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Louis Morissette se voit autrement: «Ça ne m’a jamais fait ça»

Je me trouvais vieille; en gars, ça ne m’a jamais fait ça…

En octobre 2024, nous nous étions entretenus avec Louis Morissette, qui avait alors partagé avec nous quelques détails sur le prochain long métrage produit par sa société, KO24.

Il s’agit d’un projet où le comédien prête ses traits à François·e, entouré d’une distribution riche en talents. Louis Morissette, qui y occupe un rôle de premier plan, a d’ailleurs partagé en marge de cette expérience des constats sensibles et marquants, dont on vous parle plus bas.

Retour sur les détails qu’il nous avait partagés

«C’est l’histoire d’un scénariste de 50 ans qui ne travaille plus, et qui pense que c’est à cause des quotas. Alors, il fait croire qu’il est trans pour pouvoir travailler… Et son projet est alors accepté. Il devra vivre cette double vie», avait relaté le comédien et homme d’affaires à notre journaliste.

«Il ne connait rien à la réalité des trans. Alors il doit se coller à des personnes qui connaissent ça», avait précisé Louis Morissette au sujet de son personnage.

Pour connaître tous les détails, lisez notre entretien avec lui, juste ici.

Des premières images prometteuses

Voilà qu’on découvre les premières images de ce nouveau film qui prendra l’affiche le 8 juillet 2026 et qui met en vedette Pascale Drevillon, Geneviève Schmidt et Robin Aubert.

«Découvrez les premières images de la comédie François.e, mettant en vedette Louis Morissette, Pascale Drevillon, Geneviève Schmidt et Robin Aubert. À l’affiche le 8 juillet 2026», peut-on lire dans la description de la bande-annonce.

Des commentaires déjà chargés d’enthousiasme

Dans les commentaires, plusieurs partagent déjà leur enthousiasme face à ce projet et, rien qu’avec la bande-annonce, ont déjà le sourire accroché au visage.

Et d’autres se disent un peu plus surpris de découvrir que Louis se prête à ce personnage.

Un rôle qui suscite de grandes réflexions

Dans un extrait d’entrevue partagé sur ICI TÉLÉ, Louis se confie sur ce que l’interprétation d’une femme lui a fait réaliser.

«Je me trouvais vieille; en gars, ça ne m’a jamais fait ça (…) en femme, je voyais juste mes rides (…) Ça me rappelait juste à quel point une femme de 52 ans a à négocier avec plein d’affaires que, moi, gars de 52 ans, je n’ai pas à faire», déclare Louis, dans une entrevue avec Gildor Roy.

«C’est mon mari, lui», lance Véro, en marge de l’extrait, visiblement fière des réflexions de son partenaire de vie.

«Dans le film «Françoise·e», Louis Morissette joue un scénariste dépassé par les changements de la société qui se fait passer pour une femme. Gildor a eu la chance de rencontrer l’acteur et producteur accompagné de la scénariste Gabrielle Boulianne-Tremblay. La chance de voir cet extrait exclusif», lance l’équipe de l’émission, en ajoutant qu’il sera possible de voir l’entrevue complète dès le 29 novembre.

François·e prendra l’affiche le 8 juillet 2026, avant d’arriver sur ICI Tou.tv Extra à l’automne suivant, une double sortie qui promet de faire parler.

Après avoir vu les premières images de Louis dans son rôle, avez-vous envie d’aller découvrir ce nouveau projet au cinéma?

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Bruno Blanchet annonce être atteint d’un cancer

Ce n’est pas parce qu’on court vite qu’on échappe au cancer.

Le comédien et personnalité du milieu culturel et sportif, Bruno Blanchet, a récemment pris la parole sur ses réseaux sociaux pour annoncer une nouvelle déchirante, après s’être fait plus discret auprès de sa communauté.

Un témoignage rempli de courage et de résilience

Dans un message empreint d’émotion, il a annoncé souffrir d’un cancer de la prostate. Bruno Blanchet a toutefois voulu se faire rassurant, soulignant qu’il est suivi par une équipe médicale de confiance et qu’il parvient à traverser cette épreuve, même si les traitements sont plus difficiles puisqu’il se trouve actuellement à l’extérieur du Québec.

