Les Boys le spectacle: À la rencontre de la distribution

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Garou: «Un des plus gros contrats de ma vie»

Garou a pris part à plusieurs spectacles de la fête nationale au fil des ans, mais celui de 2025 constitue «l’un des plus gros contrats de [sa] vie», affirme-t-il le plus sérieusement du monde.

Car, sur les plaines d’Abraham, le 23 juin, le chanteur devra interpréter des morceaux parmi les plus costauds du répertoire québécois, certains des plus exigeants en termes de texte, de diction et de débit, entre autres.

«Je fais un paquet d’affaires, et ce ne sont pas les plus simples!», a prévenu Garou en entrevue. «Je fais Rideau, de Plume Latraverse. Je fais Fu Man Chu, de Robert Charlebois. Je vais faire du Jean Leloup, que j’adore! De me souvenir de ça, d’être dans cet état d’esprit, c’est vraiment un grand défi, et j’adore ça. Il y a bien des affaires trippantes

Seule déception pour Garou: au moment d’écrire ces lignes – car ça pourrait encore changer, qui sait! – il n’était pas prévu qu’il chante en duo avec Claude Dubois lors de ce rassemblement de la Capitale-Nationale. À son grand désarroi!

L’artiste profite quand même de toutes les belles collaborations que lui permet le contexte festif des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste.

«J’aime ce partage qu’on a. Marie-Denise (Pelletier), c’est la première fois qu’on va chanter ensemble. Alaclair Ensemble aussi. À chaque fois, il y a de nouveaux partages qui se créent… nonobstant ma petite frustration de ne pas chanter avec Claude!», a enchaîné en riant celui qui avait déjà animé le happening de la fête nationale sur les plaines, notamment en 2018, en équipe avec Gregory Charles et Isabelle Boulay.

Garou se remémore d’ailleurs avec amusement et tendresse la fois où il avait tenté d’allumer un feu de camp après le spectacle de la fête nationale à Québec, entre autres avec son ami, le regretté Jean-Pierre Ferland… Une tentative que n’avait pas beaucoup appréciée l’organisation, semble-t-il!

«Québec, c’est là où l’Amérique aurait pu devenir francophone», a remarqué Garou. «Il reste une grosse fierté. Il y a quelque chose de magique, là-bas. À Montréal, le show de la Fête nationale est un peu plus typique.» 

Particulièrement cette année, l’événement apposera-t-il un baume sur les tensions qui secouent à peu près toute la planète? S’il reconnaît qu’il fera bon lever nos verres tous ensemble, Garou choisit de se ranger dans le camp des optimistes.

«Ça ne va pas si mal! Moi, je suis un optimiste et je suis positif, en me disant que, pendant des années, on dormait avec une hache ou une épée à côté de notre lit. On est quand même choyés, même s’il y a des choses plus difficiles! On focalise trop, aux nouvelles, dans les réseaux, sur ce qui va mal. La nouvelle génération se pose trop de questions et a peur de tout!»

«Profitons de ces moments où on peut sortir en famille, entre amis, tripper ensemble, être vraiment en symbiose et ne pas être en polarité. Soyons fiers d’être différents des autres, différents les uns des autres, mais pareils dans notre fierté! Le peuple québécois est loin d’être le plus con des peuples terriens!», s’est enflammé le directeur d’école de la plus récente édition de Star Académie, qui lançait en avril son album Un meilleur lendemain, qui démarrera en cours d’année sa tournée Garou solo, et qui sera de la SuperFrancoFête, à Québec, du 15 au 28 août, en participant notamment aux retrouvailles de Notre-Dame de Paris (avec la troupe originale) et au Grand concert de la francophonie célébrant Jean-Jacques Goldman.

D’ailleurs, 25 ans après l’explosion du phénomène Notre-Dame de Paris, qui l’avait révélé au public, Garou en a-t-il un peu soupé des résurrections et des commémorations de la comédie musicale de Luc Plamondon?  

«Pas du tout, parce qu’on n’a pas vraiment l’occasion de se voir! Notre-Dame… continue à jouer, mais nous, on ne le joue pas. Moi, je suis pogné avec la chanson Belle, mais il y a pire que ça dans la vie! (rires) C’est la première toune que j’ai enregistrée en studio de ma vie… Et elle a changé ma vie, pas à peu près!»

