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F1 à MTL: Le prix des billets va monter

Comme ce fut annoncé récemment, le contrat du Grand Prix du Canada à Montréal avec la F1 a été prolongé jusqu’en 2035, compte tenu de ses exploits cette année.

Après ses déboires de 2024, il s’agit d’un solide comeback venant des organisateurs, qui ont redoré leur blason auprès des décideurs de la F1. Bonne nouvelle pour la Ville de Montréal, mais aussi en faveur de la province!

Ceci dit, à l’avenir, attendez-vous à débourser la palette, selon des infos cumulées par Le Journal de Québec, si vous désirez assister à cet événement annuel, plus particulièrement dans la section Grandstand 46, une des plus en demande par les consommateurs. En 2025, le prix d’un billet était établi à 345 dollars, certes, mais en vue de l’an prochain, le tout sera augmenté de 90 dollars, bon pour 435 dollars au total.

Et pour ce qui est de l’emplacement Tribune 1, on parle d’un bond de 140 dollars, passant de 875 à 1015 dollars.

Notons que l’édition 2026 aura lieu du 22 au 24 mai 2026, ayant bougé de case horaire dans les plans de la Formule 1.

Décidément, l’inflation a décidé de frapper l’univers de la F1, ce qui n’est aucunement surprenant, compte tenu des augmentations qui ont lieu partout au Québec, mais également ailleurs en territoire nord-américain.

Les consommateurs de course automobile feront assurément le saut, lorsqu’ils tenteront de renouveler leurs billets pour la saison prochaine. On vous aura averti, au moins!

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Le Peel Pub ferme ses portes après 60 ans

Après plus de 60 ans, le célèbre Peel Pub, situé au centre-ville de Montréal, a fermé ses portes sans avertissement. Le 20 juin, un avis de faillite a été affiché sur la porte verrouillée de l’établissement, laissant employés, artistes et clients stupéfaits.

Erik Intrevado, producteur des soirées d’humour hebdomadaires du pub, a été pris de court. Ses deux sœurs, qui y travaillaient depuis plus de dix ans, ont appris la nouvelle par simple message texte. Lui-même s’est rendu sur place pour récupérer son matériel, quelques centaines de dollars d’équipement de son, mais a trouvé porte close. L’avis de faillite indique clairement que toute tentative d’entrée sans l’autorisation du syndic serait considérée comme une infraction.

«La soirée d’humour allait bien, mais on voyait que le Peel Pub était en déclin», confie Erik Intrevado.

Un autre habitué, Raby (qui préfère garder l’anonymat), est passé photographier l’avis affiché sur la porte. Selon lui, plusieurs signes annonçaient cette fermeture, comme l’absence de terrasse cette saison. Il affirme que certains employés n’ont pas été payés pour leurs heures travaillées durant le Grand Prix, incluant pourboires et salaires impayés, et déplore le silence complet du propriétaire.

À côté, Dave Laanemets, du McLean’s Pub, mentionne que les travaux de voirie sur la rue Peel ont nui à l’achalandage: «Si la rue était fermée pour un festival, ce serait différent. Là, personne ne circule, ça affecte tout le monde.»

Le propriétaire du Peel Pub, Sami Jmaiel, n’a pas répondu aux demandes de commentaires.

Erik Intrevado cherche désormais un nouveau lieu pour continuer les soirées d’humour. Quant aux anciens employés, ils attendent toujours leur dû et doivent maintenant se tourner vers de nouvelles opportunités.

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C’est reparti pour Soif de Cidre!

Amateur de cidres du Québec; l’événement Soif de Cidre est de retour jusqu’au 29 juin au Hangar 1825, aux abords du Canal-de-Lachine!

Des dizaines de producteurs locaux présents pour vous faire découvrir leurs produits de la pomme tous aussi rafraîchissants qu’intéressants, des ateliers de dégustations et de création de cocktails à base de cidre, des restaurants et producteurs proposant des accords gourmets, ainsi qu’une programmation musicale festive pour garder l’ambiance allumée jusqu’en soirée.

