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Si on s’aimait Célébrités: l’homme aux deux visages, larmes et malaises à profusion

C’était la grande finale de Si on s’aimait Célébrités, avant l’heure de vérité, et ça sentait, par ailleurs, la fin pour certains couples dans l’aventure.

La lourdeur et le malaise entre Sophie et Marc – bon, peut-être que juste Sophie le sentait – se faisaient de plus en plus présents. En effet, Marc et ses leçons de vie, ainsi que sa spiritualité, qui se retrouvent dans tous ses gestes et ses paroles, ont peut-être eu raison de la comédienne, qui s’éloignait de plus en plus de son prétendant.

Sophie, consciente qu’elle était dans le jugement, n’a pas manqué d’exprimer ses émotions à Louise Sigouin, abordant qu’elle trouvait que Marc était plus juvénile.

Il était clair qu’elle le voyait plus comme un ami, et c’est lorsqu’il lui a offert des roses durant le souper qu’il a compris que leur relation allait rester platonique.

C’est aussi lors de ce dernier épisode que nous avons vu une Sophie très émue, puisqu’elle avait peur de faire de la peine à Marc. Mais elle l’a clairement exprimé à Louise : le côté gratte-sous de Marc est un véritable turn off.

Capture TVA

Ce n’était pas le seul duo de l’émission à vivre des malaises, puisque, entre Joanie et Jérémie, les choses dégringolaient à la vitesse grand V.

Le prétendant de la comédienne semblait visiblement ne pas vouloir arrêter ses agissements et ses paroles de mâle alpha, qui étaient, disons-le, plutôt lourds

Joanie a d’ailleurs exprimé son inconfort et sa frustration face à la situation. Elle a expliqué à Jérémie qu’il n’avait pas besoin de toujours parler par-dessus elle, ni de la traiter comme si elle avait besoin de lui ou de son côté protecteur. Ce dernier semblait avoir compris…

Cependant, il s’est ensuite permis quelques petites piques sur la situation.

«Elle n’a pas besoin de l’aide d’un homme», lançait-il lors d’une activité.

Des commentaires peu nécessaires, qui irritaient de plus en plus la comédienne. Joanie a également discuté avec lui du fait qu’elle voyait en lui deux personnes différentes: l’homme devant les caméras, plus colleux et intéressé, versus celui hors cam, qui n’est pas vraiment présent.

Capture TVA

Jérémie est fort probablement en train de prouver aux téléspectateurs qu’il est là pour les mauvaises raisons, comme plusieurs le redoutaient… soit qu’il cherche simplement à être connu.

Au final, Joanie ne semblait pas se voir avec l’homme aux deux visages, ni amoureusement, ni amicalement, et a mis un terme à cette histoire.

Capture TVA

Maxence et Nikolas ont beaucoup évolué chacun de leur côté depuis le début de cette aventure qui vise, notamment, à trouver l’amour. Toutefois, ils sont parfois un peu difficiles à suivre…

Lors du dernier épisode, Nikolas a révélé – de ce que l’on comprend, bien que l’on s’en doutait – qu’il ne se voyait pas en couple pour le moment avec Maxence, mais qu’il ne fermait pas la porte.

Une déclaration qui laisse penser qu’il y a peut-être quelque chose de non dit derrière tout ça. Rappelons que sa fréquentation d’avant l’émission avait refait surface, ce qui avait brouillé les cartes. Nikolas avait, toutefois, affirmé vouloir se concentrer à 100 % sur sa relation avec Maxence.

Mais qu’en est-il vraiment?

Notre petit doigt nous dit qu’ils sont tout de même restés très proches… si l’on se fie à leurs réseaux sociaux! Et on le souhaite vraiment… parce qu’ils sont vraiment beaux ensemble.

🫢Parfois, tout est une question de perception. Nikolas offre une lettre à Maxence, mais celle-ci ne résonne pas comme…

Posted by Si on s'aimait on Monday, June 23, 2025

Quoi qu’il en soit, ce sont des humains et, comme tout le monde, ils font du mieux qu’ils peuvent. L’amour est souvent difficile à trouver, et nous ne sommes pas dans leurs souliers.

Malgré les failles et les agissements de chacun, cette aventure amoureuse a eu un effet très positif, car ils ont tous appris quelque chose sur eux-mêmes.

💔 Sophie prend une décision difficile. Elle choisit de ne pas aller plus loin avec Marc, sentant que plusieurs aspects…

Posted by Si on s'aimait on Monday, June 23, 2025

Il ne faut surtout pas manquer l’heure de vérité lundi prochain, si l’on veut des réponses à nos interrogations. Un moment télé qui sera fort probablement à la fois touchant et divertissant!

D’ailleurs, Anick Dumontet et Alain seront aussi de la partie!

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Fête nationale et Gémeaux: Guylaine Tremblay se réjouit, mais a «un petit pincement au cœur»

Nous l’avions écrit dans ces pages il y a moins d’un an, et vous êtes sans doute du même avis si vous avez regardé la série, sur ICI TOU.TV EXTRA ou lors de sa diffusion à Radio-Canada en janvier : Guylaine Tremblay était extraordinaire dans la série Veille sur moi, où elle incarnait une grand-maman en conflit avec sa fille au sujet de la garde de son petit-fils.

Jeudi matin étaient dévoilées les nominations du 40e Gala des prix Gémeaux, qu’animera Véronique Cloutier le 14 septembre prochain (voyez quelques réactions des nommés ici!) Veille sur moi fait belle figure au tableau des finalistes, avec des citations dans six catégories, essentiellement techniques (son, costumes, maquillages, distribution artistique). Et Pascale Renaud-Hébert, autrice et actrice principale de la série avec Guylaine Tremblay, concourt à la fois pour ses textes et pour son jeu.