Le Grand spectacle de la fête nationale à Québec, le lundi 23 juin, à 21 h, sur les plaines d’Abraham. En diffusion en simultané à Télé-Québec dès 21 h 30 (en rediffusion le 24 juin à 18 h et le 27 juin à 22 h 30).

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Patrick Roy aura sa statue

Ayant marqué les esprits du hockey à Québec, Patrick Roy s’apprête à recevoir l’honneur ultime.

Selon ce qu’a rapporté Stéphane Turcot, Casseau aura le droit à sa propre statue de bronze près du Centre Vidéotron. Ainsi, il rejoindra d’autres icônes du hockey québécois, soit Jean Béliveau, Guy Lafleur, Réal Cloutier, les frères Stastny et Joe Malone, qui ont tous un objet commémoratif près de l’amphithéâtre.

D’ailleurs, la statue en question devrait voir le jour d’ici deux ans, avec un budget avoisinant les 400 000 dollars, qui viendront des fonds tous droit pigés de la Ville de Québec et des gens d’affaires du domaine privé.

Notons que Roy est natif de la région québécoise, ayant aussi dirigé les Remparts (LHJMQ) pendant deux séjours, soit de 2005 à 2013 et de 2018 à 2023, remportant au passage deux Coupes Memorial. En fait, ladite statue sera à l’effigie de la dernière Coupe Memorial de Roy avec les Remparts (2023), justement.

Toute une marque de reconnaissance pour l’actuel pilote en chef des Islanders de New York!

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Louis-Philippe d’OD et son amoureuse découvrent le sexe de leur bébé à venir

Louis-Philippe, que nous avons connu à OD Bali, révélait récemment que lui et son amoureuse attendaient un deuxième enfant, étant déjà les parents de la petite Samie.

Mais jusqu’à sa nouvelle publication Instagram, nous ne savions pas quel serait le sexe de leur petit trésor à venir.

C’est lors d’un magnifique gender reveal qu’ils ont appris qu’ils seront cette fois parents… d’un petit garçon.

«🔹 Un p’tit frère à Samie ce sera! 🥹🔹Incroyable journée et incroyable moment que nous avons pu célébrer en compagnie de notre famille et nos amis! Énormément reconnaissant d’avoir eu autant de belles personnes qui sont venues célébrer avec nous hier! Ça vaut de l’or! Merci tellement! 🫶🏼🙏🏻🥹 Vraiment heureux de savoir que ma fille aura son p’tit frère pour la protéger des players comme moi plus tard! 😂», dévoilait-il avec gratitude, sous une magnifique photo.

Toutes nos félicitations et beaucoup de bonheur à la petite famille.

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Après Sortez-moi d’ici!, Pascal Morrissette se surpasse encore

Pascal Morrissette nous a réellement impressionnés lors d’un défi dans la troisième saison de Sortez-moi d’ici!, où il devait notamment manger des parties d’animaux toutes aussi dégoûtantes les unes que les autres.

Après ce festin pour le moins particulier, et plusieurs mois après le tournage de l’émission, l’animateur surprend une fois de plus par sa détermination, ainsi que par sa force mentale et physique.

C’est dans le cadre de l’IRONMAN, plus précisément du triathlon 5150, à Mont-Tremblant que Pascal Morrissette, lui qui adore la course, s’est engagé à se surpasser dans un défi de taille.

Cette épreuve exigeante consiste à réussir, rien de moins que, 1,5 km de nage, 40 km de vélo et 10 km de course à pied, le tout en enchaînement.

Sa famille, soit son amoureuse Julie Ringuette et ses deux filles, était d’ailleurs présente pour l’encourager.

Un moment que Pascal a partagé sur sa page Instagram, où il a aussi annoncé qu’il avait franchi le fil d’arrivée!

Après avoir été un campeur grandiose à Sortez-moi d’ici!, il peut désormais, aussi, ajouter triathlète.

Toutes nos félicitations à Pascal… et quelque chose nous dit qu’il n’a pas fini de nous impressionner!