Parmi les exposants qu’on a particulièrement hâte de voir (et de goûter) cette année, on retrouve Cidre Intrus, La Capsule Temporelle, Cidre Sauvageon, Chemin des Sept, et le Domaine du petit Saint-Joseph.

Mais Soif de Cidre, c’est bien plus qu’une foire de dégustation — c’est une immersion pétillante dans l’univers du cidre québécois, ainsi qu’un incontournable pour lancer la saison estivale.

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Fairmont Tremblant: luxe, grillades et grand art sous le soleil des Laurentides

Quand on pense à Mont-Tremblant, on imagine souvent la neige, le ski et les après-ski animés… mais attention : l’été aussi a son moment de gloire. Et s’il y a un endroit qui sait exactement comment faire rimer détente, raffinement et festivités estivales, c’est bien le Fairmont Tremblant. Niché entre le village piétonnier et le flanc de la montagne, l’hôtel est plus que jamais en mode été 2025 et on adore ça!

L’hôtel réinvente sa fameuse terrasse pour la belle saison. Exit les mitaines, place aux lunettes de soleil ! Chaque semaine, DJs et musiciens viennent réchauffer l’atmosphère pendant que les invités savourent grillades au feu de bois, cocktails créatifs avec ou sans alcool.  

Pour ceux qui préfèrent les moments plus zen, direction le tout nouveau circuit thermal extérieur. Imaginez : un bain nordique avec vue sur la montagne, un grand spa repensé avec une touche contemporaine, et une piscine tempérée pour les chaudes journées.

Le Fairmont poursuit son impressionnante transformation. Depuis 2023, l’hôtel est en pleine revitalisation, avec l’objectif d’avoir toutes ses chambres entièrement rénovées d’ici 2026. Le septième étage, réservé au très exclusif Fairmont Or, est déjà une réussite : un « hôtel dans l’hôtel » avec concierge privé, lounge, thé de l’après-midi et petites douceurs en soirée. Le reste de l’établissement suit le même chemin, alliant luxe discret et confort moderne. Un réaménagement complet du lobby et de l’offre culinaire, on pense notamment au Choux Gras, la brasserie française de l’hôtel.

L’art de recevoir… l’art

Cet été, les amateurs d’art seront aussi servis. Le Fairmont Tremblant s’associe à Mountain Galleries, une prestigieuse galerie canadienne, pour une exposition permanente d’œuvres dans l’hôtel, en plus d’un programme d’artistes en résidence. Oui, vous pourriez croiser un peintre en pleine création dans le lounge ou discuter avec un photographe de renommée mondiale autour d’un verre. Une touche culturelle qui enrichit l’expérience et donne encore plus de charme au lieu.

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Fête nationale avec Robert Charlebois à MTL: «Un florilège pour les grands-parents, les punks et les petits baveux…»

Le Grand spectacle de la fête nationale à Montréal, qui embrasera le parc Maisonneuve le soir du 24 juin, se construit autour d’un monstre sacré nommé Robert Charlebois.

Sous l’animation de Guylaine Tremblay, Sara Dufour, Loud, la chanteuse d’opéra autochtone Elisabeth St-Gelais, Matt Lang, Yama Laurent, Yann Perreau, le groupe Bon Enfant et Antoine Bertrand entoureront le légendaire artiste, qui utilise une formule bien de son cru pour expliquer son rôle dans cette pétarade de festivités soulignant l’anniversaire collectif des Québécois, qui en est à sa 191e édition dans la métropole.

«Pour le show, je vais faire un florilège de variétés, pour les grands-parents, les punks, les petits baveux, les rockeurs, les petits enfants… Il y aura tout!», a badiné Robert Charlebois en entrevue avec nous, avant de s’empresser de préciser qu’il interprétera très exactement cinq chansons pendant la soirée.

Un message particulier à passer, en ces temps troubles où l’humanité semble se chercher comme jamais? Pas question, tranche Robert Charlebois. Bien qu’il crâne que «l’homme le plus puissant du monde, c’est un gorille!» et que «c’est dur, de négocier avec un gorille», le premier créateur qu’on a surnommé Garou ne compte pas s’emparer de la tribune pour lancer quelque appel que ce soit.

