







Walmart, le géant du commerce de détail, connu pour son slogan «Économisez de l’argent. Vivez mieux» et sa promesse d’offrir des produits à bas prix pour améliorer la vie de ses clients, vient d’annoncer un revirement notable.
D’ici la fin du mois, Walmart prévoit d’imposer des hausses de prix majeures, invoquant des tarifs douaniers devenus tout simplement «trop élevés», conséquence directe de la guerre commerciale lancée par Donald Trump depuis son arrivée à la Maison-Blanche.
Selon CNN, le PDG de l’entreprise, Doug McMillon, a déclaré que Walmart n’était tout simplement pas en mesure d’absorber toute la pression, compte tenu de la réalité des marges serrées dans le secteur du commerce de détail.
Selon le PDG de l’entreprise, les nombreux tarifs imposés à l’échelle mondiale, notamment en Chine, au Costa Rica et même au Pérou, entraînent des coûts élevés dans plusieurs catégories de produits, en particulier l’électronique, les jouets et de nombreux aliments.
Le PDG de Walmart a ainsi annoncé que d’ici la fin du mois de mai, les consommateurs constateraient des hausses de prix importantes dans ses magasins, ajoutant que la situation s’aggraverait le mois prochain, où l’on verrait «certainement bien plus en juin».
Alors que l’entreprise avait salué la décision de l’administration Trump d’assouplir temporairement la guerre commerciale avec la Chine en ramenant les tarifs de 145% à 30% dans le cadre d’une trêve de 90 jours conclue en mai, Walmart estime que les niveaux actuels demeurent malgré tout «trop élevés».
À titre de comparaison, sous l’administration Biden, les tarifs étaient restés relativement stables, autour de 20%, avec seulement quelques hausses ciblées sur des produits stratégiques comme les véhicules électriques et les semi-conducteurs.
Ça ne sent pas très bon dernièrement pour la compagnie japonaise automobile Nissan, alors que des mauvaises nouvelles se dessinent.
Selon ce qu’a rapporté NHK, Nissan aurait l’intention d’éliminer 15% de sa masse d’emplois, et ce, très prochainement. On parlerait ici d’environ 10 000 individus qui perdraient leur travail à travers le globe. Ajoutez à cela les 9000 postes qui ont été supprimés en novembre dernier, il s’agirait de presque 20 000 emplois perdus en l’espace de quelques mois.
En plus, 7 des 17 facilités de Nissan disparaitront d’ici 2027.
Des démarches d’association avec Honda avec eux lieu en 2024, afin de s’entraider pour créer un produit commun, certes, mais le tout s’est effacé l’hiver dernier, laissant l’espoir de Nissan dans un creux inachevé.
Ajoutons à cela les frais de douanes monstrueux imposés par Donald Trump.
Bref, Nissan aimerait décidément rattraper du retard sur ses compétiteurs, quant aux items électriques, mais disons que cette situation problématique retarde le processus.
Est-ce que ce sera suffisant pour les sauver de leur débandade en règle? Le temps nous le dira!
Mais en attendant, des milliers de gens en subissent les conséquences…
Mauvaise nouvelle pour l’ancien président et sa famille.
L’ancien président Joe Biden a été diagnostiqué d’un cancer agressif, rapporte CNN.
Il s’agit d’un cancer de la prostate, qui se serait étendu à ses os, selon cette même source, une information que confirme également le New York Times.
Malgré les premières nouvelles plutôt sombres, plusieurs spécialistes s’entendent pour dire que la forme de cancer dont souffre Joe Biden, serait encore traitable.
Il y aurait encore des raisons d’être optimiste, donc, dans le camp du 46e président des États-Unis.
Elon Musk et Tesla, déjà au cœur de la controverse en raison des prises de position politiques polarisantes de Musk, font désormais face à une grave crise d’inventaire.
Rien qu’aux États-Unis, près de 10 000 Cybertrucks invendus s’accumuleraient dans les stationnements des concessionnaires, faute d’acheteurs, et ce, malgré une campagne publicitaire sans précédent, à la Maison-Blanche.
La valeur totale de ces véhicules en stock atteindrait environ 800 millions de dollars américains. Selon Business Insider, Tesla aurait demandé aux employés de l’usine d’Austin — travaillant sur les lignes du Cybertruck et du Model Y — de rester chez eux pendant la semaine du Memorial Day, une décision jugée très inhabituelle par plusieurs sources internes.