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Crise de la quarantaine et remise en question pour Claude Bégin

Si vous avez vu le film Deux femmes en or – qui est toujours à l’affiche au cinéma –, vous avez sans doute remarqué le minois de Claude Bégin…

Évidemment, nous ne vous en révélerons pas davantage sur la nature du personnage du chanteur dans le film de Chloé Robichaud… Or, vous connaissez l’histoire de la comédie érotique imaginée par le regretté Claude Fournier et Marie-José Raymond en 1970, et revisitée à la sauce contemporaine par l’autrice Catherine Léger : deux femmes modernes (ici incarnées par Karine Gonthier-Hyndman et Laurence Leboeuf), lasses de leur quotidien sans éclat, trouvent un exutoire dans la sexualité avec des hommes de passage chez elles, qu’ils soient livreurs, plombiers ou exterminateurs.

Sam Breton, Maxime Le Flaguais, Patrick Emmanuel Abellard, Fabien Cloutier, Arnaud Soly et Claude Legault, entre autres, personnifient les amants d’un jour des deux voisines, qui verront peut-être une lumière au bout du tunnel en sortant de leur torpeur routinière.

Avouez que c’est le genre de galère dans laquelle on s’attend à voir débarquer Claude Bégin…!

Ce à quoi ce dernier – nullement offusqué – acquiesce avec un large sourire aux lèvres!

«Je joue un peu le rôle qu’on pense que je vais jouer!», badine en entrevue le principal intéressé, assumant parfaitement l’aura de sex-symbol qui lui colle à la peau.

D’ailleurs, Claude Bégin avait déjà brièvement embrassé (sans mauvais jeu de mots!) le métier de comédien auparavant, notamment dans la série Cheval-Serpent (diffusée en 2018 et 2019 à Radio-Canada), campée dans l’univers d’un bar de danseurs nus, et où il exhibait également ses charmes.

On l’a aussi vu dans District 31, Virage et Sans rendez-vous.

L’artiste ne dirait pas non à d’autres engagements au petit et au grand écran. En fait, pour l’heure, professionnellement, Claude Bégin semble surtout chercher à gauche et à droite s’il y est.

«Je suis en crise de la quarantaine!», lance-t-il spontanément lorsqu’on s’enquiert de ses projets du moment.

«Je fais beaucoup de commissions, du ménage… (rires) Je ne fais pas de musique, mais il faudrait. J’ai demandé à mon comptable comment ça se fait que je réussis bien ma vie…. On dirait que c’est confus! Une petite gig à gauche, à droite», résume Claude avec franchise.

Remet-il en question sa carrière dans la musique?

«Quand même», confirme-t-il sans avoir l’air pleinement convaincu.

«Je suis supposé faire un album. Je vais faire un album! Je vais le faire, je me challenge moi-même en le disant. Il est déjà commencé. Mais on dirait que d’être assis devant un ordinateur… L’espèce d’adrénaline, le défi, l’ego… Je suis moins là-dedans… De moins en moins!»

Rappelons que les albums de Claude Bégin, Les Magiciens et Bleu nuit, sont parus en 2015 et 2018. Ce dernier trace une nette distinction entre ses activités au sein du collectif Alaclair Ensemble – qui lançait en 2023 l’album Lait paternel et qui a des spectacles prévus jusqu’à la fin de l’année –, qu’il ne remet nullement en cause, et sa carrière solo, qu’il trouve un peu plus difficile à mener compte tenu de l’état actuel de l’industrie de la musique.  

«Avec mon groupe, on dirait que ça fait plus de sens. Ce n’est pas impliquant de la même façon. Alors, on continue tranquillement…»

Heureusement, dans sa vie de famille avec Lysandre Nadeau, tout est au beau fixe pour Claude Bégin. Leur petite puce est attendue pour le 11 septembre, et leur garçonnet de 2 ans, Blaise, et le fils de 16 ans de Claude, Romain, sont en forme. Les parents exposent beaucoup leur progéniture sur les réseaux sociaux et dans les médias (et ils sont même très transparents sur leur relation de couple!) et ne s’inquiètent pas vraiment à cet égard.

«Ça fait partie de notre vie», soutient Claude.

«On se laisse le temps de voir si ça peut évoluer ou changer. Pour le moment, on ne voit pas de problème. Et si un jour, il y en a, on arrêtera», nuance pour sa part Lysandre.

Par ailleurs, Claude et Lysandre animent ensemble le balado Parenthèse. Lysandre, de son côté, est toujours à la barre du très populaire balado Sexe oral, avec Joanie Grenier, depuis près de quatre ans. Elle est également copropriétaire de la compagnie de boissons non alcoolisées Statera.