Dans son message, Bruno précise qu’il sentait depuis un certain temps que quelque chose clochait, mais qu’il a choisi d’attendre de passer tous les examens nécessaires avant d’en parler ouvertement.

À lire et à écouter: son annonce

«UN NOUVEAU COMBAT. Coucou les Coucous! J’espère que vous allez bien, et je tiens à vous rassurer tout de suite (surtout si vous avez regardé le clip avant de lire le texte), je suis entre de bonnes mains et je vais guérir. Il y a ici d’excellents médecins, et j’arrive à m’en sortir, malgré que les soins hospitaliers soient un peu plus compliqués pour un étranger et sans aucun doute plus $$$ qu’à la maison quand on a la carte-soleil. Je viens tout juste d’apprendre que j’ai enfin une date d’opération, prévue en janvier, et selon le docteur, je vais être sur pied, guéri et full shape pour pouvoir revenir courir avec vous au Québec l’été prochain. C’est le plan! Et pour être parfaitement honnête avec vous, je le savais depuis plusieurs mois que quelque chose clochait, mais j’ai tenu ça secret, parce que je voulais vraiment faire un examen complet de mon vieux body avant de vous annoncer quoi que ce soit, par souci de vérité. La raison pour laquelle mes publications se faisaient rares, c’est parce que j’étais inquiet et préoccupé. Je me suis mis à m’imaginer souffrir de partout, et la moindre petite bosse et la plus petite des plaies devenait une obsession hypocondriaque, un cauchemar métastasique, et je croyais qu’on allait m’amputer de la lèvre et du genou. J’ai plutôt mal dormi depuis des mois… Heureusement, la course m’a gardé en forme et sain d’esprit. 9 victoires d’affilée, et 20 podiums, pas pire, hein! Je cours avec l’énergie du désespoir, comme dirait ce bon vieux Michel. MAIS le plus important dans tout ça, MESSIEURS, je m’adresse à vous, sachez que c’est grâce à un test sanguin lors d’un examen physique annuel qu’on a décelé cette minuscule tumeur sur ma prostate, et que le dépistage d’un cancer n’est jamais TROP précoce. J’ai compris que c’est pas parce qu’on est en santé qu’on n’est pas malade, et que ce n’est pas parce qu’on court vite qu’on échappe au cancer. En attendant, en fin de semaine, je cours le UTMB Inthanon 50. On ne perd pas l’objectif de vue, 25 en 25! Je vous aime, svp prenez soin de vous. À tout de suite les Coucous. Bruno xxxx MERCI POUR VOS ENCOURAGEMENTS», témoigne-t-il en marge d’une vidéo où il met ses pensées en mots, racontant son parcours et le courage avec lequel il traverse cette épreuve.

Une vidéo bouleversante, comme un petit documentaire intime: une épreuve racontée à cœur ouvert, avec une lucidité qui serre la gorge et une force qui inspire.

Sous la publication, nombreux sont ceux, dont Christine Beaulieu et Dave Morgan, qui se sont rassemblés dans les commentaires pour envoyer à Bruno une vague d’amour et d’encouragements, dans l’espoir de lui apporter un peu de réconfort à travers cette épreuve.

«Gros câlin, plein de courage mon Brubru», offre l’humoriste.

«Bon courage, Bruno», lance la comédienne.

Un documentaire sans filtre, qui explore le sujet à découvert

Le cancer de la prostate a d’ailleurs aussi été abordé par Richard Martineau, qui a lui-même traversé cette épreuve.

Il en livre un témoignage dans le documentaire Un crabe dans le pantalon, maintenant accessible sur TVA+, où il ouvre une rare fenêtre sur son intimité. Avec une grande vulnérabilité, il nous fait revivre ce qu’il a vécu: son combat contre le cancer de la prostate et tout ce qui vient avec.