Or, Veille sur moi n’a pas été retenue au chapitre de la Meilleure série dramatique, ni de la Meilleure réalisation, et Guylaine Tremblay n’est pas non plus en nomination pour sa belle prestation dans la peau de la peu instruite, mais généreuse Maggie Bougie.

Rencontrée jeudi après-midi lors des répétitions du Grand spectacle de la Fête nationale à Montréal, dont elle est l’animatrice, Guylaine Tremblay a avoué à Hollywood PQ être un peu déçue de ne pas avoir été remarquée par l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision, qui chapeaute les Gémeaux, pour Veille sur moi.

«J’ai peut-être été un peu gâtée par le passé», a reconnu celle qui a remporté 23 trophées Artis et une dizaine de Gémeaux pour ses différents projets, de La petite vie à Unité 9, en passant par Annie et ses hommes.

«Mais ça m’a fait un petit pincement au cœur de ne pas être en nomination, sincèrement. Au moins, Pascale [Renaud-Hébert] l’est… Ça m’a fait un petit pincement, parce que j’ai vraiment tout donné pour Maggie, tout donné pour cette femme-là…»

D’un souffle, en insistant sur chaque élément, Guylaine Tremblay a énuméré ses collègues «oubliés» par l’organisation des Gémeaux, visiblement étonnée par leur absence : interprètes de soutien, réalisateur…

«Pour Rafaël [Ouellet, le réalisateur, NDLR], ça me fait de la peine, vraiment! Et il n’y a pas la Meilleure série», s’est désolée la comédienne.

«Mais, qu’est-ce que tu veux… On ne peut rien y faire! Ça ne m’enlève pas le plaisir merveilleux que j’ai eu à faire Veille sur moi. Mais j’aurais aimé que la reconnaissance soit plus grande, pour l’ensemble de la série.»

Heureusement, ses nombreuses années de métier aident aujourd’hui la très occupée Guylaine Tremblay (la pièce Janette, où elle est renversante dans la peau de Janette Bertrand, sera présentée jusqu’à la fin de l’année, et elle jouera aussi pendant plusieurs mois le spectacle Fallait pas dire ça!, avec son vieux complice Denis Bouchard) à relativiser ce genre de petit revers.

Après tout, les prix Gémeaux, qui ratissent très large dans leurs nominations pour essayer de contenter tout le monde, arrivent justement rarement à faire l’unanimité. Il y a toujours des négligés et des mécontents, à un tel point que des maisons de production insatisfaites du processus, comme Aetios (Fabienne Larouche et Michel Trudeau), ALSO (Sophie Lorain et Alexis Durand-Brault) et Duo Productions (Anne Boyer et Michel D’Astous) ont décidé de ne plus y inscrire leurs émissions, comme nous vous l’expliquions l’an dernier.

«On ne peut pas plaire à tout le monde. Il y a tellement de performances extraordinaires dans une année! À un moment donné, il faut qu’ils choisissent… et c’est comme ça. Si j’étais une jeune actrice, peut-être que je serais très déprimée, en ce moment. Mais j’ai encore la chance de faire mon métier… et regarde ce que je vais faire en fin de semaine!», s’est néanmoins réjouie Guylaine, en faisant référence au spectacle de la Fête nationale, mardi prochain, le 24 juin, au parc Maisonneuve, où elle sera entourée de Robert Charlebois, Sara Dufour, Loud, Elisabeth St-Gelais, Matt Lang, Yama Laurent, Yann Perreau, Bon Enfant et Antoine Bertrand.

Au moment de notre entretien avec Guylaine Tremblay, la fillette de LaSalle disparue, dont l’histoire a ému toute la province dans les derniers jours, avait été retrouvée depuis 24 heures (il est désormais interdit de partager le nom et la photo de la fillette en question, sur ordre de la Sûreté du Québec, NDLR). Un épisode sombre qui ne fut pas sans rappeler l’intrigue de Veille sur moi, dans laquelle Maggie (Guylaine Tremblay) se battait jusqu’en justice pour avoir la garde de son petit-fils, sachant que l’enfant n’était pas en sécurité avec sa mère toxicomane.

«Heureusement, ça se termine bien», a souligné Guylaine Tremblay au sujet du fait divers qui a bouleversé la population. «La petite est en vie. Je pense que tout le Québec a eu un soulagement en même temps. On lui souhaite des jours meilleurs!»

«Mais je pense aussi à sa mère. Sa mère ne va pas bien. Il y a énormément de souffrance dans cette femme-là. On ne le dit pas assez, mais c’est un désespoir. C’est une femme désespérée!»

En ce sens, Veille sur moi tombait à point, en cette époque un peu triste où ce type de cas défraie trop souvent les manchettes, qu’il s’agisse de violence conjugale ou de tout-petits maltraités.

«C’est pour ça que j’aurais aimé que la série soit nommée aux Gémeaux! Juste pour ça. Parce que gagner ou pas, ça n’a pas d’importance…»

Le Grand spectacle de la Fête nationale du Québec à Montréal, sous le thème Et si on se parlait d’amour…, commencera à 20 h, au parc Maisonneuve, le 24 juin, et sera retransmis à  ICI TÉLÉ et TVA dès 20 h 30, et en simultané au 96, 9 CKOI, et sur les stations Rythme et CIME.

