Catégorie oBox : TPL Moms
La pluie tambourine sur les fenêtres, les bottes sont trempées et les enfants tournent en rond… Pas de panique! Les journées pluvieuses à la maison sont l’occasion parfaite pour créer des souvenirs inoubliables.
Cet hiver, l’un des récits les plus connus prendra vie sur scène. Pour la toute première fois, la production française Le Petit Prince sera présentée au Théâtre Outremont, à Montréal les 26, 27 et 28 décembre, puis au Grand Théâtre de Québec les 29 et 30 décembre 2025. Une invitation à redécouvrir, en famille, la poésie intemporelle d’Antoine de Saint-Exupéry.
Mise en scène par François Ha Van, avec Hoël Le Corre dans le rôle du Petit Prince, cette adaptation repousse les frontières du théâtre traditionnel. Entre arts visuels, chorégraphie, musique et magie, le spectacle transportera les spectateurs dans un univers nouveau, à mi-chemin entre rêve et réalité.
Le magicien numérique Moulla, pionnier de la « magie augmentée », signe la création de moments visuels inédits, où les effets technologiques se mêlent à la sensibilité du jeu d’acteur. Une expérience sensorielle et poétique, qui redonne vie à l’histoire du Petit Prince, à la rose, au renard et à tous ces personnages qui nous rappellent, avec douceur, que « l’essentiel est invisible pour les yeux ».
Soutenu par une création graphique signée Augmented Magic, une chorégraphie de Caroline Marcadé, un jeu de lumières d’Alexis Beyer et une musique originale de Guillaume Aufaure, Le Petit Prince s’impose comme un spectacle complet, à la fois moderne et fidèle à l’esprit du conte.
D’une durée d’environ 1 h 10, le spectacle s’adresse aux enfants à partir de 7 ans, mais saura émouvoir toutes les générations. Un moment suspendu, à partager en famille pour clore l’année sur une note de beauté et de tendresse.
Les billets sont en vente dès maintenant sur theatreoutremont.ca (représentations à Montréal) et grandtheatre.qc.ca (représentations à Québec).
Les jouets préférés du grand écran reprennent vie pour un 5e film bien attendu, mais cette fois, ils ont affaire à un monde bien plus connecté. Disney et Pixar ont dévoilé la première bande-annonce et une toute nouvelle affiche d’Histoire de jouets 5, attendu en salle le 19 juin 2026.
Dans cette nouvelle aventure, Woody, Buzz et le reste de la bande font face à un défi inédit : la technologie. Le film introduit un tout nouveau personnage nommé Lilypad, une tablette intelligente en forme de grenouille qui vient bouleverser l’équilibre de la salle de jeux. Interprétée par la voix de par Greta Lee (Past Lives, The Morning Show, TRON : Ares), Lilypad est à la fois espiègle, brillante et un brin manipulatrice – un jouet du futur qui va donner du fil à retordre à nos héros.
Fidèle à ses 4 derniers tomes, Histoire de jouets retrouve ses voix emblématiques : Tom Hanks dans son rôle du fidèle cow-boy Woody, Tim Allen renfile la combinaison de Buzz l’Éclair, et Joan Cusack reprend la selle de Jessie. Tony Hale revient en Forky, l’attachant jouet bricolé, tandis que l’humoriste Conan O’Brien rejoint la distribution dans la peau de Smarty Pants, un jouet éducatif spécialisé dans l’apprentissage de la propreté…
À la direction, on retrouve Andrew Stanton, lauréat d’un Oscar pour WALL•E et Trouver Nemo, accompagné de la co-réalisatrice Kenna Harris (Ciao Alberto). Ensemble, les deux réalisateurs promettent une aventure à la fois hilarante et émouvante, explorant la rencontre entre nostalgie et modernité. « C’était fascinant d’imaginer comment nos jouets favoris réagiraient face au monde ultra-technologique d’aujourd’hui », confie Stanton. « Greta Lee apporte à Lilypad une personnalité pleine de contradictions : drôle, touchante, mais aussi redoutablement intelligente. »
Produit par Lindsey Collins (Alerte rouge, WALL•E, Trouver Dory), Histoire de jouets 5 s’annonce comme un retour triomphal d’une franchise adorée, prête à séduire une nouvelle génération tout en ravivant la tendresse des fans de la première heure.
C’est un rendez-vous : Le 19 juin 2026, les jouets reviennent, branchés comme jamais.
Je deviens maline, je deviens méchante…
Au micro des Filles du lunch, Maripier Morin et son nouveau coanimateur, Sébastien Benoit, ont abordé les petits «problèmes» de la vie familiale de l’animatrice, ce dernier l’invitant à se confier sur le sujet.
«Il y a, encore une fois, des problèmes dans… la maison familiale, Maripier, qu’est-ce qui se passe», lance Sébastien, alors que l’animatrice rit et reconnaît qu’elle devrait parfois se taire, tout en avouant que ça lui fait du bien d’en parler.