«Sophie, ça fait 22 ans qu’on est ensemble, elle était parfaite, elle est incroyable. Je ne sais pas comment les gens font pour passer à travers les maladies, tout ça, tout seul. Il y a des gens qui sont seuls (…) tu sais, tu as un cancer et tu es tout seul, il n’y a personne à côté de toi pour te consoler, puis tout ça, puis te rassurer. Ça doit être extrêmement dur», y confie notamment Richard.

Pour en savoir plus sur le sujet, rendez-vous dans notre article où l’on vous présente les grandes lignes du documentaire, juste ici.

Capture TVA+

Nos plus sincères souhaits

Nous envoyons tout notre amour à Bruno, ainsi que beaucoup de courage, et le saluons pour sa force remarquable et tout ce qu’il continue d’accomplir malgré l’épreuve.

Un exemple et un modèle pour plusieurs, qui saura certainement rejoindre celles et ceux touchés de près ou de loin par la maladie.

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Roy Dupuis se confie sur sa dépendance à l’époque des Filles de Caleb

Jusqu’à tant que ça soit problématique

Commençons dès le début: il y a plusieurs années de cela, Les filles de Caleb rayonnaient sur nos écrans. Le public québécois était présent par millions. Oui, oui: c’est plus de trois millions de fidèles qui suivaient l’histoire d’Émilie Bordeleau et d’Ovila Pronovost.

Quarante ans après la parution du roman d’Arlette Cousture et trente-cinq ans après la diffusion de la série, nous avons droit à un documentaire animé par Marina Orsini, Les filles de Caleb: L’histoire d’une passion.

Dans ce projet télé, nous avons la chance de voir Marina et Roy Dupuis, qui parlent de cette époque où ils étaient de véritables stars. Rappelons que Roy est plutôt discret en ce qui concerne les apparitions publiques, mais aussi les entrevues.

Il s’agissait donc d’un moment précieux de le voir s’ouvrir avec vulnérabilité — oui, sur ses souvenirs, mais aussi sur les répercussions que son rôle a eues sur lui. C’est sur que pour moi…peut-être déjà une tendance à l’alcool, ça fait que ça l’a comme amplifié.

Capture ICI Télé

D’ailleurs, Roy a failli refuser ce rôle pour aller faire du théâtre en France. C’est effectivement ce qui était prévu de prime abord… mais, comme on le sait, il a finalement choisi d’interpréter Ovila.


Et c’est également une période dont il parle avec une grande franchise, évoquant les défis personnels qu’il a dû affronter à ce moment de sa vie.

Comme il l’explique, il était plus ou moins à l’aise avec la célébrité qui venait avec son rôle d’Ovila. Les gens voulaient le toucher, lui parler, et fort probablement entrer dans sa bulle.

Une période critique pour Roy?

«À partir de c- moment là, ma vie a complètement changé (…) Tu avais 4 millions de personnes qui écoutaient ça… du jour au lendemain je suis devenu une des faces les plus connues au Québec», lançait-il à Marina, avant d’ajouter le positif et le négatif qui venaient avec ça.

Capture ICI Télé

Il mentionne premièrement que, sur le plan professionnel, ce premier rôle en carrière a été bénéfique, mais…

«Le seul impact négatif, c’est que, dès que je sortais de chez nous, j’avais vraiment l’impression que j’étais sur un stage. Tu te fais observer, tu te sens observer, scruter. C’est sûr que pour moi… bon… déjà peut-être déjà une tendance à l’alcool, ça fait que ça l’a comme amplifié, l’envie de me geler si l’on veut… jusqu’à tant que ça soit problématique. C’est pour cela qu’asteure je ne bois plus», confiait-il avec vulnérabilité.

Capture ICI Télé

Heureusement, aujourd’hui, Roy Dupuis est sobre depuis une trentaine d’années.

Un moment de confidence rare et touchant en compagnie du comédien.

Capture ICI Télé

15 applis pour gérer ta carrière comme une star de Hollywood

Tu rêves de gérer ta carrière comme si tu étais sur le tapis rouge? Bonne nouvelle: il existe des applis qui transforment ton quotidien pro en blockbuster. Que tu sois entrepreneur, salarié ou créatif, ces outils te donnent le contrôle, boostent ta productivité et t’aident à réseauter comme un pro.