L’an dernier, un film dans lequel paraissait aussi Guylaine Tremblay n’avait pas été salué comme il aurait pu l’être dans un autre gala… Nous vous en parlions ici!

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Fête nationale avec Robert Charlebois à MTL: «Un florilège pour les grands-parents, les punks et les petits baveux…»

Le Grand spectacle de la fête nationale à Montréal, qui embrasera le parc Maisonneuve le soir du 24 juin, se construit autour d’un monstre sacré nommé Robert Charlebois.

Sous l’animation de Guylaine Tremblay, Sara Dufour, Loud, la chanteuse d’opéra autochtone Elisabeth St-Gelais, Matt Lang, Yama Laurent, Yann Perreau, le groupe Bon Enfant et Antoine Bertrand entoureront le légendaire artiste, qui utilise une formule bien de son cru pour expliquer son rôle dans cette pétarade de festivités soulignant l’anniversaire collectif des Québécois, qui en est à sa 191e édition dans la métropole.

«Pour le show, je vais faire un florilège de variétés, pour les grands-parents, les punks, les petits baveux, les rockeurs, les petits enfants… Il y aura tout!», a badiné Robert Charlebois en entrevue avec nous, avant de s’empresser de préciser qu’il interprétera très exactement cinq chansons pendant la soirée.

Un message particulier à passer, en ces temps troubles où l’humanité semble se chercher comme jamais? Pas question, tranche Robert Charlebois. Bien qu’il crâne que «l’homme le plus puissant du monde, c’est un gorille!» et que «c’est dur, de négocier avec un gorille», le premier créateur qu’on a surnommé Garou ne compte pas s’emparer de la tribune pour lancer quelque appel que ce soit.

«Moi, je ne suis pas là pour diriger. J’ai horreur des gens qui me disent quoi faire! On est là pour émouvoir les gens, évoquer des choses à travers notre musique et notre plaisir. À la limite, un artiste qui me dit pour qui voter, ça me fait ch*er! Je n’ai pas de message…»

«Moi, c’est l’amour de mon peuple, de ma langue. Célébrons ce terrain de jeu qui s’appelle le Québec, qui est au nord de l’Amérique. Je persiste et signe : nous sommes des Latins, alors, continuons de célébrer comme des Latins! Depuis longtemps que ça dure…»

Charlebois insiste : profitons de cette chance que nous avons, peuple québécois, de pouvoir nous réunir pour honorer une fête nationale, un privilège que n’ont pas toutes les provinces.

Même si l’homme, qui faisait partie de la bande de jeunots devenus monuments à la Saint-Jean sur le mont Royal en 1976 (avec Ferland, Deschamps, Léveillée, Vigneault), reconnaît que l’esprit de communion d’alors n’est plus du tout le même qu’à l’époque.

«Non, parce qu’on a vieilli! Même Yvon (Deschamps) est plus vieux que moi de 10 ans… et ça parait! (rires)»

«On dirait que les moins de 20 ans, si on était demain le 51e état américain, ils seraient contents», a poursuivi le jeune octogénaire (il aura 81 ans le 25 juin), sur une note plus sérieuse. «Comme j’étais content, moi, à 12 ans, de parler en anglais et de n’écouter que de la musique en anglais. C’est à 16 ans que j’ai changé d’idée. Mais je les comprends, les jeunes, de délaisser la langue. Parce qu’ils n’ont pas d’application. Il faut être branché sur la source…»

N’empêche : il éclate de rire quand on lui signale que ses pièces Frog Song et Cauchemar ont bien vieilli…

Côté projets, Robert Charlebois annonce mettre en pause ses spectacles, pour l’instant. «Je vais faire un album, deux ou trois livres, un documentaire et quelques longs métrages, et surtout voir des amis», a-t-il débité d’un trait.

Mais encore? Le documentaire sur lui et son parcours sera réalisé par Louis-Philippe Héneault (réalisateur de clips des Cowboys Fringants et de Marie-Annick Lépine, qui a aussi été derrière la caméra d’Au secours de Béatrice), et produit par Claude Larrivée, de La Tribu, maison de disque de Robert Charlebois. «Il faut bien que quelqu’un le fasse!», a statué ce dernier.

Le disque? Ça sera son dernier, décrète Charlebois. On parle de chansons originales. Sortie planifiée quand? «Quand ça sera prêt! Cette année, c’est certain…»

Et le livre? Une biographie? «J’espère que ça ne sera pas une biographie pour faire ch*er le monde… Il y en a trop! Je vais essayer de faire mieux!», a promis Robert Charlebois de son décapant franc-parler.

Le Grand spectacle de la fête nationale à Montréal, sous le thème Et si on se parlait d’amour… sera présenté au parc Maisonneuve, ce mardi 24 juin, à compter de 20 h. Il sera diffusé à ICI TÉLÉ et TVA dès 20 h 30.

Un hommage y sera rendu à la chanson Gens du pays, de Gilles Vigneault.

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Elisabeth Rioux s’ouvre sur sa vie amoureuse: «Il est tellement nice»

Elisabeth Rioux a récemment partagé une vidéo sur TikTok où elle se confie sur sa vie amoureuse et sur le garçon qu’elle fréquente actuellement.

La relation ne semble pas encore avoir pris une tournure amoureuse, mais la jeune femme laisse entendre que cela pourrait évoluer dans ce sens.