Enfin, si vous avez sourcillé en constatant que Claude Bégin avait récemment mis en vente son condo du Plateau Mont-Royal, à Montréal, de même que sa fastueuse maison de Lévis, ne vous inquiétez pas : les transactions ne concernent nullement sa relation avec Lysandre.

Aucun déménagement et aucune rupture ne sont dans les plans!

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Zoé, gagnante de MasterChef Junior Québec, poursuivra-t-elle une carrière sous les caméras? Son père nous répond!

Zoé, la jeune gagnante de MasterChef Junior Québec, couronnée jeudi soir à TVA, est une adolescente extrêmement articulée et très bien encadrée par ses parents, qui n’ont pas abordé à la légère cette expérience très publique et médiatisée dans laquelle leur fille voulait s’engager. Gabriel Baker, le papa de Zoé, s’est ouvert à nous sur les mois formidables que cette dernière a vécus.

Dès le moment de son inscription à MasterChef Junior Québec, le père et la mère de Zoé ont incité celle-ci à ne pas se lancer dans l’aventure sur un coup de tête et à bien en mesurer les conséquences.

«On lui a vraiment demandé de prendre un temps de réflexion pour s’assurer qu’elle savait dans quoi elle s’embarquait», dépeint Gabriel Baker en entrevue avec nous!

«Nous, en tant que parents, on savait à quoi elle serait exposée en faisant une téléréalité. Au début, ce n’était pas de gaieté de cœur, parce qu’on savait dans quoi on s’embarquait. Ç’a demandé beaucoup d’accompagnement parental, familial, pour lui permettre de s’épanouir dans cette expérience-là. On a mis en place toutes les conditions favorables pour que Zoé puisse se développer et acquérir de nouvelles connaissances. Ç’a été très demandant, ç’a exigé une bonne réflexion au début, et on a mis le plan d’action en place après.»

Or, Zoé et les siens sont ressortis enchantés de l’épopée MasterChef Junior Québec, tant en ce qui concerne les tournages à proprement parler que les réactions suscitées par la suite, pendant les semaines de diffusion à TVA.

«Ç’a été au-delà de nos attentes! (rires) Zoé a pris beaucoup de maturité pendant cette expérience-là. Elle a, par exemple, fait le choix de se priver de périodes récompenses à l’école pour étudier et libérer son temps libre, pour pouvoir se pratiquer et faire de nouveaux essais en cuisine le soir. On ne pouvait pas demander plus. Elle a eu de la rigueur, de la patience, de la passion. Elle a été incroyable!»

Idem pour les commentaires de téléspectateurs sur les réseaux sociaux : Gabriel Baker indique que la plupart des parents des petits candidats de MasterChef Junior Québec éprouvaient des appréhensions à cet égard, avant la diffusion de l’émission.

«On était unanimes là-dessus, on a tous suivi les commentaires. Et tous les commentaires ont été hyper positifs. Les gens comprenaient que c’étaient des enfants. Est-ce qu’il y a eu un commentaire déplacé de temps en temps? C’est arrivé, mais dans la grande majorité, ç’a été très respectueux et très bienveillant.»

Est-ce que les parents de Zoé seraient heureux de voir leur jeune fille poursuivre une carrière sous les caméras, si celle-ci recevait des offres à la télévision ou pour publier un livre, par exemple?

«On ne dit pas non, et on ne dit oui à rien, actuellement. Jeudi, on fermait la parenthèse MasterChef avec la fin de la diffusion. Là, on quitte pour des vacances, et on s’est dit qu’on ne prendrait pas de décisions avant notre retour. On regardera plus tard ce qui est possible, ce qui lui sera proposé, et on va faire des choix. Parce qu’on ne pourra pas tout prendre, c’est sûr. On va prendre des trucs qui vont convenir à Zoé, et qui vont convenir à son horaire scolaire», avance Gabriel Baker.

D’ailleurs, Zoé a beaucoup parlé de son père lors de son passage à MasterChef Junior Québec, de combien elle aime cuisiner avec lui, du fait que c’est son papa qui l’a initiée aux plaisirs de la popote. Le principal intéressé en a-t-il été ému?