Annulée ou renouvelée? House of the Dragon, A Knight of the Seven Kingdoms et plus!

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Véronique Cloutier fait fortement réagir Normand D’Amour

Il fait les gros yeux!

Sur le plateau du récent épisode d’On va se le dire, l’ambiance était à la fête, portée par une brochette de personnalités aussi éclatantes que Véronique Cloutier, Normand D’Amour, Bianca Gervais, Marina Orsini, Neev et MC Gilles.

Alors que les invités sur le plateau abordaient des thèmes plus sombres, comme le déclin de la culture et d’autres sujets anxiogènes, dont l’environnement, Sébastien Diaz a habilement ramené la discussion sur un tout autre terrain.

Un terrain toutefois presque aussi glissant, sinon plus, que le précédent…

Attachez vos patins, c’est parti!

«Mais il faut s’accrocher aux petites choses, comme… la saison de feu du Canadien, en tout cas, jusqu’à maintenant», déclare l’animateur du rendez-vous.

«(…) Pour l’instant, Lane Hudson, Demidov, let’s go les boys! Je suis content, j’ai 8 ans. La dernière fois que j’ai été excité du hockey, il y avait Kovalev et PK Subban; donc, c’est il y a longtemps. Là, ça va bien, et ce qui est extraordinaire de cette saison et de ce début de saison des Canadiens, ce n’est pas tout de suite: c’est que les cinq prochaines vont être glorieuses», souligne Neev, manifestement bien investi cette saison.

Attention aux partisans…

«Mais tu sais que, là, là, ça, c’est typique des Canadiens de Montréal. Un super automne, puis après les Fêtes…», mentionne Véro, déclenchant une réaction soudaine de Normand.

Capture Radio-Canada

On passe en tirs de barrage

«Non, non, non, non, pas là», s’exclame Normand face aux propos de Véro.

«C’est la débandade», poursuit-elle, en remettant une bûche dans un feu déjà bien pris.

«Pas en ce moment, ce n’est pas ce qui se passe», réitère fermement le partisan.

Capture Radio-Canada

«Ah! Tabarouette! Normand, les yeux… Il fait les gros yeux», se moque Véro, amusée par l’intensité de son collègue.

«C’est au-delà de ce qu’on a espéré depuis 30 ans», poursuit Normand.

«Dr Saint-Cyr te parle», entend-on dans le feu de l’action, un brin cacophonique, en référence au personnage du comédien dans STAT.

«Pascal, m’a te mettre sur la kétamine», ajoute Véro, toujours en riant, elle qui est fan de l’émission dans laquelle Normand joue.

Capture Radio-Canada

Après ce moment de dérapage, rassurez-vous, survenu dans la rigolade, même si la réaction soudaine de Normand a pu en surprendre plus d’un, Neev a tenu à ajouter un dernier poids dans la balance en faveur du Canadien.

«Tu sais quoi, je vais te dire ce que mon père m’a dit… Moi, mon père, il est arrivé ici dans les débuts des années 70, il dit: Je retrouve le feu de Lafleur, Steve Shutt (…)», témoigne-t-il.

«Tant que ça», réagissent ceux qui n’avaient pas beaucoup d’espoir.

Ce qu’il faut retenir de cette joute

Un moment qui montre clairement que la passion des partisans est toujours bien vive et que l’espoir, malgré quelques déceptions du côté de Montembeault, reste solidement ancré dans le cœur des fans du Tricolore.

Alors, pour cette saison, êtes-vous de l’avis de Véro, qui croit qu’après les Fêtes le jeu ralentira, ou plutôt de celui de Normand et de Neev, qui affirment que cette saison est vraiment différente?

Bonne saison à tous… et à ceux qui ne suivent pas mais qui vivent avec des partisans: bonne chance avec votre patience, et n’hésitez pas à sortir les bouchons pour survivre aux soirées: «BIEN LÀ! VOYONS DONC!».

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Isabelle Boulay vous donne rendez-vous pour les Fêtes!