«(…) Tout va full bien, genre vraiment full bien. Je ne voulais pas de chum et tout. Ce n’est pas mon chum, by the way (…) Pis là, ce n’est pas que live je veux un chum, c’est juste qu’il est tellement nice que je commence à peut-être considérer que peut-être, à un moment donné dans le futur (…) Au début, c’était genre: Ah, on a du fun et on le sait qu’il n’y aura rien (…) Et live, on est comme: Ah, peut-être qu’on pourrait regarder si peut-être ça serait possible de peut-être avoir de quoi dans le futur. Ce n’est pas: On va être en couple, mais c’est comme on regarde si est-ce que ça pourrait peut-être marcher (…)», explique-t-elle.

@elisabeth.rioux

Les positifs et negatif I guess haha

♬ original sound – Elisabethrioux

Pour l’instant, la femme d’affaires et créatrice de contenu n’a pas dévoilé l’identité du garçon en question, mais un certain Mason Sarkissian revient fréquemment dans ses commentaires Instagram.

La suite reste à voir, mais on espère qu’Elisabeth trouvera tout ce qu’elle cherche!

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Bianca Gervais relève un défi important à la Fête nationale pour ses 40 ans

Pour la première fois, un couple, en l’occurrence Bianca Gervais et Sébastien Diaz, assume le rôle de porte-parole de la fête nationale. Les deux artistes ont donc l’immense honneur, arrimé avec une tout aussi grande responsabilité, de rédiger le discours patriotique qu’ils liront le soir du 23 juin lors du Grand spectacle sur les plaines d’Abraham, à Québec.

Une marque de confiance qui tombe à point dans la carrière de Bianca, qui célébrait ses 40 ans samedi, le 21 juin.

«Ce sera mon premier engagement en tant que femme de 40 ans», a joyeusement lancé en entrevue la maman de deux filles, Liv, 11 ans, et Bowie, 7 ans, en laissant planer que l’allocution livrée par son conjoint et elle à la fête nationale – écrite à quatre mains, mais essentiellement structurée par Sébastien – reflétera justement les valeurs familiales des Gervais-Diaz.

«On est vraiment fiers», a soutenu Sébastien Diaz, interviewé en duo avec sa douce. «On veut en profiter pour parler d’où on vient, de qui on est. Pour moi, qui suis fils d’immigrant, étant moi-même immigrant de deuxième génération [son père est Mexicain et sa mère est Québécoise, NDLR], ça veut vraiment dire quelque chose. Je suis fier pour mon père!»

Sans bien sûr trop en dévoiler, les deux complices indiquent que les noms de leurs parents seront justement prononcés dans leur exposé. Bianca et Sébastien enverront aussi des fleurs à ceux et celles qu’ils considèrent comme des figures de proue québécoises, ces hommes et ces femmes qui sont, à leur avis, les «grands» d’aujourd’hui et de demain.

«On dresse une liste, si tu veux, et il y a beaucoup de nouveaux, là-dedans. On voulait nommer qui, dans la nouvelle génération, nous rend fiers. C’est normal qu’on nomme souvent les mêmes personnes, car c’est le temps qui fait que les gens deviennent des icônes. On identifie qui sont les nouveaux futurs « grands » du Québec. C’est comme un pont entre le passé et le présent. C’est un discours qui nous ressemble beaucoup; tous ceux qui nous connaissent, qui l’ont lu, nous ont dit que c’est tout à fait nous. Il y a beaucoup d’amour dans notre discours!», a dépeint Sébastien, qui, rappelons-le, décriait publiquement en mars dernier les choix musicaux de La Maison Simons, qui ne comptait aucun morceau québécois dans sa liste de lecture qui jouait en magasin. Une prise de position, spécifie-t-il, adoptée avant que Bianca et lui ne reçoivent la proposition d’être ambassadeurs de la fête nationale 2025.

Le mot du tandem porte-parole, le 23 juin, sera également empreint d’espoir, dans un contexte où les tensions mondiales et sociales ont rarement été aussi anxiogènes.

«L’autre jour, j’étais en voiture avec les enfants», a raconté Bianca. «On écoutait les nouvelles, et… c’était vraiment de la « bouette »! Il y avait des mots compliqués. Des mots moins jolis, moins inspirants. Et ma grande de 11 ans, Liv, m’a posé une question troublante. Je me suis alors demandé quelle était ma responsabilité. Ma responsabilité, c’est de nommer ce qui se passe, de ne pas faire semblant que tout est beau, de ne pas porter de lunettes roses, tout en lui donnant quand même espoir. C’est une jeune citoyenne qui peut rêver et s’accomplir.»

«L’être humain se relève de tout! Je pense que c’est ce qu’on essaie de faire : nommer, mais donner de l’espoir», a complété la comédienne. «On n’est pas dans le sarcasme ou la médisance. Je pense qu’ils nous ont choisi parce qu’on représente la famille; de parler du legs, c’est important!»

Une fois ce défi relevé, les Gervais-Diaz mettront le cap sur les Îles de la Madeleine pour des vacances bien méritées.

«C’est le cadeau que je voulais pour mes 40 ans. Je n’y suis jamais allée. À ce qu’il paraît, le temps arrête, aux Îles de la Madeleine. Notre vie va vite, et j’avais envie de quelque chose de lent, de doux, de jouer aux cartes, de faire des châteaux de sable et de lire des livres avec mes bébés… qui ne sont plus des bébés!», a expliqué Bianca.

Cette période de recharge de batteries sera nécessaire pour Bianca Gervais et Sébastien Diaz, qui ont encore une année foisonnante devant eux. Alors que Sébastien écrit son deuxième roman (après Ils finiront bien par t’avoir, paru en 2023), devant sortir dans un an, et travaille sur un film, Bianca vient de décrocher un «gros rôle» dans une série qui sera bientôt annoncée. On savait déjà que Les perles, où l’actrice interprétait le personnage principal, ne connaîtra pas de deuxième saison à TVA.

