










Après quelques jours animés de délibérations, le jury au procès de Sean Diddy Combs en est venu à un verdict unanime concernant les chefs d’accusation auxquels faisaient face le rappeur et producteur.
Le jury a trouvé Diddy non coupable sur la charge de complot pour racket, coupable pour transport d’une personne pour prostitution et non coupable pour trafic sexuel, entre autres.
Il a ainsi été déclaré coupable de deux chefs pour prostitution, dont un impliquant Cassie Ventura.
Il y a quelques heures à peine, le jury posait des questions au juge et indiquait «faire face à des opinions contradictoires» en laissant planer plusieurs doutes sur une possibilité de résolution, comme le rapportait CNN.
Or, il semble que les jurés se soient finalement entendus.
Voilà un revirement de situation qui risque de faire jaser pendant encore longtemps.
Sam Altman, PDG d’OpenAI, a révélé que Mark Zuckerberg aurait tenté d’attirer certains de ses employés en leur proposant des primes pouvant s’élever à plusieurs millions de dollars, dans le but de les recruter pour le projet d’IA «superintelligente» que Meta a dévoilé récemment.
Lors d’une discussion sur l’avenir de l’IA dans le podcast animé par son frère Jack Altman, Sam Altman a souligné que la course au développement de l’intelligence artificielle avait pris, selon lui, une tournure complètement démesurée.
Il a notamment cité en exemple la récente tentative de Meta de débaucher certains de ses employés clés en leur offrant des primes gigantesques pouvant atteindre 100 millions de dollars.
Il en a profité pour dénoncer ouvertement cette approche, avertissant qu’un tel mode de recrutement pourrait favoriser une culture toxique dans un secteur technologique sous tension et en pleine croissance.
Dans le podcast Uncapped, Altman a exprimé ouvertement ses préoccupations quant à l’impact potentiel des initiatives de Zuckerberg sur l’écosystème de l’intelligence artificielle: «Je doute que cela installe une culture saine».
Altman se dit chanceux qu’aucun de ses employés ne semble, jusqu’à présent, avoir cédé aux offres de Meta.
Alors que Zuckerberg déploie des ressources considérables, entre investissements faramineux et recrutements offensifs, pour combler son retard dans la course à l’IA avec son projet de «superintelligence», Altman adopte une posture plus mesurée: selon lui, l’impact réel de l’IA pourrait bien ne pas justifier l’ampleur des investissements engagés.