Impatients de vous retrouver!

Une promesse de chaleur et de féérie… dont on a bien besoin en cette période-ci.

À l’approche du temps des Fêtes, alors que les premiers flocons commencent à tomber, Isabelle Boulay revient offrir à son public un moment suspendu, rempli de chaleur, d’émotion et de douce nostalgie.

Fidèle à son amour pour cette période enchantée, elle convie encore une fois les gens à un rendez-vous musical tout scintillant, qui marquera le lancement des célébrations de décembre 2025.

«C’est ce soir que nous montons dans le traîneau 🛷 du Père Noël avec nos cœurs grands ouverts et impatients de vous retrouver pour venir vous présenter notre doux et chaleureux spectacle! Isabelle et ses Frères Boulay», lance-t-elle toute fébrile à l’idée de se lancer dans une tournée de Noël digne du père Noël… sans les rennes, mais avec autant d’énergie!

«Attendre Noël m’a toujours mis le cœur en joie! C’est une période un peu hors du temps qui nous emmène dans l’espace du rêve, qui ravive nos sens et nous permet de revenir à nos cœurs d’enfant. La tournée 𝐷’𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 tire à sa fin et j’avais envie de vous offrir le cadeau de ce nouveau spectacle de chansons d’hiver et de Noël en compagnie de mon équipe et de mes musiciens que j’appelle affectueusement: «𝐿𝑒𝑠 𝐹𝑟𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝐵𝑜𝑢𝑙𝑎𝑦». On vous attend en musique 🎶 avec notre chaleur humaine et notre hospitalité», dévoilait-elle, un peu avant.

Depuis toujours, la chanteuse prête sa voix lumineuse à l’hiver avec une sincérité désarmante. On se souvient de la tendresse qu’elle avait insufflée à Chansons pour les mois d’hiver (2009) et En attendant Noël (2019), deux albums qui ont su capturer l’esprit chaleureux de la saison comme de véritables trésors sonores.

À quoi s’attendre?

Cette année, Isabelle ravive à nouveau cette étincelle festive qui réchauffe les cœurs lorsque le froid s’installe. Son nouveau spectacle se veut une traversée musicale qui franchit les époques et les styles, en mêlant souvenirs, tradition et réconfort. Elle y interprétera, entre autres, Le sentier de neige, Quel est l’enfant, ainsi que des incontournables de Noël comme L’enfant au tambour et White Christmas, enveloppant la salle de cette aura douce et familière que l’on attend chaque hiver.

Des classiques signés par des noms bien connus

La soirée sera aussi l’occasion pour elle de revisiter des chansons qui ont façonné la saison dans nos cœurs, signées par de grands noms: Julien Clerc (On attendait Noël), Michel Rivard (Rue Sanschagrin), Jean-Pierre Ferland (Je reviens chez nous), Robert Charlebois (Marie-Noël) et même Joni Mitchell (River). Un répertoire choisi avec soin, comme un bouquet de chansons offertes en cadeau.

Ce spectacle promet de devenir un refuge lumineux au cœur de l’hiver, un moment où la musique rassemble, apaise et rappelle ce que cette période apporte de plus précieux: la chaleur humaine. Pour notre bonheur… et pour le sien.

Une carrière qui se poursuit au fil des saisons

En y repensant, on réalise que Noël n’est qu’un des nombreux temps forts de son calendrier. Plus tôt dans l’été, elle a enflammé les planches des Francos de Montréal, captivant le public avec un répertoire mêlant classiques et nouvelles créations.

Quelques semaines plus tard, elle a offert une prestation mémorable au Festival d’été de Québec (FEQ), démontrant toute sa maîtrise scénique devant des milliers de spectateurs. Et pour conclure la période estivale, son passage à Mont‑Tremblant a permis à sa musique de résonner en plein air, dans un cadre enchanteur, mêlant fête et intimité.

Ainsi, son spectacle de Noël apparaît comme le point culminant d’une année déjà riche en émotions et en énergie. 2025 aura été, pour Isabelle Boulay, un voyage musical intense, alliant la magie des fêtes et l’effervescence des grandes scènes estivales, confirmant que sa carrière continue de briller avec constance et authenticité.