«Bien oui, c’est touchant! Émotif comme je suis, quand je l’entends, je viens les yeux pleins d’eau! À la maison, nos enfants restent nos enfants; nous avons une relation parents-enfants. Mais quand on voit, à l’écran, ce que nos enfants pensent de nous, ça nous réconcilie avec les petites chicanes qui peuvent arriver dans une maison normale!», badine l’homme, en se remémorant avec amusement à quel point l’engouement de son héritière pour la bouffe remonte à loin :

«Quand elle était plus jeune, si je lui proposais d’écouter un film, elle me demandait plutôt si on pouvait faire une recette. On partage vraiment cette passion-là.»

Gabriel Baker, qui est conseiller en courtage en solutions de paiements – tandis que la maman de Zoé est directrice d’une école secondaire –, ne cache pas non plus sa fierté devant l’inventivité dans l’assiette de sa Zoé.

«Les jeunes, aujourd’hui, ont accès à leur téléphone, et ils ont l’information au bout des doigts. Moi, quand je reviens à ma jeunesse, si je voulais inventer quelque chose, il fallait que j’aille chercher des livres de recettes pour m’approvisionner en idées. Aujourd’hui, ils ont tout au bout des doigts. Quand tu as la passion et la curiosité, ça devient facile d’essayer de nouvelles affaires. Des fois, Zoé me propose d’essayer des choses et je suis convaincu que ça ne sera pas bon, mais finalement, on goûte et on constate que c’est surprenant! C’est magique! Zoé se nourrit d’idées un peu partout», complète Gabriel Baker, qui compte bien réaliser éventuellement l’un des rêves de sa belle Zoé en l’emmenant manger au restaurant Europea de Jérôme Ferrer, un chef qu’elle admire beaucoup.

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Entrevue: Luc Poirier oblige-t-il ses enfants à suivre ses traces?

Dans la série documentaire Luc le milliardaire?, débarquée sur la plateforme Crave le jeudi 12 juin, on apprend que Benjamin, le fils aîné de Luc Poirier, travaille dans un dépanneur, un emploi dégoté à l’insu de son illustre et fortuné papa.

Sous la réalisation de Jean-Philippe Pariseau (Expat, Allô, voici mon pénis, Salebarbes aux Îles, Couples à boutte), Luc le milliardaire? trace un portrait biographique de Luc Poirier à travers le prisme de sa réussite financière. Nous vous en rapportons un extrait ici.

Réellement fasciné par le «personnage» qu’est Poirier, son audace, ses accomplissements et, disons-le, son pactole, Pierre-Yves McSween endosse ici le rôle d’un intervieweur enthousiaste pour tenter de savoir qui est vraiment Luc Poirier. Et, surtout, ce que ce dernier mange en hiver pour, à 49 ans, être parvenu à bâtir un empire valant le prix de plusieurs centaines de Ferrari de collection, lui qui a grandi dans un HLM et qui, tout jeune, a dû fréquenter des écoles spécialisées pour malentendants parce qu’il était devenu aphasique après le divorce de ses parents. Découvrez d’ailleurs ici 21 faits insolites sur Luc Poirier appris dans la série documentaire, qui pourraient vous surprendre!

Pour ce faire, McSween questionne son sujet sur tous les aspects de sa vie et donne la parole à ses proches (son père, ses frères, son fils, sa conjointe, ses employés, etc).

C’est ainsi que le sympathique Benjamin, 21 ans, révèle le plus naturellement du monde à un Pierre-Yves McSween ébahi qu’il bosse dans un dépanneur, et explique les raisons qui l’ont poussé à opter pour ce boulot.

Si, dans le documentaire, on sous-entend qu’il juge que le temps de son garçon passé derrière un comptoir de dépanneur est une perte de temps, en entrevue avec Hollywood PQ, Luc Poirier a déclamé haut et fort sa fierté pour l’aîné de ses trois enfants.

«Il travaille fort, mon gars!», s’est-il enorgueilli.

«Au départ, je n’ai pas su qu’il travaillait dans un dépanneur. Il l’a fait par lui-même. À un moment donné, je le vois partir à 7 h un samedi matin. D’habitude, il travaillait à la carrière près de chez nous pendant l’été, mais là, on était samedi matin et ce n’était pas l’été. Je lui ai demandé où il s’en allait, et il m’a répondu qu’il travaillait au dépanneur. Je lui ai dit : « Voyons, Ben, tu n’as pas besoin de travailler au dépanneur… »»

Or, les motivations de son héritier tenaient largement la route, estime l’entrepreneur.