Aussi, après Format familial (2014-2021), Crevée! (2023) et En crisse! (2024), les amoureux planchent sur une nouvelle série d’entrevues produite par KOTV, «juste nous deux», soulignent-ils. Puis, Bianca a réalisé la série documentaire Créateurs d’influence, qui porte sur le marketing d’influence (les fameux créateurs de contenu, les influenceurs!) et qui arrivera sur ICI TOU.TV EXTRA (section VÉRO.TV) le 8 juillet.

Et quoi encore? Autant elle que lui font partie du bassin de «Fantastiques» de Véronique et les Fantastiques, à Rouge FM. Oh, et Sébastien Diaz reprendra la barre, à l’automne, pour une septième année, de l’excellent talk-show On va se le dire, à ICI TÉLÉ, sorte de Tout le monde en parle quotidien décontracté, où tous les sujets sont abordés, présenté en fin d’après-midi.

Le Grand spectacle de la fête nationale à Québec (avec Claude Dubois, Ariane Moffatt, Bleu Jeans Bleu, Alaclair Ensemble, Garou, Sarahmée, Mélissa Bédard, Marie-Denise Pelletier et Marie-Pierre Arthur, entre autres) sera présenté sur les plaines d’Abraham le 23 juin, dès 21 h, et à Télé-Québec dès 21 h 30. On y rendra notamment hommage à l’hymne Gens du pays, du grand Gilles Vigneault, dont on salue cette année le 50e anniversaire de la toute première interprétation, en juin 1975 sur le mont Royal.

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Fête nationale, oui, mais Ariane Moffatt joue la DJ pour un événement encore plus important!

Entre deux dates de sa tournée Airs de jeux qui s’amorce doucement, Ariane Moffatt jongle ces jours-ci avec deux mandats supplémentaires, de grande importance et très différents : sa participation au Grand spectacle de la fête nationale à Québec, ce lundi 23 juin… et son rôle de DJ au bal de finissants du primaire de ses deux fils aînés, Paul et Henri, qui ont 12 ans!

La maman chanteuse s’est d’ailleurs bien amusée à fouiner dans les goûts musicaux de sa progéniture pour injecter au mieux une ambiance de feu au party de fin d’année scolaire de ses jumeaux, nous a-t-elle raconté avec le sourire en entrevue.

«Je regarde ce qu’ils écoutent. On a fait un sondage!», a rigolé Ariane. «Je suis comme : Oh My God, ils écoutent de la bonne musique! Il y a plein d’affaires que je ne connais pas! Il y a, par exemple, des versions clean de chansons hip-hop, disons, plus vulgaires. Je ne connaissais même pas cette expression, clean, pour les versions censurées pour les jeunes! C’est le fun de voir ce que les jeunes écoutent…»

Ariane Moffatt soutient d’ailleurs qu’elle adore impliquer ses enfants dans les processus de création de ses projets lorsque ceux-ci en manifestent le désir. Son plus jeune garçon, Georges, 8 ans, s’est d’ailleurs intéressé de près au bricolage de l’album Airs de jeux (sorti le 23 mars dernier) lorsqu’Ariane le concevait.

«Quand j’ai fait mon album, le plus petit suivait toutes les maquettes et toute l’évolution des chansons. C’est trippant de faire ça avec ses enfants. Je trouve ça le fun d’entendre ce qu’ils ont à dire de ce que je fais, de les intégrer», a expliqué l’autrice-compositrice-interprète, en indiquant que son «petit dernier», en particulier, possède une fibre artistique très développée.

Il n’y a pas qu’à la maison qu’Ariane Moffatt, 46 ans, suscite la curiosité de la plus jeune génération : auprès du public aussi, l’interprète de Jouer, sans conteste l’un des tubes radio de l’été, ratisse large. Et elle en est aussi fière qu’heureuse.

«C’est drôle ce que je vis, en ce moment : je vois des TikTok sur Miami par des 15 et 16 ans! Il y a beaucoup de jeunes qui reviennent dans mes shows, après m’avoir découverte avec leurs parents. C’est ce que je préfère avec mon parcours, la longévité, et le fait de pouvoir continuer à rider une certaine vague avec les générations qui changent!»

L’artiste invite d’ailleurs les petits comme les grands à aller s’éclater avec elle en spectacle dans la prochaine année. Après une série de passages dans les festivals cet été, Ariane s’attaquera au circuit des salles de la province cet automne, avec un arrêt au MTELUS de Montréal le 23 octobre, puis devrait aller faire vibrer les Francos à l’été 2026. Elle le répète en entrevue : en renouant, sur Airs de jeux, avec l’atmosphère pop-électro de certains de ses précédents albums, «avec mon essence fédératrice en show, qui jamme, qui lève, qui invite le monde à danser», Ariane souhaitait faire monter la température chez ses fans.

«On est dans le jeu, les petites joies… J’avais envie d’un petit grain de légèreté pour contrebalancer la morosité ambiante. Ce n’est pas juste un album léger, mais il a été beaucoup pensé pour la scène…»

Entre-temps, au spectacle de la fête nationale à Québec, sur les plaines d’Abraham, ce lundi 23 juin, Ariane Moffatt offrira quelques beaux cadeaux aux spectateurs sur place et aux téléspectateurs dans leur salon, comme une revisite à sa sauce de Souvenirs retrouvés, de Francine Raymond, à la guitare, et une relecture piano-voix (dans l’immensité des plaines!) d’Imparfaite.