«Moi, je ne suis pas là pour diriger. J’ai horreur des gens qui me disent quoi faire! On est là pour émouvoir les gens, évoquer des choses à travers notre musique et notre plaisir. À la limite, un artiste qui me dit pour qui voter, ça me fait ch*er! Je n’ai pas de message…»

«Moi, c’est l’amour de mon peuple, de ma langue. Célébrons ce terrain de jeu qui s’appelle le Québec, qui est au nord de l’Amérique. Je persiste et signe : nous sommes des Latins, alors, continuons de célébrer comme des Latins! Depuis longtemps que ça dure…»

Charlebois insiste : profitons de cette chance que nous avons, peuple québécois, de pouvoir nous réunir pour honorer une fête nationale, un privilège que n’ont pas toutes les provinces.

Même si l’homme, qui faisait partie de la bande de jeunots devenus monuments à la Saint-Jean sur le mont Royal en 1976 (avec Ferland, Deschamps, Léveillée, Vigneault), reconnaît que l’esprit de communion d’alors n’est plus du tout le même qu’à l’époque.

«Non, parce qu’on a vieilli! Même Yvon (Deschamps) est plus vieux que moi de 10 ans… et ça parait! (rires)»

«On dirait que les moins de 20 ans, si on était demain le 51e état américain, ils seraient contents», a poursuivi le jeune octogénaire (il aura 81 ans le 25 juin), sur une note plus sérieuse. «Comme j’étais content, moi, à 12 ans, de parler en anglais et de n’écouter que de la musique en anglais. C’est à 16 ans que j’ai changé d’idée. Mais je les comprends, les jeunes, de délaisser la langue. Parce qu’ils n’ont pas d’application. Il faut être branché sur la source…»

N’empêche : il éclate de rire quand on lui signale que ses pièces Frog Song et Cauchemar ont bien vieilli…

Côté projets, Robert Charlebois annonce mettre en pause ses spectacles, pour l’instant. «Je vais faire un album, deux ou trois livres, un documentaire et quelques longs métrages, et surtout voir des amis», a-t-il débité d’un trait.

Mais encore? Le documentaire sur lui et son parcours sera réalisé par Louis-Philippe Héneault (réalisateur de clips des Cowboys Fringants et de Marie-Annick Lépine, qui a aussi été derrière la caméra d’Au secours de Béatrice), et produit par Claude Larrivée, de La Tribu, maison de disque de Robert Charlebois. «Il faut bien que quelqu’un le fasse!», a statué ce dernier.

Le disque? Ça sera son dernier, décrète Charlebois. On parle de chansons originales. Sortie planifiée quand? «Quand ça sera prêt! Cette année, c’est certain…»

Et le livre? Une biographie? «J’espère que ça ne sera pas une biographie pour faire ch*er le monde… Il y en a trop! Je vais essayer de faire mieux!», a promis Robert Charlebois de son décapant franc-parler.

Le Grand spectacle de la fête nationale à Montréal, sous le thème Et si on se parlait d’amour… sera présenté au parc Maisonneuve, ce mardi 24 juin, à compter de 20 h. Il sera diffusé à ICI TÉLÉ et TVA dès 20 h 30.

Un hommage y sera rendu à la chanson Gens du pays, de Gilles Vigneault.

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Voici ce que vous entendrez (et verrez) à la Fête nationale

Avouons-le: autant ils sont rassembleurs et festifs, les spectacles de la fête nationale, autant il est souvent facile de prédire quels succès intemporels de la chanson québécoise y seront interprétés, année après année.

Combien de fois, dans votre vie, avez-vous fredonné Le blues d’la métropole (Beau Dommage), Un musicien parmi tant d’autres (Harmonium), Entr’ deux joints (Robert Charlebois), Jonquière (Plume Latraverse) ou Provocante (Marjo) un soir de 23 ou 24 juin, entre deux fleurdelisés ballant au vent, une bière (si ce n’est autre chose qui fait de la fumée) à la main?! La fête nationale à Montréal en étant en 2025 à sa 191e édition, force est d’admettre que les plus âgés d’entre nous doivent commencer à bien connaître quelques-uns de leurs classiques.