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Marie-Mai vise quelqu’un dans cette chanson-clash

Une grande hypocrite pleureuse…

Marie-Mai était récemment de passage au Pop Pop balado, animé par Marie-Josée Gauvin et Maxime Roberge, où elle s’est confiée sur une foule de sujets: Star Académie, Big Brother Célébrités, ses looks qui font toujours exploser les réseaux sociaux, son album country, la maternité et son entrée dans la quarantaine.

Le sujet qui a toutefois le plus retenu notre attention, c’est le moment où elle a avoué avoir à son actif une chanson visant directement une autre personne.

Cette chanson de Marie-Mai cache une attaque

C’est au moment où Marie-Josée abordait l’idée d’un «album de vengeance» qu’elle lui a demandé si elle avait, elle aussi, une chanson à la Taylor Swift visant Charli XCX, deux artistes qui, selon les rumeurs, se seraient déjà envoyé quelques flèches à travers leur musique.

«Garde tes larmes, ça en est une pas pire», avoue-t-elle, pendant que les deux animateurs la fixent, les yeux pétillants de curiosité.

«Bien oui… Je n’en veux pas, le karma saura s’occuper de toi. Bien oui», affirme Marie-Mai, en citant un petit bout de la chanson pour donner le ton.

Capture YouTube @Pop Pop Balado et Rouge FM

Elle laisse échapper quelques indices sur la personne visée

«Mais… ce n’est pas… ce n’est pas», tempère la chanteuse, histoire de ne pas induire les gens en erreur quant à la personne à qui le titre s’adresse.

«Ce n’est pas quelqu’un qu’on connait», interrompt Marie-Josée, visiblement à l’apogée de la curiosité.

«Bien, oui, là (…) probablement pas celle que vous croyez, là, ou en tout cas, je ne sais pas qui vous croyez… Ok, qui vous pensez», questionne Marie-Mai, affichant un sourire coquin.

Craignant de trop se mouiller, les animateurs ont finalement évité de nommer des noms, même si on sentait clairement que ça leur brûlait les lèvres.

«C’est pour une fille», renchérit Gauvin.

«Oui», répond Marie-Mai.

«Ah… Une grande hypocrite pleureuse, là, j’ai des noms qui me viennent, *sti… Des grandes brailleuses (…) GARDE-LES TES LARMES, *stiiii», déclare Maxime avec un visage agacé, faisant éclater de rire Marie-Mai.

Capture YouTube @Pop Pop Balado et Rouge FM

Une naïveté d’enfance, aujourd’hui changée

Rappelons que Garde tes larmes est une chanson de Marie-Mai parue sur l’album Version 3.0, lancé en 2009, un projet qui a marqué toute une génération d’enfants et adolescents, aujourd’hui devenus adultes.

Chose certaine, les enfants qui écoutaient cette chanson naïvement à l’époque ne la verront plus du tout de la même façon aujourd’hui, elle devient encore plus percutante, et d’autant plus iconique, à la lumière de cette révélation.

Dans cette pièce pop au ton tranchant, la chanteuse semble s’adresser à quelqu’un qui parle dans son dos, la juge ou cherche à la rabaisser. Le texte adopte une posture de résistance claire: elle refuse de se laisser atteindre, renverse le rapport de force et affirme qu’elle ne s’abaissera pas à répondre sur le même terrain.

Ayayaye… on ne voudrait pas être à sa place. Imaginez: vous faites tranquillement l’épicerie et, entre deux rangées, bam, la chanson qui vous vise part dans les haut-parleurs. Malaise garanti au rayon des céréales…

Des chansons chargées de sens

Encore aujourd’hui, Marie-Mai glisse des messages dans ses chansons, mais ceux-ci prennent récemment une teinte beaucoup plus douce. C’est le cas dans Combien de temps, tirée de son nouvel album Sept, où elle aborde avec délicatesse un sujet profondément sensible et émouvant: le deuil périnatal.