Elle met son conjoint en garde avant de tout dévoiler
«J’aimerais vraiment que, si Jean-Philippe Perras écoute: Ferme la radio, mon amour, parce que… c’est ça, je vais raconter quelque chose», lance-t-elle, en expliquant qu’il n’écoute pas souvent l’émission, mais que, lorsqu’il le fait, c’est toujours le passage qu’elle aurait préféré qu’il n’entende pas, et dont elle entend ensuite parler à la maison.
Ses explications de la situation
«Il y a un comportement que j’ai dans mon couple, Sébastien, et ça ne me rend vraiment pas fière, puis ça fait plusieurs fois que ça revient… Puis c’est vraiment… j’ai l’impression que tous nos conflits partent de ça. Je te donne des cas de figures: en fin de semaine, mon chum, il a un visionnement de son nouveau projet, Dérive (…) il y a deux présentations (…) une à 5h, une à 7h. Donc il dit: Bon, je vais à laquelle, tu sais, c’est sûr que si je vais à celle de 7 h, je peux faire souper les enfants, mais après ça, je reviens tard, j’ai une grosse semaine, je suis fatigué (…) Donc il réfléchit, il dit: Finalement, je vais aller à celle de 5h, donc comme ça, je peux revenir plus tôt», met-elle en contexte, tandis que son collègue souligne que 17h, c’est l’heure de grande affluence dans la routine familiale.
«Pendant la soirée, ma fille s’ouvre la bouche, elle tombe sur ma tête en sautant du divan dans sa piscine à balles: elle se fracasse, ok? Ses dents passent bord en bord de sa lèvre d’en haut (…) c’est la première fois que je vois autant de sang (…) Je panique… Moi, je ne deal pas bien dans des situations comme ça, je m’effondre (…) Finalement, papa nous Facetime parce que je dis: Margot vient vraiment de se faire mal, et là, il dit: Ça va, ma poulette?, il est tout léger: T’es tu correct? Tu t’es fait un gros bobo? Je suis à côté, là, j’ai les dents qui me poussent dans la bouche, ok? Je deviens maline, je deviens méchante, mais c’est parce qu’intérieurement (…) j’aurais aimé ça que Jean-Philippe soit là (…) À 8h, il m’appelle pour savoir comment ç’a été pour coucher les enfants, j’entends qu’il est encore là-bas, donc là, je fais: Tu es… tu es encore là-bas? Donc là J-P il dit: Oui, on vient de finir. Ok. Parfait. C’est bon, je vais écouter OD, bye. Donc je raccroche, je suis frue, je le fais sentir mal, je le fais sentir coupable, parce qu’il n’était pas là», témoigne-t-elle.
Elle poursuit en expliquant que ce qu’elle n’arrive pas à exprimer, c’est qu’elle a paniqué, qu’elle a eu peur. L’image tourne en boucle dans sa tête, même si elle sait que sa fille va bien. Elle admet avoir vécu une forte émotion et aurait simplement souhaité que son conjoint soit présent, qu’il mette de côté son occupation pour être à ses côtés.
«Mais je ne dis pas ça, je boude, je fais du boudin, puis j’y garroche ça dans sa cour, et je le fais sentir mal, je le fais sentir coupable (…)», poursuit-elle, en ajoutant qu’elle a le même réflexe même dans des situations plus anodines.
«Moi, je fais tout le temps ça, lui, il ne fait JAMAIS ça (…)», avoue-t-elle, avant d’être interrompue par Sébastien, qui lui demande pourquoi son conjoint ne l’aide tout simplement pas dans ces moments-là.
«Non, mais il est tout le temps là (…)», réitère-t-elle, précisant que ce n’est pas ça le point, mais plutôt que lui ne la fait jamais se sentir mal lorsqu’elle s’absente à son tour.
Sébastien est ensuite revenu sur l’appel concernant Margot, mentionnant que, par sa réaction, que Maripier n’a pas beaucoup appréciée, son conjoint a peut-être simplement voulu contrebalancer la sienne, plus paniquée. La maman confirme alors que c’est effectivement ce qu’il lui a expliqué.
«Je suis d’accord avec lui (…) la seule affaire que je trouve un petit peu folle, je vais te le dire tantôt, il y a une affaire dans… le time-line qui ne marche pas (…)», affirme Sébastien, alors que Maripier lui demande si sa conjointe le fait, elle aussi, se sentir coupable, ce qu’il confirme.
La conclusion et la réflexion
Après une chanson, les animateurs sont revenus sur le sujet. Maripier a alors admis qu’elle déteste faire sentir son amoureux coupable et qu’elle tente de se défaire de ce comportement. Elle ajoute toutefois qu’en discutant avec d’autres amies, elle s’est rendu compte qu’elles font, elles aussi, souvent la même chose.
«C’est-tu un comportement qui est typiquement féminin, de faire sentir l’autre coupable», questionne-t-elle, tandis que son collègue répond qu’il croit que oui, ajoutant qu’il s’agit d’une question de charge mentale. Selon lui, c’est vrai que les femmes la portent davantage, alors que les hommes, eux, sont souvent un peu plus «déchargés».