«C’est qu’il est aux études, et il a beaucoup de misère à l’école, mon fils. Il prend des cours d’été et il a besoin de travailler beaucoup plus que les autres pour réussir. Et il ne réussit pas avec de grosses notes, il faut juste « passer ». Alors, il m’a expliqué que c’est un petit dépanneur tranquille, où il a le temps de faire ses affaires [ses travaux scolaires], et d’être payé en même temps. Je trouvais ça intelligent!»

La pomme n’est pas tombée loin de l’arbre, et Benjamin Poirier, à l’instar de son géniteur, ne place pas tous ses œufs dans le même panier. Il vient de terminer sa première année d’université en droit, et complète un baccalauréat par cumulatif de certificats (notamment en finances). Puis, encore une fois inspiré par l’auteur de ses jours, le jeune homme donne également dans l’investissement immobilier et est déjà, aux dires de son père, «millionnaire sur papier», à 21 ans, et ce, par ses propres soins, sans compter sur les avoirs familiaux.

«Il fait de l’immobilier sans vraiment m’en parler», dépeint Luc Poirier. «Pour ne pas qu’un jour, quelqu’un dise que c’est grâce à son père qu’il s’est rendu là. Il fait tout par lui-même, il ne me pose même pas de questions, ne me demande pas de conseils. Il a fait des erreurs, je l’ai appris par d’autres personnes… Mais je le laisse apprendre dans cette voie, parce que c’est la meilleure façon d’apprendre.»

«Mais il est déjà bien parti. Il possède 50 portes, à peu près. Il a acheté quatre triplex à 16 et 17 ans, mais il n’avait pas d’argent; alors, il s’est associé avec un gars de 19 ans, qui, lui, avait en partie l’argent de son père. Ces triplex-là, qu’ils ont payés environ 600 000 $ chacun, valent aujourd’hui au-dessus d’un million. Ils sont à Brossard, à côté du REM. Donc, mon fils est millionnaire, seulement avec sa partie à lui.»

Cela dit, n’allez pas croire que le chef de clan insiste pour que sa descendance poursuive absolument son œuvre. Tant en ce qui concerne Benjamin, né d’une précédente union, que Hugo (15 ans) et Mégane (13 ans), issus de sa relation avec son amoureuse Isabelle Gauvin (l’une des têtes d’affiche du docu-réalité Vies de rêve, sur Crave), Luc Poirier ne souhaite que le bonheur de ses enfants, que ceux-ci empruntent le chemin qui les rend heureux.

Et c’est d’ailleurs en ce sens que s’inscrit la réponse de Luc Poirier lorsqu’on lui demande ce qu’il lui reste à accomplir, dans la vie.

«Le bonheur de quelqu’un, c’est la réussite de nos enfants! Je vais être pleinement satisfait de ma vie quand mes enfants vont être placés, que tout va bien aller», a-t-il spontanément évoqué.

«Parce que ça ne veut pas dire que, si ça va bien maintenant, ça va aussi bien aller dans deux ans, dans cinq ans… Si je réussis ça, si mes enfants finissent bien, je vais avoir réussi ma vie. J’ai ma liberté, j’ai un peu de sous pour profiter de la liberté, j’ai la santé, et il me reste mes enfants, et j’ai la femme que j’aime…»

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Les joueurs québécois du CH ont offert un superbe cadeau de retraite à David Savard

Aux termes d’une aventure de 14 saisons dans la LNH, le Québécois David Savard annoncé sa retraite de la LNH, lui qui deviendra officiellement retraité le 1er juillet prochain.

Dans cette optique, les autres francophones de l’équipe, Samuel Montembeault, Rafaël Harvey-Pinard et Alexandre Carrier lui ont offert une œuvre d’art à son effigie, signée Didier.

On sait que le défenseur du Canadien de Montréal a eu un grand impact sur la patinoire, non seulement sur le volet hockey, mais aussi sur le plan humain.

Le 58 a été un mentor et un grand frère pour plusieurs joueurs durant son parcours, et visiblement, son apport fut souligné par ses pairs.

Ça prouve hors de tout doute que David est un être de qualité supérieure!

Un vrai de vrai!

Bonne retraite, David!

Une première sortie publique pour Eric Dane depuis l’annonce de sa maladie