Or, bien sûr, tant au rendez-vous des plaines d’Abraham (Québec, 23 juin), qu’à celui du parc Maisonneuve (Montréal, 24 juin), les artistes varient d’une édition à l’autre. On rebrasse les pots-pourris, on réarrange les valeurs sûres, on crée des moments qu’on espère inédits…

À Québec, ce lundi, par exemple, on aura droit à un medley ayant pour thème «le tour du Québec». Le road trip musical d’Ariane Moffatt, Garou, Bleu Jeans Bleu, Gab Bouchard, Marie-Denise Pelletier et leurs comparses nous fera passer, entre autres, de Les ailes d’un ange (Charlebois) à Montréal (Moffatt), Repentigny-by-the-sea (Cowboys Fringants), La rue principale (Les Colocs) et Harmonie du soir à Châteauguay (Beau Dommage). Un sympathique voyage dans notre Belle Province, au pied de la scène ou devant nos téléviseurs!

Les membres du projet Kwe! On a quelque chose à raconter, reprendront également Un musicien parmi tant d’autres en jumelant les voix de représentants des 11 nations autochtones du Québec. Et Mélissa Bédard revisitera S’il suffisait d’aimer… Et Marie-Denise Pelletier sera portée par une chorale d’enfants sur Inventer la terre

Mais, au-delà de l’évidence, comment fait-on, pour réinventer le party de la fête nationale, année après année? Comment jongle-t-on entre immortelles et nouveautés? Et si jamais on se lassait, un jour, de l’Harmonie du soir à Châteauguay?

«Déjà, à la fête nationale, il faut un équilibre entre voir ce qu’on peut amener de nouveau, et… Il y a un côté Casse-Noisette, à la Saint-Jean! Si on ne chante pas 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, Québec! [Les ailes d’un ange, NDLR], à la Saint-Jean, on ne chantera pas du tout!», fait valoir Benoit Landry, metteur en scène et codirecteur artistique du spectacle de Québec, qui avait orchestré l’événement Plaines de chansons, dans la même ville, l’an dernier.

«Nous, on a un concept sans animateur. On a des porte-parole [le couple Sébastien Diaz – Bianca Gervais cette année, NDLR], les artistes prennent la parole à tour de rôle. Mais c’est de se faire un gros party où les chanteurs se reçoivent, les uns, les autres, participent aux chansons des uns et des autres. On a un sentiment de gros jam, qui va teinter fortement l’ambiance, sans prétendre réinventer quoi que ce soit. Ça ne sera pas une suite d’artistes invités qui vont défiler; ce sont eux qui reçoivent!»

Marie-Denise Pelletier et Garou en répétitions pour le Grand Spectacle de la fête nationale à Québec / Crédit : Mario Beauregard

«On a aussi des numéros vraiment axés sur la musique, et d’autres qu’on perçoit comme des numéros de production, avec des tableaux très visuels, où il y a des danseurs, des acrobates, de la vidéo. Tous les langages ont la même place», complète Benoit Landry.

Pour Pierre Séguin, metteur en scène et réalisateur du spectacle de Montréal, il importe de tracer la distinction entre une prestation collective de la fête nationale et un spectacle de variétés habituel.

«Ce n’est pas un spectacle où on fait des découvertes et où on lance un album», observe celui qui a piloté des dizaines de rassemblements du genre par le passé. «Ce sont des classiques. Dans un show de la fête nationale, on se raconte notre histoire. On fait des liens entre les générations, et on découvre de nouveaux artistes à travers les chansons qui ont joué beaucoup à la radio cette année, et qu’on relie peut-être à des visages pour la première fois.»