Pour elle qui avait coanimé avec Pierre Lapointe le rassemblement de la fête nationale (dans la Capitale-Nationale et à Trois-Rivières) en 2019 et 2020, cette année, le gâteau d’anniversaire collectif des Québécois doit plus que jamais goûter l’union qui fait la force et les coudes qui se serrent devant l’adversité mondiale qui ne cesse de se complexifier.

«On a besoin de fédérer, de se faire du bien. D’arrêter le hamster dans nos têtes, qui est préoccupé par tout ce qui se passe dans le monde. On a besoin de se rappeler qu’on est un territoire pacifiste, qu’on est privilégiés d’être dans un climat politique démocratique, où on est libres d’être qui on est. Ce n’est pas toujours gagné, et c’est ce dont il faut se rappeler : cette diversité québécoise, ses visages multiples, cette société. C’est ce qu’il faut continuer à refléter dans des événements comme ça», a souligné Ariane.

Le Grand spectacle de la fête nationale à Québec sera présenté ce lundi, 23 juin, dès 21 h, sur les plaines d’Abraham, ainsi qu’à Télé-Québec, à compter de 21 h 30.

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Jean-Michel Anctil se confie sur une période sombre: «C’est la première fois que j’en parle»

Jean-Michel Anctil était récemment de passage au podcast Prends un break, où il a abordé de nombreux sujets captivants liés à sa vie professionnelle et personnelle. Il est notamment revenu sur une période plus sombre de son parcours.

L’humoriste se confie avec sincérité sur les idées noires qui l’ont traversé durant une période de burn-out.

«(…) Ça ressemble à des idées noires (…) pas jusqu’à passer à l’acte de… de suicide, mais à un moment donné, là, tu ne vois que du noir, tu n’es pas heureux, tu es triste (…) tu t’isoles (…) c’est la première fois que j’en parle (…)», avoue-t-il.

Il affirme comprendre qu’au cœur de ces moments sombres, même si ton entourage t’encourage à chercher de l’aide, il se peut que tu ne sois pas en mesure de l’entendre.

«(…) Souvent, c’est que les gens vont s’isoler et ils vont penser, justement, qu’il n’y a pas d’aide, qu’il n’y a pas de recours. Et il y en a, de l’aide, il y a eu du recours. Moi, je suis allé consulter après, justement pour voir qu’est-ce qui me créait cette peine-là… ce mal à l’âme-là (…)», témoigne-t-il.

YouTube @Prends Un Break

Jean-Michel ajoute qu’il s’agit d’un sujet de moins en moins tabou, alors qu’il l’était encore très fortement autrefois.

«Quand tu as mal aux dents, tu vas chez le dentiste. Bien, quand tu as mal en dedans (…) tu ne comprends pas ce qui se passe dans ta tête, bien tu vas consulter, tu vas en parler avec quelqu’un qui va t’aider», lance-t-il.

Il soutient qu’il s’agit d’un beau geste qu’il a fait pour lui-même, et il révèle d’ailleurs qu’une certaine personnalité publique l’a grandement aidé lors d’une autre période difficile.

«(…) Gino, pour ne pas le nommer… Gino Chouinard, qui a été présent pour moi, et il ne sait pas à quel point ça m’a aidé (…)», raconte-t-il, en expliquant que Gino l’avait invité à souper, peut-être sans même savoir que ça n’allait pas, un petit geste qui, pourtant, lui a permis de garder la tête hors de l’eau.

Un doux témoignage de la part de Jean-Michel, qui s’ouvre avec vulnérabilité sur une période plus difficile de sa vie.

YouTube @Prends Un Break

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Voici ce que vous entendrez (et verrez) à la Fête nationale

Avouons-le: autant ils sont rassembleurs et festifs, les spectacles de la fête nationale, autant il est souvent facile de prédire quels succès intemporels de la chanson québécoise y seront interprétés, année après année.

Combien de fois, dans votre vie, avez-vous fredonné Le blues d’la métropole (Beau Dommage), Un musicien parmi tant d’autres (Harmonium), Entr’ deux joints (Robert Charlebois), Jonquière (Plume Latraverse) ou Provocante (Marjo) un soir de 23 ou 24 juin, entre deux fleurdelisés ballant au vent, une bière (si ce n’est autre chose qui fait de la fumée) à la main?! La fête nationale à Montréal en étant en 2025 à sa 191e édition, force est d’admettre que les plus âgés d’entre nous doivent commencer à bien connaître quelques-uns de leurs classiques.

Or, bien sûr, tant au rendez-vous des plaines d’Abraham (Québec, 23 juin), qu’à celui du parc Maisonneuve (Montréal, 24 juin), les artistes varient d’une édition à l’autre. On rebrasse les pots-pourris, on réarrange les valeurs sûres, on crée des moments qu’on espère inédits…

À Québec, ce lundi, par exemple, on aura droit à un medley ayant pour thème «le tour du Québec». Le road trip musical d’Ariane Moffatt, Garou, Bleu Jeans Bleu, Gab Bouchard, Marie-Denise Pelletier et leurs comparses nous fera passer, entre autres, de Les ailes d’un ange (Charlebois) à Montréal (Moffatt), Repentigny-by-the-sea (Cowboys Fringants), La rue principale (Les Colocs) et Harmonie du soir à Châteauguay (Beau Dommage). Un sympathique voyage dans notre Belle Province, au pied de la scène ou devant nos téléviseurs!