Tesla fait face à plusieurs difficultés depuis quelques mois, notamment une baisse marquée de ses ventes mondiales et une détérioration de son image publique.
Ces tensions ont été accentuées par les controverses entourant son PDG, accusé d’avoir effectué à deux reprises un salut nazi lors d’un rassemblement célébrant l’investiture de Donald Trump, ainsi que par son engagement politique controversé via le mouvement DOGE et son soutien public à l’alt-right en Allemagne.
Tesla fait face à une baisse de 13 % de ses ventes mondiales au premier trimestre 2025, avec 336 681 véhicules livrés, marquant sa plus faible performance depuis 2022.
Le Cybertruck, initialement très attendu, a déçu: seulement 35 000 à 50 000 unités vendues en 2024, loin des plus d’un million de précommandes annoncées par Elon Musk.
Il semble difficile pour RFK Jr., à la tête du HHS, de satisfaire la majorité de ses partisans, majoritairement antivaccins, tout en gérant une crise sanitaire marquée par une éclosion de rougeole à la fois préoccupante et évitable.
Cette éclosion met en lumière une vulnérabilité dans certaines communautés, où la couverture vaccinale est affaiblie par une méfiance croissante envers la santé publique, nourrie entre autres par des prises de position antivaccins, y compris celles du nouveau responsable du HHS.
RFK Jr. comparaissait pour la première fois devant le Congrès depuis sa nomination, dans le cadre d’une audition centrée sur sa gestion du département de la Santé (HHS), notamment les licenciements massifs qu’il y a ordonnés, ses positions controversées sur les vaccins et sa réponse à l’épidémie de rougeole.
Certains de ses propos ont particulièrement retenu l’attention, notamment lorsqu’il a déclaré que les Américains ne devraient pas suivre ses conseils en matière de santé.
Alors qu’une épidémie de rougeole frappe plus de 1 000 personnes dans 31 États, Kennedy a fait face à de vives critiques de la part du Congrès pour ses déclarations passées et récentes sur les vaccins.
Mais lorsqu’on lui a demandé s’il ferait vacciner ses jeunes enfants contre la rougeole, il a répondu qu’il les ferait «probablement» vacciner, tout en précisant: «Je ne pense pas que les gens devraient prendre des conseils médicaux de ma part».
Lorsqu’on lui a demandé de répondre par oui ou par non, Kennedy a semblé avoir du mal à exprimer clairement sa position sur la vaccination contre la rougeole.
Il a expliqué que s’il répondait «directement» à la question, cela pourrait donner l’impression qu’il donne des conseils aux autres, ce qu’il préfère éviter: «J’aurais l’impression de donner des conseils aux autres et je ne veux pas faire ça».
Rappelons que deux enfants non vaccinés, âgés de six et huit ans, sont morts de la rougeole au Texas. Il s’agit des premiers décès liés à la maladie aux États-Unis depuis 2015.
Les autorités sanitaires ont précisé que les deux victimes fréquentaient une école primaire et ont insisté sur l’importance de la vaccination pour éviter de tels drames.
Près de 150 millions de dollars auraient été dépensés par des participants dans le cadre d’un concours où les participants devaient acheter des meme coins à l’effigie de Trump pour avoir une chance de gagner un dîner avec lui.
Cette chance n’a toutefois pas été offerte à tous les participants: seuls les 220 plus grands contributeurs du concours ont obtenu une place pour un gala prévu en mai à Washington D.C., auquel Donald Trump doit assister.
Et parmi ces 220 plus grands donateurs, les 25 premiers auront droit à un dîner lors d’une «réception VIP ultra-exclusive» en présence du président, ainsi qu’à une «visite VIP spéciale».
Il est à noter que le mème coin $TRUMP a été lancé le 17 janvier 2025, soit seulement trois jours avant l’assermentation de Donald Trump comme 47e président des États-Unis.
Ce lancement a rapidement fait l’objet de vives critiques, notamment en raison de son timing, mais surtout en raison des possibles implications éthiques qu’il soulève.
Les monnaies mèmes $TRUMP ont grimpé jusqu’à 75$ quelques heures après l’annonce de Trump lors de son week-end d’investiture, avant de chuter à moins de 8$.
Le $TRUMP se négocie actuellement autour de 14 $, mais depuis son lancement en janvier, près de 600 000 portefeuilles ont accumulé des pertes totalisant 3,9 milliards de dollars, selon les données d’Inca rapportées par CTV News.