En 2024, dans le cadre de ses 20 ans de carrière, Marie-Mai s’était d’ailleurs entretenue avec l’animatrice Isabelle Maréchal sur les ondes de QUB radio (99,5 FM à Montréal) pour aborder ce sujet.

Pour découvrir tout ce qu’elle y a confié, on vous invite à lire notre article complet juste ici.

On veut vos théories

On se doute que, tout comme nous, et comme les animateurs, vous vous demandez désormais à qui s’adresse vraiment cette chanson… À vous de jouer: vos hypothèses, nos intrigues!

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Christian Bégin et Isabel Richer peinaient à payer leur loyer

J’ai eu des années avec rien

Christian Bégin se trouvait à l’émission matinale préférée des Québécois, Salut Bonjour en compagnie de l’animatrice Ève-Marie Lortie.


C’est dans le cadre de son passage qu’il a parlé de son projet théâtral, La nuit de la déprime, dans laquelle il joue — et oui, il avait beaucoup à dire!

Mais il a également abordé d’autres types de projets, dont le Cabaret des artistes, qui se veut une soirée festive servant à amasser des fonds pour la Fondation des artistes, puisque plusieurs ont besoin de soutien financier.

Capture TVA

«C’est une réalité que les gens connaissent peu. On a une vision de notre métier qui est un peu tronquée par la télévision et par la magie de la télé. On a l’impression que les artistes sont tous des gens fortunés qui roulent en voiture de luxes, qui ont des grosses maisons (…)Les gens qui travaillent, bien sûr, ont ce privilège d’avoir souvent des salaires qui sont généreux, c’est correct comme ça, mais il faut savoir qu’il y a plus de 80 % des membres de l’Union des artistes et des artistes en général, parce que la fondation n’est pas seulement pour les membres de l’UDA, mais pour tous les artistes au Québec. Il y a des gens qui peinent à payer leur loyer, même mensuellement, qui ont besoin de soutien psychosocial, qui ont besoin d’aide financière de façon ponctuelle. La Fondation des artistes est là pour eux. Cette année, on tente, pour une première fois, un premier cabaret des artistes le 3 décembre», débutait Bégin.

Une carrière qui est mal vue, question finances, par le public québécois, du moins selon ses dires.

«Ça se passe au Théâtre Outremont à Montréal le 3 décembre. C’est une belle façon de passer une soirée incroyable, parce que la marquise est très impressionnante, et d’à la fois afficher son soutien aux artistes qui en ont besoin, parce que la réalité vient frapper tout le monde, et des artistes, beaucoup en fait. J’ai envie de dire ça, on a un rapport amour-haine, je trouve, avec les artistes. C’est-à-dire qu’on les aime, on les chérit à plusieurs égards, mais quand il vient le temps de parler d’argent, c’est comme si on avait un drôle de rapport par rapport à eux, par rapport à ça. Comme oui, c’est des téteux de subvention, c’est des gratteux de guitare, c’est des pelleteux de nuages.Comme si afficher des besoins financiers pour les artistes, ça, on avait plus de misère collectivement à entendre ça, parce que dans la tête des gens, on est des gens privilégiés et choyés», ajoute Bégin… qui visiblement, essaie de changer l’image du milieu.

Une période précaire

Il en est par la suite venu à démontrer que le métier peut être réellement difficile, bien que lui avoue aujourd’hui être en bonne position.
Mais il a lui-même vécu, en début de carrière, un moment où il avait peine à payer son loyer, qu’il partageait à l’époque avec son amie Isabel Richer.

«J’ai eu des années avec rien. Avec Isabel Richer, quand je vivais au début de ma carrière, on gagnait 11 000 $ par année à deux. On appelait notre propriétaire pour dire: Peux-tu nous attendre? On n’a pas d’argent pour payer le loyer ce mois-ci. On a eu une propriétaire extraordinaire. Je m’en rappellerai toute ma vie. Elle a été très compréhensive», avouait-il sur cette période creuse pour lui et sa colocataire, qui est aussi la marraine de son fils.

Un moment de vulnérabilité signé Christian Bégin.

Capture TVA