Les membres du projet Kwe! On a quelque chose à raconter, reprendront également Un musicien parmi tant d’autres en jumelant les voix de représentants des 11 nations autochtones du Québec. Et Mélissa Bédard revisitera S’il suffisait d’aimer… Et Marie-Denise Pelletier sera portée par une chorale d’enfants sur Inventer la terre

Mais, au-delà de l’évidence, comment fait-on, pour réinventer le party de la fête nationale, année après année? Comment jongle-t-on entre immortelles et nouveautés? Et si jamais on se lassait, un jour, de l’Harmonie du soir à Châteauguay?

«Déjà, à la fête nationale, il faut un équilibre entre voir ce qu’on peut amener de nouveau, et… Il y a un côté Casse-Noisette, à la Saint-Jean! Si on ne chante pas 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, Québec! [Les ailes d’un ange, NDLR], à la Saint-Jean, on ne chantera pas du tout!», fait valoir Benoit Landry, metteur en scène et codirecteur artistique du spectacle de Québec, qui avait orchestré l’événement Plaines de chansons, dans la même ville, l’an dernier.

«Nous, on a un concept sans animateur. On a des porte-parole [le couple Sébastien Diaz – Bianca Gervais cette année, NDLR], les artistes prennent la parole à tour de rôle. Mais c’est de se faire un gros party où les chanteurs se reçoivent, les uns, les autres, participent aux chansons des uns et des autres. On a un sentiment de gros jam, qui va teinter fortement l’ambiance, sans prétendre réinventer quoi que ce soit. Ça ne sera pas une suite d’artistes invités qui vont défiler; ce sont eux qui reçoivent!»

Marie-Denise Pelletier et Garou en répétitions pour le Grand Spectacle de la fête nationale à Québec / Crédit : Mario Beauregard

«On a aussi des numéros vraiment axés sur la musique, et d’autres qu’on perçoit comme des numéros de production, avec des tableaux très visuels, où il y a des danseurs, des acrobates, de la vidéo. Tous les langages ont la même place», complète Benoit Landry.

Pour Pierre Séguin, metteur en scène et réalisateur du spectacle de Montréal, il importe de tracer la distinction entre une prestation collective de la fête nationale et un spectacle de variétés habituel.

«Ce n’est pas un spectacle où on fait des découvertes et où on lance un album», observe celui qui a piloté des dizaines de rassemblements du genre par le passé. «Ce sont des classiques. Dans un show de la fête nationale, on se raconte notre histoire. On fait des liens entre les générations, et on découvre de nouveaux artistes à travers les chansons qui ont joué beaucoup à la radio cette année, et qu’on relie peut-être à des visages pour la première fois.»

«Par exemple, cette année, c’est sûr que Robert Charlebois va faire ses grands classiques. Mais il est aussi très généreux et il partage la scène avec des plus jeunes, et ils font des affaires incongrues, qui n’ont été faites nulle part ailleurs. On a aussi une chorale de 150 personnes, de l’Alliance chorale du Québec, qui fête son 50e anniversaire – comme la chanson Gens du pays -, et on raconte une histoire. Notre devise, au Québec, c’est Je me souviens : c’est pour ça qu’on revient avec certains classiques, et on les réinvente à la couleur des nouveaux chanteurs qui sont là.»

Une partie des artistes du Grand Spectacle de la fête nationale à Montréal en répétitions, dont Sara Dufour, Guylaine Tremblay, Elisabeth St-Gelais et Matt Lang / Crédit : Mario Beauregard

Autant que possible, à travers quelques pots-pourris ici et là, «la majorité des chansons» du spectacle de Montréal seront livrées dans leur entièreté, cette année, précise Pierre Séguin. «Pour donner la parole aux auteurs et aux autrices, pour qu’ils et elles expriment leur idée complète.»

Gens du pays…

Par ailleurs, juin 2025 marquant le 50e anniversaire de la toute première interprétation de l’hymne Gens du pays, de Gilles Vigneault, qui inaugurait son magnifique texte en 1975 sur le mont Royal, à Montréal, on saluera ce cap important en grand, dans la Vieille Capitale le 23 juin comme dans la métropole le 24 juin.

À Québec, Benoit Landry explique que toutes les personnalités du spectacle, y compris les personnes autochtones, entonneront les célèbres vers Gens du pays, c’est votre tour…. et convieront bien sûr la foule à chanter en chœur elle aussi.

Et à Montréal? Mystère, mais parions que l’instant sera rempli d’émotion.

Garou et Gab Bouchard en répétitions pour le Grand Spectacle de la fête nationale à Québec / Crédit : Mario Beauregard

L’animatrice Guylaine Tremblay compte d’ailleurs viser davantage le cœur des Québécois que de titiller leur fibre politique le 24 juin, elle qui croit d’abord et surtout en l’appartenance à un territoire.

«D’où tu viens? Qui tu es? À quoi et en qui tu crois? Pour qui tu votes, je m’en fous. Tu es ici, au Québec, alors on participe à cette société, pour que cette terre-là, où on vit, soit la plus égalitaire et la plus en paix possible. Évidemment, oui, mettons la langue française de l’avant; mais tu peux être extrêmement fédéraliste et trouver que la langue française, c’est important», plaide la comédienne, qui est la toute première femme (!) à animer le spectacle de la fête nationale à Montréal, et qui succède à Pierre-Yves Lord, qui avait endossé cette fonction pendant trois ans avant elle.

Laissons enfin le dernier mot à Marie-Anne Alepin, présidente du Comité de la Fête nationale du Québec à Montréal (et présidente de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal), qui chapeaute toutes les attractions montréalaises de la Fête nationale… et qui croit fermement au pouvoir salvateur de la fête!

