmement furieux après une récente frappe ukrainienne qui a visé le pipeline pétrolier stratégique Druzhba.

Ukraine attacks pipeline that sends Russian oil to Hungary and Slovakia

The Guardian (@theguardian.com) 2025-08-22T14:02:35Z

Cette attaque par drone, survenue en août juste avant la rencontre prévue entre Trump et Vladimir Poutine en Alaska, a endommagé une infrastructure qui approvisionne la Hongrie, la Slovaquie et d’autres pays d’Europe centrale en pétrole russe.

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À la suite de cet incident, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a adressé une note au président américain, exprimant son inquiétude et rappelant qu’il s’agit du seul pipeline transportant du pétrole brut vers la Hongrie et la Slovaquie.

Une réponse manuscrite de Trump, récemment dévoilée, montre sa colère envers l’Ukraine et son soutien personnel à Orbán, qu’il qualifie de «grand ami».

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Selon Politico, le mémo de Trump publié en ligne par le parti au pouvoir en Hongrie, Fidesz, contient les mots suivants: «Viktor, ça ne me plaît pas. Ça me met très en colère. Dis à la Slovaquie que tu es mon grand ami. Donald».

Le Guardian rapporte de son côté que la Hongrie accuse l’Ukraine de mener «une nouvelle tentative pour nous entraîner dans la guerre».

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Alors même que le pipeline a été réactivé le 19 août, de nombreux observateurs soulignent le contraste marqué entre la réaction virulente de Trump à l’égard de cette frappe ukrainienne et son attitude beaucoup plus mesurée face aux bombardements russes répétés sur les villes ukrainiennes, qui blessent et tuent quotidiennement des civils.

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Elon Musk se fâche contre Grok

Elon Musk est intervenu sur son réseau social X, alors qu’un nombre croissant d’utilisateurs exprimaient leur mécontentement envers l’IA Grok.

Elon Musk lashed out at his own AI chatbot, Grok, after it stated that right-wing violence has become “more frequent and deadly” than left-wing attacks.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-06-18T10:57:30.911006Z

Celle-ci, en réponse à plusieurs questions sur la fréquence de la violence politique attribuée à la gauche, indiquait plutôt que la droite semblait davantage responsable, un «fact-check» qui a déclenché de vives critiques, y compris de la part de Musk lui-même, visiblement agacé par sa propre intelligence artificielle.

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C’est la question d’un utilisateur posée à Grok, soit: «Depuis 2016, la gauche ou la droite a-t-elle été plus violente?», qui a suscité une réaction de Musk, qui a accusé l’IA de prendre ses réponses directement dans les médias traditionnels.

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Grok a notamment répondu que: «Depuis 2016, les données suggèrent que la violence politique provenant de la droite a été plus fréquente et plus meurtrière».

L’IA a ensuite cité plusieurs exemples pour appuyer ses propos, concluant que ces actes avaient «causé un nombre important de morts».

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Musk a alors réagi en commentant directement sous la réponse de Grok: «Échec majeur, car c’est objectivement faux. Grok répète les médias traditionnels».

Le milliardaire a ensuite terminé ce message avec «Je travaille dessus», laissant entendre qu’il comptait corriger son IA.

Pourtant, selon les données du Center for Strategic and International Studies (CSIS), environ 75% des actes de violence politique aux États-Unis depuis 2016 ont été attribués à des extrémistes de droite, contre environ 20% pour l’extrême gauche.

Ces chiffres, bien qu’ils alimentent la controverse, reflètent une tendance documentée par plusieurs organismes de sécurité.

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Les États-Unis ont utilisé des drones pour surveiller des manifestants américains

Le service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (U.S. Customs and Border Protection, ou CBP) a confirmé que leurs drones MQ-9 ont été déployés dans le cadre des manifestations à Los Angeles, à la demande du Département de la Sécurité intérieure dirigé par la secrétaire Kristi Noem, sous l’administration Trump.

NEW: The CBP confirmed to @404media.co that it has been flying Predator drones over LA amid the protests. These Predator B drones are military-caliber UAVs used for aerial reconnaissance that can be armed.It further breaks the seal on federal involvement in civilian matters. More here:

WIRED (@wired.com) 2025-06-13T16:02:09.649Z

La CBP soutient que ses drones ne sont pas utilisés pour surveiller directement les manifestants à Los Angeles.

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D’après 404 Media, et comme le rapporte Wired, la justification officielle avancée pour le déploiement des drones est qu’ils servent à «assurer la sécurité des agents lorsque ceux-ci en font la demande».

Ces appareils, conçus pour la surveillance à haute altitude, sont généralement réservés à des missions militaires ou de contrôle aux frontières.

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Leur utilisation dans un contexte de manifestations soulève de sérieuses inquiétudes quant à la militarisation des forces de l’ordre et au respect de la vie privée des citoyens américains.

Rappelons que bien que peu de détails aient été fournis sur l’usage précis de ces drones dans le contexte des manifestations à Los Angeles, ces mêmes appareils avaient déjà été déployés lors des manifestations qui ont suivi la mort de George Floyd.

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Leur utilisation continue de susciter des critiques sur le recours à des technologies de surveillance militaire dans le cadre de manifestations protégées par le Premier Amendement, et renforce les appels à une plus grande transparence quant à l’emploi de ces drones militaires à des fins de contrôle sur la population.

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