«Par exemple, cette année, c’est sûr que Robert Charlebois va faire ses grands classiques. Mais il est aussi très généreux et il partage la scène avec des plus jeunes, et ils font des affaires incongrues, qui n’ont été faites nulle part ailleurs. On a aussi une chorale de 150 personnes, de l’Alliance chorale du Québec, qui fête son 50e anniversaire – comme la chanson Gens du pays -, et on raconte une histoire. Notre devise, au Québec, c’est Je me souviens : c’est pour ça qu’on revient avec certains classiques, et on les réinvente à la couleur des nouveaux chanteurs qui sont là.»

Une partie des artistes du Grand Spectacle de la fête nationale à Montréal en répétitions, dont Sara Dufour, Guylaine Tremblay, Elisabeth St-Gelais et Matt Lang / Crédit : Mario Beauregard

Autant que possible, à travers quelques pots-pourris ici et là, «la majorité des chansons» du spectacle de Montréal seront livrées dans leur entièreté, cette année, précise Pierre Séguin. «Pour donner la parole aux auteurs et aux autrices, pour qu’ils et elles expriment leur idée complète.»

Gens du pays…

Par ailleurs, juin 2025 marquant le 50e anniversaire de la toute première interprétation de l’hymne Gens du pays, de Gilles Vigneault, qui inaugurait son magnifique texte en 1975 sur le mont Royal, à Montréal, on saluera ce cap important en grand, dans la Vieille Capitale le 23 juin comme dans la métropole le 24 juin.

À Québec, Benoit Landry explique que toutes les personnalités du spectacle, y compris les personnes autochtones, entonneront les célèbres vers Gens du pays, c’est votre tour…. et convieront bien sûr la foule à chanter en chœur elle aussi.

Et à Montréal? Mystère, mais parions que l’instant sera rempli d’émotion.

Garou et Gab Bouchard en répétitions pour le Grand Spectacle de la fête nationale à Québec / Crédit : Mario Beauregard

L’animatrice Guylaine Tremblay compte d’ailleurs viser davantage le cœur des Québécois que de titiller leur fibre politique le 24 juin, elle qui croit d’abord et surtout en l’appartenance à un territoire.

«D’où tu viens? Qui tu es? À quoi et en qui tu crois? Pour qui tu votes, je m’en fous. Tu es ici, au Québec, alors on participe à cette société, pour que cette terre-là, où on vit, soit la plus égalitaire et la plus en paix possible. Évidemment, oui, mettons la langue française de l’avant; mais tu peux être extrêmement fédéraliste et trouver que la langue française, c’est important», plaide la comédienne, qui est la toute première femme (!) à animer le spectacle de la fête nationale à Montréal, et qui succède à Pierre-Yves Lord, qui avait endossé cette fonction pendant trois ans avant elle.

Laissons enfin le dernier mot à Marie-Anne Alepin, présidente du Comité de la Fête nationale du Québec à Montréal (et présidente de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal), qui chapeaute toutes les attractions montréalaises de la Fête nationale… et qui croit fermement au pouvoir salvateur de la fête!

«Tout le monde attend ça tout au long de l’année! Participer aux activités de la fête nationale, ça donne de l’énergie pour le restant de l’année!», estime Madame Alepin.

Maintenant… Dame Nature offrira-t-elle sa collaboration en nous envoyant du temps clément lundi et mardi soir? On croise les doigts!

Le Grand spectacle de la fête nationale dans la capitale, sur les plaines d’Abraham, le 23 juin à 21 h (et en diffusion à Télé-Québec à 21 h 30). Le Grand spectacle de la fête nationale du Québec à Montréal, au parc Maisonneuve, le 24 juin à 20 h (et en diffusion à ICI TÉLÉ et TVA à 20 h 30).

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Sarahmée: Un clin d’œil à Karim Ouellet à la Fête nationale

La fête nationale constitue bien sûr l’occasion annuelle par excellence de nous remémorer nos bons vieux classiques de la chanson d’ici.

Participant au Grand spectacle de Québec, qui aura bien sûr lieu sur les plaines d’Abraham le soir du 23 juin, la rappeuse Sarahmée s’émeut de constater que son frère Karim Ouellet, trois ans après son décès, figure désormais parmi les immortels de la musique québécoise, ceux dont il devient incontournable de raviver le souvenir dans des événements d’envergure comme la fête nationale.