«Tout le monde attend ça tout au long de l’année! Participer aux activités de la fête nationale, ça donne de l’énergie pour le restant de l’année!», estime Madame Alepin.

Maintenant… Dame Nature offrira-t-elle sa collaboration en nous envoyant du temps clément lundi et mardi soir? On croise les doigts!

Le Grand spectacle de la fête nationale dans la capitale, sur les plaines d’Abraham, le 23 juin à 21 h (et en diffusion à Télé-Québec à 21 h 30). Le Grand spectacle de la fête nationale du Québec à Montréal, au parc Maisonneuve, le 24 juin à 20 h (et en diffusion à ICI TÉLÉ et TVA à 20 h 30).

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Sarahmée: Un clin d’œil à Karim Ouellet à la Fête nationale

La fête nationale constitue bien sûr l’occasion annuelle par excellence de nous remémorer nos bons vieux classiques de la chanson d’ici.

Participant au Grand spectacle de Québec, qui aura bien sûr lieu sur les plaines d’Abraham le soir du 23 juin, la rappeuse Sarahmée s’émeut de constater que son frère Karim Ouellet, trois ans après son décès, figure désormais parmi les immortels de la musique québécoise, ceux dont il devient incontournable de raviver le souvenir dans des événements d’envergure comme la fête nationale.

Car on entonnera du Karim Ouellet sur les plaines le 23 juin, s’est réjouie de nous informer Sarahmée en entrevue.

«Il va être là!», a fièrement lancé la chanteuse, qui prend part au rassemblement de la Vieille Capitale pour la deuxième fois, son baptême ayant eu lieu en 2019. «Je suis très contente qu’il ait été inclus au moment où je suis invitée. Ça va être un beau clin d’œil pour lui le jour de la Saint-Jean!»

Pas question, toutefois, de révéler quel titre du répertoire de Karim Ouellet sera à l’honneur lors de ce moment important! Sarahmée, elle, revisitera deux de ses propres pièces, Le cœur a ses raisons et Elle est partie, dans une version, dit-elle, «revampée».

«Il y aura des danseurs dans mes numéros. J’ai très hâte!», a précisé l’artiste, qui se promènera dans les festivals tout l’été pour offrir des prestations, elle qui a lancé son quatrième album, Pleure pas ma fille, sinon maman va pleurer, en octobre 2024.

Sarahmée sera également l’animatrice, pour une deuxième année consécutive, du Premier Gala de l’ADISQ, au début novembre prochain. Il avait déjà été annoncé que Pierre-Yves Roy-Desmarais sera à nouveau l’hôte du Gala de l’ADISQ du 9 novembre.

Le Grand spectacle de la fête nationale dans la capitale s’amorcera le 23 juin, à 19 h 30, sur les plaines d’Abraham, d’abord avec une première partie assurée par Alaclair Ensemble, puis avec le party principal, à 21 h, auquel prendront part, en plus de Sarahmée, Ariane Moffatt, Claude Dubois, Bleu Jeans Bleu, Gab Bouchard, Garou, Kwe! On a quelque chose à raconter, Mélissa Bédard, Marie-Denise Pelletier et Marie-Pierre Arthur. Télé-Québec retransmettra la fête le soir même à compter de 21 h 30 (rediffusion le 24 juin à 18 h et le 27 juin à 22 h 30).

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Guy Jodoin: «J’étais triste, j’étais déchiré»

Guy Jodoin était récemment de passage au micro de Marie-Ève Tremblay sur les ondes du 98.5 FM, où il a accordé une longue entrevue. Il s’est confié avec franchise sur sa carrière devant les caméras, n’hésitant pas à lever le voile sur le côté plus artificiel du milieu.

L’animateur et comédien a notamment abordé un aspect plus délicat du métier: celui de devoir constamment faire semblant que tout va bien, que tout est beau et parfait, même lorsque ce n’est pas le cas.

«(…) On est dans un monde qui est… pas vrai, qui est très, très superficiel. C’est de la poudre aux yeux. Tu sais, ça fait 36 ans que je fais ce métier-là, je le sais (…)», lance-t-il, ajoutant que ce sont souvent les échanges hors caméra, à micro fermé, qui révèlent le plus de vérités.

«(…) On est toujours en train de montrer que tout va bien, qu’on est dont bons (…)», continue-t-il, en soulignant l’importance des téléréalités, qui apportent un vent de fraîcheur grâce à des participants souvent très authentiques.

Capture YouTube @Cogeco Média

L’animatrice lui a alors demandé s’il se souvenait d’un moment dans sa carrière où il avait dû dissimuler ce qu’il vivait réellement.

«(…) Souvent, bien oui, lorsque je me suis divorcé et que je faisais Le Tricheur et que je disais: Bonsoir et bienvenue au Tricheur, mais je… ça ne fonctionnait pas avec ce que je vivais intérieurement. J’étais triste, j’étais déchiré. Et encore là, tu sais, un divorce, ça se fait à deux. Je ne mets pas la faute sur l’autre, c’est vraiment… c’était dur, c’était difficile, pour les deux. Mais moi, il fallait que je continue à travailler devant une caméra. Mais les gens n’ont pas à savoir ça, tu sais (…)», témoigne-t-il.

«(…) On est en divertissement, mais en même temps, on est des humains et on vit des choses nous aussi. On a un divorce, on a un deuil (…) On continue, mais on n’a comme pas trop le droit (…)», soutient Guy.

À travers ses confidences, Guy Jodoin nous rappelle qu’au-delà des projecteurs, les artistes sont des êtres humains, confrontés eux aussi aux épreuves de la vie.

Capture YouTube @Cogeco Média