En conclusion, Maripier a affirmé que nous avons tous, dans notre couple, un comportement ou une habitude que nous aimerions corriger, mais dont il est difficile de se défaire, parce qu’un réflexe nous ramène toujours à la même dynamique.
Qu’en pensez-vous? Avez-vous déjà vécu ce genre de situation ou ressenti ce type de frustration dans votre couple?
Il y a la version de la parentalité qui ressemble à une photo mise en scène et puis il y a celle que vous passez en revue, en espérant que personne ne remarquera que vous avez envoyé votre enfant à l’école avec des chaussures dépareillées. Les moments de véritable victoire en tant que parent ne sont pas accompagnés d’applaudissements, mais d’un silence satisfait. La vérité, c’est que les vraies victoires ne sont pas marquées ou même remarquées en dehors de vos quatre murs. Elles se produisent dans les petites marges du chaos que personne ne prend la peine de photographier. Voici vingt victoires parentales que vous ne verrez jamais sur Instagram.
Votre ami à fourrure fait partie de la famille, n’est-ce pas ? Il doit donc avoir son propre espace, au même titre que n’importe qui d’autre. Pour nous, humains, créer un espace pour ce qui est essentiellement un bambin à quatre pattes signifie également que nous n’avons pas à nous inquiéter en permanence de ce qu’il fait… ou de ce dans quoi il se fourre.
Il y a un moment où un enfant disparaît derrière la couverture d’un livre. Un déclic se produit, l’enfermant dans l’histoire, et il semble presque ne plus avoir conscience de son environnement. C’est une disparition subtile qui se traduit par un regard lointain, un demi-sourire au coin des lèvres. C’est cette magie dont tout le monde parle lorsqu’il s’agit d’évoquer l’amour de la lecture. Mais parfois, sans le vouloir, nous rendons ce moment plus difficile à vivre. Nous poussons nos enfants à bout et transformons la lecture en une autre corvée sur la liste des choses à faire, entre l’entraînement de foot et le brossage des dents. Voici dix façons de nourrir leur désir de lire et dix stratégies qui se retournent toujours contre eux.
Visiblement, la petite a adoré jouer les mannequins!
Le secret d’un temps des Fêtes vraiment réussi!
Quand la maison se remplit de rires, de musique et d’odeurs réconfortantes, tout semble un peu plus doux, un peu plus vivant. Mais le plus beau moment, c’est sans doute celui où les tout-petits découvrent cette féérie pour la toute première fois: les lumières scintillantes, les papiers cadeaux, les yeux émerveillés devant le sapin. Leur étonnement redonne à chacun ce sentiment d’émerveillement qu’on croyait parfois perdu.
Souvent, on souhaite garder un souvenir tangible de cette magie. C’est pourquoi de plus en plus de familles choisissent d’immortaliser ces instants précieux avec un photoshoot de Noël. Que ce soit pour capturer la complicité familiale ou le sourire émerveillé des tout-petits, ces séances deviennent de véritables trésors à chérir. Des clichés remplis de douceur, de lumière et d’esprit des Fêtes, qu’on aime ressortir année après année.
Catherine Bastien, ex-candidate d’Occupation Double, a reçu un magnifique cadeau avant le temps des Fêtes: celui d’agrandir sa famille! Elle a donné naissance à la petite Ivey Cochrane, la petite soeur de leur adorable Layla, qui, d’ailleurs, vole déjà la vedette dans un charmant photoshoot de Noël.
Place au photoshoot familial tout en rouge, couleur officielle du temps des Fêtes!
La fière maman n’a pas résisté à l’envie d’habiller sa petite Layla de ses plus beaux vêtements festifs pour capturer la magie du temps des Fêtes, et c’est à fondre!
Un ensemble brillant, un motif carotté, une veste rouge et une petite robe adorable, tout y est pour plonger dans le plus pur esprit de Noël! Entre élégance et féérie, ces tenues respirent la chaleur des Fêtes et rappellent les plus beaux souvenirs d’enfance. Impossible de ne pas craquer devant tant de style et de magie!
Un décor neutre, une touche de bois, un voile léger et des décorations de Noël discrètes: tout est parfaitement pensé pour laisser la famille briller. Une ambiance douce, chaleureuse et élégante, où la magie des Fêtes s’installe sans jamais voler la vedette aux sourires.
Visiblement, la petite a adoré jouer les mannequins!
Nous souhaitons un joyeux temps des Fêtes à cette belle petite famille, rempli de rires, d’amour, de joie, de bonheur, de surprises et… de clichés à chérir pour toujours comme de véritables trésors.
Lorsque vous prenez votre petit-déjeuner, vous ingérez souvent des sucres rapides, présents notamment dans les céréales, les jus ou les pâtisseries industrielles. Heureusement, il existe des options saines et délicieuses pour bien débuter la journée, tout en évitant une consommation excessive de sucre. En misant sur des ingrédients naturels et nutritifs, comme les flocons d’avoine, les fruits frais, les protéines et les bonnes graisses, vous évitez les pics de glycémie. Des smoothies maison aux œufs brouillés, en passant par les yaourts enrichis de graines, découvrez 15 trucs pour varier vos petits-déjeuners de manière saine et gourmande.
