











Quand on se pose la question à savoir qui est le meilleur joueur de hockey de tous les temps, le nom de Wayne Gretzky revient très souvent.
Plusieurs croient cependant que Mario Lemieux devrait hériter de ce titre, disant que s’il n’avait pas été blessé, il aurait été supérieur au 99 en frais de points produits. Certes, on ne le saura jamais.
Mais quoiqu’il en soit, la «Merveille» était considérée comme un monument au Canada, jusqu’à ce jour, mais il semblerait que sa popularité se retrouve en constante chute libre vis-à-vis sa propre patrie.
À quelques reprises, on a pu observer Wayne Gretzky apporter son soutien au polarisant et controversé président des États-Unis, soit Donald Trump, eux qui ont une belle relation, selon toute vraisemblance, comme Le Journal de Montréal l’a souligné.
L’ancienne superstar des Oilers d’Edmonton portait aussi une casquette qui disait «Make America Great Again», lorsque Trump a remporté ses élections en novembre dernier. En plus, on l’a vu à quelques occasions séjourner dans la demeure privée de Trump à Mar-a-Largo, en Floride.
On sait que Trump s’attaque souvent au premier ministre canadien Justin Trudeau, dernièrement, et le silence de Wayne Gretzky, à cet effet, dérange particulièrement les citoyens canadiens. Certains parlent même d’une trahison envers les siens, rien de moins.
«The Great One» a aussi créé un malaise à la Confrontation des 4 Nations, plus tôt en février, en ne portant pas le chandail du Canada, malgré son titre de capitaine honorifique de sa nation, se contentant d’un habit à veston et à cravate.
Ça, c’est sans oublier le pouce en l’air envoyé en direction du banc des USA avant de quitter la surface givrée, aux termes de la cérémonie d’avant-match de la finale.
Considérant tous ces événements cumulés au fil du temps, le Canada semble en colère contre son enfant chéri.
Une pétition circule même afin de retirer son titre de membre de l’Ordre du Canada, qui est actif depuis 1984 (Officier)!
Aussi, il faut souligner qu’une pétition à plus de 8000 voix circulent à Edmonton, afin de renommer la rue Wayne Gretzky sous un autre nom…
Disons que la légende de 64 ans ne s’est pas fait d’amis récemment, et ça ne fera qu’empirer, surtout avec les récents développements…
La chanteuse canadienne Chantal Kreviazuk aimerait probablement reprendre certains passages de son interprétation de l’hymne national canadien lors du match final de la Confrontation des 4 Nations, qui se tenait à Boston, hier soir (20 février), mais un détail important a semblé échapper à plusieurs observateurs sur le moment.
Krevaziuk, qui devait livrer l’hymne national en territoire hostile avec rien de moins qu’un pays quasi entier la regardant à travers la magie de la télévision, s’est en effet permis de changer quelques mots de l’Ô Canada, clairement afin de répondre au comportement arrogant et hostile de l’administration Trump et d’une partie de l’électorat américain.
La chanteuse a en effet changé les mots «in all of us command» pour «that only us command», réitérant ainsi la souveraineté canadienne à sa manière.
Par la suite, Chantal Kreviazuk a publié une photo montrant le passage en question inscrit sur sa main, ce qu’elle avait décidé de faire pour ne pas oublier le moment.
«Parce que je crois en la démocratie, et une nation souveraine ne devrait pas avoir à se défendre contre la tyrannie et le fachisme. Je suis quelqu’un qui a grandi avec de la musique qui parle directement avec le coeur et le moment présent et ça m’a définie comme auteure-compositrice et aussi comme être humain. Je ne pense pas que j’aurais été authentique si on m’avait donné cette plateforme internationale et que je ne m’étais pas exprimée ou demeurée vraie envers moi-même», a ensuite lancé l’artiste originaire de Winnipeg lors d’un entretien avec l’Associated Press.
Les Québécois lui pardonneront peut-être ainsi un peu mieux d’avoir massacré un brin le passage en français de l’Ô Canada et les Canadiens d’avoir manqué quelques notes, alors qu’on peut imaginer la nervosité de Krevaziuk dans un tel moment et avec une telle décision.
En octobre dernier, soit les 5 et 7 de ce mois, les deux vedettes des Chiefs de Kansas City, Patrick Mahomes et Travis Kelce, ont été victimes d’un cambriolage dans leur domicile respectif.
Dans les faits, une série de vols a eu lieu dans cette région du Kansas, et le duo chéri de la NFL n’a pas été épargné. D’ailleurs, pas moins de sept individus viennent d’être accusés au criminel, quant à tout ce fric-frac. On parle ici de sept Chiliens, eux qui risquent jusqu’à 10 ans de sentence dans une prison fédérale. Ils sont identifiés sous les noms de Jordan Quiroga Sanchez, Bastian Orellano Morales, Sergio Ortega Cabello, Pablo Zuniga Cartes, Ignacio Zuniga Cartes, Alexander Huiaguil Chavez et Bastian Jimenez Freraut.
Une plainte de conspiration dans le but de transporter ladite marchandise, venant du Bureau du procureur des États-Unis pour le district intermédiaire de Floride, a été déposée en date du 30 janvier 2025, mais le tout fut annoncé mardi dernier, soit le 18 février. On parlerait même ici d’un total de 2 millions de dollars (US) en biens dérobés. Il n’est pas encore clair si les accusés ont réussi à se procurer des services d’avocats, mais davantage de détails seront divulgués prochainement, c’est certain.
Notons que Cabello, Chavez, Morales et Sanchez ont tous déclarés non coupables des charges initiales qui pesaient contre eux dans l’État de l’Ohio, rapporte également NBC News.
Ce groupe est également lié à un vol d’une valeur de 1,5 million de dollars (US) effectué le 2 novembre 2024 dans le Wisconsin, impliquant un joueur des Bucks de Milwaukee, dans la NBA. Aussi, des cambriolages à Cincinnati (Joe Burrow), Memphis (joueur de la NBA) et à Tampa Bay (joueur des Buccaneers) pourraient potentiellement être collés à eux, alors que ces domiciles ont également tous été dépouillés quand les propriétaires étaient absents, subissant des milliers de dollars (US) en frais de vol.
Bradley Cooper vit sa best life.
La superstar du cinéma est un fan fini des Eagles de Philadelphie dans la NFL depuis des années et son équipe a la chance ce soir (9 février) de remporter le Super Bowl LIX.
C’est donc un Bradley Cooper en feu que l’on a pu retrouver en avant-match, alors qu’il a présenté son équipe favorite, en compagnie d’un jeune fan et de sa fille, Lea, qu’il partage avec la mannequin Irina Shayk.
Il a donné une entrevue enflammée avant le match, lui qui semblait plus confiant que jamais pour ses Eagles!
On peut dire que Bradley a de quoi être ravi, alors que son équipe dominait outrageusement contre les Chiefs de Kansas City en première demie…
Donald Trump a finalement été aperçu au Super Bowl LIX avec sa fille Ivanka… sous lourde sécurité et sans grand sourire.
Le président américain semblait en effet un brin contrarié sur les photos captées de lui jusqu’à maintenant, mais cela ne l’a pas empêché de sortir son plus beau salut lors de l’hymne national de son pays. Sur les clichés, on peut aussi apercevoir la propriétaire des Saints de La Nouvelle-Orléans, Gayle Benson, franchise hôte du Super Bowl cette année.
Au moins, Ivanka semblait s’amuser (légèrement) plus!