Car on entonnera du Karim Ouellet sur les plaines le 23 juin, s’est réjouie de nous informer Sarahmée en entrevue.

«Il va être là!», a fièrement lancé la chanteuse, qui prend part au rassemblement de la Vieille Capitale pour la deuxième fois, son baptême ayant eu lieu en 2019. «Je suis très contente qu’il ait été inclus au moment où je suis invitée. Ça va être un beau clin d’œil pour lui le jour de la Saint-Jean!»

Pas question, toutefois, de révéler quel titre du répertoire de Karim Ouellet sera à l’honneur lors de ce moment important! Sarahmée, elle, revisitera deux de ses propres pièces, Le cœur a ses raisons et Elle est partie, dans une version, dit-elle, «revampée».

«Il y aura des danseurs dans mes numéros. J’ai très hâte!», a précisé l’artiste, qui se promènera dans les festivals tout l’été pour offrir des prestations, elle qui a lancé son quatrième album, Pleure pas ma fille, sinon maman va pleurer, en octobre 2024.

Sarahmée sera également l’animatrice, pour une deuxième année consécutive, du Premier Gala de l’ADISQ, au début novembre prochain. Il avait déjà été annoncé que Pierre-Yves Roy-Desmarais sera à nouveau l’hôte du Gala de l’ADISQ du 9 novembre.

Le Grand spectacle de la fête nationale dans la capitale s’amorcera le 23 juin, à 19 h 30, sur les plaines d’Abraham, d’abord avec une première partie assurée par Alaclair Ensemble, puis avec le party principal, à 21 h, auquel prendront part, en plus de Sarahmée, Ariane Moffatt, Claude Dubois, Bleu Jeans Bleu, Gab Bouchard, Garou, Kwe! On a quelque chose à raconter, Mélissa Bédard, Marie-Denise Pelletier et Marie-Pierre Arthur. Télé-Québec retransmettra la fête le soir même à compter de 21 h 30 (rediffusion le 24 juin à 18 h et le 27 juin à 22 h 30).

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Catherine Brunet et Pier-Luc Funk s’éclatent aux Francos de Montréal

La comédienne Catherine Brunet a ravi ses abonnés en partageant sur Instagram une série de photos et de vidéos capturant des moments festifs avec ses amis Pier-Luc Funk et Arnaud Soly lors des Francos de Montréal.

Dans sa publication, l’interprète de Geneviève Savoie dans Détective Surprenant a exprimé l’importance sentimentale que représente le festival pour elle:

«Depuis que je suis toute petite, les Francos marquent pour moi le vrai début de l’été. Même quand on partait de Terrebonne en famille, c’était un rendez-vous à ne pas manquer: des spectacles qui ont marqué mon imaginaire et qui m’ont permis de découvrir tellement d’artistes francophones que j’écoute encore aujourd’hui.»

Catherine a aussi souligné la portée culturelle des Francos:

«C’est aussi là que j’ai compris à quel point célébrer notre langue sous toutes ses couleurs, c’est essentiel pour faire vivre notre culture.»

Grâce à la scène Rogers, nouveau présentateur du festival, Catherine a eu la chance d’assister à des performances qui l’ont enchantée. Elle a notamment mentionné Le P’tit Béliveau, qu’elle décrit comme un «Roi Acadien-pirate-camion-rockeur au cœur tendre», ainsi que les «méga surprises» de Klô Pelgag et Rau Ze, qui ont marqué la soirée. Fidèle à l’ambiance du moment, elle a précisé avec humour: «Et oui, le dress code fut respecté 🐸💚.»

L’actrice a également encouragé ses abonnés à profiter des grands spectacles gratuits encore à venir sur la scène Rogers, citant Clara Luciani (20 juin), Grand Corps Malade (21 juin) et Salebarbes. Catherine Brunet, Pier-Luc Funk et Arnaud Soly ont su pleinement goûter à la magie des Francos de Montréal.